Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 22 mai 2012
lundi 21 mai 2012
Retour vers le passé
Le Maire Bonifacio Iglesias Anduze c’est fini!
Publié le 19 août 2011 par La Marseillaise
Georges Millet, journaliste de La Marseillaise le 18 août, rapporte que le maire d'Anduze, Bonifacio Iglesias, a déclaré « Desormais Anduze c'est fini ». Il voulait se rallier à Hugues Bousiges, préfet du Gard, pour dissoudre la Communauté de communes Autour d'Anduze dans le Grand Alès. Hugues Bousiges pense que le monde rural doit disparaître dans la dynamique mondialiste. Sans doute parce que le monde rural est consommateur de services publics et risque d'être un obstacle à l'AGCS. Le peuple Autour d'Anduze a dit non au préfet, consulté par des élus décidés, comme Aurélie Genolhier, maire de Massillargues Atuech, et Alain Beaud, président de la CC Autour d'Anduze, et aidé par un outil médiatique puissant, le Blog du Reboussier. Ce qui explique la mauvaise humeur du maire d'Anduze. [Source] Notons que le maire d'Anduze n'en est pas à son premier déboire. En juin 2009 il a perdu son poste de Conseiller général pour avoir déposé en retard ses comptes de campagne. [Source]
Les éminents économistes bardés de diplômes essayent de guérir notre malade économie
Sont ils bien compétents , sont ils les hommes de la situation
Je pense fortement et violemment que NON
Ces élites avec " leur tête bien faite " et leur étrange naïveté ne fonctionnent qu' avec leur connaissance scolaire technique, les solutions qu' ils proposent sont à la hauteur de leur naïveté
Pendant leur scolarité on ne leur a pas enseigner comment détourner de l' argent
L' économie hors la loi , parallèle, presque légalement mafieuse, par les milliards détournés explique largement la crise mondiale
J'ose espérer que ces spécialistes ne sont pas complices, là c'est peut être moi qui suis naïf
Rappelez vous cette émission de télé sur les phénomènes " surnaturels, paranormaux "
Des " savants Sérieux " de haut niveau comparables à nos économistes éminents
Essayaient vainement de démystifier ces phénomènes , certains même naïvement se sont laisser convaincre
Cette émission était animée par Gérard MAJAX magicien, illusionniste de métier
Lui était l' homme de la situation ...
Il a su démystifié ces soit disant phénomènes , qui n' étaient que subtile manipulation
Il en est de même pour notre économie , les hommes de la situation sont entre autre, les brigades financières , et nos politiques qui devraient mettre en place des lois protectrices.
Et non les premiers de la classe de l' option " économie et finance "
Bannissez toutes les solutions qui tolèrent cette économie parallèle , et qui compensent en demandant au plus grand nombre et aux plus démunis de se serrer la ceinture
L' argent détourné suffit largement à compenser nos dettes
NOUS SOMMES RICHES ....Chut faut pas le dire
Le reboussieranticorruptionmondiale
dimanche 20 mai 2012
Monsanto entre dans sa période de " vaches maigres"
Envoyé par Elton
Samedi 19 mai 2012Après avoir impunément massacré et pillé la Planète, le géant Monsanto essuie quelques revers bien mérités. La firme a fait l'objet de poursuites à plusieurs reprises au cours des dix dernières années mais qui se sont souvent soldées par une entente à l'amiable. Et trop souvent, Monsanto qui a osé poursuivre des agriculteurs pour vol de semences brevetées s'en est tiré sans aucun problème. Mais comme l'enseigne La Bible : « Après les vaches grasses, les vaches maigres ».
Le vent semble donc avoir tourné pour ce Goliath de l'agriculture. En France, le 13 février, le tribunal de grande instance de Lyon a condamné Monsanto pour l'intoxication au Lasso de Paul François, un agriculteur charentais qui a connu de graves troubles neurologiques après avoir inhalé en 2004 ce pesticide aujourd'hui interdit.
Et le 4 avril dernier le tribunal de l'État du Rio Grande do Sul, au Brésil, l'acondamné à rembourser les royalties payées depuis 2003, ce qui représente près de 6,2 milliards d'euros pour plus de cinq millions d'agriculteurs.
De nombreuses associations d'agriculteurs et de travailleurs agricoles s'étaient associées pour porter plainte contre l'obligation faite aux agriculteurs de payer des royalties non seulement sur les semences achetées mais également sur les semences conservées des récoltes précédentes. Ils ne pouvaient donc ni ressemer les années suivantes, ni donner ou échanger leurs semences.
C'est le juge Giovanni Conti, qui a ordonné de suspendre la collecte des redevances sur les semences génétiquement modifiées de soja pour Monsanto ainsi que le remboursement des frais de licence payés depuis 2003/2004, en soulignant que les pratiques commerciales des entreprises transnationales semencières comme Monsanto ont violé la loi brésilienne sur les variétés. Si Monsanto ne respecte pas ce jugement, une pénalité de 400 000 euros par jour sera alors appliquée.
Au Brésil, Monsanto entendait introduire, pour la campagne 2012/2013, une nouvelle variété de soja GM, « intacta RRpro », autorisée au Brésil en 2010, et souhaitait aussi augmenter les royalties de 48 euros/hectares, passant ainsi à 145 euros/hectares. Monsanto justifiait à nouveau cette augmentation par l'assurance de meilleurs rendements avec cette variété et des épandages moindres.
Inf'OGM expliquait dans un article publié en 2006 qu'au Brésil, qui est une république fédérale, les inventions biotechnologique sont réglées par les articles 10 et 18 de la loi 9 279 qui date de 1996 et qui établit, a priori, la brevetabilité de toutes les inventions. L'article 10 exclut de la définition de l'invention « tout ou partie d'êtres vivants naturels et des matériels biologiques trouvés dans la nature, ou encore qui en sont isolés, y compris le génome ou germoplasme de tout être vivant naturel et les processus biologiques naturels. » Les êtres vivants trouvés dans la nature ne sont donc pas considérés comme une invention dans leur tout ou en parties. Quant à l'article 18, il définit la matière non-brevetable, dont les êtres vivants et parties d'êtres vivants, à l'exception des micro-organismes transgéniques. « Ces micro-organismes, à l'exception de tout ou partie de plantes ou d'animaux, expriment, par l'intervention humaine directe dans leur composition génétique, une caractéristique qui, normalement, n'est pas réalisable par l'espèce dans des conditions naturelles ».
Mais Monsanto avait réussi à contourner cette loi, notamment en signant des accords avec producteurs et négociants qui, en bout de course, imposaient le paiement des royalties. Ce que les organisations contestaient donc en justice.
Au niveau de l'État fédéral, Monsanto envisage de faire appel de cette décision, mettant en cause notamment la recevabilité de la plainte déposée par des organisations puisqu'elle n'a de relations commerciales qu'avec des individus. Àprésent, c'est à la Cour suprême du Brésil de déterminer si cette décision a ou non une portée nationale.
Une situation similaire s'était présentée en Argentine où Monsanto avait cherché aussi à « négocier » des royalties, mais après les mises en cultures. Les négociations ayant échoué, Monsanto avait alors cherché à attaquer les entreprises européennes qui importaient du soja GM. À plusieurs reprises, les tribunaux européens ont dénié à Monsanto ce droit de récupérer ses royalties sur le soja GM importé sous forme de farine ou de tourteaux pour alimentation animale.
En France, le Certificat d'Obtention Végétale remplace les brevets et une nouvelle loi impose maintenant aux agriculteurs de payer des royalties sur leurs semences de ferme (pour 21 plantes), c'est-à-dire lorsqu'ils conservent une partie de leur récolte et qu'ils la ressèment l'année suivante. C'est ce même dispositif que les organisations agricoles viennent de faire annuler pour le soja transgénique au Brésil.
Il nous reste à espérer que la même chose se produira partout ailleurs et surtout en France, car, pour le collectif « Semons la biodiversité », qui regroupe entre autres la Confédération paysanne et Agri pour l'environnement, ce texte « bafoue un droit ancestral des paysans, entame leur autonomie et représente une entrave à la biodiversité cultivée ».