dimanche 20 avril 2025

La France doit-elle être gérée comme une entreprise ?

https://decouverte.challenges.fr/economie/la-france-doit-elle-etre-geree-comme-une-entreprise_602764



2 commentaires:

Anonyme a dit…

"Mercredi 9 avril, les droits de douane réciproques décidés par Donald Trump entraient en vigueur. Cela fait déjà quelques jours que la guerre commerciale décidée par le président américain faisait dégringoler les Bourses mondiales.

Sur les écrans des analystes et des traders, une courbe s'affole : le taux d'intérêt des bons du Trésor américain grimpe en flèche. Le rendement des obligations à trente ans s'est envolé de 4,4 % à 5 %. Celles à dix ans ont pris 55 points de base en trois séances, du jamais-vu depuis vingt-cinq ans.

Personne ne s'y attendait. Habituellement, les Treasuries sont une valeur refuge en temps de crise. En coulisses, des rumeurs se propagent : et si la Chine et le Japon se débarrassaient de leurs bons du Trésor pour répliquer aux droits de douane ?"
(…)


https://www.lepoint.fr/economie/la-dette-americaine-ce-krach-a-venir-22-04-2025-2587861_28.php#11

Anonyme a dit…

"Pour certains, la France vivrait « au-dessus de ses moyens », serait « au bord de la faillite » ou en train de « plomber ses services publics ». Face à ces inquiétudes excessives autour de la dette publique, « Marianne » vous donne quelques raisons de garder son calme."
(…)

"Toujours est-il que « la stabilisation de la dette à son niveau actuel ne devrait pas être la priorité des priorités, affirmait François Geerolf, chercheur à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), auprès de Marianne en novembre. Le coût de nos emprunts devrait rester assez bas pour nous éviter un effet boule de neige qui rendrait notre passif incontrôlable ». D’autres économistes estiment qu'une nouvelle hausse de la dette pourrait enclencher un cercle vicieux, alors que le taux réclamé à l’État a déjà bondi depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. « Si on laisse filer l’endettement au-delà de 125 % du PIB, le risque est que nos taux d’intérêt flambent par rapport à ceux des autres pays, en particulier en cas de crise économique mondiale », prévenait dans ce même entretien Thomas Philippon, professeur à l’université de New York. Il appelle donc à redresser nos comptes sans tarder… mais sans pour autant se précipiter."


https://www.marianne.net/economie/economie-francaise/le-manuel-de-riposte-de-marianne-non-agnes-il-nest-pas-urgent-de-reduire-la-dette-publique-francaise