Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 24 avril 2016
samedi 23 avril 2016
vendredi 22 avril 2016
J' ai rencontré de vrais socialistes de droites
mais oui ça existe !
Le REBOUSSIER a croisé des vrais socialos de droite (je sais droite gauche ne veut plus rien dire!) mais pour vous fidèles REBOUSSIERS ça signifie quelque chose
Ces droitistes se reconnaîtront si ils suivent ce blog mais j' en doute
Ils sont pris au piège dans la nasse de nos "biens pensants"
Ben voyons ne restons pas droit dans nos bottes travailleurs, plus de souplesse
Le monde n'est plus ce qu'il était etc…
Acceptez la précarité , et les salaires ? Il faut être compétitif ! Avec les pays qui exploitent leurs citoyens
Vos futurs employeurs ont peur de vous travailleurs ,
ils ont des commandes mais ils n' embauchent personne , (comment croire cela)
il faut absolument de la souplesse que diable !
Mais vous verrez si vous faites tout ce que le Medef ou autres organisations caritatives de ce type souhaitent
LE CHOMAGE SERA ERADIQUE
Les entreprises croulerons sous les commandes !
Le plus drôle dans tout ça et que ces camarades de droite sont aussi très conscients des phénomènes de détournement d' argent public , de paradis fiscaux, de triches en tous genres perpétrés par nos "biens pensants" à part quelques petits coups de canif ils sont bien trop puissants pour être réellement attaquables
Ils ont raison , ne restons pas droit dans nos bottes, pressurisons donc les plus faibles
"Camarades" socialistes êtes vous fiers de vous ?
Et la plus juste répartition des richesses ? Ou en est-on ?
Envoyé de mon iPad
Nouveau commentaire sur Nuit debout Ales.
Une revue de création politique "BALLAST DEBOUT"
Tenir tête, Fédérer, Amorcer (revue-ballast.fr) était à disposition...
Editorial :
"Le roi est nu et ce n'est pas beau à voir. Mais remercions François Hollande et son gouvernement pour la lumière qu'ils apportent : la droite et la gauche se querellent sur la couleur des serviettes mais mangent à la même table. Le
pouvoir parle seul mais nous sommes des millions. Nous sommes le nombre, sans noms, le peuple qui fait l'Histoire sans entrer dans ses livres. Nous ne sommes ni des "utopistes" ni des "rêveurs" : notre langue n'est pas faite du bois de leurs bureaux mais des réalités que nous vivons. Ils se remplissent les poches quand nous remplissons les places - de France, d'Allemagne, d'Espagne, de Belgique ou du Québec.
Ils? L'oligarchie. Les cols blancs, les bien nourris, les cousus d'or. Même leur reflet peine à les "représenter" : ils sont ministres, conseillers, financiers, banquiers, actionnaires, grands patrons, experts, spécialistes, ils occupent les médias des puissants et dorment sur les bancs de l'Assemblée.
Nous? L'étudiant qui travaille dans un fast-food pour payer ses études; la syndicaliste en garde à vue; l'agriculteur qui se demande comment rembourser ses emprunts; l'agente de propreté en charge des parties communes d'un hôpital; le restaurateur dont l'établissement est perquisitionné sous l'état d'urgence; la mère au chômage qui regarde le prix des marques de pâtes; le jeune de quartier populaire révolté contre les contrôles incessants; l'ouvrière licenciée pour des affaires de "compétitivité"; le titulaire du RSA qui aimerait partir une semaine en vacances; la militante écologiste pliée sous les lacrymogènes; le lycéen violenté quand il ne fait que manifester.
Nous savons déjà les divisions et les tensions qui traversent notre "nous" : cherchons plutôt ce que nous avons à dire -et surtout à faire- ensemble. Ecrivons les chapitres qui manquent au récit collectif. Trouvons les mots, les nouveaux et les anciens, à même d'être entendus et repris par le grand nombre - sans folklore ni vaines crispations, sans jargon ni lourds schémas. Nous avons perdu assez de temps à jouer aux sept différences : voyons l'image qui nous rassemble. Les détails sont la passion des privilégiés.
Nous, contre la fausse "alternance"; nous, contre leur règne qui se maquille en démocratie; nous, contre les équarrisseurs libéraux de l'Europe et du monde. Occuper des places ne suffira pas, à l'évidence, mais chacun, en se relevant, découvre un chemin trop longtemps obstrué : nous pouvons vivre sans eux. Le projet de loi sur la réforme du Travail doit finir à la décharge - puis le système qui l'a rendu possible avec."