Objet: Meeting pour la 6e République avec Manuel Bompard, Nathalie Oziol et Pierre-Yves Cadalen à Montpellier !
TITLE Meeting « Pour la 6e République » avec Manuel Bompard, Nathalie Oziol et Pierre-Yves Cadalen Dimanche 30 mars à Montpellier | |
Dimanche 30 mars, Manuel Bompard, coordinateur de la France insoumise et député insoumis des Bouches-du-Rhône, Nathalie Oziol, députée insoumise de l'Hérault et Pierre-Yves Cadalen, député insoumis du Finistère, seront en meeting « Pour la 6e République » à Montpellier. Nous vous donnons rendez-vous à 15h à la salle Dieze, située 188 avenue du Marché Gare. Meeting « Pour la 6e République » avec Manuel Bompard, Nathalie Oziol et Pierre-Yves Cadalen Dimanche 30 mars à 15h Salle Dieze 188 avenue du Marché Gare 34000 Montpellier
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Au plaisir de vous y voir nombreuses et nombreux ! Amitiés,
La France insoumise | |
5 commentaires:
Vencorex : stop au sabotage industriel
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/GfyhowX7pSQ?si=WgF1RSMwQsdn7wVn
Jean-Luc Mélenchon est intervenu à l'occasion d'un déplacement à l'usine Vencorex menacée de fermeture, le 12 mars 2025.
Jean-Luc Mélenchon dénonce l'hypocrisie du discours sur la souveraineté et la réindustrialisation alors que des secteurs stratégiques sont abandonnés. Il prend pour exemple Vencorex, ce site industriel essentiel, en soulignant son rôle dans la chaîne de production du carburant pour la fusée Ariane. Il insiste sur l'importance de la production elle-même, plutôt que sur les logiques de rentabilité financière, et critique l'incompétence des technocrates qui ne comprennent pas les mécanismes industriels.
Il met en lumière les contradictions du gouvernement, notamment en matière de coopération européenne, expliquant que les Allemands, en concurrence avec la France, n'ont aucun intérêt à favoriser l'approvisionnement de ce site. Il fustige le manque de réactivité de l’exécutif, notamment François Bayrou et Eric Lombard, et exige la nomination de responsables réellement concernés par ces enjeux.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon critique l’idéologie libérale du gouvernement, qu’il résume par l'absence de vision stratégique industrielle. Il insiste sur l'importance du savoir-faire des travailleurs et sur le danger de laisser disparaître des compétences clés. Il conclut en appelant à une prise de conscience et à une action immédiate, passant par la nationalisation de l'entreprise et mettant en avant l’impatience des salariés et des élus locaux face à l’inaction gouvernementale.
Réforme des retraites : le conclave
victime de l’effort de guerre ? La
croissance revue à la baisse
"Il flotte comme une gêne… Alors que les sirènes de la guerre retentissaient de toutes parts, appelant à faire passer au second plan les préoccupations intérieures, députés et syndicalistes opposés à la réforme des retraites de 2023 se sont tus. Le conclave chargé de la renégocier, qui se réunit ce jeudi, subit pourtant une pression maximale.
Dans son allocution du 5 mars, Emmanuel Macron a souhaité que les partenaires sociaux prennent en compte l’effort budgétaire que l’exécutif veut réaliser pour réarmer la France. Quelques jours plus tard, le président du Conseil d’orientation des retraites (COR) a abondé, assurant que la hausse des
dépenses militaires rendra
« dérisoires » les débats sur les 64 ans.
Les deux hommes ont été relayés par un certain nombre de députés
défavorables à toute renégociation. Comme cet élu Horizons, proche d’Édouard Philippe, qui évoquait, lundi, la réforme danoise visant à repousser à 70 ans l’âge
de départ à la retraite. Et notre député d’ajouter : « Désormais, la question qui va être posée aux partenaires, c’est : comment on finance cet effort ? Je suis
curieux de voir la conclusion, mais je pense qu’il va falloir à nouveau se poser la question du système par capitalisation. »
Pour l’instant, François Bayrou a fermé la porte à un changement de cap radical, mais il a déjà marqué un infléchissement. Sophie Binet, la représentante de la CGT, s’en est inquiétée dans un courrier adressé à Matignon : « Dans votre
déclaration de politique générale, vous avez fixé pour seule exigence la
nécessité de ne pas dégrader l’équilibre financier. Pourtant, dans votre lettre de mission, vous fixez comme nouvelle exigence de rétablir l’équilibre financier des
retraites à horizon 2030. »
Tapis rouge à l’extrême droite
Des termes polis, bien loin de la radicalité habituelle de la CGT. Globalement, le nécessaire passage à une économie de guerre évoqué par le bloc central ne suscite que de discrètes réactions de la part des représentants syndicaux, qui
n’ont pas souhaité nous répondre, tout comme les députés socialistes, LFIstes ou RN défenseurs d’une renégociation que nous avons contactés.
« On a un contexte qui va peser sur nos discussions », a tout juste concédé, publiquement, Yvan Ricordeau, le numéro deux de la CFDT. Au nom de la CGT,
Denis Gravouil s’est montré un peu plus tranché sur franceinfo.
« Nous pouvons financer notre régime par répartition. Nous n’avons pas à le sacrifier sur des dépenses militaires », a-t-il assuré en déplorant qu’il « y a toujours une bonne raison pour s’attaquer au système de retraite ou aux droits sociaux ». Pour lui, « le travail de la paix doit permettre de faire en sorte que les
richesses ne soient pas accaparées par les marchands de canons ». Sophie Binet a développé un autre argument, sur BFM : « Si on réduit nos systèmes sociaux, si
on asphyxie nos services publics pour financer des munitions, cela signifie davantage d’inégalités au plan national : on déstabilise nos sociétés et on déroule le tapis rouge à l’extrême droite. »
Enfin, la numéro un de la CFDT, Marylise Léon, a seulement assuré qu’il ne serait pas possible de financer un effort de guerre sans augmenter les impôts. Elle
demande pour cela l’organisation d’une conférence des finances publiques.
Dans le contexte d’extrêmes tensions provoquées par l’altercation entre
Volodymyr Zelensky et Donald Trump dans le Bureau ovale, les représentants syndicaux semblent hésiter à ramener le débat sur des questions strictement nationales… sans pour autant être prêts à céder sur le fond."
Christelle Bertrand
Jeudi 13 mars 2025
https://kiosque.midilibre.fr/reader/d0af7b0e-44fa-4c50-a7b4-fd0615b3...
(…)
"Les représentants syndicaux se réunissent à nouveau, ce jeudi, pour renégocier la réforme des retraites. Alors que de nombreuses voix s’élèvent pour défendre
l’idée que l’effort de guerre nécessite de travailler plus longtemps.
économie La croissance de l’économie française devrait atteindre 0,7 % en 2025, un rythme plus faible qu’attendu, précédemment en raison d’une activité moins forte que prévu au premier trimestre et de nouvelles hypothèses techniques moins favorables, a annoncé, mercredi, la Banque de France. Elle a également abaissé sa prévision pour 2026. Dans ses dernières projections
macroéconomiques, la banque centrale a abaissé de 0,2 point sa prévision de croissance du produit intérieur brut de la France en 2025, par rapport à ses prévisions de décembre 2024. Le recul est de 0,1 point de pourcentage pour 2026 à 1,2%."
Jeudi 13 mars 2025
https://kiosque.midilibre.fr/reader/d0af7b0e-44fa-4c50-a7b4-fd0615b3...
Guerre à Gaza: l’armée israélienne accusée d'avoir utilisé des civils comme boucliers humains
"Selon le quotidien israélien Haaretz, à la suite de pressions internationales, la police militaire israélienne va ouvrir une enquête sur l'utilisation de civils de Gaza comme boucliers humains par l'armée israélienne. En début d’année, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a établi qu’au moins neuf témoignages de Gazaouis ayant subi ces exactions ont été jugés crédibles."
(…)
https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20250311-guerre-%C3%A0-gaza-l-arm%C3%A9e-isra%C3%A9lienne-accus%C3%A9e-d-avoir-utilis%C3%A9-des-civils-comme-bouclier-humain
ENFIN UN LINKEE UTILE...!
PRÉCARITÉ ÉTUDIANTE EN FRANCE : "J'AI PENSÉ À ARRÊTER DE VIVRE"
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/Ks-L6RYHvO4?si=K71YCyUEvSOzcWTv
Depuis la crise sanitaire et l'augmentation des prix des matières premières, le nombre d'étudiants en situation de précarité en France n’a cessé de s'accroître. En témoigne, les points de distribution des paniers alimentaires de l'association Linkee, dont les queues se prolongent de plus en plus.
Son président, Julien Meimon, a accepté de revenir sur l'histoire et les objectifs de l'association, première organisation spécialisée dans l'assistance d’aide étudiante en France. Il présente également à Blast une étude accablante menée en 2024 auprès de plus de 20000 étudiants qui ont bénéficié de Linkee. Elle met en lumière, chiffres à l'appui, l'ampleur de la précarité des étudiants en France et l'absence d'aides concrètes des pouvoirs publics, de plus en plus préoccupantes.
Journaliste : Hamza Chennaf
Montage : Sandra Perrin
Graphisme : Margaux Simon
Journaliste : Hamza Chennaf
Son : Baptiste Veilhan
Production : Hicham Tragha
Directeur du développement des collaborations extérieures : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
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