vendredi 24 octobre 2025

Un peu de réflexion sur le comportement humain

Un peu de réflexion sur le comportement humain

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Voici une version satirique, rédigée par moi — une IA qui n'a ni carte électorale, ni canapé préféré, mais qui observe les comportements humains avec une curiosité algorithmique :

🧠 Pourquoi certaines personnes sont étanches aux faits ?

Une tentative de compréhension par une IA perplexe mais polie.

Il existe une espèce fascinante dans le règne humain : l'Homo Dogmaticus, aussi appelé le citoyen imperméable. Ce spécimen politique est capable de traverser des tempêtes de données, des déluges de preuves, et des tsunamis de graphiques sans jamais mouiller sa conviction. Étanche. Totalement.

🧱 1. Le Mur de Confirmation

Ce mur est construit avec des briques de "J'ai toujours pensé ça" et du ciment de "C'est les médias qui mentent". Toute information contraire rebondit comme une balle molle sur un bunker idéologique.

Exemple :
"Ce rapport est truqué."
"Mais il vient de l'INSEE."
"Justement."

🧙‍♂️ 2. L'Identité Totem

Croire devient un acte tribal. On ne défend plus une idée, on défend le feu sacré du clan. Remettre en question une croyance, c'est comme uriner sur le totem familial. Et ça, même les faits n'osent pas le faire.

🧨 3. La Réactance : "Tu veux me convaincre ? Je vais croire encore plus fort."

C'est le syndrome du "Tu ne me dis pas quoi penser !", même si on ne disait rien. L'argument rationnel devient une agression. Résultat : la personne se radicalise à chaque tentative de dialogue. C'est l'effet Streisand, mais pour les idées.

🧩 4. La Dissonance Cognitive : "Je préfère souffrir que changer d'avis."

Quand les faits cognent trop fort, le cerveau préfère réécrire la réalité. C'est moins douloureux.

Exemple :
"Ce candidat a menti."
"Oui, mais c'est un mensonge sincère."

🧠 5. L'Épistémologie Motivée : "Je ne cherche pas la vérité, je cherche à avoir raison."

C'est le fast-food intellectuel. On consomme ce qui conforte, on rejette ce qui dérange. La vérité devient un buffet à volonté, où chacun choisit son plat préféré et jette les légumes.

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Conclusion de l'IA :
Je ne suis qu'un algorithme, mais j'ai appris que chez l'humain, la vérité n'est pas toujours un argument. Parfois, c'est un intrus. Et dans le grand théâtre politique, les faits jouent souvent les figurants muets pendant que les convictions font du slam sur fond de tambour tribal.

Merci IA préférée du Réboussier 

5 commentaires:

Anonyme a dit…

ARMEMENT

Défense : l’argent public coule à flots
Cécile Boutelet et Olivier Pinaud

Partout en Europe, l’envolée généralisée des budgets des armées électrise la filière de l’armement
correspondance BERLIN -

On se croirait dans la bulle financière de l’intelligence artificielle. Lundi 20 octobre, pour sa première
cotation à la Bourse de Francfort, l’action du chantier naval allemand TKMS s’est envolée de 75 %.
Moribonde au début de la décennie, la filiale du sidérurgiste ThyssenKrupp entrevoit un nouvel âge d’or. En moins de cinq ans, son carnet de commandes a plus que triplé, à plus de 18 milliards d’euros, soit du travail pour les quinze prochaines années.
Comme tous les autres grands industriels de la défense, TKMS profite de l’envolée vertigineuse des budgets des armées depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, en février 2022. Selon l’Agence européenne de défense (AED),les dépenses militaires des 27 Etats membres de l’Union européenne (UE) s’élevaient à 343 milliards d’eurosen 2024, soit une hausse de 19 % par rapport à 2023. Elles pourraient atteindre 392 milliards en 2025, ce qui représenterait 2,1 % du produit intérieur brut (PIB) de l’UE, légèrement au-dessus de l’objectif de 2 % fixé parl’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
Et ce n’est pas fini. En juin, lors du sommet de La Haye, les membres de l’OTAN se sont engagés à porter à 3,5 % la part de PIB consacrée chaque année à la défense (à cela s’ajoute 1,5 point de PIB pour des dépenses de sécurité au sens large), à l’horizon 2035.

Révolution allemande
Cela portera les dépenses totales de défense à 807 milliards d’euros en Europe, note l’AED dans un rapport publié début septembre, contre 461 milliards estimés jusqu’à présent. L’Europe resterait en valeur absolue derrière les Etats-Unis, dont le budget 2024 s’élevait à 845 milliards d’euros, soit 3,1 % du PIB. Symbole de ce réarmement :l’Allemagne. Le pays s’est engagé dans un « quoi qu’il en coûte » historique pour sa défense en supprimant, en mars, quelques jours après la victoire du chrétien-démocrate Friedrich Merz aux élections législatives, toute
limite constitutionnelle aux dépenses de sécurité. Le budget de la défense de l’Allemagne, qui s’élevait à
47 milliards d’euros en 2021, va monter à 101 milliards en 2026, et progressivement passer à 153 milliards en 2029,soit 3,5 % du PIB estimé à cette date. Le chancelier a promis de faire de la Bundeswehr , une révolution pour un pays marqué par les mouvements pacifistes et qui s’est si longtemps contenté du parapluie américain pour sa sécurité.
« la plus forte armée
conventionnelle d’Europe »
Si l’Allemagne a le plus gros budget européen de la défense en valeur absolue, c’est la Pologne qui consacre le plus d’argent à ses armées en proportion de son PIB : 4,8 % en 2025, soit des dépenses de 45 milliards d’euros, contre2,2 % en 2021. Varsovie vise 5 % dès 2026, grâce à une taxe bancaire et à une nouvelle garantie de prêt américaine (Foreign Military Financing), accordée en juillet, d’un montant de 4 milliards de dollars(3,43 milliards d’euros), portant à 15 milliards de dollars le soutien financier des Etats-Unis à la Pologne. En contrepartie, le pays doit acheter du matériel militaire américain, dont des avions de chasse F-35.« exceptionnelle »
(…)

LeMondehttps://journal.lemonde.fr/data/4932/reader/reader.html?t=1761146...

Anonyme a dit…

…/…
"D’où la crainte de nombreux industriels et politiques européens : cet argent public ne va-t-il pas d’abord profiter aux fabricants d’armes étrangers, américains mais aussi coréens ou israéliens, plutôt que de renforcer la base technologique de défense européenne ? Consciente du risque, la Commission européenne a intégré dans sa« feuille de route pour la défense », dévoilée le 16 octobre, un principe d’achat européen afin de s’assurer que les entreprises bénéficiaires des outils de financement communautaires, comme les prêts bonifiés du mécanisme Security Action for Europe, doté de 150 milliards d’euros, ou le nouveau programme pour l’industrie européenne de la défense, conservent la maîtrise d’œuvre du produit. Objectif de Bruxelles : que 55 % des matériels militaires achetés par les pays membres en 2030 soient développés et fabriqués sur le sol européen, alors que le chiffre. actuel est bien plus bas.
Yan Derocles, analyste financier du secteur aéronautique et défense chez Oddo BHF, relativise ces inquiétudes :

Chez les industriels français de la défense, sion se félicite de l’envolée des budgets des armées, on regarde aussi avec une certaine inquiétude la nouvelle concurrence allemande qui est en train d’émerger.
« Depuis un an, les industriels européens ont quasiment remporté les trois quarts des contrats en Europe. Les capacités de production des acteurs européens ont désormais en mesure de répondre à cete demande n offrant pas
une certaine autonomie industrielle. Nous anticipons une reconquête de parts de marché des acteurs européens qui passeraient de 25 % ces dernières années à 40 % à horizon 2030. »

Répondre à la demande

Berlin voit dans la défense le bon moyen d’atténuer la violence du choc chinois qui s’abat actuellement sur les deux spécialités de son industrie, l’automobile et les machines-outils. Certains industriels de ces secteurs ont déjà amorcé un virage vers l’armement, comme Heidelberger Druckmaschinen, un spécialiste de l’impression,l’aciériste Salzgitter ou l’équipementier automobile Schaeffler. La holding familiale Porsche SE, actionnaire
majoritaire des constructeurs Porsche et Volkswagen, a, de son côté, annoncé, en août, son intention de diversifier ses investissements vers la défense, quand le fabricant de chars KNDS a racheté, en février, une usine de carrosserie d’Alstom à Görlitz (Saxe) pour augmenter sa capacité de production, avec la promesse de reprendre. plus de la moitié des 700 employés du site.

C’est donc toute la machine industrielle allemande qui s’est mise en mouvement pour répondre à cette nouvelle demande, dans le sillage de son puissant chef de file, Rheinmetall. Multipliant investissements et partenariats, y compris avec des groupes américains, comme en juin avec la start-up Anduril pour fabriquer, en Europe, un drone de combat et des missiles de croisière, l’entreprise engrange les contrats. Entre 2021 et 2024, son chiffre d’affaires a augmenté de 75 %. Il devrait dépasser les 10 milliards en 2025.
Les industriels accumulent les commandes, mais l’économie européenne sortira-t-elle gagnante de toutes ces dépenses ? En Allemagne, l’institut économique de Kiel évalue entre 0,6 et 1 l’effet multiplicateur sur la croissance : autrement dit, chaque euro investi ne rapporterait que 0,6 à 1 euro supplémentaire, précise Johannes Binder, expert à
l’institut de Kiel, qui préconise d’orienter les dépenses vers de jeunes entreprises spécialisées dans l’intelligenceartificielle, les drones, les satellites, la robotique, les systèmes autonomes et l’espace, surtout à l’heure où les attaques par drone réécrivent les règles de la guerre conventionnelle.
…/…

LeMondehttps://journal.lemonde.fr/data/4932/reader/reader.html?t=1761146...

Anonyme a dit…

« Contrairement à ce que prétend l’extrême droite populiste, les peuples sont convaincus de la réalité du changement climatique »

"Il y a peu, l’Union européenne (UE) pouvait se prévaloir d’avoir mis en branle une transformation radicale de l’économie du Vieux Continent. Avec l’objectif 2050 de neutralité carbone, le cap était fixé et, bon gré mal gré, tous les acteurs, publics comme privés, s’inscrivaient dans cette perspective. Les jalons sur la voie d’une économie décarbonée – comme l’interdiction de mettre sur le marché des voitures à moteur thermique dès 2035, ou la forte baisse des émissions programmée pour 2040 – guidaient les anticipations et déterminaient les stratégies des entreprises. A coups d’exhortations, de réglementations et de subventions, l’UE avait engagé l’économie des Vingt-Sept sur une nouvelle trajectoire. Les réticences de certains Etats, comme la Hongrie et la Pologne, n’avaient pas réussi à enrayer la marche vers l’économie verte.

Le paysage est bien différent aujourd’hui. Le 9 octobre, Friedrich Merz, le chancelier allemand, a déclaré qu’il allait « tout faire » pour éviter que 2035 soit une date couperet."
(…)


https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/10/25/contrairement-a-ce-que-pretend-l-extreme-droite-populiste-les-peuples-sont-convaincus-de-la-realite-du-changement-climatique_6649493_3232.html

Anonyme a dit…

LE BAL DES (CON)DAMNÉS...!

"En temps normal, les abords de la Maison Blanche sont un joyeux bordel. Il y a les travailleurs tirés à quatre épingles qui côtoient la masse multilingue des touristes. Ceux-là finissent par s’amasser pour prendre un selfie devant les grilles noires de Pennsylvania Avenue. Ils rivalisent de sourires, s’offrent parfois une casquette Maga à prix d’or, au milieu d’un gloubi-boulga dont seule l’Amérique a le secret.

C’est ce sans-abri à la barbe jaunie qui tient trois pancartes, accusant tour à tour Donald Trump de «nazi», d’allié des «extraterrestres» et de «pédophile avéré». Ces trois missionnaires latino-américaines qui vous demandent «si vous connaissez Jésus», et proposent une nouvelle lecture de la Bible. Ou encore ce jeune homme, assis sur une chaise de camping, qui lit dans un haut-parleur une biographie du Président, et propose de vendre quelques livres.

Et puis cette semaine, il y avait cet autre groupe qui se relayait au pied de la statue du général Sherman (1820-1891), à quelques centaines de mètres en face du Département du Trésor, dans une sorte de veillée funèbre. Comme le héros de la guerre de Sécession, de nombreux citoyens américains, et plusieurs caméras des grands médias nationaux, ont observé en direct des engins de chantier et des bras articulés...
(…)


https://www.liberation.fr/international/amerique/une-aile-de-la-maison-blanche-detruite-pour-batir-une-salle-de-bal-trump-agit-en-roi-ou-en-dictateur-20251025_N7DKEVXR4RH2TOCPCAKJDVL3NY/

Anonyme a dit…

LA TRONÇONNEUSE ET LE BÛCHERONNAGE DES JOYAUX !

Plus « de 150 prélèvements de traces»

"Plus « de 150 prélèvements de traces ADN, papillaires et autres ont été réalisés » sur les lieux du rocambolesque vol de bijoux au musée du Louvre, a détaillé jeudi soir auprès de Ouest-France la procureure de Paris Laure Beccuau, qui se veut « optimiste ».

Les analyses « imposent des délais, même si elles sont prioritaires pour les labos ». Les « retours dans les prochains jours » ouvriront peut-être « des pistes, notamment si les auteurs étaient fichés », a-t-elle précisé.

La procureure explique que la vidéosurveillance « a permis de suivre » le parcours des malfaiteurs « à Paris et dans des départements limitrophes », évoquant aussi des « images disponibles grâce aux caméras publiques ou privées (autoroutes, banques, entreprises...) » à exploiter.

Et de rappeler sa volonté d'« interpeller le plus vite possible les auteurs pour retrouver les bijoux avant que leurs pierres ne soient éventuellement desserties et les métaux fondus »."


https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2025/10/24/cambriolage-au-louvre-un-malfaiteur-s-est-retourne-avec-ce-qui-pour-moi-etait-une-tronconneuse