Darmanin a-t-il une carte de presse ? Pour ou contre, les manifestations de statues ? Les cotons-tiges sont-ils érogènes ?
Pour la quatrième fois, Le Vrai Média répond à peu près aux questions que personne ne se pose.
Le Vrai Média, c’est le programme loufoque et satirique du Média sous forme de revues d’infos presque sérieuses. Chaque samedi, pendant approximativement 5 minutes, les comédien·nes Brice Borg, Mélodie Le Blay, Martin Van Eeckhoudt ou encore June van der Esch auront le plaisir de vous présenter les (quasi) vraies infos de la semaine.
Après les duplex et les reportages, cette semaine, Le Vrai Média vous propose une interview exclusive de deux agents des forces gardiennes de l’ordre pacifique.
Mais aussi un super jeu pour toute la famille avec Doraa (toute ressemblance avec un personnage de fiction pour enfant existant est totalement voulue puisque c’est elle, mais on n’a pas les droits alors on met 2 “a”).
Ahlala, qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour vous séduire ? Rien. On ne reculera devant rien. Sauf un re-confinement. Ou un accident grave. Ou un gros embouteillage. Samedi prochain, j’ai piscine aussi. Mais à part ça rien.
À très vite pour une nouvelle édition de Le Vrai Média (la semaine prochaine c’est pas sûr, mais bientôt) !
"Je mets en garde les apprentis sorciers parce qu’ils seront victimes comme les autres des conséquences (de) leurs actes. Nous sommes à l’heure où la crise de l’écosystème menace tout le monde", assure le leader de la France insoumise. "Ce n’est pas le moment où il faut regarder la couleur de peau de celui qui vient vous aider, ou la religion de celui qui est en train de se noyer. Je vous adjure de le comprendre. Si vous ne le faites pas au calme, vous devrez le faire dans le chaos et le désordre qui s’avancent vers nous, du fait des incuries ajoutées d’un système politique impuissant, de la finance qui règne et qui fait n’importe quoi." (...)
À huis-clos, les gilets jaunes continuent d’être condamnés par le tribunal correctionnel de Montpellier
La loi d’urgence sanitaire imposant des audiences à huis-clos, la répression judiciaire des gilets jaunes est moins visible, mais toujours vivace.
"La publicité des débats judiciaires est un principe consacré par la Convention européenne des droits de l’homme, mais dérogé par la loi d’urgence sanitaire, qui permet au président d’une juridiction d’ordonner des audiences restreintes, voire à huis-clos. C’est cette seconde option qu’a visiblement choisie Catherine Lelong, présidente du tribunal judiciaire montpelliérain. Des croix posées sur les bancs des salles d’audience du tribunal de grande instance indiquent les endroits où il est interdit de s’asseoir, mais la plupart des places autorisées restent aussi vides.
Avant l’épidémie de coronavirus, les policiers refusaient déjà régulièrement l’accès au tribunal correctionnel de Montpellier, notamment au motif d’éventuels troubles à l’ordre public. Les régimes d’exception ayant une fâcheuse tendance à s’imposer dans le droit commun – l’urgence sanitaire est prolongé jusqu’au 1er avril 2020 –, on peut légitimement s’inquiéter qu’il faille se mobiliser à l’avenir pour que la restriction d’accès au tribunal ne devienne pas la règle.
Parmi ceux qui dénoncent cette situation figurent bien évidemment les gilets jaunes, toujours régulièrement convoqués à la barre. Depuis le 17 septembre, cinq gilets jaunes ont été condamnés, à des peines allant de 500€ d’amende à trois mois de prison avec sursis et 2400€ d’amende par le tribunal correctionnel de Montpellier, notamment pour des accusations de dissimulation du visage ou de violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, datant de manifestations allant de novembre 2019 à février 2020."
ENTRETIEN AVEC DAVID DUFRESNE : « LES VIDÉOS DES GILETS JAUNES PRENNENT LEUR FORCE SUR GRAND ÉCRAN »
À l’occasion de la sortie du film Un Pays qui se tient sage, Le Vent Se Lève a rencontré David Dufresne. Journaliste, écrivain et réalisateur, il met en lumière les actes de violence commis à l’encontre des manifestants depuis son Twitter, « Allô Place Beauvau ». Plus qu’une simple compilation, cette recension pointe du doigt les dérives du maintien de l’ordre. Son film permet aujourd’hui de questionner la violence physique légitime, en articulant des vidéos de manifestations et les perspectives d’universitaires comme de personnes mobilisées. À l’écran s’affiche une double violence : violence de la matraque, mais aussi violence des politiques libérales qui resserrent progressivement leurs étaux sur ceux venus protester dans la rue et remettre en cause la légitimité du pouvoir gouvernemental."
Le Vent Se Lève – En plus du film Un pays qui se tient sage, vous avez également écrit le roman Dernière sommation et recensé les violences et les mutilations perpétrées par les forces de l’ordre pendant les différents « Actes » des Gilets jaunes. Comment se complètent ces formes de création ou d’information ? Comment l’idée de faire un documentaire a-t-elle fini par s’imposer ?
David Dufresne – « Allô Place Beauvau », c’était avec d’autres, au fond. C’était une façon de provoquer le débat. Le roman, c’était une façon de raconter comment moi j’avais vécu tout ça intérieurement, dans ma chair, dans ma tête, dans mon cœur, dans mes tripes. Le film, lui, c’est une réflexion collective pour nourrir le débat. Donc il y a: provoquer le débat, le raconter et le nourrir.
Cependant, je ne l’ai pas envisagé comme un triptyque. C’est venu naturellement. Mais, après le roman, je me suis dit qu’après les mots, il y avait peut-être quelque chose à faire avec les images pour leur rendre leur caractère documentaire, historique. Pour ça, il fallait aller au cinéma, le montrer en grand écran." .../...
LVSL – Pour finir, aviez-vous, à la genèse de ce film, une idée de l’institution policière que vous vouliez transmettre au spectateur ?
D. D. – La République seule ne suffit pas. La République c’est un idéal, mais ça peut être aussi la guerre d’Algérie ou encore la guerre faite aux pauvres. Je veux dire qu’avec la République, tout est possible, tout est faisable, dès qu’elle sert de prétexte aux dirigeants. Qu’est-ce que ça veut dire, aujourd’hui, « la police républicaine » ? Une police dite « républicaine » est-elle nécessairement une bonne police ? Je voulais vraiment réfléchir à la place, à la nature, à la légitimité, au rôle de cette dernière. Dans les débats il y a des gens qui veulent réformer, révolutionner, supprimer la police ou encore fraterniser.
L’idée du film, c’est davantage de nourrir le débat que de dire : « Voilà comment devrait fonctionner la police. » On ne doit pas laisser ces questions-là uniquement aux policiers ou aux politiques, puisque la police dit être au service de tous. En tout cas c’est ce qu’on lit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. On voit bien qu’on a une police de plus en plus en roue-libre, qui est aujourd’hui façonnée par un sentiment, voire une garantie, d’impunité. C’est à cela que le film permet de réfléchir."
Un pays qui se tient sage est produit par Le Bureau et co-produit par Jour2Fête.
Carola Rackete : “Ce ne sont pas les climatosceptiques qui nous empêchent d’avancer, mais les modérés”
"Elle est devenue le visage du sauvetage des migrants quand, aux commandes du navire “Sea-Watch 3”, elle est entrée sans autorisation dans le port de Lampedusa pour y débarquer quarante-deux naufragés. À l’occasion de la sortie de son premier livre, “Il est temps d’agir”, elle confie à “Télérama” les ressorts de ses combats au service de la justice sociale et écologique." (...)
CALAIS : LES DÉPUTÉ.ES INSOUMIS.ES BRAVENT L'ARRÊTÉ "ANTI-REPAS" Ugo Bernalicis
https://youtu.be/owyQrMX4XAo
Vendredi 25 septembre, Ugo Bernalicis s'est rendu à Calais en compagnie de Mathilde Panot (députée, co-présidente du groupe LFI à l'Assemblée Nationale), Manon Aubry (eurodéputée LFI, co-présidente du groupe GUE/NGL au Parlement européen) et Anne-Sophie Pelletier (eurodéputée LFI) afin de braver l'arrêté "anti-repas", souhaité par Natacha Bouchart (LR), maire de Calais et appuyé par Gérald Darmanin (LREM), ministre de l'Intérieur.
Dès leur arrivée sur place les quatre député.es se sont retrouvés confrontés aux forces de police pour un contrôle d'identité, avant d'être suivis au pas tout au long de leur maraude et d'être enfin verbalisés par la commissaire de police en personne.
Une action de désobéissance forte et symbolique, marquée par une mobilisation exceptionnelle des forces de police, dans le but d'empêcher les élu.es insoumis.es de distribuer quelques repas froids aux exilé.es.
Une nouvelle démonstration du mépris total, de la déshumanisation et de l'incapacité de nos dirigeants d'accueillir dignement les réfugié.es dans la sixième puissance mondiale, aussi appelée "patrie des droits de l'Homme et du citoyen".
6 commentaires:
DARMANIN + SALIVE + FLICS
Le Média
https://youtu.be/mqmVVRnvLmA
Darmanin a-t-il une carte de presse ? Pour ou contre, les manifestations de statues ? Les cotons-tiges sont-ils érogènes ?
Pour la quatrième fois, Le Vrai Média répond à peu près aux questions que personne ne se pose.
Le Vrai Média, c’est le programme loufoque et satirique du Média sous forme de revues d’infos presque sérieuses. Chaque samedi, pendant approximativement 5 minutes, les comédien·nes Brice Borg, Mélodie Le Blay, Martin Van Eeckhoudt ou encore June van der Esch auront le plaisir de vous présenter les (quasi) vraies infos de la semaine.
Après les duplex et les reportages, cette semaine, Le Vrai Média vous propose une interview exclusive de deux agents des forces gardiennes de l’ordre pacifique.
Mais aussi un super jeu pour toute la famille avec Doraa (toute ressemblance avec un personnage de fiction pour enfant existant est totalement voulue puisque c’est elle, mais on n’a pas les droits alors on met 2 “a”).
Ahlala, qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour vous séduire ? Rien. On ne reculera devant rien. Sauf un re-confinement. Ou un accident grave. Ou un gros embouteillage. Samedi prochain, j’ai piscine aussi. Mais à part ça rien.
À très vite pour une nouvelle édition de Le Vrai Média (la semaine prochaine c’est pas sûr, mais bientôt) !
"Je mets en garde les apprentis sorciers parce qu’ils seront victimes comme les autres des conséquences (de) leurs actes. Nous sommes à l’heure où la crise de l’écosystème menace tout le monde", assure le leader de la France insoumise. "Ce n’est pas le moment où il faut regarder la couleur de peau de celui qui vient vous aider, ou la religion de celui qui est en train de se noyer. Je vous adjure de le comprendre. Si vous ne le faites pas au calme, vous devrez le faire dans le chaos et le désordre qui s’avancent vers nous, du fait des incuries ajoutées d’un système politique impuissant, de la finance qui règne et qui fait n’importe quoi."
(...)
https://www.franceinter.fr/presidentielle-et-si-jean-luc-melenchon-n-y-allait-pas-ou-pas-comme-on-l-attend
EN BREF
À huis-clos, les gilets jaunes continuent d’être condamnés par le tribunal correctionnel de Montpellier
La loi d’urgence sanitaire imposant des audiences à huis-clos, la répression judiciaire des gilets jaunes est moins visible, mais toujours vivace.
"La publicité des débats judiciaires est un principe consacré par la Convention européenne des droits de l’homme, mais dérogé par la loi d’urgence sanitaire, qui permet au président d’une juridiction d’ordonner des audiences restreintes, voire à huis-clos. C’est cette seconde option qu’a visiblement choisie Catherine Lelong, présidente du tribunal judiciaire montpelliérain. Des croix posées sur les bancs des salles d’audience du tribunal de grande instance indiquent les endroits où il est interdit de s’asseoir, mais la plupart des places autorisées restent aussi vides.
Avant l’épidémie de coronavirus, les policiers refusaient déjà régulièrement l’accès au tribunal correctionnel de Montpellier, notamment au motif d’éventuels troubles à l’ordre public. Les régimes d’exception ayant une fâcheuse tendance à s’imposer dans le droit commun – l’urgence sanitaire est prolongé jusqu’au 1er avril 2020 –, on peut légitimement s’inquiéter qu’il faille se mobiliser à l’avenir pour que la restriction d’accès au tribunal ne devienne pas la règle.
Parmi ceux qui dénoncent cette situation figurent bien évidemment les gilets jaunes, toujours régulièrement convoqués à la barre. Depuis le 17 septembre, cinq gilets jaunes ont été condamnés, à des peines allant de 500€ d’amende à trois mois de prison avec sursis et 2400€ d’amende par le tribunal correctionnel de Montpellier, notamment pour des accusations de dissimulation du visage ou de violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, datant de manifestations allant de novembre 2019 à février 2020."
https://lepoing.net/a-huis-clos-les-gilets-jaunes-continuent-detre-condamnes-par-le-tribunal-correctionnel-de-montpellier/
ENTRETIEN AVEC DAVID DUFRESNE : « LES VIDÉOS DES GILETS JAUNES PRENNENT LEUR FORCE SUR GRAND ÉCRAN »
À l’occasion de la sortie du film Un Pays qui se tient sage, Le Vent Se Lève a rencontré David Dufresne. Journaliste, écrivain et réalisateur, il met en lumière les actes de violence commis à l’encontre des manifestants depuis son Twitter, « Allô Place Beauvau ». Plus qu’une simple compilation, cette recension pointe du doigt les dérives du maintien de l’ordre. Son film permet aujourd’hui de questionner la violence physique légitime, en articulant des vidéos de manifestations et les perspectives d’universitaires comme de personnes mobilisées. À l’écran s’affiche une double violence : violence de la matraque, mais aussi violence des politiques libérales qui resserrent progressivement leurs étaux sur ceux venus protester dans la rue et remettre en cause la légitimité du pouvoir gouvernemental."
Le Vent Se Lève – En plus du film Un pays qui se tient sage, vous avez également écrit le roman Dernière sommation et recensé les violences et les mutilations perpétrées par les forces de l’ordre pendant les différents « Actes » des Gilets jaunes. Comment se complètent ces formes de création ou d’information ? Comment l’idée de faire un documentaire a-t-elle fini par s’imposer ?
David Dufresne – « Allô Place Beauvau », c’était avec d’autres, au fond. C’était une façon de provoquer le débat. Le roman, c’était une façon de raconter comment moi j’avais vécu tout ça intérieurement, dans ma chair, dans ma tête, dans mon cœur, dans mes tripes. Le film, lui, c’est une réflexion collective pour nourrir le débat. Donc il y a: provoquer le débat, le raconter et le nourrir.
Cependant, je ne l’ai pas envisagé comme un triptyque. C’est venu naturellement. Mais, après le roman, je me suis dit qu’après les mots, il y avait peut-être quelque chose à faire avec les images pour leur rendre leur caractère documentaire, historique. Pour ça, il fallait aller au cinéma, le montrer en grand écran."
.../...
LVSL – Pour finir, aviez-vous, à la genèse de ce film, une idée de l’institution policière que vous vouliez transmettre au spectateur ?
D. D. – La République seule ne suffit pas. La République c’est un idéal, mais ça peut être aussi la guerre d’Algérie ou encore la guerre faite aux pauvres. Je veux dire qu’avec la République, tout est possible, tout est faisable, dès qu’elle sert de prétexte aux dirigeants. Qu’est-ce que ça veut dire, aujourd’hui, « la police républicaine » ? Une police dite « républicaine » est-elle nécessairement une bonne police ? Je voulais vraiment réfléchir à la place, à la nature, à la légitimité, au rôle de cette dernière. Dans les débats il y a des gens qui veulent réformer, révolutionner, supprimer la police ou encore fraterniser.
L’idée du film, c’est davantage de nourrir le débat que de dire : « Voilà comment devrait fonctionner la police. » On ne doit pas laisser ces questions-là uniquement aux policiers ou aux politiques, puisque la police dit être au service de tous. En tout cas c’est ce qu’on lit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. On voit bien qu’on a une police de plus en plus en roue-libre, qui est aujourd’hui façonnée par un sentiment, voire une garantie, d’impunité. C’est à cela que le film permet de réfléchir."
Un pays qui se tient sage est produit par Le Bureau et co-produit par Jour2Fête.
https://lvsl.fr/entretien-avec-david-dufresne-les-videos-des-gilets-jaunes-prennent-leur-force-sur-grand-ecran/
Carola Rackete : “Ce ne sont pas les climatosceptiques qui nous empêchent d’avancer, mais les modérés”
"Elle est devenue le visage du sauvetage des migrants quand, aux commandes du navire “Sea-Watch 3”, elle est entrée sans autorisation dans le port de Lampedusa pour y débarquer quarante-deux naufragés. À l’occasion de la sortie de son premier livre, “Il est temps d’agir”, elle confie à “Télérama” les ressorts de ses combats au service de la justice sociale et écologique."
(...)
https://www.telerama.fr/idees/carola-rackete-ce-ne-sont-pas-les-climatosceptiques-qui-nous-empechent-davancer-mais-les-moderes-6703120.php
GARE DE CALAIS VILLE
CALAIS : LES DÉPUTÉ.ES INSOUMIS.ES BRAVENT L'ARRÊTÉ "ANTI-REPAS"
Ugo Bernalicis
https://youtu.be/owyQrMX4XAo
Vendredi 25 septembre, Ugo Bernalicis s'est rendu à Calais en compagnie de Mathilde Panot (députée, co-présidente du groupe LFI à l'Assemblée Nationale), Manon Aubry (eurodéputée LFI, co-présidente du groupe GUE/NGL au Parlement européen) et Anne-Sophie Pelletier (eurodéputée LFI) afin de braver l'arrêté "anti-repas", souhaité par Natacha Bouchart (LR), maire de Calais et appuyé par Gérald Darmanin (LREM), ministre de l'Intérieur.
Dès leur arrivée sur place les quatre député.es se sont retrouvés confrontés aux forces de police pour un contrôle d'identité, avant d'être suivis au pas tout au long de leur maraude et d'être enfin verbalisés par la commissaire de police en personne.
Une action de désobéissance forte et symbolique, marquée par une mobilisation exceptionnelle des forces de police, dans le but d'empêcher les élu.es insoumis.es de distribuer quelques repas froids aux exilé.es.
Une nouvelle démonstration du mépris total, de la déshumanisation et de l'incapacité de nos dirigeants d'accueillir dignement les réfugié.es dans la sixième puissance mondiale, aussi appelée "patrie des droits de l'Homme et du citoyen".
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