TOUTE HONTE BUE, JORDAN BARDELLA AURAIT PU ASSOCIER SA SIGNATURE À CE RAMASSIS DE SÉNATEURS EN DÉLIQUESCENCE...!
Monsieur le Président,
"Vous avez annoncé à des journalistes, dans un avion, votre volonté de reconnaître l’État de la Palestine au mois de juin. Personne ne peut, ne doit, évacuer la possibilité de création d’un État palestinien. Bien des tentatives ont eu lieu autour de la notion de deux États, Israël et la Palestine, dans les dernières décennies. Mais vous-même, et le Quai d’Orsay, avez clairement fait savoir ces derniers mois que les conditions n’étaient pas remplies pour cette reconnaissance.
Le massacre du 7 octobre 2023, dans son abomination – le plus grand pogrom contre les Juifs depuis la Seconde Guerre mondiale –, la détention brutale d’otages par le mouvement terroriste du Hamas, l’agression du Hezbollah contre le nord d’Israël, la volonté de l’Iran de détruire l’État d’Israël (à coup de centaines de missiles…) étaient, évidemment, des éléments forts rendant cette reconnaissance prématurée.
La situation a-t-elle fondamentalement changé aujourd’hui ? Le Hamas continue d’utiliser la population de Gaza comme bouclier humain et refuse de rendre les armes. Pire, il prévient qu’il est prêt à organiser un deuxième 7 octobre. En cela, il est le premier responsable des souffrances du peuple gazaoui, qui commence à se révolter contre ses oppresseurs.
Le Hezbollah continue de défier l’autorité du Président Libanais Aoun et n’accepte pas de se dessaisir de ses armements. L’Iran refuse toute dénucléarisation militaire et continue d’appeler à la destruction de l’État d’Israël en soutenant ses proxis. Hamas, Hezbollah, Houthis, Iran… rien n’a changé dans leur haine d’Israël, haine de l’Occident, volonté d’établir des régimes islamistes totalitaires.
Alors ? L’espoir peut-il venir de l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas ? Vous avez vous-même, comme votre Ministre des Affaires étrangères, affirmé que cette Autorité devait se réformer, se renouveler pour être plus crédible et plus légitime, afin d’être un partenaire fiable pour les négociations. Est-ce le cas ? Non, pas encore du moins, même s’il faut l’encourager à aller dans ce sens.
Reconnaître aujourd’hui un État de Palestine, c’est plonger dans l’inconnu, sans savoir qui le dirigerait, avec quelles intentions, avec quelles garanties.
Reconnaitre aujourd’hui l’État de Palestine c’est faire fi des morts du 7 octobre, des otages, de la volonté réaffirmée de certains acteurs de détruire l’État d’Israël et d’éliminer tous les juifs et tous les chrétiens du Proche-Orient. Cette reconnaissance sera certes saluée par le Hamas, le Hezbollah, l’Iran. Ce ne peut être un objectif.
Monsieur le Président de la République, la France a une voix, une portée qui ne sont pas, dans cette partie du monde, celles de l’Espagne, qui, sous l’influence de l’extrême gauche, a reconnu l’État de Palestine. Israël et le monde arabe modéré nous regardent, nous attendent, nous espèrent, pour, ensemble, éradiquer les radicaux semeurs de mort et de haine, pour, ensemble, instaurer un climat de compréhension mutuelle, de solidarité, de paix.
Alors, il sera temps de parler de la création d’un État de Palestine."
Eric Ciotti, le président des Républicains, s'est déclaré favorable à une alliance avec le Rassemblement national en vue des élections législatives convoquées par Emmanuel Macron. Un spectaculaire revirement de la part de celui qui, pendant longtemps, a martelé qu'aucun rapprochement n'était envisageable entre LR et le parti de Marine Le Pen.
3 commentaires:
TOUTE HONTE BUE, JORDAN BARDELLA AURAIT PU ASSOCIER SA SIGNATURE À CE RAMASSIS DE SÉNATEURS EN DÉLIQUESCENCE...!
Monsieur le Président,
"Vous avez annoncé à des journalistes, dans un avion, votre volonté de reconnaître l’État de la Palestine au mois de juin. Personne ne peut, ne doit, évacuer la possibilité de création d’un État palestinien. Bien des tentatives ont eu lieu autour de la notion de deux États, Israël et la Palestine, dans les dernières décennies. Mais vous-même, et le Quai d’Orsay, avez clairement fait savoir ces derniers mois que les conditions n’étaient pas remplies pour cette reconnaissance.
Le massacre du 7 octobre 2023, dans son abomination – le plus grand pogrom contre les Juifs depuis la Seconde Guerre mondiale –, la détention brutale d’otages par le mouvement terroriste du Hamas, l’agression du Hezbollah contre le nord d’Israël, la volonté de l’Iran de détruire l’État d’Israël (à coup de centaines de missiles…) étaient, évidemment, des éléments forts rendant cette reconnaissance prématurée.
La situation a-t-elle fondamentalement changé aujourd’hui ? Le Hamas continue d’utiliser la population de Gaza comme bouclier humain et refuse de rendre les armes. Pire, il prévient qu’il est prêt à organiser un deuxième 7 octobre. En cela, il est le premier responsable des souffrances du peuple gazaoui, qui commence à se révolter contre ses oppresseurs.
Le Hezbollah continue de défier l’autorité du Président Libanais Aoun et n’accepte pas de se dessaisir de ses armements. L’Iran refuse toute dénucléarisation militaire et continue d’appeler à la destruction de l’État d’Israël en soutenant ses proxis. Hamas, Hezbollah, Houthis, Iran… rien n’a changé dans leur haine d’Israël, haine de l’Occident, volonté d’établir des régimes islamistes totalitaires.
Alors ? L’espoir peut-il venir de l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas ? Vous avez vous-même, comme votre Ministre des Affaires étrangères, affirmé que cette Autorité devait se réformer, se renouveler pour être plus crédible et plus légitime, afin d’être un partenaire fiable pour les négociations. Est-ce le cas ? Non, pas encore du moins, même s’il faut l’encourager à aller dans ce sens.
Reconnaître aujourd’hui un État de Palestine, c’est plonger dans l’inconnu, sans savoir qui le dirigerait, avec quelles intentions, avec quelles garanties.
Reconnaitre aujourd’hui l’État de Palestine c’est faire fi des morts du 7 octobre, des otages, de la volonté réaffirmée de certains acteurs de détruire l’État d’Israël et d’éliminer tous les juifs et tous les chrétiens du Proche-Orient. Cette reconnaissance sera certes saluée par le Hamas, le Hezbollah, l’Iran. Ce ne peut être un objectif.
Monsieur le Président de la République, la France a une voix, une portée qui ne sont pas, dans cette partie du monde, celles de l’Espagne, qui, sous l’influence de l’extrême gauche, a reconnu l’État de Palestine. Israël et le monde arabe modéré nous regardent, nous attendent, nous espèrent, pour, ensemble, éradiquer les radicaux semeurs de mort et de haine, pour, ensemble, instaurer un climat de compréhension mutuelle, de solidarité, de paix.
Alors, il sera temps de parler de la création d’un État de Palestine."
https://www.tribunejuive.info/2025/04/17/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique-signee-par-108-senateurs-a-la-suite-de-lannonce-de-sa-volonte-de-reconnaitre-letat-de-palestine/
Quand Eric Ciotti promettait de ne « jamais » faire alliance avec Marine Le Pen et le RN
Le Nouvel Obs
https://youtube.com/shorts/O1QS-JTlIYE?si=fzopBlp_-yPr4UgP
Eric Ciotti, le président des Républicains, s'est déclaré favorable à une alliance avec le Rassemblement national en vue des élections législatives convoquées par Emmanuel Macron. Un spectaculaire revirement de la part de celui qui, pendant longtemps, a martelé qu'aucun rapprochement n'était envisageable entre LR et le parti de Marine Le Pen.
Des jeunes adultes qui vont manger des tenders au Mac Do...
Et qui retrouvent le leur dans la voiture !!!
https://www.cerbere-tourisme.com/societe-61692-oublie-pendant-5-heures-sous-la-canicule-dans-une-voiture-garee-sur-un-parking-de-mc-do-un-bebe-de-18-mois-en-urgence.html
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