vendredi 27 juin 2025

PRINTEMPS ALESIEN



Mesdames, Messieurs,
Nous avons organisé lundi 23/06/2025 à l'Espace Cazot à Alès la projection d'un film que nous (Printemps alésien) avons réalisé en interviewant une soixantaine d'Alésiens et Alésiennes.
Cette soirée a été l'occasion de présenter notre démarche citoyenne et innovante dans le cadre de la préparation des Municipales
Bien cordialement
Paul PLANQUE
  

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Interrogé sur ses sources

"Un reporter de la rédaction nîmoise de Midi Libre a été questionné, ce jeudi 26 juin, par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier. Les policiers s’intéressent aux informations recueillies par le reporter sur la problématique du financements des arènes de Nîmes, précise son avocat, Laurent Salleles. “Il lui a été indiqué qu’il était convoqué comme témoin, apparemment dans le but de savoir où il a obtenu des informations qui ont nourri son article”, ajoute le conseil.

Ressorti libre du commissariat après un peu moins d'une heure d'audition, le reporter confirme que les questions ont porté "sur l’origine des informations qui normalement sont couvertes par la jurisprudence de la Cour européenne des Droits de l’Homme, par la loi de 2010 et aussi par la déontologie des journalistes." Une manière de procéder qui soulève chez lui de nombreuses inquiétudes : "Un journaliste qui travaille sans pouvoir protéger ses sources ne peut pas travailler, la liberté de la presse ne peut pas fonctionner sans des sources qui soient totalement en capacité de nous parler librement."

"Le secret des sources, c'est la pierre angulaire du métier de journaliste, de la liberté de la presse et de la liberté d’informer. On voit quand même qu’il y a des entailles."

Journaliste à Midi Libre convoqué par la police judiciaire
(…)


https://france3-regions.franceinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/le-secret-des-sources-et-la-liberte-de-la-presse-attaques-un-journaliste-convoque-au-commissariat-apres-la-publication-d-un-article-3178281.html

Anonyme a dit…

IG
Inadmissible

"Cette semaine, un journaliste de Midi Libre a été convoqué au commissariat de Montpellier pour être entendu en qualité de témoin. Son tort ? Avoir fait son travail en révélant des informations sur une affaire d’intérêt public. À savoir des soupçons de malversations dans l’organisation des corridas
à Nîmes. Pendant plus d’une heure, les policiers ont questionné notre
collaborateur pour qu’il révèle les sources qui lui ont permis de publier cet article. Nous considérons cette atteinte à la liberté de la presse comme inadmissible de la part de fonctionnaires et du ministère public. La loi du 29 juillet 1881, modifiée le 4 avril 2010 dans son article 2, stipule que « le secret des sources des journalistes est protégé dans l’exercice de leur mission
d’information du public ».
Au-delà de ce rappel élémentaire à la législation, nous dénonçons toutes les pressions qui peuvent être exercées aujourd’hui sur la presse indépendante. Ces intimidations inacceptables qui sont des attaques directes envers la profession
et notre mission d’informer ne nous empêcheront pas de continuer à faire notre travail librement au bénéfice de nos lecteurs."

Samedi 28 juin 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/d3abb494-92ef-4f18-a9b0-061d4ebff...

Anonyme a dit…

LOCALE
MISE AU POINT DE LA RÉDACTION
Nécessaire respect des correspondants

"Parce que le marché nocturne qu’il organisait n’a pas bénéficié dans nos
colonnes d’un article aussi flatteur qu’il l’avait imaginé, cet adjoint au
maire s’en est pris de manière véhémente à notre correspondante, à l’issue du conseil municipal. Lui reprochant en somme de ne pas
« jouer le jeu », de n’être pas assez
« l’ambassadrice de son village ».

Une petite mise au point s’impose : au-delà du fait qu’en démocratie, la presse est libre, les correspondants de Midi Libre sont au service de l’information de nos lecteurs, ils n’ont nullement la charge de la communication de la commune.
Il est possible que le bulletin municipal de cette commune propose une autre photo de l’évènement ou préfère passer sous silence ce rendez-vous un peu
décevant, ce sera le choix souverain de communication de la majorité en place.

À Midi Libre, comme dans la presse en général, c’est l’information qui prévaut.
Journalistes et correspondants ont pour mission de relater les faits. Rien, à aucun moment, ne justifie qu’ils soient pris à partie par des organisateurs d’évènement, a fortiori si ceux-ci portent une écharpe tricolore."

Samedi 28 juin 2025https://kiosque.midilibre.fr/reader/d3abb494-92ef-4f18-a9b0-061d4ebff...

Anonyme a dit…

COMMUNIQUE DE PRESSE de LFI ALES
LA POSTE D’ALES-TAMARIS NE DOIT PAS FERMER !
La mobilisation populaire avait empêché que le bureau de poste de Tamaris ferme ses portes au 1er janvier 2025.
La Poste revient à la charge, en annonçant la fermeture au cœur de l’été ce 4 juillet. Bien que recevant 600 millions
d’argent public chaque année et faisant des bénéfices, cette désormais société anonyme sous les efforts conjugués
de la Loi Rocard-Quilés de 1990 et du gouvernement Fillon en 2010 assure sa rentabilité en fermant des bureaux de poste pour les remplacer par des agences postales communales à la charge des mairies ou des « points-poste » chez
des commerçants.
A Tamaris, il est prévu de transférer une partie des activités postales dans les deux bureaux de tabacs du quartier.
Toutes les opérations, en particuliers bancaires, ne seront pas possibles dans ces commerces, et au détriment de la
confidentialité que les usagers peuvent attendre d’agents assermentés dans un vrai bureau. De plus, le distributeur
de billets disparaîtra.
C’est inacceptable ! Le service public de la Poste doit rester à Tamaris !
Participons massivement à la délégation qui se rendra en Mairie d’Alès le lundi 23 juin à 11h00 pour exiger :
Le maintien du bureau de poste !
Que le Maire d’Alès fasse jouer son droit de veto contre la fermeture !
Que le sous-préfet d’Alès, représentant du gouvernement majoritaire au Conseil d’Administration de la Poste,
fasse remonter l’exigence du maintien !