Je vous conseille de débuter l’ écoute à partir de 15 mm une « panne technique » a obligé le docteur Amine à recommencer son exposé
Evidement ça dure 40 mn mais c’est édifiant !
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
Je vous conseille de débuter l’ écoute à partir de 15 mm une « panne technique » a obligé le docteur Amine à recommencer son exposé
Evidement ça dure 40 mn mais c’est édifiant !
La NUPES toujours en tête des intentions de vote devant la majorité présidentielle
"La campagne pour les élections législatives est marquée par une grande stabilité. On observe peu de variations dans l'électorat.
La NUPES perd un point mais demeure en tête à 30% devant la coalition de la majorité qui demeure stable à 26%. Le Rassemblement National est à 19% (-1). Les Républicains sont en progression à 10,5% (+1,5) grâce à une hausse dans deux clusters de la frange la plus « radicale » de la droite : les Anti-Assistanat et les Identitaires. Une hausse qui reste à confirmer dans les prochaines semaines. Le parti d'Éric Zemmour, Reconquête, progresse également à 6% (+0,5)."
"La dynamique initiée par l'alliance de la gauche se retrouve dans l'intérêt porté à la campagne au sein de l'électorat. Les Multiculturalistes, les Sociaux-démocrates, les Progressistes et les Solidaires sont les clusters qui se disent le plus intéressés par la campagne avec les Centristes. A l'inverse, l'attitude quelque peu effacée de Marine Le Pen dans la période qui a suivi le second tour de la présidentielle et la curieuse campagne menée par le RN semblent produire une « dévitalisation » de son électorat qui semble peu intéressé et peu mobilisé par ces législatives. Le risque d'abstention différentielle défavorable pour le RN est ainsi particulièrement élevé. De manière significative, les intentions de vote en faveur du RN sont en baisse cette semaine dans tous les clusters « lepénistes » : Sociaux-Patriotes, Réfractaires, Eurosceptiques, Identitaires et Anti-Assistanat. De toute évidence, l'espérance d'une cohabitation s'est imposée à gauche et dans l'ensemble de l'électorat qui croit davantage à cette option qu'en une cohabitation avec le RN. Jean-Luc Mélenchon est parvenu à mettre en avant cette rhétorique de « 3e tour » lorsque Marine Le Pen échouait une fois de plus au second. Les dynamiques électorales s'en ressentent, le premier réussissant contre toute attente à unir les partis de gauche et à imposer l'idée d'un duel avec la majorité, la seconde maintenant une division avec Reconquête qui risque de lui nuire en particulier dans les bastions identitaires du sud-est, où Éric Zemmour a choisi, à dessein, d'être lui-même candidat."
https://cluster17.com/barometre-hebdomadaire-s21-legislatives-2022/
MÉLENCHON CONTRE BORNE : QUI EST DE MAUVAISE FOI ?
Le Média
https://youtu.be/FphyyC_VsKQ
En interview, Jean-Luc Mélenchon part du principe que la Première ministre Elisabeth Borne mènera une politique libérale. Les journalistes croient pouvoir y repérer un procès d'intention : "mais quand même, elle vient de la gauche ! On ne peut pas savoir ce qu'elle fera puisque ses intentions nous sont inaccessibles."
Mais Mélenchon justifie ses anticipations de l'action future de Borne par ses actions passées, qui ne sont que l'application stricte du macronisme : privatisation des autoroutes, ouverture du secteur ferroviaire à la concurrence, fin du statut du cheminot, réforme de l'assurance-chômage…
Qu'une ministre issue de la technocratie d'Etat ou d'entreprise, ayant appliqué avec rigueur les réformes de droite d'un gouvernement de droite, continue dans cette voie une fois Première ministre, cela semble évident, et se passe de démonstration. C'est bien plutôt à celui qui croit en la possibilité d'une rupture de prouver son point. Ici ce n'est pas Mélenchon le sophiste, ce sont les journalistes, car ils inversent la charge de la preuve.
Quoi qu'il en soit, en faisant semblant qu'il y a un vrai débat pour savoir si Borne est de droite ou de gauche, ces journalistes et commentateurs installent dans le débat public l'idée que la future politique gouvernementale pourrait être différente de celle qu'on a subie jusqu'ici, et rendent moins audible l'idée qu'il faille imposer à Macron un Premier ministre de gauche, ou du moins une forte opposition de gauche au Parlement.
PANTOUFLAGE : EXISTE-T-IL UNE "MAFIA D'ÉTAT" ?
Blast, le souffle de l'info
https://youtu.be/bR06owlFeF0
Jean-Baptiste Djebbari, ex-ministre des transports a soutenu le secteur de l'hydrogène pendant qu'il était en poste, puis a promu une entreprise de voitures de luxe à hydrogène dans le cadre de l'exercice de ses fonctions, avant que l'on apprenne à quelques jours de la fin de son mandat qu'il rejoignait ladite société en tant qu'administrateur.
Ces pratiques dites de « pantouflage » sont de plus en plus courantes, et si elles sont légales la plupart du temps, elles posent la question plus large de la porosité entre les responsabilités publiques et le secteur privé : comment déterminer si les responsables politiques et les hauts fonctionnaires servent l'intérêt collectif ? Pour certains journalistes spécialisés comme Vincent Jauvert, le cadre législatif n'est pas à la hauteur, et permet la mise en place d'une "mafia d'État".
Nota Bene : Après le tournage de cette vidéo, nous avons appris le mardi 24 mai 2022 que Jean-Baptiste Djebbari avait été recalé par La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP)sur autre un projet de reconversion chez l'armateur CMA CGM. Il voulait devenir vice-président exécutif chargé du pôle spatial que l'armateur envisage de créer.
Sources pour aller plus loin sur l'hydrogène :
https://www.latribune.fr/opinions/tri...
https://www.youtube.com/watch?v=aHg4g...
https://www.youtube.com/watch?v=woDSz...
Journaliste : Salomé Saqué
Montage : Ameyes Aït-Oufella
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
LÉGISLATIVES : GROSSE PANIQUE EN MACRONIE!
Le Média
https://youtu.be/vdBENfclymk
Deuxième épisode de "Direction Palais Bourbon", notre module qui vous dit tout sur la campagne en vue des législatives.
Au sommaire : Emmanuel Macron et l'épreuve de feu à laquelle il soumet, tel un Néron dans les gradins d'une arène, les ministres et ex-ministres de son camp. A commencer par la Première ministre Elisabeth Borne, qui sera contrainte de démissionner en cas de défaite. Nous pensons aussi à Jean-Michel Blanquer, débarqué du ministère de l'Education nationale et qui doit gagner les législatives pour continuer d'exister politiquement. Sur le terrain, Borne et Blanquer se font chahuter. Dure dure la vie loin des tapis rouges et des lustres dorés de la République…
Qui mérite la médaille d'or du trolling politique ? Le petit parti pro-chasse LMR, le mouvement pour la ruralité, qui a réussi à présenter une Sandrine Rousseau contre LA Sandrine Rousseau écolo, candidate de la NUPES.
Jordan Bardella, président du Rassemblement national et successeur putatif de Marine Le Pen, a gaffé sur France Info. Une bourde qui s'inscrit dans une série d'instants dignes de "Malaise TV". Des instants offerts gratuitement par les candidats RN.
Et la circonscription du jour est celle de Damien Abad, tout nouveau ministre des Solidarités venu des Républicains, et qui est d'ores et déjà sur la sellette. Accusé de viols, il était toujours au gouvernement, au moment où nous tournions.