Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 18 juin 2013
- Mouvement Unitaire Progressiste ..Jérôme Cahuzac a menti. Il a menti à sa famille,...
Laurent Beaud 18 juin 08:01 Jérôme Cahuzac a menti. Il a menti à sa famille, au Premier Ministre, au Président de la République, mais aussi à la Représentation Nationale, dont il est issu, et surtout aux françaises et français.
Au-delà du mensonge, il a contribué à jeter le discrédit sur la classe politique. Il a fait le jeu de la droite, des extrêmes et de tous ceux qui surfent sur le thème du "tous pourris"...En période de crise et de tensions sociales, cela est encore plus grave. Le résultat de la législative de Villeneuve sur Lot lui est intégralement imputable.
Mais le plus paradoxal, c'est que Jérôme Cahuzac, qui a affirmé n'avoir jamais cru à la lutte des classes, nous donne une illustration concrète de la forme qu'elle peut prendre... La fraude fiscale est en effet une des armes utilisées par les plus riches pour s'affranchir de leur juste contribution au financement de la puissance publique. Les Etats, pour compenser ces pertes, sont contraints d'augmenter la pression fiscale sur ceux qui n'ont pas la possibilité de tricher...nous tous !
Cette affaire a mis en lumière, s'il en était besoin, la nécessite de renforcer la lutte contre la fraude fiscale, mais aussi de relancer une vraie réflexion sur la fiscalité : fiscalité européenne sur les entreprises, convergence fiscale au sein de l'UE, reforme de notre fiscalité pour plus de progressivité.
Seulement, trois jours après ses aveux, on apprenait que Jérôme Cahuzac souhaitait malgré tout reprendre son siège de député du Lot et Garonne à l'Assemblée Nationale. Il lui a fallu quelques temps avant de rebrousser chemin, mais le mal était fait. Il est le seul responsable des résultats catastrophiques de ce week end.
Après le mensonge, l'immoralité. Comme disait Michel Audiard : "Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !".
Le non-cumul des mandats doit, dans les plus brefs délais, entrer en vigueur, et s'accompagner d'une mesure "temporelle" : mandat unique, renouvelable une fois. Cela éviterait les conflits d'intérêts et renouvèlerait profondément le personnel politique.
lundi 17 juin 2013
Les affaires du Golf nouveauté et petit rappel ...
Le Midi Libre
Alès : un avis mi-figue mi-raisin pour le golf de Saint-Hilaire
Quatre points à étudier : trois oui, un non Le dossier d’enquête publique portait sur quatre points : la déclaration publique, la mise en compatibilité du plan d’occupation des sols de Saint-Hilaire, la mise en compatibilité de celui de Méjannes-les-Alès (également concerné pour 20 hectares sur 359 au total), et l’enquête parcellaire.
Pour ces trois derniers points, les commissaires enquêteurs ont émis des avis favorables "sous réserves qu’une déclaration d’utilité publique soit prononcée par l’autorité compétente". Autrement dit, le préfet qui, de toute façon, a le dernier mot. C’est lui, en effet, qui prend ou non un arrêté d’utilité publique, les avis des commissaires enquêteurs n’étant que consultatifs.
En ce qui concerne la demande de DUP, le point le plus important puisqu’elle permet les expropriations, elle reçoit un avis défavorable.
Le golf de neuf trous n’est pas "pertinent"
Le golf doit s’étendre sur 145 hectares, avec un parcours de 18 trous, un autre de 9, à vocation pédagogique. "Il est incontestable qu’un golf 18 trous est un atout pour le développement d’un territoire et peut devenir un élément de valorisation de l’environnement.
Mais la question de la pertinence du 9 trous reste posée", lit-on dans les conclusions qui pointent également le fait que "l’utilité et la rentabilité" n’en sont pas démontrées et qu’il "porterait gravement atteinte à des exploitations agricoles dynamiques".
Le rapport estime également que le golf 18 trous "ne sera pas économiquement viable s’il ne draine pas une clientèle extérieure plus importante que celle estimée par la Fédération française de golf. Or, aucune étude sur l’équilibre entre l’offre et la demande n’a été réalisée".
La zone économique remise en cause Les commissaires regardent le volet économique d’une manière assez étonnante : la zone de 29,3 hectares leur semble mal positionnée. On lit "sa desserte routière est aléatoire et la synergie alléguée avec le Capra reste vague, sa localisation nuit à l’activité agricole et (...) à la qualité de vie des habitants. Elle est susceptible de porter atteinte à l’image du golf". La question sur la nécessité même de créer une zone économique est carrément posée.
La question de l’eau et de l’arrosage du golf
L’enquête estime que "l’impact des prélèvements sur la ressource constituée par les nappes souterraines n’est pas suffisamment étudié" et suggère un dispositif "innovant" (recycler les eaux de la station d’épuration) pourtant interdit par la Dréal.
De la nécessité d’une DUP
Si les enquêteurs imaginent que "le nombre d’emplois créés sera supérieur au nombre d’emplois détruits dans l’agriculture", ils déplorent toutefois un "étalement urbain non maîtrisé et une consommation excessive d’espace au détriment du patrimoine bâti et archéologique et des espaces agricoles qui sont une composante importante du paysage".
Mais finalement, l’argument massue des enquêteurs est que, comme l’Agglo possède déjà une centaine d’hectares, une DUP n’est pas nécessaire, en tous cas pour une superficie aussi importante. "Le maître d’ouvrage a la maîtrise foncière de la quasi-totalité de l’emprise du golf 18 trous, il semble en effet qu’il lui sera facile d’acquérir les parcelles de M. Georges dont le complexe touristique sera le premier bénéficiaire du golf".
De quoi aboutir à un avis défavorable à la demande de déclaration d’utilité publique.
Ce que dit Christophe Cavard Député EELV Gard
20130613 cavard le golf par zimprod
dimanche 16 juin 2013
vendredi 14 juin 2013
jeudi 13 juin 2013
La commune est le premier niveau de la République exemplaire que les socialistes ont commencé à bâtir. La commune est aussi le cadre de l’expression démocratique de proximité, le lieu où doit naître et s’épanouir pleinement la citoyenneté
Petite contribution de réflexion après Le Teil
J’étais très curieux du village des possibles que la pluie a contribué à rendre impossible. Donc à suivre.
Ainsi la semaine s’est réduite au week-end de la démocratie réelle à venir, dans une atmosphère souvent chaleureuse et assez humaine, tenu compte de l’amère évidence que la communauté n’existe pas encore et qu’il n’y a que l’illusion d’être ensemble collectivement.
Comment cela pourrait-il changer ? Voilà la question toujours implicite tout le long du rencontre mais souvent tue, au delà des échanges divers, mis en œuvre, avec passion confuse mais sincère, par les citoyens de nulle part que nous sommes.
Tout rencontre spontané laisse sortir les quelques affinités mais surtout les différences entre les individus. C’était le cas à Le Teil, grâce au gros et remarquable travail de préparation de Bernard et de ses quelques amis passionnés de OPDLM qui a constitué le don d’un espace/temps où chacun a pu essayer d’être soi même.
Identités et différences émergent au niveau du comportement autant qu’au niveau de la conscience car les vieux clivages sont loin d’être dépassés (aussi peu d’ailleurs que les frustrations personnelles qui les alimentent). D’ailleurs, les courbatures idéologiques douloureuses augmentent au fur et à mesure que le vieux monde est toujours là, et même plus que jamais, hélas. Derrière chaque militant marche toujours une quelque morale, pas nécessairement cohérente, qui voit en toute négation un reniement, en toute prise de parole une prise de pouvoir.
Quand rien ne change jamais, la moralisation bureaucratique des autres est la dernière activité possible pour cacher notre impuissance (ou manque de passion véritable) à changer le monde. Ainsi les limites inévitables des individus deviennent souvent les boucs émissaires d’un collectivisme de bistrot qui séduit les quelques militants mondains venant en touriste à consommer du discours alternatif.
Il y a donc, dans la faune que nous sommes, le beau parleur narcissique et le bobo à l’affût pour ne pas se laisser faire par aucun discours trop librement étalé. Dénoncer les hiérarchies et le pouvoir est absolument prioritaire. Comment ne pas être solidaires, donc, avec une telle sensibilité même si elle se traduit souvent en une hargne bureaucratique à mesurer le nombre de mots et le temps de parole d’autrui ? Malheureusement, celui qui, au nom de la démocratie, se proclame donneur de parole, finit presque toujours pour en profiter et se donner le droit de parler à son aise pendant qu’il mesure la parole des autres. Il faudra peut-être arriver à régler cette question si importante différemment : que chacun étale ses savoir ou présumés tels en liberté, sans la guillotine d’un peuple frustré qui se contente de partager sa frustration sans jamais dénoncer l’impuissance qui le frustre.
La vraie limite sociale évidente de ceux qui parlent beaucoup c’est d’empêcher les autres d’en faire autant, mais l’égalité ce serait donc que chacun parle à sa guise et non pas que tous parlent si peu. Il n’y a pas d’égalité sans liberté ni sans une protection accrue des différences visibles. Il nous faut du temps, du vrai temps libre des contraintes d’esclaves, et bien sur le droit absolu de rappeler aux parleurs, à chaque instant, le côté névrotique de la prise de parole, l’éventuel excès disharmonique de leur expression et notre envie d’en faire autant.
D’un côté l’occupation narcissique du territoire, de l’autre l’espace octroyé à quelques catégories choisies, voila deux erreurs spéculaires à corriger.
Obliger les jeunes, les femmes ou les pandas à s’exprimer relève du paternalisme de prof ou de psychologue et non pas de la liberté démocratique ou de l’égalité fraternelle.
Pour favoriser l’expression de chacun, il faudrait plutôt laisser agir librement les affinités électives qui tendent spontanément à diriger chacun dans le collectif le plus attirant. J’ai apprécié, par exemple, dans l’atelier que j’étais appelé à animer, l’absence d’un certain nombre d’individus qui ne trouvent probablement pas sympathique ce prétentieux transalpin venu faire la leçon, cette espèce de philosophe marginal qui parle beaucoup.
La magie fait que souvent une antipathie légère se révèle aussi réciproque que les coups de foudre et c’est très bien ainsi. Cela n’empêche pas de boire un pot ensemble, ou parfois même de communiquer un peu. On peut aimer un peu tout le monde, mais pas faire l’amour avec tout le monde, même pas en théorie.
Donc, que chaque jouissance cherche et trouve son interlocuteur possible, en théorie comme en pratique. L’ensemble des différences étalées fera un monde nouveau selon la sensibilité de Fourier et non pas de Staline.
La peur est effectivement partout, mais elle est un symptôme et non pas une justification. L’insécurité est un sentiment phobique. Il faut donc la traiter comme un alibi symptomatique et non pas comme une juste revendication ou une sage précaution.
Ainsi on dépassera, peut-être, le jeu hypnotique et sadomaso qui porte à se soulager de façon solitaire en accusant tous les autres de sa solitude. Nous sommes seuls tous ensembles et on se réunira véritablement le jour où on satisfera ensemble quelques désirs plutôt que revendiquer obsessionnellement, comme des syndicalistes du quotidien, des tragiques besoins culpabilisants.
De ma part, la seule partie que je peux assumer, je dis : assez des intellectualismes confusionnistes qui pour se réapproprier des mots se revendiquent du populisme et du nationalisme. Pourquoi, alors, ne pas se réapproprier aussi du fascisme et du racisme ?
Tolérance pour tous, dépassement des idéologies, bien sur, mais au-delà des droites et des gauches, il reste toujours nécessaire de choisir son camp, camarades ! Donc je partage encore avec l’IS cette devise pratique : pas de dialogue avec les provocateurs, pas de dialogue avec les cons ! (Je n’oublie pas, néanmoins, que nous sommes tous le con de quelqu’un d’autre, d’où l’importance des affinités électives).
Assez de thérapies de laboratoire pour soigner l’économie, alors qu’il s’agit de sauver les hommes de la pathologie économique.
La vraie réappropriation des mots c’est de leur faire dire ce que leur étymologie laisse entendre. L’économie est la bonne gestion de la « maison », donc une économie domestique. Un point c’est tout.
Un populiste est un démagogue manipulateur du peuple et non pas un ami du peuple. La cause du peuple est celle du peuple lui-même et non pas celle de ses pasteurs autoproclamés.
Un nationaliste n’est pas un patriote d’une nation vivante, mais un autoritaire mettant sa nation idéologique devant celles d’autrui qui ne reconnaît même pas.
Assez aussi des quelques touristes de la révolution qui participent aux rencontres comme à un festival ciné. Ils sont émus aux larmes après un film, comme si les grecs et les Mapuche n’existaient pas sinon dans la projection.
Si on pense que la révolution est en Grèce, c’est là qu’il faut aller voir, sinon on pourrait plutôt intervenir ici et maintenant dans notre vie quotidienne qui ne manque pas non plus de révolutions nécessaires dans nos affectivités, notre activité, notre exclusions intimes et sociales, etc. Cela est une forme de solidarité avec les autres moins spectaculaire à mes yeux.
Les poètes bureaucrates adorent toujours le calcul obsessionnel des doigts qui se lèvent vers le ciel car cela est la meilleure manière d’ignorer la lune qu’on a honte d’avoir raté tout le long d’une vie perdue à la gagner sans broncher.
Que cela soit à propos d’un discours, d’une personne ou d’un livre, les suiveurs éternels d’une vérité indiscutable et changeante comme les idéologies, finissent toujours par être déçu des gourous qu’ils n’arrêtent pas de chercher frénétiquement. Tant mieux, mais quand arrêteront-ils de suivre avant et de haïr ensuite ?
Tout cela n’a plus de sens car plus rien de l’ancien monde hiérarchique ne peut participer au dépassement nécessaire de la société du spectacle.
Sans la prétention de tout comprendre ou dire, mes mots expriment une bonne partie de mon sentiment.
Avec ma sincère amitié,
Sergio Ghirardi
P.S. Sorry for my french, I’m italian !
mercredi 12 juin 2013
Fwd: Communiqué de Benoit Joseph et Juliette Méadel
N'ayons pas peur de faire l'Europe, Parlons d'Europe !
A quelques mois des prochaines élections européennes, dont le résultat aura un impact politique capital pour notre avenir à tous, le collectif "pour un parti d'avenir", se félicite du succes de la convention nationale pour l'Europe organisée par le PS. A l'heure où la droite s'enlise dans des primaires municipales sans vision politique, le parti socialiste démontre une nouvelle fois sa capacité à proposer une vision claire et cohérente aussi bien au niveau européen, national que local.
Cette convention est l'occasion de montrer que, depuis plus d'un an, le Président de la République oeuvre à la mise en place d'une politique de relance européenne radicalement tournée vers l'avenir et non vers la défense des égoïsmes nationaux, comme cela a été le cas durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy.
Notre collectif, "pour un parti d'avenir"qui s'est engagé, depuis le congrès de Toulouse, pour plus de transparence et de démocratie dans la vie politique entend rappeler l'importance de la consultation démocratique sur les questions européennes. Les clivages partisans et les calculs politiciens ne doivent pas étouffer la voix des citoyens et des militants. Nous ne pourrons donc que regretter toute tentative qui reviendrait à détourner les choix clairs exprimés par les adhérents du Parti Socialiste à l'occasion du vote de jeudi dernier.
Il nous faut maintenant amplifier cette action en allant convaincre et rassembler le plus largement possible nos partenaires autour de notre projet. Pour y arriver, nous devons assumer notre identité et nos convictions. Nous devons partager notre vision avec nos concitoyens et ne pas fuir le débat, y compris au sein de notre famille politique.
Nous sommes convaincus que c'est en remettant l'Europe au coeur de notre vie démocratique, à l'intérieur du Parti socialiste, au Parlement, dans les collectivités territoriales, dans les écoles et dans nos quartiers que nous parviendrons à construire une Europe démocratique, sociale, durable, innovante, bref, une Europe porteuse d'espoir. C'est en parlant d'Europe avec des mots justes, clairs et transparents que nous relancerons ce fabuleux rêve. N'ayons pas peur de faire l'Europe, n'ayons pas peur de la voix des citoyens, ni de celles des militants : parlons d'Europe !
Juliette Méadel, secrétaire nationale du Parti Socialiste
Benoît Joseph, membre du bureau national du Parti Socialiste
La crise n' existe pas du moins ce que l'on veut bien nous faire croire
Les évasions fiscales à l' échelle mondiale sont visiblement moins bien contrôlées par tous ces tricheurs potentiels aujourd'hui
La gourmandise les a atteint
Les astuces mise en place par les spécialistes de la fiscalité des entreprises et l' expertise des financiers du style HSBC et autres ont trop grossi
, on ne peut plus les cacher
Cet argent qui se déplace dans le monde en quelques secondes sur les réseaux informatiques, n'existe même pas
Ces financiers , ces spécialistes de la fiscalité ont joué les apprentis sorciers
Leur système les dépasse... Ça se voit
Évidemment depuis quelques années on masque , on parle de crise, on demande au petit peuple de se serrer la ceinture, bien sur il faut compenser ces fuites
Les bac plus 10 vous expliquent que c'est fini , on ne pourra plus vivre comme avant
Les gaspillages, les pays émergents etc...
Notre Terre ne pourra plus nous nourrir,
J' oubliai l' énergie il ń y en aura plus
Tout cela foutaise , rideau de brouillard
Les sommes annoncées détournées sont colossales
Mittal doit 1 milliard au fisc
Amazone 198 millions
Etc....
On ne va tout de même pas attendre que tout s'estompe , la sortie de crise peut être ?
Un espoir les États Unis, le royaume. Uni un peu la France prennent ce problème à bras le corps
Mais s' il vous plaît ne parlez plus de sortie de crise
On ne peut pas sortir de quelque chose qui n' existe pas
Ce ne devrait être tout simplement que la récupération de biens détournés
N'essayez pas de comprendre tous ces mécanismes financiers
regardez autrement
Le REBOUSSIER
Envoyé de mon iPad
mardi 11 juin 2013
Des communes fortes, pour une démocratie vivante - Lagazette.fr
La Carrière de Bagard au goût du jour à Anduze
visite carriere de bagard 24juin10 par zimprod
Il a été fortement question de l' extension de cette carrière au dernier conseil municipal d' Anduze de juin 2013
Pourquoi ?
Le maire d' Anduze était plutôt favorable au début du débat , mais avec un conseil pas si favorable que ça , a courageusement freiné et transformer sa brillant conviction en un échappatoire dont il est un brillant spécialiste
Mais soyons vigilant ces spécialistes des carrières promettent toujours l' exemplarité sans tenir leurs promesses , les bâches sur les camions, le reboisement etc ...
Le reboussiervigilant