lundi 22 janvier 2024

Vois-tu ami

Vois-tu ami

Toi qui n’a pas de tracteur

Toi qui n’a pas de fumier 

Toi qui n’a pas de poids lourds

Toi qui n’a pas de train

Etc…

Toi qui subit tout


Tu ne recevras , contrairement aux autres (voir ci-dessus)

Aucune compensation 

Pour l’ augmentation de l’ énergie , pétrole, électricité (+10%)

Pour compenser l’ inflation (qui est faible sur les balles de tennis )


Anonyme

 

Pourquoi toujours régler les problèmes en utilisant des pansements provisoires 

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Voilà que la sur-mécanisation rend con !

Entre 30 et 350 tortues tuées

"Les faits reprochés à l'agriculteur remontent à 2018 : l'agriculteur, en gyrobroyant 25 hectares d'un terrain situé sur le flanc nord du Monte Sant’Anghjulu, avait tué des dizaines de tortues d'Hermann, et mutilé plusieurs autres.

Au moins 34 spécimens avaient été tués. La Dreal, la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement avait de son côté émis une évaluation comprise entre 116 et 349 reptiles tués, "au vu de la densité des tortues d’Hermann sur le terrain".

Dans son pourvoi en cassation, Pierre-Marie Rossi contestait notamment la légalité des constatations effectuées par les personnels de l'Agence française de la biodiversité sur les terrains gyrobroyés, "sans en avoir été autorisés par le Procureur de la République et sans son assentiment", rappelle l'association de défense de l'environnement U Levante.

Un raisonnement rejeté par la Cour de cassation, qui confirme en tout point les deux premières décisions."


https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/corse-du-sud/pierre-marie-rossi-definitivement-condamne-pour-avoir-tue-des-dizaines-de-tortues-d-hermann-en-debroussaillant-son-terrain-2910095.html

Anonyme a dit…

Idées reçues et contrariétées des idées...

"On l’imagine vertueuse et utile aux métropoles. Mais d’après une étude internationale menée par l’université du Michigan, publiée le 22 janvier dans Nature Cities, l’agriculture urbaine émettrait plus de CO2 que l’agriculture conventionnelle. Les chercheurs ont calculé les émissions de gaz à effet de serre liées aux matériaux et aux activités de l’exploitation pendant toute sa durée de vie. Résultat : les fruits et légumes cultivés dans les soixante-treize fermes et jardins urbains étudiés au travers de cinq pays ont une empreinte carbone en moyenne six fois supérieure à l’agriculture conventionnelle (0,42 kilogramme d’équivalent dioxyde de carbone par portion, contre 0,07 kg).

Pour Benjamin Goldstein, coauteur de l’étude, cette différence s’expliquerait par « les matériaux utilisés pour construire les fermes urbaines telles que les plateformes surélevées dans lesquelles les aliments sont cultivés, les allées entre les parcelles) ou les fournitures (compost, engrais, tissus anti-mauvaises herbes, essence pour les machines). Tous ces équipements émettent du CO2, d’autant plus qu’ils sont renouvelés régulièrement, les projets urbains étant souvent de courte durée. De son côté, l’agriculture intensive — à grand renfort d’engrais et de pesticides — produit beaucoup : ramené au kilo de nourriture produit, l’impact carbone de ces fermes est ainsi moindre que dans les fermes urbaines ». Une analyse qui n’enlève rien aux autres impacts nocifs de l’agriculture intensive, parfois moins évidents, tels que la destruction d’habitats naturels ou l’appauvrissement des terres.

Quelques exceptions ont toutefois été mises en évidence par l’étude. Les tomates cultivées dans le sol de parcelles urbaines en plein air émettent moins d’équivalent CO2 que celles cultivées dans des serres conventionnelles. Pour les cultures transportées par avion comme les asperges, la différence d’émissions serait nulle. Ces exceptions suggèrent que les praticiens de l’agriculture urbaine pourraient réduire leurs effets sur le climat en cultivant des plantes qui sont généralement produites en serre ou transportées par avion.

Lutte contre les îlots de chaleur, biodiversité, lien social ou absorption des eaux pluviales… Pour Jason Hawes, autre coauteur principal de l’étude, l’agriculture urbaine offre tout de même « une variété d’avantages sociaux, nutritionnels et environnementaux, ce qui en fait une caractéristique attrayante des futures villes durables »."


https://reporterre.net/L-agriculture-urbaine-forte-emettrice-de-CO2

Anonyme a dit…

Idées reçues et contrariétées des idées...

"On l’imagine vertueuse et utile aux métropoles. Mais d’après une étude internationale menée par l’université du Michigan, publiée le 22 janvier dans Nature Cities, l’agriculture urbaine émettrait plus de CO2 que l’agriculture conventionnelle. Les chercheurs ont calculé les émissions de gaz à effet de serre liées aux matériaux et aux activités de l’exploitation pendant toute sa durée de vie. Résultat : les fruits et légumes cultivés dans les soixante-treize fermes et jardins urbains étudiés au travers de cinq pays ont une empreinte carbone en moyenne six fois supérieure à l’agriculture conventionnelle (0,42 kilogramme d’équivalent dioxyde de carbone par portion, contre 0,07 kg).

Pour Benjamin Goldstein, coauteur de l’étude, cette différence s’expliquerait par « les matériaux utilisés pour construire les fermes urbaines telles que les plateformes surélevées dans lesquelles les aliments sont cultivés, les allées entre les parcelles) ou les fournitures (compost, engrais, tissus anti-mauvaises herbes, essence pour les machines). Tous ces équipements émettent du CO2, d’autant plus qu’ils sont renouvelés régulièrement, les projets urbains étant souvent de courte durée. De son côté, l’agriculture intensive — à grand renfort d’engrais et de pesticides — produit beaucoup : ramené au kilo de nourriture produit, l’impact carbone de ces fermes est ainsi moindre que dans les fermes urbaines ». Une analyse qui n’enlève rien aux autres impacts nocifs de l’agriculture intensive, parfois moins évidents, tels que la destruction d’habitats naturels ou l’appauvrissement des terres.

Quelques exceptions ont toutefois été mises en évidence par l’étude. Les tomates cultivées dans le sol de parcelles urbaines en plein air émettent moins d’équivalent CO2 que celles cultivées dans des serres conventionnelles. Pour les cultures transportées par avion comme les asperges, la différence d’émissions serait nulle. Ces exceptions suggèrent que les praticiens de l’agriculture urbaine pourraient réduire leurs effets sur le climat en cultivant des plantes qui sont généralement produites en serre ou transportées par avion.

Lutte contre les îlots de chaleur, biodiversité, lien social ou absorption des eaux pluviales… Pour Jason Hawes, autre coauteur principal de l’étude, l’agriculture urbaine offre tout de même « une variété d’avantages sociaux, nutritionnels et environnementaux, ce qui en fait une caractéristique attrayante des futures villes durables »."


https://reporterre.net/L-agriculture-urbaine-forte-emettrice-de-CO2

Anonyme a dit…

Au pas de charge pour les amendes !

"Au Lidl de Brême en Allemagne il est préférable de faire ses courses… au pas de course.

Pour éviter que les clients du supermarché ne laissent leur véhicule trop longtemps sur le parking, une société de surveillance veille à ce que le stationnement ne dépasse pas 90 minutes.

Un temps d’une heure et demie estimé correct selon la société pour effectuer ses achats. En cas de dépassement, Parkpoint envoie une amende au contrevenant, comme le rapporte Blick.

Mais un retraité s’est vu dans l’obligation de payer 35 euros d’amende alors qu’il n’était resté que 39 minutes sur ledit parking.
Furieux, il est allé demander des comptes.

Muni de son ticket de caisse pour justifier ses achats et sa présence sur le parking.

Mais la société de surveillance a refusé de lui retirer la prune en expliquant : “Malheureusement, le montant des achats prouvé n'est pas en rapport avec la durée de stationnement constatée”.
(…)


https://www.midilibre.fr/2024/01/21/il-na-depense-que-34-euros-a-lidl-le-retraite-recoit-une-amende-car-il-a-mis-trop-de-temps-pour-faire-ses-courses-11710214.php