Éviter le piège [à tartuffe...]
"La rémunération, promise comme pouvant atteindre le millier d'euros par jour (!), n'est versée que si l'objectif est atteint. Pour les premières missions, l'objectif est tellement simple à atteindre que l'on peut vite gagner un peu d'argent et se constituer la cagnotte à débloquer. C'est le début du piège car votre « employeur » vous assigne une mission plus difficile mais plus rémunératrice, vous versez à nouveau de l'argent pour pouvoir y accéder mais l'objectif n'est plus atteignable. On vous rappelle pour vous motiver, on vous incite à « acheter » d'autres missions en vous faisant miroiter d'autres gains… Las, vous ne reverrez plus votre argent.
Pour éviter le piège, mieux vaut ne pas répondre à ce genre d'appels, ne pas cliquer sur des liens envoyés par des inconnus, vérifier la crédibilité des offres d'emploi rémunéré et, même si cela paraît évident, ne jamais payer pour accéder à un travail en ligne."
https://www.lavoixdunord.fr/1567470/article/2025-03-22/c-est-quoi-ces-numeros-en-44-qui-appellent-sur-nos-telephones-portables
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 23 mars 2025
Éviter le piège [à tartuffe...]
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Ce qu'il faut retenir de l'appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine" :
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Un an de traque et des gendarmes en camouflage
"Les enquêteurs installent rapidement des pièges photographiques sur le site. Mais le cultivateur clandestin est peu identifiable. "Lors de la première procédure, on n'a pas pu l'identifier", raconte un gendarme en charge du dossier.
En décembre 2023, faute de preuves suffisantes, la procédure est close. Mais dès le printemps 2024, tout recommence. "C’est à cette période que les plants commencent à pousser, donc on a rouvert le dossier et remis des pièges photo", poursuit l’enquêteur. Cette fois, bingo : les images montrent un visage, le même que celui capté lors de la première procédure.
Identifié, le suspect reste toutefois à interpeller. Et pour ça, les gendarmes sortent le grand jeu : "On a enfilé des tenues en bois", confie l'enquêteur.
L’opération est minutieusement préparée. Camouflés dans la végétation, les militaires se postent aux abords de la plantation, à l’affût. "On s’est cachés dans les buissons, et on a attendu. Et un jour, il est arrivé", raconte le gendarme.
Surpris en pleine forêt, le cultivateur est interpellé le 13 juillet 2024. Lors de la perquisition à son domicile, les forces de l’ordre découvrent près de trois kilos de cannabis sous forme d’herbe et de pollen. Le cultivateur ne revendait [pas] son cannabis, c'était pour son usage personnel."
(…)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/cher/on-s-est-habilles-en-bois-des-gendarmes-se-deguisent-pour-arreter-un-homme-qui-a-coupe-des-chenes-en-foret-pour-cultiver-du-cannabis-3129724.html
Enregistrer un commentaire