Un repas quasiment gratuit et qui ne doit rien à Montsanto ni aux supermarchés... dérisoire certes à l'heure actuelle mais bon...
http://cueillettes.blogspot.com/
Bonsoir à tous. HL
Et sur la justice ou plus exactement les pro libéraux de la justice... dans nos régions ou sans doute ailleurs...
http://www.lepost.fr/article/2011/03/16/2436593_les-plaideurs-huissiers-experts-acocats-et-les-autres-un-monde-a-part_1_0_1.html
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 18 mars 2011
jeudi 17 mars 2011
L'Histoire en débat, vendredi, à Alès
.
Vendredi 18 mars, 20 h, salle Mayodon*, ALÈS
*dans centre social SNCF, 1 rue Jean Mayodon (Derrière musée du Colombier. Au rond point du Mac'do, prendre direction Chantilly, Ecoles des Mines et première à gauche. Parking).
Utilisation détournée des grandes figures de la Résistance, réhabilitation du passé colonial, projet de création d'une Maison de l'histoire de France... rarement l'histoire n'a été autant manipulée par le pouvoir politique. Pourquoi une telle instrumentalisation du passé et comment y faire face ?
Conférence débat avec Pierre Schill, professeur d'histoire-géographie et Eric Soriano, historien, maître de conférence en Sciences politiques.
Pierre Schill et Eric Soriano sont membres du Comitié de vigilance face aux usages publics de l'histoire (CVFUPH) et coauteurs de Comment Nicolas Sarkozy écrit l'Histoire de France (Agone Edit.).
Entrée libre.
lecarrefourcitoyen@yahoo.fr
Vendredi 18 mars, 20 h, salle Mayodon*, ALÈS
*dans centre social SNCF, 1 rue Jean Mayodon (Derrière musée du Colombier. Au rond point du Mac'do, prendre direction Chantilly, Ecoles des Mines et première à gauche. Parking).
A QUOI SERT L'HISTOIRE ?
Utilisation détournée des grandes figures de la Résistance, réhabilitation du passé colonial, projet de création d'une Maison de l'histoire de France... rarement l'histoire n'a été autant manipulée par le pouvoir politique. Pourquoi une telle instrumentalisation du passé et comment y faire face ?
Conférence débat avec Pierre Schill, professeur d'histoire-géographie et Eric Soriano, historien, maître de conférence en Sciences politiques.
Pierre Schill et Eric Soriano sont membres du Comitié de vigilance face aux usages publics de l'histoire (CVFUPH) et coauteurs de Comment Nicolas Sarkozy écrit l'Histoire de France (Agone Edit.).
Entrée libre.
lecarrefourcitoyen@yahoo.fr
Drôme/Ardèche Vers l’intégration du gaz de schiste dans un “mix énergétique” ?
Vers l’intégration du gaz de schiste dans un “mix énergétique” ?
Interrogé mardi sur une éventuelle alternative au nucléaire en matière de production d’électricité, le patron de GDF Suez, Gérard Mestrallet, a clairement laissé entendre qu’on ne pourrait peut-être pas se passer du gaz de schiste présent en masse dans le sous-sol du grand Sud-Est en général, de l’Ardèche et de la Drôme en particulier.
“Le gaz représente un moyen de production qui va (..) probablement être plus pris en compte”
En effet, sur cette question controversée du gaz de schiste en France, il a affirmé que “s’il y a des réserves de gaz et que ces réserves de gaz peuvent être exploitées […] en protégeant à la fois le sous-sol et la nappe phréatique, ça peut peut-être être regardé”. “
La France aujourd’hui n’a pas de pétrole, pas de gaz, pas de charbon.
On a le nucléaire”, a-t-il noté.
Voilà qui va raviver des plaies ouvertes dans nos deux départements.
Plus de 15 000 personnes ont manifesté le 26 février dernier à Villeneuve-de-Berg contre un permis d’exploration et de recherche de gaz de schiste.
Gérard Mestrallet indiquait ainsi, à la lumière de la crise japonaise, que le gaz allait “probablement être plus pris en compte” à l’avenir, tout en soulignant que le nucléaire était “une bonne filière de production” énergétique.
“Le gaz représente un moyen de production qui va (..) probablement être plus pris en compte”, parce que c’est “un moyen de produire très propre”, a-t-il déclaré, en notant que “le gaz est remonté de façon spectaculaire sur les marchés depuis trois jours, parce que les Japonais achètent massivement”.
Concernant la France, il a souligné qu’il faudra “vérifier que le parc français satisfera bien toutes les contraintes sur le plan sismique et sur le plan des inondations”, mais jugé que ce parc était “un atout” pour le pays.
“Les centrales nucléaires existent, elles sont de très bonne qualité en France”, a insisté M. Mestrallet, notant que “diminuer (la part du nucléaire, ndlr) aujourd’hui n’aurait pas tellement de sens”. “
Je pense que dans le monde, incontestablement, il pourrait y avoir un glissement dans le mix énergétique”, a-t-il toutefois affirmé.
GDF-Suez indique ainsi très clairement son penchant pour un “mix énergétique”, c’est-à-dire “ni tout nucléaire, ni tout renouvelable, ni tout turbine à gaz, ni tout hydraulique”, a déclaré Gérard Mestrallet, rappelant que le nucléaire représente 11 % de l’activité énergétique du groupe.
par la rédaction du DL le 16/03/2011 à 05:10
Envoyé par BS
Interrogé mardi sur une éventuelle alternative au nucléaire en matière de production d’électricité, le patron de GDF Suez, Gérard Mestrallet, a clairement laissé entendre qu’on ne pourrait peut-être pas se passer du gaz de schiste présent en masse dans le sous-sol du grand Sud-Est en général, de l’Ardèche et de la Drôme en particulier.
“Le gaz représente un moyen de production qui va (..) probablement être plus pris en compte”
En effet, sur cette question controversée du gaz de schiste en France, il a affirmé que “s’il y a des réserves de gaz et que ces réserves de gaz peuvent être exploitées […] en protégeant à la fois le sous-sol et la nappe phréatique, ça peut peut-être être regardé”. “
La France aujourd’hui n’a pas de pétrole, pas de gaz, pas de charbon.
On a le nucléaire”, a-t-il noté.
Voilà qui va raviver des plaies ouvertes dans nos deux départements.
Plus de 15 000 personnes ont manifesté le 26 février dernier à Villeneuve-de-Berg contre un permis d’exploration et de recherche de gaz de schiste.
Gérard Mestrallet indiquait ainsi, à la lumière de la crise japonaise, que le gaz allait “probablement être plus pris en compte” à l’avenir, tout en soulignant que le nucléaire était “une bonne filière de production” énergétique.
“Le gaz représente un moyen de production qui va (..) probablement être plus pris en compte”, parce que c’est “un moyen de produire très propre”, a-t-il déclaré, en notant que “le gaz est remonté de façon spectaculaire sur les marchés depuis trois jours, parce que les Japonais achètent massivement”.
Concernant la France, il a souligné qu’il faudra “vérifier que le parc français satisfera bien toutes les contraintes sur le plan sismique et sur le plan des inondations”, mais jugé que ce parc était “un atout” pour le pays.
“Les centrales nucléaires existent, elles sont de très bonne qualité en France”, a insisté M. Mestrallet, notant que “diminuer (la part du nucléaire, ndlr) aujourd’hui n’aurait pas tellement de sens”. “
Je pense que dans le monde, incontestablement, il pourrait y avoir un glissement dans le mix énergétique”, a-t-il toutefois affirmé.
GDF-Suez indique ainsi très clairement son penchant pour un “mix énergétique”, c’est-à-dire “ni tout nucléaire, ni tout renouvelable, ni tout turbine à gaz, ni tout hydraulique”, a déclaré Gérard Mestrallet, rappelant que le nucléaire représente 11 % de l’activité énergétique du groupe.
par la rédaction du DL le 16/03/2011 à 05:10
Envoyé par BS
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Réforme territoriale ST Sébastien d'Aigrefeuille 12 mars 2011 V.Berbérian part 01
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Le syndrome "japonais" lettre à Victor
L'heure de la polémique ,cher Victor arrive
La douleur du peuple Japonais ,vécue presque en direct et en images nous a tous touché très profondément
Touché pour leur souffrance ou tout simplement par peur égoïste pour ce qui pourrait nous arriver ? va savoir Victor ?
La polémique va s'abattre sur le modelé ultra libéral de ce pays où le travail est sacré
Sur l'image que l'on croit avoir sur la rigueur et le sérieux des dirigeants de ce peuple
Mais pas sur la discrétion et le respect des autres
Jusque là la notion de "réboussier" ne les effleure même pas.
Mais voila j'ai l'impression que tout est en train de basculer , les polémiques enflent cher Victor
Les médias nous ont laissé entendre au début de l'arrêt des centrales nucléaires ,"ça se passe au Japon donc pas d'inquiétude à avoir...Ils maîtrisent, et de toutes façons tout s'est arrête automatiquement !"
On apprend par ci par là des choses...
La centrale de Fukushima est gérée par la compagnie Tepco qui est une multinationale cliquez sur ce lien:
http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Tokyo_Electric_Power_Company
Cette entreprise a plusieurs fois été mise en cause pour défaut de préparation à un accident ou falsification de documents
Les américains avaient déconseille la construction de cette centrale sur ce site
Et bien sont ils toujours aussi bons ces Japonais ? (rappelez vous les premiers véhicules japonais dans les années 70 non fiables)
L'ultra libéralisme bat son plein , le profit se confronte à la sécurité..Le profit remporte la bataille
Ce profit ,au début de ce cataclysme nucléaire n'a t-il pas freiné la mise en place de moyens ?
Pour notre part c'est pas mieux EDF a fait subir des pressions aux organismes chargées de la sécurité nucléaire
Et oui les contraintes de la sécurité diminuent les profits
Pour ma part cher Victor,je reste pro-nucléaire , mais les centrales de production ne doivent pas tomber entre les mains des sociétés privées et multinationales de surcroît
Le réboussierquinecroispaslesmédias
La douleur du peuple Japonais ,vécue presque en direct et en images nous a tous touché très profondément
Touché pour leur souffrance ou tout simplement par peur égoïste pour ce qui pourrait nous arriver ? va savoir Victor ?
La polémique va s'abattre sur le modelé ultra libéral de ce pays où le travail est sacré
Sur l'image que l'on croit avoir sur la rigueur et le sérieux des dirigeants de ce peuple
Mais pas sur la discrétion et le respect des autres
Jusque là la notion de "réboussier" ne les effleure même pas.
Mais voila j'ai l'impression que tout est en train de basculer , les polémiques enflent cher Victor
Les médias nous ont laissé entendre au début de l'arrêt des centrales nucléaires ,"ça se passe au Japon donc pas d'inquiétude à avoir...Ils maîtrisent, et de toutes façons tout s'est arrête automatiquement !"
On apprend par ci par là des choses...
La centrale de Fukushima est gérée par la compagnie Tepco qui est une multinationale cliquez sur ce lien:
http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Tokyo_Electric_Power_Company
Cette entreprise a plusieurs fois été mise en cause pour défaut de préparation à un accident ou falsification de documents
Les américains avaient déconseille la construction de cette centrale sur ce site
Et bien sont ils toujours aussi bons ces Japonais ? (rappelez vous les premiers véhicules japonais dans les années 70 non fiables)
L'ultra libéralisme bat son plein , le profit se confronte à la sécurité..Le profit remporte la bataille
Ce profit ,au début de ce cataclysme nucléaire n'a t-il pas freiné la mise en place de moyens ?
Pour notre part c'est pas mieux EDF a fait subir des pressions aux organismes chargées de la sécurité nucléaire
Et oui les contraintes de la sécurité diminuent les profits
Pour ma part cher Victor,je reste pro-nucléaire , mais les centrales de production ne doivent pas tomber entre les mains des sociétés privées et multinationales de surcroît
Le réboussierquinecroispaslesmédias
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mercredi 16 mars 2011
Le Midi Libre du 16 mars 2011
La Marseillaise du 16 mars 2011
La Marseillaise du 10 mars 2011
La Marseillaise du 5 mars 2011
Le carnet de notes de Max Roustan
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Le député Max Roustan est classé parmi les plus mauvais élèves par le site de l’assemblée nationale qui publie chaque année un classement des députés en fonction de leur assiduité. Il arrive en 521 ème position sur 577.
C’est un peu mieux dans le classement de « Lyon capitale » qui prend en compte d’autres critères il ne se retrouve là qu’à la 398 ème place. Pas de quoi pavoiser tout de même.
Max Roustan est par contre très bien placé, 95 ème sur 577, dans l’enquête du Monde.fr qui effectue un classement des députés ….. qui cumulent le plus de mandats.
Le député Max Roustan est classé parmi les plus mauvais élèves par le site de l’assemblée nationale qui publie chaque année un classement des députés en fonction de leur assiduité. Il arrive en 521 ème position sur 577.
C’est un peu mieux dans le classement de « Lyon capitale » qui prend en compte d’autres critères il ne se retrouve là qu’à la 398 ème place. Pas de quoi pavoiser tout de même.
Max Roustan est par contre très bien placé, 95 ème sur 577, dans l’enquête du Monde.fr qui effectue un classement des députés ….. qui cumulent le plus de mandats.
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Assemblée : rejet en commission d'un texte socialiste sur le "bouclier rural"
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La proposition de loi du PS baptisée "bouclier rural", qui vise à développer les services publics de proximité et à inciter au dynamisme économique dans les territoires ruraux a été rejetée mardi en commission à l'Assemblée nationale.
Ce rejet par la commission du Développement durable préfigure un rejet lors de son examen en séance publique, le 24 mars, dans le cadre d'une niche parlementaire du groupe socialiste.
Cette proposition de loi comporte une dizaine de points : principe d'égal accès des citoyens aux services publics, fixation de durées maximum d'accès, partenariats entre collectivités, nouvelles pratiques bancaires à l'égard des petites et moyennes entreprises et des très petites entreprises, amélioration de la couverture numérique.
Les députés socialistes mettent en avant "l'abandon de la politique d'aménagement des territoires" qui "défait peu à peu les services publics", "paupérise les territoires les plus défavorisés" et "relègue des populations entières dans l'oubli".
Cette proposition de loi a suscité mardi les critiques du collectif UMP "Droite rurale" (56 députés), qui propose "un plan Marshall" pour la ruralité.
Son initiateur, le député UMP Pierre Morel-à-L'Huissier, a dénoncé "le buzz médiatique" de la proposition de loi socialiste. "Défendre une PPL entre les deux tours des cantonales, c'est faire du buzz médiatique", s'est-il exclamé au cours d'une conférence de presse à l'Assemblée.
Ce collectif UMP avait lui aussi déposé un texte il y a un mois. Selon Pierre Morel-à-L'Huissier, qui met en valeur "une oeuvre collective de 200 mesures", "le plan Marshall sera décortiqué" et commencera à être "intégré dans la prochaine loi de finances".
AFP - 15/03/2011 à 21:48
La proposition de loi du PS baptisée "bouclier rural", qui vise à développer les services publics de proximité et à inciter au dynamisme économique dans les territoires ruraux a été rejetée mardi en commission à l'Assemblée nationale.
Ce rejet par la commission du Développement durable préfigure un rejet lors de son examen en séance publique, le 24 mars, dans le cadre d'une niche parlementaire du groupe socialiste.
Cette proposition de loi comporte une dizaine de points : principe d'égal accès des citoyens aux services publics, fixation de durées maximum d'accès, partenariats entre collectivités, nouvelles pratiques bancaires à l'égard des petites et moyennes entreprises et des très petites entreprises, amélioration de la couverture numérique.
Les députés socialistes mettent en avant "l'abandon de la politique d'aménagement des territoires" qui "défait peu à peu les services publics", "paupérise les territoires les plus défavorisés" et "relègue des populations entières dans l'oubli".
Cette proposition de loi a suscité mardi les critiques du collectif UMP "Droite rurale" (56 députés), qui propose "un plan Marshall" pour la ruralité.
Son initiateur, le député UMP Pierre Morel-à-L'Huissier, a dénoncé "le buzz médiatique" de la proposition de loi socialiste. "Défendre une PPL entre les deux tours des cantonales, c'est faire du buzz médiatique", s'est-il exclamé au cours d'une conférence de presse à l'Assemblée.
Ce collectif UMP avait lui aussi déposé un texte il y a un mois. Selon Pierre Morel-à-L'Huissier, qui met en valeur "une oeuvre collective de 200 mesures", "le plan Marshall sera décortiqué" et commencera à être "intégré dans la prochaine loi de finances".
AFP - 15/03/2011 à 21:48
Japon : les kamikazes du nucléaire sacrifient leur vie
Ils seraient une cinquantaine de héros, dans des conditions folles, à jouer le tout pour le tout dans la centrale de Fukushima afin d'éviter la fusion du cœur des réacteurs.
Ce sont des héros. Ils jouent le tout pour le tout. Alors que le monde est actuellement confronté à la plus grande catastrophe nucléaire depuis celle de Tchernobyl en 1986, les salariés de la centrale de Fukushima, à 250 km au nord-est de Tokyo, seraient une cinquantaine à se battre. En temps normal, ils sont 800 à travailler sur le site. Mais une partie a été évacuée. La nuit dernière, ils ont bataillé sous la neige. Leur objectif: éviter à tout prix, et ce au péril de leur vie, la fusion du cœur des réacteurs, synonyme d'émanations radioactives importantes et dangereuses pour les populations avoisinantes.
Ce sont des héros. Ils jouent le tout pour le tout. Alors que le monde est actuellement confronté à la plus grande catastrophe nucléaire depuis celle de Tchernobyl en 1986, les salariés de la centrale de Fukushima, à 250 km au nord-est de Tokyo, seraient une cinquantaine à se battre. En temps normal, ils sont 800 à travailler sur le site. Mais une partie a été évacuée. La nuit dernière, ils ont bataillé sous la neige. Leur objectif: éviter à tout prix, et ce au péril de leur vie, la fusion du cœur des réacteurs, synonyme d'émanations radioactives importantes et dangereuses pour les populations avoisinantes.
Munis de combinaisons protectrices, ces hommes, qui sont de véritables sacrifiés, ont notamment pour tâche d'injecter de l'eau de mer dans le réacteur pour en refroidir le cœur. Mardi, le patron de l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) leur a rendu hommage. Ces personnels sont «exposés à des conditions folles», a-t-il confié. «Affreuses», disait même Thierry Charles, le directeur de la sûreté des installations de l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). À Tchernobyl, plusieurs dizaines de «liquidateurs» comme on les avait appelés, étaient morts, pour certains un mois après. Les plus irradiés étant ceux qui étaient intervenus les premiers jours et qui avaient survolé en hélicoptère le réacteur en feu.
Extrait le Figaro
Envoyé par Elton
Rencontre avec Najat Vallaud-Belkacem
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