Ben mince, pas de pot, le RN
C'est un vrai français ?!?
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Anonyme
a dit…
FAMILLE LEGRAND : Père banquier, mère DRH et soeur "tête à claques"...
La terrible imprévisibilité du crime... La frustration du débat du mardi soir (CNews) engendre parfois la réflexion du mercredi matin sur ce blog.
"Comment ne pas avoir envie de poursuivre dans mon for intérieur les interrogations que le meurtre de Louise suscite chez tous ceux que le crime indigne et, en même temps, interpelle sur notre propre humanité ? Owen Legrand est passé aux aveux après 30 heures de garde à vue (franceinfo).
J'écris ce billet parce qu'avec cette petite Louise de 11 ans ayant suivi sans crainte un voisin de 23 ans qui, après avoir tenté de lui voler son portable, l'a tuée sauvagement avec un Opinel (pris de rage après, nous dit-on, "une défaite sur un jeu vidéo"...), nous voyons bien le partage honnête et nécessaire à effectuer entre les responsabilités des autorités régaliennes et ce que mon titre a nommé "la terrible imprévisibilité du crime", contre laquelle aucun dispositif préventif ne peut être mis en place.
Certes on peut considérer que ce jeune homme était déjà connu pour des vols et des faits de violence, notamment sur sa soeur - elle avait déposé une main courante au mois d'avril 2023. Le 4 février, il avait entraîné une autre jeune fille pour la voler. "Fils de famille ordinaire se donnant des airs de racaille, un branleur" selon certains dans le quartier (Le Figaro)." (…)
"La France est ce pays qui regarde Pascal Praud et qui a peur"
"Comme ce crime n’est pas lié à l’immigration, Pascal Praud en fait le lendemain l’emblème d’un pays à feu et à sang", poursuit Patrick Cohen, qui repasse un extrait de l'édito de son confrère diffusé mardi 11 février sur CNews, dans lequel il affirme que la France "est donc ce pays où les enfants, les adolescents sont tués à la sortie de l’école, de l’université. (...) La France est ce pays où jouer le dimanche au football fait courir un danger mortel. (...) La France est ce pays où les églises sont brûlées, ou les actes antisémites sont multipliés, où les jeunes filles sont violées, les professeurs assassinés". "La France est ce pays qui regarde Pascal Praud et qui a peur", dénonce à son tour Patrick Cohen, qui fustige le traitement réservé à ce terrible fait divers, utilisé selon lui pour alimenter les peurs et la crainte d'un "ensauvagement du pays", alors que, comme il le rappelle en début de chronique, le nombre d'homicides en France a reculé l'an dernier pour la première fois depuis 2020.
Selon les chiffres publiés par le ministère de l'Intérieur, il a baissé de 2% en 2024, tandis que les tentatives d'homicides ont poursuivi leur croissance (+7%), mais à un rythme moins élevé comparé aux deux dernières années. Concernant les homicides sur mineurs, on en compte 104 en moyenne par an sur les 9 dernières années, selon les chiffres du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) récupérés par "Libération". Pour 2024, il est en-dessous de cette moyenne, avec 99 cas recensés. Dans leur article, nos confrères indiquent par ailleurs que "jusqu'à 13 ans, les homicides ont lieu majoritairement dans le cadre intrafamilial"."
"Nous apprenons à l’instant qu’aux états-Unis, Trump a chuté face à l’alliance des guérillas de Black lives matter et des bolchéviques du sénile Bernie Sanders. Un coup dur après le basculement de notre pays dans l’invraisemblable et la folie. Depuis quarante jours, pris d’une ivresse collective, nos compatriotes ont rejoint en masse la fédération opaque et improbable d’universitaires wokistes, d’associations communautaristes et de l’ultragauche écoterroriste. On ignore encore l’identité des leaders. Hier, Moodies a de nouveau rétrogradé la note de la France à E-, et cela semble ne faire ni chaud ni froid aux comités qui enchaînent les mesures démentes. Ainsi les résidences secondaires ont été réquisitionnées et redistribuées sans que leurs propriétaires légitimes ne soient indemnisés ou même prévenus, et chaque heure qui passe compte son lot d’entreprises nationalisées et livrées à la gestion syndicale. Sans parler du décret de la honte, qui exige le remboursement des dividendes versés aux actionnaires lors des dix dernières années, ou la spectaculaire destruction de toutes les antennes 5G dès le deuxième jour de leur prise du pouvoir. Depuis, les réseaux sociaux, symboles de notre monde moderne et connecté, sont en train d’être remplacés par des bars infestés de saltimbanques et des beuveries de quartiers. Des agitateurs réactionnaires réinstallent même des cabines téléphoniques un peu partout sur le territoire. Hier, c’était le vote de la construction d’un mur « d’un mètre de hauteur en pierres sèches » long de 2 000 kilomètres, afin, selon le communiqué, de « commémorer les anciennes frontières sur lesquelles sont venus mourir tant de réfugié·es ». À vrai dire, il est souvent difficile de savoir si les annonces proclament de véritables réformes ou des blagues de mauvais goût. Hier lors d’une prise de parole officielle, un délégué a déclaré « le remplacement des bus par des chars à voile », « la tenue des prochaines élections lors de soirées raviolis » et la transformation des 12 000 méthaniseurs de notre pays en « thermes publics » avec « jacuzzis thérapeutiques ». Cette descente aux enfers se poursuit avec l’abject slogan « moins de fusées nazies, plus de navets frits » qui trône désormais sur la tour Eiffel, tandis qu’une statue de douze mètres de haut de Luigi Mangione est en construction sur les Champs-Élysées. En décembre 2024, cet homme avait assassiné de sang froid le PDG de la compagnie d’assurance-santé UnitedHealthcare. L’idolâtrie pour ce meurtrier en dit long sur la barbarie et le fanatisme dans lesquelles s’enfonce notre pays. Malheureusement, les exactions des comités ont des répercussions bien concrètes pour nos concitoyens. À l’heure où je vous parle, je bois mon dernier verre de vin australien et mon dernier bol de corn-flakes. Les déléguéES viennent d’interdire l’importation de tout produit alimentaire qui ne serait pas déjà produit sur le territoire et la suppression de toutes les marques de l’agro-industrie. Nous nous dirigeons vers un désastre économique, politique, et je dirai même, civilisationnel. Dès à présent, je quitte le pays pour rallier Dubaï où la rédaction commune de BFM et Cnews ont désormais leur siège. D’ici là tenez-bon !"
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FAMILLE LEGRAND : Père banquier, mère DRH et soeur "tête à claques"...
La terrible imprévisibilité du crime...
La frustration du débat du mardi soir (CNews) engendre parfois la réflexion du mercredi matin sur ce blog.
"Comment ne pas avoir envie de poursuivre dans mon for intérieur les interrogations que le meurtre de Louise suscite chez tous ceux que le crime indigne et, en même temps, interpelle sur notre propre humanité ? Owen Legrand est passé aux aveux après 30 heures de garde à vue (franceinfo).
J'écris ce billet parce qu'avec cette petite Louise de 11 ans ayant suivi sans crainte un voisin de 23 ans qui, après avoir tenté de lui voler son portable, l'a tuée sauvagement avec un Opinel (pris de rage après, nous dit-on, "une défaite sur un jeu vidéo"...), nous voyons bien le partage honnête et nécessaire à effectuer entre les responsabilités des autorités régaliennes et ce que mon titre a nommé "la terrible imprévisibilité du crime", contre laquelle aucun dispositif préventif ne peut être mis en place.
Certes on peut considérer que ce jeune homme était déjà connu pour des vols et des faits de violence, notamment sur sa soeur - elle avait déposé une main courante au mois d'avril 2023. Le 4 février, il avait entraîné une autre jeune fille pour la voler. "Fils de famille ordinaire se donnant des airs de racaille, un branleur" selon certains dans le quartier (Le Figaro)."
(…)
https://www.philippebilger.com/blog/2025/02/la-terrible-impr%C3%A9visibilit%C3%A9-du-crime.html
"La France est ce pays qui regarde Pascal Praud et qui a peur"
"Comme ce crime n’est pas lié à l’immigration, Pascal Praud en fait le lendemain l’emblème d’un pays à feu et à sang", poursuit Patrick Cohen, qui repasse un extrait de l'édito de son confrère diffusé mardi 11 février sur CNews, dans lequel il affirme que la France "est donc ce pays où les enfants, les adolescents sont tués à la sortie de l’école, de l’université. (...) La France est ce pays où jouer le dimanche au football fait courir un danger mortel. (...) La France est ce pays où les églises sont brûlées, ou les actes antisémites sont multipliés, où les jeunes filles sont violées, les professeurs assassinés". "La France est ce pays qui regarde Pascal Praud et qui a peur", dénonce à son tour Patrick Cohen, qui fustige le traitement réservé à ce terrible fait divers, utilisé selon lui pour alimenter les peurs et la crainte d'un "ensauvagement du pays", alors que, comme il le rappelle en début de chronique, le nombre d'homicides en France a reculé l'an dernier pour la première fois depuis 2020.
Selon les chiffres publiés par le ministère de l'Intérieur, il a baissé de 2% en 2024, tandis que les tentatives d'homicides ont poursuivi leur croissance (+7%), mais à un rythme moins élevé comparé aux deux dernières années. Concernant les homicides sur mineurs, on en compte 104 en moyenne par an sur les 9 dernières années, selon les chiffres du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) récupérés par "Libération". Pour 2024, il est en-dessous de cette moyenne, avec 99 cas recensés. Dans leur article, nos confrères indiquent par ailleurs que "jusqu'à 13 ans, les homicides ont lieu majoritairement dans le cadre intrafamilial"."
https://www.ozap.com/actu/pascal-praud-a-fait-du-meurtre-de-louise-lembleme-dun-pays-a-feu-et-a-sang-patrick-cohen-denonce-linstrumentalisation-de-laffaire-par-cnews-valeurs-actuelles-et-le-jdd/648725#google_vignette
La France en perdition
L’édito de Christophe Bourbier, 26 janvier 2026
"Nous apprenons à l’instant qu’aux états-Unis, Trump a chuté face à l’alliance des guérillas de Black lives matter et des bolchéviques du sénile Bernie Sanders. Un coup dur après le basculement de notre pays dans l’invraisemblable et la folie. Depuis quarante jours, pris d’une ivresse collective, nos compatriotes ont rejoint en masse la fédération opaque et improbable d’universitaires wokistes, d’associations communautaristes et de l’ultragauche écoterroriste. On ignore encore l’identité des leaders. Hier, Moodies a de nouveau rétrogradé la note de la France à E-, et cela semble ne faire ni chaud ni froid aux comités qui enchaînent les mesures démentes.
Ainsi les résidences secondaires ont été réquisitionnées et redistribuées sans que leurs propriétaires légitimes ne soient indemnisés ou même prévenus, et chaque heure qui passe compte son lot d’entreprises nationalisées et livrées à la gestion syndicale. Sans parler du décret de la honte, qui exige le remboursement des dividendes versés aux actionnaires lors des dix dernières années, ou la spectaculaire destruction de toutes les antennes 5G dès le deuxième jour de leur prise du pouvoir. Depuis, les réseaux sociaux, symboles de notre monde moderne et connecté, sont en train d’être remplacés par des bars infestés de saltimbanques et des beuveries de quartiers. Des agitateurs réactionnaires réinstallent même des cabines téléphoniques un peu partout sur le territoire.
Hier, c’était le vote de la construction d’un mur « d’un mètre de hauteur en pierres sèches » long de 2 000 kilomètres, afin, selon le communiqué, de « commémorer les anciennes frontières sur lesquelles sont venus mourir tant de réfugié·es ». À vrai dire, il est souvent difficile de savoir si les annonces proclament de véritables réformes ou des blagues de mauvais goût. Hier lors d’une prise de parole officielle, un délégué a déclaré « le remplacement des bus par des chars à voile », « la tenue des prochaines élections lors de soirées raviolis » et la transformation des 12 000 méthaniseurs de notre pays en « thermes publics » avec « jacuzzis thérapeutiques ». Cette descente aux enfers se poursuit avec l’abject slogan « moins de fusées nazies, plus de navets frits » qui trône désormais sur la tour Eiffel, tandis qu’une statue de douze mètres de haut de Luigi Mangione est en construction sur les Champs-Élysées. En décembre 2024, cet homme avait assassiné de sang froid le PDG de la compagnie d’assurance-santé UnitedHealthcare. L’idolâtrie pour ce meurtrier en dit long sur la barbarie et le fanatisme dans lesquelles s’enfonce notre pays.
Malheureusement, les exactions des comités ont des répercussions bien concrètes pour nos concitoyens. À l’heure où je vous parle, je bois mon dernier verre de vin australien et mon dernier bol de corn-flakes. Les déléguéES viennent d’interdire l’importation de tout produit alimentaire qui ne serait pas déjà produit sur le territoire et la suppression de toutes les marques de l’agro-industrie. Nous nous dirigeons vers un désastre économique, politique, et je dirai même, civilisationnel. Dès à présent, je quitte le pays pour rallier Dubaï où la rédaction commune de BFM et Cnews ont désormais leur siège. D’ici là tenez-bon !"
https://lempaille.fr/cbfnews-le-direct
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