samedi 6 août 2022

500 œufs de flamants roses détruits par le tournage de Nicolas Vanier : à qui la faute ?

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2 commentaires:

Anonyme a dit…

Nicolas Vanier m'avait fait prendre conscience du rôle vertueux de l'homme dans la gestion d'un écosystème tel que décrit dans le "dernier trappeur"...
Avec cette histoire de flamand à laquelle il cherche a se dédouaner, je m'aperçois que depuis il chie dans la colle. Faire survoler un ULM sur une colonie en pleine nidification est une connerie sans nom.
Le rôle vertueux d'un réalisateur lorsqu'on s'aventure dans une telle entreprise avec une belle expérience est de savoir s'arrêter à temps.
Yann Arthus Bertrand a mis du temps à le comprendre. Nicolas Hulot s'est fait planter par les biches qu'il courtisait avec les naseaux d'un cerf en rut.
Ces vieux renards de l'écologie ont besoin de soigner à tire d'aile leurs névroses.
Histoire de redonner un sens premier au terme de préservation.

Anonyme a dit…

La série documentaire de France 5 suit l’itinéraire emprunté dans la région par l’écrivain écossais en 1878, du Monastier-sur-Gazeille à Saint-Jean-du-Gard.


"A l’automne 1878, l’écrivain écossais Robert Louis Stevenson se lance dans la traversée des Cévennes à pied. Parti du Monastier-sur-Gazeille, dans la Haute-Loire, il atteint douze jours plus tard Saint-Jean-du-Gard, au terme d’un périple de 195 kilomètres. Pour l’accompagner, une ânesse nommée Modestine, que son partenaire apprendra peu à peu à aimer. L’auteur de « l’Ile au trésor » en tire un récit passionnant, « Voyage avec un âne dans les Cévennes » qui connaîtra, après sa mort, un succès important."
(...)


https://www.nouvelobs.com/tv/20220807.OBS61795/sur-le-chemin-de-stevenson-les-tresors-des-cevennes.html