Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 18 octobre 2023
Pensées réboussières
Je constate …
Que les punaises de lits n’ aiment pas la guerre
Elles ont disparu depuis le massacre Israël PALESTINE
Je m’ autorise à croire qu’il en est de même pour la COVID
mardi 17 octobre 2023
Retraites complémentaires de l'Agirc-Arrco : on vous explique le bras de fer entre le gouvernement et les partenaires sociaux
Afin de mettre davantage de marchandises dans les trains et moins dans les norias de camions qui traversent la France, la meilleure stratégie possible est-elle de… démanteler le premier acteur du fret ferroviaire ? Difficile à croire
Une telle sanction mettrait immédiatement la filiale de la SNCF, qui assure 50 % du marché, en faillite. Le ministre délégué aux transports, Clément Beaune, a donc opté pour une solution dite « de discontinuité » : Fret SNCF va disparaître et renaître sous la forme de deux sociétés, l'une spécialisée dans la maintenance des trains, l'autre dans le fret, mais amputée de 20 % de son chiffre d'affaires au profit de ses concurrents et de 500 salariés sur 5 000."
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/10/17/demantelement-de-fret-sncf-le-defaut-de-politique-publique-montre-du-doigt_6194860_3234.html
Post de Marcel sur X
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Pourquoi un média tel que « le point » attise un génocide ?
REPORTAGE. Frappé au cœur et enterrant ses morts dans un tourbillon de chagrin et de rage, Israël doit en urgence se jeter dans la bataille de Gaza.
Il existe un lien historique, culturel et religieux entre les juifs ultra-orthodoxes et les musulmans
IA réboussière pour les nuls en histoire (dont je fais partie)
Il existe un lien historique, culturel et religieux entre les juifs ultra-orthodoxes et les musulmans, mais il est aussi marqué par des conflits et des tensions.
Les juifs ultra-orthodoxes, ou haredim, sont des juifs qui suivent une pratique religieuse très rigoureuse, basée sur la fidélité à la loi écrite et à la loi orale, transmises à Moïse au mont Sinaï. Ils se distinguent des juifs orthodoxes « modernes » par leur rejet de certaines formes de la modernité, leur volonté de séparatisme social et leur méfiance vis-à-vis du sionisme1.
Les musulmans sont les adeptes de l’islam, une religion monothéiste qui reconnaît le prophète Mahomet comme le messager de Dieu. L’islam intègre l’histoire juive comme une partie de sa propre histoire et considère les juifs comme des « gens du Livre », c’est-à-dire des détenteurs d’une révélation divine antérieure à celle du Coran2.
Les deux religions partagent des valeurs, principes et règles similaires, comme le monothéisme, la circoncision, l’interdiction du porc, la prière quotidienne ou le jeûne. Elles ont aussi des figures communes, comme Abraham, Moïse, David ou Salomon. De plus, l’islam a été influencé par la culture et la philosophie juives, notamment par le biais des traditions rabbiniques et des commentaires bibliques3.
Pendant des siècles, des populations juives ont vécu dans le monde arabe aux côtés des musulmans, du Maroc à la Syrie. Elles ont connu des périodes de coexistence pacifique et de prospérité culturelle, mais aussi des périodes de discrimination et de persécution. Le statut des juifs variait selon les époques et les lieux, mais ils étaient généralement considérés comme des dhimmis, c’est-à-dire des protégés non-musulmans qui devaient payer un impôt spécial et respecter certaines restrictions4.
Avec le développement du sionisme et la création de l’État d’Israël au XXe siècle, les relations entre juifs et musulmans se sont détériorées. Les juifs arabes ont été contraints à l’exode, l’antisémitisme a progressé fortement et les conflits armés se sont multipliés. Avec la montée de l’islamisme, un antisémitisme d’inspiration islamique est apparu5. Le plus souvent, l’antisionisme est confondu avec l’antisémitisme et inversement.
Aujourd’hui, les juifs ultra-orthodoxes sont présents en Israël, où ils représentent environ 10 % de la population juive, mais aussi dans la diaspora, notamment en Amérique du Nord et en Europe occidentale. Ils sont souvent confrontés à des tensions avec les autres courants du judaïsme et avec les sociétés laïques environnantes. Certains d’entre eux sont opposés à l’existence d’Israël et soutiennent la cause palestinienne.
Note réboussière
Le but de cette pédagogie(générée par une IA) permet de mieux comprendre et d’ éviter les haines générées par nos dirigeants et médias asservis
lundi 16 octobre 2023
La Palestine… Un état ??
La question de savoir si la Palestine est un État est complexe et controversée. Selon le droit international, un État doit avoir un territoire défini, une population permanente, un gouvernement efficace et la capacité d’entrer en relation avec les autres États. La Palestine revendique son établissement sur les territoires palestiniens occupés, dont Jérusalem-Est, mais sa souveraineté et ses frontières sont contestées par Israël et d’autres pays.
La Palestine a déclaré son indépendance le 15 novembre 1988 à Alger, lors de la dix-neuvième réunion du Conseil national palestinien en exil. Elle a été reconnue par la Ligue arabe et l’Organisation de la coopération islamique. En 2011, la Palestine a adhéré à l’UNESCO. Le 29 novembre 2012, la Palestine a adhéré à l’Organisation des Nations unies (ONU) en tant qu’État observateur non-membre. Cela lui permet de participer aux sessions et aux travaux de l’Assemblée générale, mais pas de voter.
En 2017, la Palestine était reconnue par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l’ONU). Parmi ces pays, on trouve la presque totalité des États africains, asiatiques, sud et centre-américains, de l’ancienne URSS et de l’Europe de l’Est. Par contre, les « puissances occidentales », les pays d’Amérique du Nord, la plupart des pays d’Europe de l’Ouest (à l’exception de la Suède, de l’Islande et du Vatican), la Corée du Sud, le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ne reconnaissent pas l’État palestinien même s’ils entretiennent des relations officielles avec l’Autorité palestinienne.
La reconnaissance de l’État palestinien est un geste politique qui vise à soutenir le droit du peuple palestinien à l’autodétermination et à mettre fin aux violations des droits de l’homme et au déplacement des Palestiniens dans la région. Certains pays appellent à une solution à deux États, basée sur les frontières de 1967 et avec Jérusalem comme capitale partagée entre Israël et la Palestine.
l’ IA réboussière