Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 23 juillet 2017
samedi 22 juillet 2017
Compteur de la dette fiscale
Envoyé par jml
Chers amis, on vous bassine avec la dette de la France et Collomb le fameux maire PS de Lyon devenu l'opportuniste ministre de l'intérieur en marche l'affiche sur son portable en pleine séance à l'assemblée.
Mais faites-lui savoir qu'à côté de ce compteur, il y a celui de la dette fiscale à laquelle lui et ses amis peinent à s'attaquer.
Ce compteur est ici https://www.monpari2017.org/defis/compteur-fiscal
Merci de le lui faire connaître.
La moralisation de la vie publique au-delà de la politique | Contrepoints
Envoyé de mon iPad
Envoyé de mon iPad
vendredi 21 juillet 2017
jeudi 20 juillet 2017
lundi 17 juillet 2017
Impacts des anciennes exploitations minières autour d'Anduze
Impacts des anciennes exploitations minières autour d'Anduze
Diagnostic environnemental personnalisé / sols eaux, végétaux, poussières
Bruit de fond
Une citoyenne, habitante d'Anduze nous communique l'analyse de Géodéris relative à son foyer
http://www.accac.eu/L_environnement/Risques-et-pollution-miniere/Foyer-Marianne-Plus.htm
dimanche 16 juillet 2017
samedi 15 juillet 2017
vendredi 14 juillet 2017
jeudi 13 juillet 2017
Nouveau commentaire sur Boisset sans Reverjac ?.
lo papé a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Boisset sans Reverjac ?" :
Piètre séance que celle de ce Conseil Municipal.
Le petit théâtre de BOISSET (et GAUJAC) le voilà, il est bien dans la salle.
La Bérézina et Trafalgar se dessinent...
Le vieux étriqué comme un parpaillou qui vient de quitter sa babarotte reste vert comme une tomate sans soleil...
Bernard prend la parole (celui là s'il pouvait le dézinguer,le bazarder !) ..
Bernard est une arme dangereuse, redoutable, un véritable fusil à pompe, à répétition...
Et puis il sait de quoi il parle, le Bernard, il te le fait tomber dans le panneau à tous les coups!
Ce soir là les deux gros explosent, ils éclatent, ils déflagrent..
Fou de rage, l'un des deux menace de quitter la séance, puis il revient, histoire de faire souffrir un peu plus la chaise ....
L'autre pour la première fois de sa vie tente de prendre la parole...
Ciel, il parle, enfin, il bredouille, il balbutie (il est adjoint)
On comprend rien, des gloussements, des bruits d'estomac, des onomatopées:
Comment, s'en prendre à Papa ? De quel droit? Il y a plus de sous ? Mais comme on va faire ?
Adieu aligots rafraichissants du mois de juillet, Adieu répétils et bombances à outrance, Adieu sensuelles danses des canards !!
Et puis, lâche parmi les lâches, il cible vicieusement le quartier des femmes ... C'est plus facile..
Mais comment, elles se rebiffent ?
De quoi se mêlent elles ?
Chez nous, les hommes, "Papa pousse et maman tire" !.. Un point c'est tout.
L'heure tourne, les guignols sont bien dans la salle ... je vais me coucher.
mercredi 12 juillet 2017
Nouveau commentaire sur Adrien Quatennens.
"Les Marcheurs aux chaussures de plomb"
Ils étaient des marcheurs errant comme une armée,
Tête basse, en silence et en rangs bien serrés,
Obéissant sans mot dire aux ordres d'un capitaine,
Un certain Bécasseau, ils marchaient avec peine.
De collines en forêts, de vallées en vallons,
Le long chemin sans croix était crucifixion.
Mais chacune et chacun voulait cette aventure
Ils croyaient en leur Dieu, jamais donc de parjure.
Tandis que à pas lents passait la grande armée
Essoufflée, épuisée comme des ânes bâtés,
Ils croisèrent un jour, un soir de brume grise
Un groupe qui marchait, léger comme la brise.
Ensemble ils discutaient, riaient malgré la pente
L'armée traînait ses pieds peinant dans la descente.
L'un d'eux se hasarda « mais qui sont ces cabris? »
Chut! rugit Bécasseau, ce sont des insoumis.
Les rangs se divisèrent et l'armée s'égaya
Délaçant les chaussures pesantes à chaque pas.
« Insoumis aussi gais? Insoumis je veux être!
Marre d'être soumis et que dans le paraître!
Bécasseau n'avait plus sur eux quelque pouvoir
Et les marcheurs dociles devinrent des grognards.
Chacun se dispersa mais d'autres en sens inverse
Repartirent ailleurs libres de controverse.
Moralité:
Lourds sont les godillots quand ils sont faits de plomb,
Ainsi une assemblée de moutons est semblable
Approuvant Jupiter sans nulle contradiction
Qui rêve depuis Versailles d'un Peuple corvéable.
François Canagueral le bouffon anti-roi
(Extrait de «Apologues du bouffon anti-roi)
mardi 11 juillet 2017
Adrien Quatennens
Envoyé par JML
Le 10 juillet 2017, Adrien Quatennens défendait la motion de rejet préalable déposée par la France insoumise sur le projet de loi d'habilitation pour réformer par ordonnances le code du travail. Il est revenu sur le comportement de la majorité «En Marche» en commission des Affaires sociales et a dénoncé l'empressement du gouvernement sur ce projet qui va s'en prendre aux conditions de travail de 18 millions de salariés du secteur privé.
Adrien Quatennens souvenez-vous de ce garçon, une pointure https://www.youtube.com/watch?v=SM3qLL1ysKo
lundi 10 juillet 2017
QUAND LE Pr VITRIOL PARAPHRASE LE PASTEUR NIEMOLLER :
dimanche 9 juillet 2017
Nouveau commentaire sur Comment les Insoumis sont devenus la principale fo....
«L'ensemble des insoumises et insoumis, reliés à notre plateforme nationale, sont maintenant conviés à agir vigoureusement dans cette période où se déroulent les coups de force du régime sur tous les terrains des résistances et des constructions sociales, écologiques et culturelles. Dans l'immédiat, ils vont notamment s'employer, chacune et chacun à sa mesure et selon ses possibilités, à faire vivre notre campagne d'été pour informer et mobiliser contre la destruction du droit du travail. C'est une condition essentielle pour préparer une opinion informée, capable d'actions de masse avant la promulgation des ordonnances en septembre. Face à la dureté du moment et des conditions sociales de la rentrée pour les familles, les insoumis mettront leur point d'honneur à organiser cet été de nouveau des caravanes dans les cités populaires pour l'accès aux droits sociaux et civiques.
Cette période sera aussi celle d'une nouvelle étape dans la mise en place de notre de notre mouvement et de ses modes d'action. Deux initiatives nationales sont dors et déjà proposées pour y contribuer et les fédérer :
– un rendez-vous de fin d'été le week-end du 24 au 27 août;
– une convention du mouvement sous la forme d'une assemblée représentative au mois d'octobre 2017.»
Extrait déclaration de «l'espace politique».
Plateforme France Insoumise.
samedi 8 juillet 2017
Réflexions : Allons-nous continuer la recherche scientifique ? Un texte d'Alexandre Grothendieck (1928-2014)
Par redaction le jeudi 6 juillet 2017, 11:26 - National
Mort en novembre 2014, Alexandre Grothendieck (1928 - 2014) était considéré, par nombre de ses pairs, comme le plus grand mathématicien du XXème siècle. Médaille Fields 1966, il était le co-fondateur du mouvement de scientifiques critiques "Survivre et Vivre" qui édita la première revue d'écologie politique française éponyme (août 1970-juin 1975). Nous publions un texte de réflexion qui interpelle fondamentalement chacun-e de nous sur la raison d'être, l'essence et la finalité de la science et de la recherche scientifique. Et celles de nos choix, de nos pensées et de nos comportements.
vendredi 7 juillet 2017
jeudi 6 juillet 2017
Impôts, retraites, immobilier : Macron chaparde les retraités
Je suis Olivier Perrin, le Vaillant Petit Économiste. J'écris cette lettre d'information GRATUITE 3 à 4 fois par semaine. Cliquez ici pour en savoir plus et vous inscrire.
Si au contraire vous en avez assez de me lire, cliquez ici pour vous désinscire.Impôts, retraites, immobilier : Macron chaparde les retraités
Chère lectrice, cher lecteur,
Il est temps de vous préparer au quinquennat de Monsieur Macron.
Si vous êtes retraité ou bientôt retraité, que votre patrimoine est essentiellement immobilier avec une assurance-vie en prime pour les mauvais jours : vous êtes dans le collimateur.
Les projets ont été édictés et confirmés. Vous ne pourrez pas vous plaindre d'avoir été pris en traitre. Comme le dit l'hebdomadaire Marianne : « les retraités vont trinquer » et j'ajoute les futurs retraités aussi... et les indépendants et les prudents : tout le monde va trinquer dans cette affaire (sauf ceux qui le mériteraient bien).
Cela commence avec la CSG.
Vous allez payer plus de CSG.
Comme les poches de l'État sont vides, on joue aux vases communicants. On aide les uns en privant les autres.
Tout le monde est d'accord sur un point :
- D'un côté le coût du travail est trop élevé en France. Il entraine la désindustrialisation rapide de la France mais ;
- De l'autre, les salaires sont trop faibles empêchant la consommation de repartir.
Alors bien sûr on veut vous faire croire que les revenus d'une entreprise sont comme un gâteau pour lequel employés et patron se disputent la plus grosse part. Mais la réalité est que la taille du gâteau dépend largement des règle du jeu et qu'en plus de fixer les règles, l'État gère —et très mal— la plus grosse part du gâteau dont il ne connaît rien à la recette.
C'est un grand classique de la psychologie. On appelle ça une projection : l'État reproche aux autres ses propres défauts.
Et plutôt que de régler le problème à la racine, Monsieur Macron —dans la même logique clientéliste embrouillée de ses prédécesseurs— a décidé de subventionner le coût du travail par une augmentation de la CSG.
En effet, les salaires modestes seront exemptés de côtisation chômage et maladie.
Cette cotisation sera à la place supportée par une augmentation de la CSG qui a l'avantage d'être payée par tout le monde, y compris les retraités et les indépendants qui, ironie du sort doivent déjà côtiser pour eux-même à un organisme défaillant.
Les retraités, les inactifs et indépendants maltraités vont « sponsoriser » les bas salaires.
Brutalement cela signifie que l'on accepte qu'un salarié ne produit pas par son travail la valeur nécessaire pour lui assurer une vie digne et qu'il lui faut le soutien financier de ceux qui ne travaillent pas...
Si vous pensez que l'on marche sur la tête, vous avez raison.
Il est déjà curieux d'accepter un tel déséquilibre et même de l'encourager plutôt que de régler le problème.
Demander aux retraités de payer pour le travail des actifs qui eux-mêmes paient les pensions de leurs retraités relève du bricolage malsain où l'on perd complètement la trace de ce que l'on paie et pourquoi.
Mais surtout : les retraites ne sont pas financées ! On s'apprête à prélever une taxe supplémentaire sur des retraites que l'on sait d'avance ne pas pouvoir payer.
Ce sont les rétraités que l'on sacrifie.
Pas d'argent pour votre retraite
Le rapport annuel du COR —Conseil d'Orientation des Retraites— paru il y a quelques semaines indique que l'équilibre général des régimes de retraites qui devait être atteint « au milieu des années 2020 » ne le sera finalement pas avant 2040...
La formule est pudique et ne veut pas dire grand chose... On parle d'équilibre du régime mais pas de remboursement de sa dette. Comme si vous achetiez une maison dont vous ne pouviez pas payer les mensualités. Est-ce que votre banquier vous féliciterait de prévoir finalement payer vos mensualités au bout de 20 ans sans même commencer à rembourser celles que vous aurez raté ?
Non, bien sûr. Et c'est d'autant plus grave que tant que le régime n'est pas à l'équilibre il est à risque et le risque augmente avec le temps. Mais ce n'est pas grave car ce sont vos retraites que l'on ne paiera pas, pas celles de ceux qui font les budgets.
Malgré la lassitude de ce sujet qui revient tous les 2-3 ans, le risque des retraites est à prendre très au sérieux : si les taux d'intérêts remontent avant les années 2040 ? BOUM.
Il faut bien pourtant que les taux d'intérêts remontent : ils détruisent notre économie, ils détruisent notre société (je prépare une lettre sur le sujet).
D'ailleur le COR rappelle les 3 leviers pour équilibrer le régime avant la très hypothétique année 2040 :
- Augmenter les cotisations. C'est à priori exclu puisque le gouvernement cherche justement à alléger les charges.
- Allonger la durée du travail : c'est déjà en cours et le front social va déjà être suffisamment chargé par les réformes du travail pour que l'on ne se rajoute pas cette mesure impopulaire.
- Baisser les pensions : BINGO. Il faut vous attendre à vous faire rogner votre retraites coup de griffe après coup de rabot. C'est la seule solution pour éventuellement éviter la catastrophe sans réformer l'État providence en profondeur. Et puis un retraité, ça ne fait pas grève (et pour cause) et si ça descend dans la rue, ça n'agite pas grand chose d'autre que son parapluie : c'est tellement plus facile de s'en prendre au plus faible.
Mais il n'y a pas que votre retraite qui pose problème...
Les propriétaires sont des « rentiers »
Si vous êtes propriétaire et que vous avez fini de rembourser votre emprunt : ATTENTION.
Vous êtes dorénavant « rentier » selon Thomas Piketti mais aussi l'OFCE, le Conseil d'Analyse Économique, France Stratégie et son commissaire général Jean Pisani-Ferry (aussi rédacteur du programme d'Emmanuel Macron).
Ils se sont tous ligués contre vous.
Notez bien qu'habiter un logement que vous avez fini de rembourser ne vous procure aucun revenu, aucune « rente »... Mais ce n'est pas grave. Vous êtes rentier tout de même car vous n'avez pas à payer de loyer ou de remboursement d'emprunt.
Aujourd'hui un rentier n'est plus quelqu'un qui vit des rentes de son patrimoine, mais quelqu'un de prudent qui s'est assuré un toit sur la tête.
Peu importe que l'immobilier soit déjà un des actifs les plus taxés en France. Peu importe que la France soit un des pays d'Europe où il y a le moins de propriétaires.
Le gouvernement a l'intention de remplacer l'ISF par une taxe sur la « rente immobilière ».
Alors que faire ?
Si vous disposez de plus de 250 000€ de patrimoine financier (et plutôt 500 000€) vous pouvez bénéficier des conseils d'un bon banquier privé qui vous aidera à mettre vos économies à l'abri et à les fructifier.
En dessous de 250 000€ en revanche, le banquier qui se présentera à vous sera un commercial qui cherchera —sauf exception— à vous refourguer le produit sur lequel il touchera la plus grosse retrocommission.
Alors il faut faire le travail vous-même.
Bien sûr vous êtes à la merci de ce que l'État veut bien vous verser comme retraite. Bien sûr aussi vous êtes à la merci de ce que l'État entend vous taxer sur votre patrimoine immobilier.
Il reste au moins votre capital à préserver voire à augmenter, aussi petit soit-il.
Cela demande un peu de travail mais c'est accessible à toute personne de bonne volonté.
À votre bonne fortune,
Olivier Perrin
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