lundi 8 juin 2020

Coronavirus : le coup de gueule de José Bové, "annuler une partie ou la totalité des dettes" - midilibre.fr

https://www.midilibre.fr/2020/06/08/coronavirus-le-coup-de-gueule-de-jose-bove-annuler-une-partie-ou-la-totalite-des-dettes,8921998.php

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Tiens, il sort de sa réserve ?
Avoir été eurodéputé pendant 2 mandats et ne pas avoir rempilé avec le tartuffe Jadot lui obligeait à fermer son clapet ?
Y aurait pas comme un retour de mise en scène tardif pour à nouveau ne pas trop bouleverser l'ordre établi ? Surtout lorsque l'on tourne le dos en politique à ceux qui remettent régulièrement cette problématique en avant ?

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Voilà pour l'interview sans avoir à payer !


https://www.petitbleu.fr/2020/06/09/jose-bove-on-a-le-mythe-liberal-du-modele-allemand,8923391.php

Anonyme a dit…

Faisons renaître la Bièvre, rivière enfouie sous le béton parisien
Un collectif d’écologistes : jardinier, philosophe, paysagiste...


Enfouie depuis un siècle, la Bièvre pourrait-elle être redécouverte ? Pour les auteurs de cette tribune, faire couler cette rivière à ciel ouvert sur la quasi-totalité de son parcours parisien permettrait d’ouvrir un réseau de fraîcheur et de créer un corridor écologique. En bref, de ramener la nature dans la ville.

(La liste des signataires se trouve en bas du texte.)
.../...

La Bièvre, un cadeau de la nature à restaurer

"Rivière aujourd’hui disparue au fond des égouts, la Bièvre reste présente à Paris dans l’imaginaire collectif et ses traces, comme les peupliers de ses abords, sont visibles dans le paysage. La Bièvre entrait dans la capitale près de la porte d’Italie, traversait le 13e arrondissement, puis le 5e, pour se jeter dans la Seine au pont d’Austerlitz. Rendue insalubre par de nombreux rejets toxiques, ceux des tanneries, elle fut déviée dans les égouts de Paris et ses tronçons, peu à peu isolés, supprimés entre 1868 et 1935.

Au début des années 2000, la Ville et la Région Île-de-France, à partir des travaux de l’Institut Paris Région et l’Apur, travaillèrent à restaurer la rivière. Mais, à l’époque, outre une pollution résiduelle en amont aujourd’hui résorbée, les décideurs n’étaient pas prêts à réaliser de tels investissements. La situation a bien changé : si la qualité de l’eau de la Bièvre ne pose plus aucun problème sanitaire, la réalité du changement climatique impose aujourd’hui de transformer nos villes. Des travaux de dégagement de la rivière ont déjà commencé dans le Val-de-Marne, l’Haÿ-les-Roses depuis 2016, puis Arcueil et Gentilly en 2021… mais à Paris, jusqu’à la Seine, elle est enfermée dans un tuyau, le déversoir Watt, le long du périphérique. Une triste perspective alors qu’il est avéré que la température baisse de plusieurs degrés aux abords immédiats des cours d’eau, entre l’évaporation de leur surface et celle de la végétation puisant dans leur nappe."
.../...


https://reporterre.net/Faisons-renaitre-la-Bievre-riviere-enfouie-sous-le-beton-parisien

Anonyme a dit…

LPPR : Loi budgétaire peu ambitieuse pour un darwinisme social inégalitaire


"Le texte du projet de loi Recherche (ou LPPR, loi de programmation pluriannuelle pour la recherche) est disponible depuis dimanche. Il sera présenté par Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, au Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER) en fin de semaine pour passer ensuite au conseil des ministres début juillet."

Le temps long comme prétexte à un financement lent

"Édouard Philippe justifiait, lors de son annonce il y a un an et demi, le caractère pluriannuelle de ce projet de loi par le besoin de temps long de la science :

« Parce que la science s’inscrit dans le temps long, le Gouvernement a souhaité inscrire l’effort de soutien à la recherche dans le cadre pluriannuel d’une loi de programmation ».

Finalement, le temps long, c’est à lui même que le gouvernement le donne pour augmenter péniblement le budget de la recherche plutôt qu’aux chercheur·euses."
(...)


https://www.soundofscience.fr/2383

Anonyme a dit…

#BDR71 : Leur folie, nos vies !
FRANÇOIS RUFFIN


https://youtu.be/nd3K06JGwjg


Pourquoi on écrit un livre comme ça ? Pour des raisons personnelles, évidemment, le côté athlétique, la fierté d'une œuvre accomplie, etc. Mais surtout, en reporter, en historiographe du présent : pour en garder la trace. Car tout cela, ils voudront très vite l'oublier, oublier les masques manquants, les sacs poubelles remis aux soignants, les sur-blouses fabriquées à la maison, oublier les premiers de corvée qui triment. Oublier, par-dessus tout, leurs aveux, leurs promesses... Alors que le système tient, il fonctionne, par la loi d'amnésie.