vendredi 29 mars 2019

Monsieur le Président, dernière sommation.

https://youtu.be/_CZBrynOJIE

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Macron donne sa vision des Gilets Jaunes aux enfants.
Le HuffPost.

https://youtu.be/saDh1q-RWCU

La catéchèse libérale n'en finit pas de sévir!...

Anonyme a dit…

Intervention de Corinne Morel-Darleux lors de la Journée de Déclaration de Rébellion.
La Luciole.

https://youtu.be/CZI23SqXtTc

Dimanche 24 mars 2019, XR France a déclaré entrer en Rébellion et amorcer officiellement : «Nous ne nous tairons plus!»

Anonyme a dit…

ÉCRIRE LA CONTESTATION

Le mur apparaît comme un support qui ne nécessite pas de relais entre l’auteur du message et son destinataire. L’auteur du message ne recourt donc pas aux lieux de diffusion d’idées politiques communément admis, à savoir par exemple les sommets de l’État ou les médias. Il diffuse dès lors son message en contournant les artères de diffusion qui l’excluent de fait. Suivant cette idée, Xavier Crettiez et Pierre Piazza² mettent en évidence que l’inscription murale exprime une politisation. Dans un ouvrage commun, les deux chercheurs écrivent :

« Le graffiti sert cette exigence de visibilité mais permet aussi de marquer les territoires contestés au pouvoir, de subvertir les marques de l’hégémonie du trait de la moquerie ou de l’humour et plus encore d’afficher aux yeux de tous son courage et sa résistance à l’oppression ».

Si le graffiti peut apparaître de prime abord comme un acte de vandalisme, il est en réalité un véritable outil de contestation politique.

https://lvsl.fr/nos-doleances-sont-sur-vos-murs-quand-les-gilets-jaunes-se-reapproprient-lespace-public

Anonyme a dit…

La nouvelle doctrine en matière de maintien de l’ordre va-t-elle favoriser plus encore les violences policières ? David Dufresne, journaliste qui a mis en place la plateforme de signalement des violences policières « Allô place Beauvau », est l’invité de #LaMidinale. (Regards)

VERBATIM

Sur l’état des lieux des violences policières

« Il y 582 signalements. Tous ne sont pas des violences à proprement parler mais 95% le sont. »
« Dans ces violences, il y a des mutilés : 22 personnes ont perdu un œil, 5 ont perdu une main et plus d’une centaine ont été visées à la tête par des LBD. »

Sur l’évolution de la violence policière

« L’examen historique est très clair : la France n’a pas connu de répression policière aussi forte d’un mouvement social, depuis cinquante ans. »
« Il faut remonter à 1921 pour avoir l’armée dans le maintien de l’ordre - quasiment un siècle ! »
« Le fait qu’on en parle [des violences policières], c’est aussi la suite logique d’une police beaucoup plus brutale depuis une trentaine d’années et notamment dans les quartiers populaires. »
« Aujourd’hui, on sait qu’en quatre mois on a tiré plus de LBD que depuis l’existence des LBD il y a une dizaine d’année. »

Sur la nouvelle doctrine

« On ne change pas de doctrine au milieu de la bataille : soit il n’y a pas de changement, soit il y a un changement et ça signifie une improvisation, une panique. »
« Ce qui se passe depuis quatre mois illustre leur improvisation, des manquements et une doctrine du maintien de l’ordre qui ne sait plus où elle va. »
« Là où le discours politique est assez malin, c’est qu’ils mélangent tout : maintien de l’ordre, services d’ordre, rétablissement de l’ordre. »
« Le maintien de l’ordre s’est transformé en machine de répression. »
« La réponse ne devrait pas être policière, elle devrait être fiscale, sociale, politique, juridique. »

https://mobile.agoravox.tv/actualites/societe/article/david-dufresne-le-maintien-de-l-81151