vendredi 21 avril 2023

UN JOUR À SAINTE-SOLINE (guerre civile contre la jeunesse)


Regarder ce film : dans ce pays la troupe (gendarmerie = armée) peut réprimer la jeunesse avec une extrême
sauvagerie (le colonel les appelle : nos adversaires), car elle lutte pour l'eau et le climat.
Tout cela au profit de 12 agriculteurs hyper-productivistes qui confisquent une ressource commune : l'eau, grâce à 70%
de fonds publics.

Le film de la journée du 25 mars à partir des images et des vidéos dispersées

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 Là-bas si j'y suis
 

UN JOUR À SAINTE-SOLINE

Nous avons reconstruit le film de cette journée à partir des images et des vidéos éparpillées sur les réseaux. Un spectacle entièrement produit et diffusé par le pouvoir politique et médiatique. En accès libre.

[VIDÉO : 32'05] Contre la mémoire courte, un montage pour comprendre le déroulement d'un affrontement historique : https://la-bas.org/la-bas-magazine/reportages/un-jour-a-sainte-soline-le-film-de-la-journee-a-partir-des-images-et-des-videos

Ciné Là-bas, chaque mois des beaux films gratos pour nos abonnés adorés

Ce mois-ci, le Ciné Là-bas vous propose deux documentaires pour voyager, et un petit court métrage d'animation qui ravira les petits lardons (et les grands aussi) : https://la-bas.org/la-cinematheque-de-la-bas/cine-la-bas-chaque-mois-des-beaux-films-gratos-pour-nos-abonnes-adores


 

8 commentaires:

iouis julian a dit…

Le prochain épisode c'est chez nous :
une bassine de même taille est programmée à Rochegude , 15 ha 600000 mètre cubes pour irriguer des semences dont certaines douteuses car OGM cachés :
Dans ces plantes modifiées , on n'implante pas des brins d'ADN étrangers , mais on force la mutation du génome par des expositions à des produits jusqu'à obtention d'une "qualité" prédéterminée , très souvent une résistance à un herbicide , ce qui permet la culture de cet organisme , qui a cette résistance, d'être arrosé de désherbant sans mourir , alors que tout autour tout crève...
ce futur est proche , si vous n'en voulez pas ,résistez ...
Le sol fait le climat écrivait Maxime Guillaume il y a 50 ans , si vous venez samedi 29 à Anduze au parc des cordeliers à 15 heures je vous montrerai pourquoi et comment avec un ancien paysan qui a réussi à rendre fertile un bout de terre cévenole quasi désertique
louis julian

Anonyme a dit…

Les Journées des Jardins et de la Nature - 29 & 30 avril 2023

THÉMATIQUE : Économiser la ressource en EAU.

Entrée libre et gratuite

Parc des Cordeliers, 30140 Anduze

>> https://www.fruitsoublies.com/JJN.html <<



SAMEDI 29 AVRIL 2023 – De 13h à 19h.

Cycle de conférences courtes sous forme d’ateliers participatifs

& Présence d’un stand librairie autour de la thématique de l’eau.


* 13h30 – 15h. Les économies de l’eau au jardin potager et au verger amateur.

Par May Kobbi, Terre et Humanisme / Les Semeurs de Jardins & Christian Sunt, Université rurale des Cévennes.


* 15h – 16h30. Le sol ou l’inconnue climatique.

Et si l’état des sols agricoles avait une influence sur le cycle de l’eau ?

Par Pierre Buschberger & Louis Julian, Paysans.


* 16h30 – 18h. Cultivons l’eau, chaque goutte compte !

Retours sur le projet de création d’une forêt tropicale en agroforesterie multiétagée dans le désert de Maio (îles du Cap Vert) suite à la vague de cessation d’activité des derniers agriculteurs pour cause de manque d’eau.

Après la création de conservatoires de plus de deux cents arbres tropicaux anciens et oubliés, présentation de la mise en œuvre de techniques pour « cultiver l’eau ».

Par Raphaël Colicci, paysan. Auteur de « Santé et Sagesse de la Terre – Les Fruits Oubliés ».


* 18h – 19h. Intervention de l’Établissement Public Territorial de Bassin Gardons (EPTB).

« Syndicat de rivière » en charge des questions de l’eau à l’échelle du bassin versant des Gardons.

Présentation de l’organisme, de ses missions et actions territoriales.


DIMANCHE 30 AVRIL - De 10h à 18h.

Marché aux plantes et semences.

& Autres productions du territoire : produits transformés alimentaires ou non, artisanat local.

* Stands associatifs en lien avec l'environnement, la biodiversité, le jardin, l’agriculture, l'énergie etc.

* Animations musicales par des groupes locaux. De 13h à 16h, Duo trad' Caminarem. Les autres, à suivre !

* 14h – Conférence & présentation visuelle du projet coopératif de la Borie en commun

Par le collectif pour le rachat de la Borie – Plus d’infos sur le projet de création de la SCI : https://laborieencevennes.fr/

16h - Projection film documentaire.Instinctivement, nous sommes allés à la rencontre de ces petites bêtes, ces insectes aux rites et chants intrigants ont guidé nos pas et nos yeux curieux de la singularité de leurs formes, de leurs textures.
Cela fait maintenant huit ans que nous les photographions et cette aventure créative a fait naître notre film "Inspirations Artistiques"...
https://naturacorbes.lebourdier.fr/

Tout au long de la manifestation, vous trouverez :

* Une Buvette : bières artisanales, vins & boissons sans alcool issus de productions locales.

* Une offre de petite restauration diversifiée et inclusive – uniquement le dimanche.

Cuisine du monde, paysanne, locale, végétarienne, végane, sans gluten, sans lactose, bio etc.

Anonyme a dit…

Le Mur de l'Autoroute A69 : La Voix est Libre !
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https://youtu.be/Dxr-G6rkpvU



Les Soulèvements de la Terre déclenchent une marée militante pour forcer l’abandon du projet d’autoroute A69 Toulouse Castres, une coulée de bitume recouvrant 400 hectares de terres pour gagner entre 12 minutes et vingt minutes, un chantier à 600 millions d’euros qui vient de heurter un Mur !

Anonyme a dit…

https://www.lesechos.fr/pme-regions/auvergne-rhone-alpes/comment-les-eaux-minerales-sadaptent-a-la-secheresse-1937281

Anonyme a dit…

Alors que la zone de la Cèze vient d'être placée en Alerte Secheresse...


https://www.midilibre.fr/2023/04/24/rochegude-le-projet-de-reserve-deau-prelevee-sur-le-cours-deau-de-la-ceze-rejaillit-11155687.php

Anonyme a dit…

"En définitive, nous devons réparer et compenser, ce qui a été abîmé depuis 60 ans. À savoir, la rectification des cours d'eau, l'assèchement des zones humides, la destruction de nos sols et l'étalement sans cesse, sans fin, des surfaces artificialisées. S'intéresser à l'eau dans les rivières est louable, mais il vaudrait mieux s'intéresser à l'eau avant qu'elle n'arrive dans les rivières et cela dans l’intérêt de tous, y compris les poissons. L'eau est un bien commun, seuls son traitement et son acheminement doivent être facturés. Si nous acceptons de payer ce bien commun, nous mettrons le doigt dans un engrenage infernal. Aujourd'hui, c'est l'eau. Demain, ce sera l'air que nous respirons. Après-demain, la vie elle-même pourrait être une marchandise. Ne laissons pas nos émotions et la peur nous guider. Elles sont de bien piètres conseillères. Les solutions existent, sont simples, peu onéreuses et efficaces. Ne mettons pas nos vies entre les mains des mercantis."


https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/gestion-de-leau-leau-nest-pas-une-ressource-faut-il-le-rappeler

Anonyme a dit…

FESNEAU veut concerter !...

"Les haies, réserves de biodiversité, sont en péril. Des milliers de kilomètres de ces arbres, arbustes et arbrisseaux disparaissent chaque année dans les campagnes françaises et les programmes de plantation ne sont pas suffisants pour enrayer cette dynamique. C’est ce que montre un rapport du ministère de l’Agriculture, consulté par l’AFP.

Ce rapport révèle que depuis 1950, sous l’effet du « remembrement » des terres agricoles et de la mécanisation de l’agriculture, 70 % des haies ont disparu des bocages français. Récemment, la tendance s’est même accélérée avec 23 571 kilomètres par an détruits entre 2017 et 2021, contre 10 400 km/an entre 2006 et 2014. Une perte qui n’est pas compensée par les politiques de plantation, qui permettent de créer environ 3 000 km de haies par an.

Face aux aléas climatiques « de plus en plus intenses et fréquents », les haies sont pourtant « une vraie solution » pour les auteurs, car elles brisent le vent, sont une ombre précieuse pour le bétail, permettent de lutter contre l’érosion et servent d’abri à de multiples espèces. Elles retiennent aussi l’eau et stockent le carbone.

Sur Twitter, le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau a déclaré qu’il lancerait une concertation pour construire un « pacte en faveur de la haie »."
.../...


https://reporterre.net/En-bref-Haie-bah-dis-donc

Anonyme a dit…

«Leur menace a fédéré»

"Au-delà de ces obstacles, les Soulèvements de la Terre ont une force : ils ne sont pas seuls. Depuis l’annonce de leur dissolution, des dizaines de comités locaux se sont constitués – ils sont 140 aujourd’hui selon le porte-parole du mouvement, Benoît Feuillu – et le nombre de leurs soutiens ne fait qu’augmenter. La riposte a d’abord pris la forme d’une pétition, lancée le 30 mars. Le texte, intitulé «Nous sommes les Soulèvements de la Terre», invite tout un chacun à affirmer son affiliation au mouvement. A ce jour, ils revendiquent près de 100 000 signatures, parmi lesquelles celles des écrivains Alain Damasio et Corinne Morel Darleux, de l’anthropologue Philippe Descola, ou encore de l’humoriste Guillaume Meurice.

Ils sont nombreux à s’être déplacés, le 12 avril, à une soirée de soutien organisée pour dénoncer «les atteintes aux libertés fondamentales» induites par l’annonce de cette dissolution. «Quelle est la menace la plus grave ? a interrogé la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte. Est-ce la poursuite de tendances non soutenables […] ? Ou bien est-ce cette contestation qui dérange ?» L’appui de celle qui est aussi coprésidente d’un des groupes de travail du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU n’est pas anodin. «C’est quelqu’un de très institutionnalisé, sa présence a pu les faire réfléchir à deux fois avant d’aller plus loin», analyse la députée écolo de la Vienne Lisa Belluco, très mobilisée dans la lutte contre les bassines.

«Le fait que ce ne soit toujours pas dissous montre que c’est difficile pour le gouvernement de le faire. Ils se sont rendu compte que leur menace a fédéré énormément du côté des Soulèvements, et pas que des gens considérés comme des «écoterroristes» par Darmanin», analyse Marine Tondelier, secrétaire générale d’EE-LV, qui a rencontré Elisabeth Borne à Matignon le 4 avril. Je lui ai dit qu’ils n’arriveraient pas à dissoudre, puisque c’est un collectif informel qui compte énormément de monde : la Confédération paysanne, Attac, EE-LV… Des gens qui travaillaient ensemble avant et continueront après.»
(…)


https://www.liberation.fr/societe/police-justice/dissolution-des-soulevements-de-la-terre-simple-retard-ou-vrai-recul-20230501_XXJ6UFTRTFA5VLSCOXQXYHMNAE/