Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Gérald Darmanin et l'«islamo-gauchisme», qualifica..." :
Distribution des rôles...
"Selon Le Figaro, il multiplierait les recadrages de ses ministres. "Le président n'est pas satisfait de son gouvernement. Il a pris des fortes têtes pour muscler son dispositif. Or chacun joue sa carte: Darmanin veut diriger sa campagne en 2022 et vise Matignon - comme Blanquer - pour un second mandat, Pompili, c'est le Perchoir, Lecornu, le Sénat… Ils ont leur agenda personnel", a déploré un membre de la majorité. De son côté, le chef de l'Etat, connu pour ses retards répétés aux rendez-vous, commence aussi à agacer certains collaborateurs."
(...)
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/une-vraie-pipelette-emmanuel-macron-agace_456230
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 12 octobre 2020
le chef de l'Etat, connu pour ses retards répétés aux rendez-vous, commence aussi à agacer certains collaborateurs."
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4 commentaires:
Le « modèle écolo scandinave » n’existe pas
La Suède, la Norvège, le Danemark, la Finlande et l’Islande bénéficient d’une image écolo très positive à l’étranger, notamment en France. L’autrice de cette tribune invite pourtant à ne pas idéaliser les pays nordiques, leur réalité étant bien plus ambigüe.
"Le Grand Nord a souvent un air d’utopie dans les discours politiques : Emmanuel Macron affirmait en visite au Danemark en 2018 que les Danois·e·s constituent, contrairement au « Gaulois réfractaire au changement », un peuple « luthérien » tourné vers la transformation.
En écho au concept d’orientalisme développé par Edward W. Said, le « boréalisme » fait référence à la manière dont le Nord scandinave et circumpolaire a été « fabriqué» par les discours au cours de l’Histoire. Cette région incarnerait les valeurs auxquelles les autres sociétés devraient œuvrer à donner corps. Les pays nordiques sont souvent vantés pour leur volontarisme écologique. Doit-on parler là « d’illusion boréale » ? Peut-on penser un « modèle scandinave » unique en matière d’écologie ?"
.../...
L’exemple norvégien
"Selon les médias, la transition écologique occupe une place centrale pour les gouvernements nordiques. Les filières hydroélectrique et éolienne ainsi que le secteur de la biomasse participent d’une transition énergétique ambitieuse et la part de la consommation finale d’énergie provenant de sources vertes y est supérieure à la moyenne européenne, avoisinant 25 % en Finlande et 35 % en Suède et culminant à 48 % en Norvège et au Danemark et à 84 % en Islande.
Les autorités norvégiennes entretiennent l’illusion boréale. La volonté affichée est d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2030. Ola Eslvestuen, ancien ministre du Climat et de l’Environnement, affirmait en 2019 que « la Norvège avait de quoi être fière ». Les médias parlent de « dissonance cognitive » et de « schizophrénie ». La Norvège est le plus gros producteur d’hydrocarbures d’Europe de l’Ouest : « Le secteur [pétrolier] emploie 6 % de la population active, et représente presque la moitié des exportations. » Le décalage entre discours et réalité est illustré par l’affirmation d’Ola Elvestuen : « Nous sommes responsables du CO2 que nous émettons, pas de celui généré par nos exportations. » Le pays se classe parmi les pays les plus verts lorsque l’on s’intéresse à son empreinte environnementale à l’intérieur de ses frontières. Il plonge parmi les pays les plus polluants lorsque la pollution exportée est prise en compte.
Le récit fantasmé du mode de vie nordique masque une réalité plus ambigüe. Les références aux pratiques des pays scandinaves sont toujours assez vagues alors que ces pays ne suivent pas les mêmes politiques écologiques. Dans une perspective de transition écologique nationale, il est compliqué de se fixer une trajectoire en tant que société lorsque l’on prend pour modèle un monde dont on ne saisit pas la complexité. Il devient alors urgent de nuancer nos visions de l’écologie nordique pour éviter l’écueil du boréalisme."
https://reporterre.net/Le-modele-ecolo-scandinave-n-existe-pas
Non, la suppression de l’ISF n’a pas relancé l’investissement
"Selon Liêm Hoang-Ngoc, économiste et maître de conférences à l’Université de Paris-1, une fiscalité aux petits oignons pour les riches ne favorise pas l’économie dans son ensemble. Un rapport officiel fait un sort à la fumeuse théorie dite du "ruissellement".
(...)
https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/la-suppression-de-lisf-na-pas-relance-linvestissement
En avant première...
Ce que @emmanuelmacron va nous dire mercredi
Tendance Actuelle
https://youtu.be/qmRlYLyBauM
VLOG - Ces bassines perturbent le cycle de l'eau
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/Cg_33lfsfcw
Jean-Luc Mélenchon était le dimanche 11 octobre dans les Deux-Sèvres pour participer à lancer l'alerte sur la question des « bassines », ces immenses retenues d'eau destinées à l'agriculture intensive, qui perturbent le cycle de l'eau.
Ce vlog retrace l'ensemble du déplacement de Jean-Luc Mélenchon avec une première étape dans le marais poitevin pour comprendre les effets de ces bassines sur le cycle de l'eau. En effet, le drainage mis en place pour diriger l'eau vers les bassines assèche les sols et diminue la pénétration lente de l'eau dans la terre. En bout de course, c'est le marais lui-même qui s'assèche. Cette séquence du déplacement a également permis de comprendre ce que pourrait produire une importante montée des eaux.
Dans un second temps, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu sur le lieu de construction d'une de ces bassines pour en étudier l'étendue. Elles sont utilisées pour irriguer le maïs destiné à l'exportation. L'occasion de questionner en profondeur le modèle agricole français tourné vers la productivité davantage que vers la construction d'une agriculture vivrière permettant de retrouver notre souveraineté alimentaire.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon participait à la manifestation contre les « bassines » organisée à Épannes. Le député insoumis a pris la parole, aux côtés d'autres acteurs politiques de cette lutte comme Philippe Poutou, José Bové ou Yannick Jadot. Il a évoqué la question de la reconquête du temps long pour protéger le cycle de l'eau et de la nécessaire planification par l'État et la commune pour atteindre cet objectif. Il a expliqué qu'il faudrait nationaliser Veolia et Suez pour protéger le bien commun qu'est l'eau.
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