5ème circonscription du Gard...
« Carte du QI » : le député d'extrême droite Alexandre Allegret-Pilot partage une théorie raciste
"Le député Alexandre Allegret-Pilot (UDR) a diffusé sur X une carte dont sont friands les partisans de la théorie d'une hiérarchisation intellectuelle des races. Interrogé par Mediapart, il dit la trouver « intéressante » et dénonce un « procès d'intention ».
Le député d'exrême droite Alexandre Allegret-Pilot publie une dizaine de messages par jour, parfois plusieurs fois par heure. Aux photos de paysages montagneux et d'églises se mélangent diverses invectives contre la gauche, moqueries des questions de justice sociale et critiques des « bien-pensants »."
https://www.mediapart.fr/journal/france/301224/carte-du-qi-le-depute-d-extreme-droite-alexandre-allegret-pilot-partage-une-theorie-raciste
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 30 décembre 2024
le député d’extrême droite Alexandre Allegret-Pilot partage une théorie raciste
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Rendez-vous en 2025 pour de nouvelles victoires insoumises ! - Les actualités de la France insoumise" :
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
12 commentaires:
"Le rythme est difficile à suivre. Sur son compte X public, le député d’extrême droite Alexandre Allegret-Pilot publie une dizaine de messages par jour, parfois plusieurs fois par heure. Aux photos de paysages montagneux et d’églises se mélangent diverses invectives contre la gauche, moqueries des questions de justice sociale et critiques des « bien-pensants ».
En général, ses publications ne touchent pas grand monde – le compte d’Alexandre Allegret-Pilot, élu en juillet 2024 sous la bannière Rassemblement national (RN) et les Républicains d’Éric Ciotti, n’est suivi que par 2 000 internautes. De temps en temps cependant, la popularité d’un message s’envole. C’est le cas d’une publication du 26 décembre, qui a touché près de 400 000 personnes en trois jours. "
(…)
(…)
"On y voit une carte du monde censée représenter le « Quotient intellectuel (QI) moyen par pays en 2024 », écrit le député, ajoutant que « les six premiers pays sont asiatiques ». Cette illustration n’est pas anodine ; il s’agit d’une carte régulièrement partagée par les tenants d’une idéologie raciste, qui supposent une hiérarchie raciale du QI dans le monde.
Le continent africain et le Moyen-Orient y apparaissent en rouge, symbolisant, selon l’échelle et le gradient de couleur sélectionné, une infériorité supposée du quotient intellectuel des populations de ces régions du monde, par rapport aux Européens ou à la Chine et au Japon. Le QI est une unité de mesure obtenue avec un test psychologique, censée représenter de manière abstraite le niveau d’intelligence d’une personne.
Interrogé par Mediapart, le député Allegret-Pilot assure ne pas voir de problème dans cette représentation : « L’objet de ma publication se limite à mon commentaire, à savoir constater la performance des pays asiatiques. [...] Je ne m’intéresse pas à savoir qui partage quoi et m’en tiens à communiquer les informations ou représentations graphiques que je trouve intéressantes. »
Des données contestées qui soutiennent une idéologie raciste
La « carte du QI » a émergé au milieu des années 2000, après la publication de l’essai controversé IQ and Global Inequality (non traduit en français) du psychologue Richard Lynn et du chercheur en sciences politiques Tatu Vanhanen. La méthodologie et les conclusions des deux auteurs, qui déduisent un lien entre génétique et intelligence, ont été largement critiquées par la communauté scientifique."
(…)
(…)
"Richard Lynn s’est d’ailleurs vu retirer en 2018 son titre de professeur émérite par l’université d’Ulster (Irlande du Nord) à cause de vues qualifiées de « sexistes et racistes ». Il avait aussi théorisé l’idée selon laquelle les femmes seraient plus bêtes que les hommes, car elles auraient un cerveau de taille plus petite.
L’erreur est de penser que la carte décrit quelque chose de parfaitement objectif qui décrirait des différences intrinsèques entre les peuples de différents pays.
Franck Ramus, directeur de recherche au CNRS
« Il est important que les personnes qui voient cette carte aient conscience des différents facteurs qui peuvent nourrir ces différences [de QI]. L’hypothèse génétique n’est nullement démontrée, et il existe des hypothèses mieux étayées par les données », explique à Mediapart le chercheur en sciences cognitives Franck Ramus."
(…)
(…)
"Ce directeur de recherche au CNRS a consacré un billet de blog à cette « carte mondiale des QI » en 2019, alors qu’une partie de la fachosphère s’était donné pour mission de la partager un maximum – Libération s’en était alors fait l’écho.
« Tout le problème réside dans l’interprétation qu’on donne à cette carte. L’erreur est de penser qu’elle décrit quelque chose de définitif, de parfaitement objectif qui décrirait des différences intrinsèques entre les peuples de différents pays », ajoute Franck Ramus.
Le chercheur a envoyé publiquement son article au député Alexandre Allegret-Pilot, qui lui a simplement répondu, samedi, « Article qui confirme la pertinence des données. Merci », suivi d’une émoticône en forme de cœur. La publication souligne à l’inverse que les méthodes utilisées sont contestables, notamment parce que « les scores représentés n’ont pas été obtenus avec des tests comparables sur des échantillons représentatifs de la population dans chaque pays ».
(…)
La fachosphère et la « cartosphère »
"C’est en référence à cette carte que certains internautes ont commencé à détourner l’émoji « planisphère », notamment sur le web français à la fin des années 2010. Alors que le chirurgien Laurent Alexandre demande le retrait de la « carte du QI » du site Wikipédia car elle serait « un encouragement aux thèses extrémistes et ségrégationnistes », des opposants décident au contraire de s’en emparer et de la diffuser massivement, sous forme d’illustration ou d’émoticône.
Cette pratique est courante au sein de la fachosphère, pour qui les images simples et les symboles facilement identifiables sont à la fois des signes de ralliement et une manière efficace et peu coûteuse de propager des théories xénophobes. Le geste « OK » est par exemple considéré comme un signe haineux, tandis que le symbole « enseigne de barbier » est utilisé par des internautes français pour signifier leur satisfaction lorsqu’un homme racisé décède.
« Cette carte n’a été validée par aucune étude scientifique sérieuse, elle a été faite pour propager une vision raciste du monde, a commenté la journaliste scientifique britannique Angela Saini, autrice du livre Superior: The Return of Race Science (non traduit en français) en 2020 au micro de FranceInfo. Le racisme et le suprémacisme blanc reviennent en force aujourd’hui. Ces idéologies se tournent toujours vers la science pour se légitimer. Parce que la science, c’est censé être objectif. »
Auprès de Mediapart, le député Alexandre Allegret-Pilot parle d’un « procès d’intention », et assure ne pas y voir de problème. « Toutes les cartes ont des biais et critiques : je publie régulièrement des cartes et graphiques (aucun n’étant exempt de biais et critiques potentiels) mais celle-ci semble déclencher une réaction toute passionnelle et sans lien avec son objet. »
Les réseaux sociaux comme terrain de jeu de l’extrême droite
Il est vrai que le député, désormais affilié à l’Union des droites pour la République (UDR), le parti d’Éric Ciotti, partage de nombreuses cartes et graphiques, le plus souvent sans citer de sources. Des heures annuelles travaillées par habitant dans le monde au taux de production industrielle en Suisse, de l’augmentation du nombre de célibataires sans enfant aux États-Unis au pourcentage d’hommes chez les assistant·es maternel·les… Tout est envoyé pêle-mêle, sans, visiblement, aucun besoin d’approfondir.
L’élu de la 5e circonscription du Gard comptait, au cours de la campagne des législatives surprises de cet été, parmi les « brebis galeuses », selon l’expression de Jordan Bardella, que le Rassemblement national a laissées se présenter sous sa bannière, malgré la découverte de leurs nombreuses casseroles.
Midi Libre, par exemple, avait retrouvé des tweets dans lesquels Alexandre Allegret-Pilot assurait que la « parité est une régression » ou avait suggéré un « aller simple » en avion à Rima Hassan, candidate LFI aux européennes. Il n’avait pas contesté leur authenticité, mais estimait être « victime d’une cabale malhonnête ». "
(…)
(…)
"Ces publications exhumées n’ont pas empêché celui qui se définit comme « montagnard et entrepreneur » – et qui fait aussi l’objet d’une enquête du Parquet national financier pour avoir potentiellement signé un arrêté illégal alors qu’il était en poste à Bercy, une histoire rocambolesque révélée par Le Monde – de l’emporter avec 51,58 % des voix, face au député sortant Michel Sala (LFI).
Par écrit, Alexandre Allegret-Pilot assure à Mediapart qu’il « soutient la lutte contre le racisme et le sexisme » mais qu’il est « critique (parfois moqueur) envers tous les militants racistes et sexistes (y compris misandres donc) ».
En octobre 2024, Marine Le Pen aurait demandé à tous les nouveaux collaborateurs parlementaires des député·es RN de faire connaître « leurs éventuels anciens tweets problématiques, photos compromettantes sur les réseaux sociaux ou engagements trop radicaux », selon La Lettre, ce qui n’a pas empêché plusieurs médias comme Mediapart, Les Jours ou StreetPress de mettre au jour certains de leurs propos xénophobes, racistes ou sexistes. Confronté·es à ces écrits, pour la plupart mis en ligne sur les plateformes comme Facebook ou X, certain·es député·s RN ont choisi de prendre la défense de leurs collaborateurs et collaboratrices.
Alexandre Allegret-Pilot a quant à lui décidé de laisser en ligne sa publication de la « carte de QI », qui a engendré plus de deux cents réponses en soixante-douze heures. Une partie des internautes lui indique que cette représentation est « raciste », certain·es lui rappellent qu’elle n’a « aucun sens scientifiquement ». « Les conclusions, elles sont où, monsieur le député ? », lui lance un abonné. « Épousez une Japonaise », lui rétorque ce dernier. Dimanche 29 décembre, X a finalement restreint l’accès au post en France, à la suite de signalements d’utilisateurs du réseau social."
Marie Turcan
"Depuis les révélations des Jours sur la présence de quinze députés Rassemblement national (RN) dans un groupe Facebook privé où s’échangent des propos racistes depuis près de dix ans, ils s’en sont – presque – tous enfuis. À l’exception de Julien Rancoule (député de l’Aude), toujours membre de « * Rassemblement national * (direction 2027 !) », ainsi que du conseiller spécial de Jordan Bardella Alexandre Loubet (Moselle) et d’Alexandre Sabatou (Oise). Alexandre Loubet l’a quitté avec son compte personnel mais a visiblement oublié de répéter l’opération avec sa page officielle quand Alexandre Sabatou a fait l’inverse. Un autre, Pascal Markowsky (Charente-Maritime), assure carrément n’y avoir jamais rien publié. Oubliant lui aussi un détail : Les Jours ont la capture d’écran facile… Caramba, encore raté !
Ces quinze députés avaient donc intégré ce groupe Facebook privé entre 2017 et 2024. Quatre d’entre eux n’ont jamais communiqué dessus, onze y ont partagé leurs actualités politiques et militantes, via leurs comptes personnels ou leurs pages officielles, parfois très régulièrement. Si aucun n’a publié de propos tombant sous le coup de la loi, aucun non plus, avant notre enquête, ne les a signalés, malgré l’article 40 du Code de procédure pénale qui exige de tout élu qu’il dénonce les crimes ou délits dont il a connaissance."
(…)
https://lesjours.fr/obsessions/rn-conquete-pouvoir/ep13-reactions-groupe-facebook-raciste/
IL EST ENCORE TEMPS !
Pétition
Soutien à notre camarade enfarineur
5.281 signatures
(…)
https://www.mesopinions.com/petition/politique/soutien-camarade-enfarineur/235445
Un homme aux convictions racistes
"On pourrait même dire « racialiste », c’est-à-dire qu’il donne un vernis et une justification intellectuelle voire pseudo-scientifique à la hiérarchie des races qu’il dessine. Cette « tradition » racialiste, Allegret-Pilot s’inscrit pleinement dedans en réutilisant la « carte des QI », très répandue à l’extrême droite, comme l’a révélé Mediapart.
Contacté par Mediapart suite à l’utilisation de cette carte, le député UDR se contente de la trouver « intéressante ». Il assume « ne pas s’intéresser » de sa provenance. Il pousse la provocation en prétendant s’intéresser aux chiffres des pays asiatiques, pas à ceux qui décrivent les populations africaines comme « moins intelligentes » que les autres. Doit-on conclure que pour lui, on peut être raciste envers les populations asiatiques ?
Alexandre Allegret-Pilot illustre très bien la radicalisation de sa classe sociale. En regardant le début de sa carrière, on pourrait croire à un modèle de bourgeois qui a parfaitement intégré les dogmes néolibéraux : école de commerce à 20 000 euros l’année, cofonde un « cabinet de conseil » en management, s’est fait la main à quelques élections locales… Il aurait fait un parfait macroniste.
Seulement, depuis quelques mois, le macronisme ne garantit plus une carrière à ces rejetons d’école de commerce. C’est au contraire l’extrême droite qui a le vent en poupe dans cette population, et pas n’importe laquelle. Si le RN se donne encore l’image d’un vernis « social » (qui est déjà un enfumage), l’UDR de Ciotti ne s’encombre pas d’apparence. Ciotti ne cache pas son admiration pour le Président argentin, le libertarien Milei.
Il n’y a en fin de compte rien de surprenant à voir ce jeune homme bien sous tout rapport se fondre dans son environnement naturel : l’extrême droite raciste, réactionnaire et ultra-libérale. Alexandre Allegret-Pilot, c’est la bourgeoisie qui s’ensauvage."
https://linsoumission.fr/2025/01/06/alexandre-allegret-pilot-portrait/
Publication Facebook d' Alexandre Allégret Pilot aujourd'hui...
« Je ne connais pas Jean-Marie Le Pen. »
"Vous pouviez souvent entendre cette « clause de non responsabilité » dans le milieu politique français quand il s’agissait de « celui dont on ne peut dire du bien », comme le résume Philippe Bilger, qui l’a pourtant intensément combattu.
Jean-Marie Le Pen a en effet été un utile repoussoir politique, sorte de Voldemor dans le Poudlard médiatique français : agiter l’épouvantail « Jean-Marie Le Pen » permettait de clore tout débat politique et de faire triompher la bienpensance. La loi de Godwin version bretonne.
Je ne connaissais de Jean Marie Le Pen que les postures - probablement volontairement outrancières, la diabolisation - certainement recherchée - et les démêlés judiciaires multiples.
En 2020, alors à la direction du Budget, je demande à mon collègue de me conseiller des biographies d’hommes politiques qui ne soient pas fades et terriblement convenues.
« Aucun doute, il faut que tu lises celle de Jean-Marie Le Pen » me dit-il immédiatement.
Le lendemain, l’autobiographie est déposée sur mon bureau et je m’y plonge, avec toute la méfiance et le mépris du haut-fonctionnaire BCBG que je suis alors.
J’y découvre la force de la volonté, une individualité affirmée, un esprit acéré, une gouaille rare.
J’y découvre un guerrier, quelqu’un qui n’a rien à perdre et s’engage pleinement dans les combats, dans l’hémicycle comme chez les parachutistes.
J’y découvre une volonté de n’épargner personne, de choquer pour faire réagir, d’assumer, jusqu’au bout ; un tempérament que l’eau tiède ne pourra jamais contenter : elle doit été glacée ou bouillante.
J’y découvre quelqu’un de profondément marqué par la guerre d’Indochine, par la guerre d’Algérie et par les dangers du communisme.
Je m’y perds cependant rapidement et peine à saisir la cohérence de certaines de ses actions, même si je relève le courage et l’esprit infiniment libre du personnage tout au long de son autobiographie.
Je constate enfin, malgré des propos qui me choquent très souvent à juste titre, que plusieurs de ses diagnostics et prédictions se révèlent pertinents 30 à 40 ans plus tard…et sont alors discrètement repris par de nombreux politiciens qui esquivent habilement la paternité de l’analyse.
Après cette lecture de quelques centaines de page, je ne connais toujours pas Jean-Marie Le Pen, qui demeure un mystère : personnage plus grand que nature, peut être corseté dans les habits de son siècle…un Gargantua à Montretout.
Je retiens néanmoins une chose de celui qu’on appelait « le menhir » : se jeter corps et âme dans la tempête, c’est ainsi que sont forgés les grands marins…quand bien même leur route ne nous conviendrait pas.
Mais, comme je vous le disais, « je ne connais pas Jean-Marie Le Pen. »
Message d'appel du groupe de soutien à N ,
Chères camarades, chers camarades,
Mobilisons-nous massivement le 5 FÉVRIER 2025 À 14h devant le Tribunal Judiciaire d'Alès
pour exprimer notre solidarité indéfectible envers notre camarade N.
Ce procès est bien plus qu'une simple affaire individuelle. Il s'agit d'un véritable procès politique,
une attaque en règle contre nos libertés fondamentales et notre droit à la contestation.
Le 20 octobre dernier, lors de la fête de l'oignon et de la pomme au Vigan, notre camarade N a
été arrêté, placé en garde à vue puis inculpé pour un geste symbolique : l’enfarinage du député
LR/RN, Mr Alexandre ALLEGRET-PILOT. Ce geste, loin d'être violent, exprime une colère
légitime face à des politiques qui exacerbent les inégalités, accentuent les divisions, prônent la
haine envers certains, stigmatisent les différences,
La répression dont notre camarade fait l'objet est symptomatique d'une volonté de museler
toutes formes de résistance et d'intimider les militant·e·s avec des procédures expéditives qui
sont devenues la norme dans un système judiciaire qui privilégie la répression par la
criminalisation.
En refusant la CRPC (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité), donc une
peine sans jugement et sans pouvoir se défendre, soit six mois de prison avec sursis et 500€
d'amende, notre camarade N incarne la résistance face à l'arbitraire. Son combat est le nôtre. Il
s'agit de défendre le droit de chacun·e à exprimer son désaccord, à manifester et à s'organiser
sans être réprimé·e.
Il est ahurissant de voir à quel point l'extrême droite et toute une partie de l'échiquier politique
cherchent à dramatiser un simple enfarinage pour se poser en victime quand, des enfants
dorment dans la rue, des jeunes meurent sur des brancards faute d'avoir trop attendu aux
urgences, des travailleurs vivent dans leur voiture et que des retraités ne peuvent manger à leur
faim. Cette instrumentalisation grossière vise à détourner le débat et a créé un brouillard de
farine pour dissimuler la misère sociale.
Il est temps de rappeler que la liberté d'expression, même sous une forme contestataire, ne
saurait être confondue avec des actes de violence.
Ensemble, faisons front contre cette répression et exigeons :
- La relaxe pure et simple de notre camarade N.
- La fin des poursuites politiques et des procédures expéditives.
Ce procès est un moment charnière. Notre mobilisation massive le 5 février 2025 à 14h enverra
un signal fort : nous ne nous laisserons pas intimider !
Mobilisons-nous, diffusons largement cette information et faisons de ce procès un événement
politique majeur !
SOYONS NOMBREUX ET NOMBREUSES !
https://www.lemonde.fr/le-monde-et-vous/article/2025/01/13/en-reponse-a-une-campagne-de-cyber-harcelement-contre-une-journaliste-du-monde_6496181_6065879.html
Enregistrer un commentaire