Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
samedi 9 septembre 2017
vendredi 8 septembre 2017
Feuille de route et mobilisation contre les ordonnances : le PS au travail !
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Feuille de route et mobilisation contre les ordonnances : le PS au travail !
Bonjour à tous,
En cette rentrée 2017, le Parti socialiste est plus que jamais mobilisé et au travail.
Le projet de feuille de route pour notre Refondation a été adopté par le Bureau national. Maintenant, c'est à vous de voter le 28 septembre. Retrouvez le texte en intégralité !
La semaine prochaine, mobilisons-nous contre les ordonnances Macron/Pénicaud !
Une feuille de route pour la refondation du Parti
Ce lundi 4 septembre, le Bureau national a adopté le projet de feuille de route, élaboré par la Direction collégiale provisoire.Désormais, c'est à vous, militants, de vous en emparer, en section, en fédération, avant le vote du 28 septembre prochain !
Contribuez en ligne à la Refondation !
Unanimes contre les ordonnances Macron/Pénicaud !
C'est parce qu'il défend les droits des salariés et des syndicats, que le Parti socialiste est contre les ordonnances Macron/Pénicaud sur le Code du Travail. Mobilisons-nous !
Parti Socialiste
jeudi 7 septembre 2017
mercredi 6 septembre 2017
mardi 5 septembre 2017
Macron et Mélenchon d'accord sur un point, un 6e candidat pour LR, le blues des ex-députés - L'Obs
lundi 4 septembre 2017
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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "" :
«Au fond, Emmanuel Macron n'a pas complètement tort. Les Français « détestent » les réformes. Surtout celles qui les appauvrissent ou les mettent socialement en danger. La belle découverte ! À force de jouer avec ce mot fourre-tout, il s'est piégé lui-même. Car tout dépend évidemment de ce que l'on entend par « réforme ». Le mot, qui a si longtemps été synonyme de progrès social, est devenu au cours des vingt dernières années l'instrument d'une ruse politique grossière. Il désigne tout projet qui vise à reprendre aux salariés ce que les luttes d'autrefois leur avaient apporté. Et c'est bien de cela qu'il s'agit aujourd'hui avec la loi travail. Ceux qui en douteraient, faute de s'être plongés dans ces sujets rugueux, n'ont qu'à entendre les encouragements de Pierre Gattaz.
Le président du Medef est derrière le président de la République comme un supporter du PSG derrière son équipe favorite : « Allez Emmanuel, ne lâche rien ! » Mais, pour l'exécutif, il ne s'agit pas seulement d'imposer au pays un bouleversement social sans précédent ; il faut aussi y parvenir au moindre coût politique. Certes, rien ne peut vous arrêter quand vous avez une majorité à l'Assemblée. Mais un interminable face-à-face avec le mouvement social qui transformerait le jeune et sémillant Président en chef de brigade de CRS ne collerait pas trop au nouveau récit élyséen. Ce pourrait être le début d'une longue agonie politique, hypothéquant les autres projets, sur les retraites et l'assurance chômage notamment.»
Extrait éditorial de D.SIEFFERT dans Politis n° 1467 31/08au 6/09.
dimanche 3 septembre 2017
samedi 2 septembre 2017
vendredi 1 septembre 2017
jeudi 31 août 2017
Angela Merkel, l’« inébranlable » | Contrepoints
mercredi 30 août 2017
mardi 29 août 2017
dimanche 27 août 2017
samedi 26 août 2017
vendredi 25 août 2017
jeudi 24 août 2017
Nouveau commentaire sur "Rester libre" : comment La France insoumise s'org....
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article ""Rester libre" : comment La France insoumise s'org..." :
«Dans notre France moderne, qu'est-ce donc que la République? C'est un grand acte de confiance. Instituer la République, c'est proclamer que des millions d'hommes sauront tracer eux-mêmes la règle commune de leur action; qu'ils sauront concilier la liberté et la loi, le mouvement et l'ordre; qu'ils sauront se combattre sans se déchirer; que leurs divisions n'iront pas jusqu'à une fureur chronique de guerre civile, et qu'ils ne chercheront jamais dans une dictature, même passagère, une trêve funeste et un lâche repos. Instituer la République, c'est proclamer que les citoyens des grandes nations modernes, obligés de suffire par un travail constant aux nécessités de le vie privée et domestique, auront cependant assez de temps et de liberté d'esprit pour s'occuper de la chose commune. Et si cette République surgit dans un monde monarchique encore, c'est d'assurer qu'elle s'adaptera aux conditions compliquées de la vie internationale sans entreprendre sur l'évolution plus lente des peuples, mais sans rien abandonner de sa fierté juste et sans atténuer l'éclat de son principe.
Oui, la République est un grand acte de confiance et un grand acte d'audace.»
Jean JAURÈS
Discours à la jeunesse
au lycée d'Albi, 1903.
mercredi 23 août 2017
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