vendredi 24 décembre 2021

Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017.


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "EXCLU – "C'est facile de faire peur" : le Dr Gérald Kierzek rassure face à "l'hystérie mondiale" - Gala" :

"Dans le sillage de la baisse continue du nombre de lits que la France connaît depuis deux décennies, les hôpitaux ont perdu près de 18 000 places depuis 2017."
(...)

Logique comptable

"A l'arrivée, le cumul du développement de l'ambulatoire, du manque de personnel, auxquels il faut ajouter les circonstances particulières liées à la pandémie de Covid-19, a donc joué pour une grande part dans les fermetures de lits. Reste que les établissements de santé sont aussi confrontés à des problèmes de financement.

Financés à 90% par la sécurité sociale, via le système de tarification à l'acte généralisé en 2004, ces établissements dépendent pour fonctionner du budget qui leur est attribué à la branche maladie. Or, son montant résulte lui-même, et en partie, de choix politiques opérés par les pouvoirs publics.

CheckNews a épluché les études d'impact réalisées en amont de l'examen des projets de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) de ces dernières années. Aucune ne fait référence à un objectif en termes de fermetures ou au contraire de maintiens de lits d'hospitalisation complète. En revanche, un objectif de réduction des dépenses dans les hôpitaux à hauteur de plusieurs millions d'euros était systématiquement fixé dans les PLFSS de ces dernières années, ainsi que dans ceux adoptés sous les présidences de François Hollande et Nicolas Sarkozy. En 2019, le texte prévoyait même un milliard d'euros d'économies. Seuls les projets adoptés après le début de la crise sanitaire font exception.

«On demande à l'hôpital de réduire ses dépenses, de réduire son budget alors que la population augmente et vieillit», regrettait en avril Nathalie Coutinet, économiste de la santé interrogée par France culture. Pressés par les plans d'économies, les établissements de santé procèdent inévitablement à des suppressions de lits. Or, comme l'exprimait en septembre Marc Leone, chef du service d'anesthésie et de réanimation à l'hôpital Nord de Marseille, auprès de Marianne, lorsque «les fermetures se font sur une simple logique comptable, c'est là qu'elles sont problématiques pour les patients»."

https://www.liberation.fr/checknews/emmanuel-macron-a-t-il-ferme-17-600-lits-dhopital-en-quatre-ans-comme-laffirme-francois-ruffin-20211224_ZDEGBEMS4BHW3CGKLAOKL275ME/

Image de Noël

Anduze NOËL Ça fait envie
Peut être la rigueur protestante
Je pense plutôt aux écolos qui sauvent notre planète en l’ économisant
Un futur lugubre nous attend




 

ça je commence à le croire !

ça je commence à le croire !


Les vaccins sont du « bidonnage »
On découvre tous les jours leur inefficacité
Mais nos dirigeants continuent de peur d' être lynchés
Il n' y a pas d' immunité vaccinale
Il faut se faire vacciner tous les 3 mois (bientôt)
Le nombre de malades dépasse toutes les prévisions alarmistes
Les vaccinés sont toujours vecteurs du virus 

En parallèle on est prêt à « guillotiner » celui qui n 'est pas encore vacciné

En parallèle BIGPHARMA s' éclate

En parallèle l' économie mondiale se paralyse

En parallèle nos dirigeants nous effrayent et testent notre capacité à se laisser étouffer

En parallèle je ne vous souhaite pas une bonne année




Envoyé de mon iPad

La révision majeure du Plan Local d'Urbanisme d'Alès / Ne rien lâcher !

La révision majeure du Plan Local d'Urbanisme... révisée à la baisse grâce à 6 mois de mobilisation du Printemps alésien mais demeure inacceptable !

 
Le projet d'étalement et de mitage urbain alésien demeure hélas le cœur de ce nouveau PLU adopté en conseil municipal face à la vigoureuse opposition éclairée des élu.e.s du Printemps alésien.
Ce nouveau PLU c'est :
  • Tant pis pour les risques climatiques, réchauffement, inondations ;
  • Tant pis pour la poursuite de la désertification du cœur de ville, de ses habitants et de son commerce ;
  • Tant pis pour le sacrifice continu des terres agricoles de La Prairie ;
  • Tant pis pour les espaces paysagers protégés des collines des hauts d'Alès, poumons verts réservés à de futures populations désignées "aisées" par le maire qui rêve d'offrir des privilèges ;
  • Tant pis pour les plus modestes, les travailleurs et les précaires, invités à s'expatrier hors d'Alès avec la diminution du logement accessible.
 
Le combat ne s'arrête pas là. Fort d'avoir mis en lumière auprès des Alésiens ce que cachait cette révision de l'aménagement urbain, également réprouvée par les institutions publiques de l'État, fort d'avoir permis quelques reculs d'impact de ce mauvais projet, le Printemps alésien, avec les habitants, poursuivra sans relâche son combat contre ces pratiques d'un temps passé. Il y opposera, et dessinerons ensemble, la ville de demain, tournée vers l'avenir avec les enjeux cruciaux de notre temps :
  • une ville solidaire, sociale (le logement accessible, des quartiers en vie et soudés,
  • un cœur de ville redensifié et vivant, avec ses habitants et des commerces),
  • une ville respectueuse de l'environnement (poumons verts, paysages, climat, inondations, ...) et de ses terres agricoles,
M. Roustan, maire d'Alès, et son poulain M. Rivenq (premier adjoint délégué à l'urbanisme, patron de la droite gardoise et président d'Alès-Agglo) doivent s'habituer à ne pas exécuter leurs mauvais coups en silence comme ils ont voulu le faire aujourd'hui, profitant de cette période de restrictions sanitaires qui invitait plutôt à de la retenue pour ne pas priver les Alésien de la concertation, d'être associés.

Les élu.e.s du Printemps alésien ont bien entendu voté contre ce PLU (Béatrice Ladrange, Naima Guernine, Paul Planque, Arnaud Bord, Jean Michel Suau)

Les interventions des élu.e.s du Printemps alésien
Béatrice Ladrange
Paul Planque

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