mercredi 31 mars 2010

L' OT nouveau est arrivé

Ca y est Mme la chef du pôle tourisme de la 2c2a vous êtes chef suprême de l'office de tourisme
Que de chemins parcourus depuis 5 ans
A l'époque vous ne mesuriez même pas la mauvaise gestion de cet office , pourtant que de manques à gagner ,surtout avec le site internet de l'époque
Mais aujourd'hui tout a changé vous avez ouvert les yeux, bravo
Quelques bémols, votre budget prévisionnel présenté il y a quelques semaines était un peu léger
hier soir j' ai constaté quelques rectifications
Dans le passé l' OT dépensé 140 000 euros par an, vous avez "budgété" 240 000 euros
100 000 euros de plus vous permettra "de voir venir !"
Vous avez révisé le calcul de la taxe de séjour comme le demandait , depuis plusieurs années le bureau de l'OT ,lorsqu'il mendiait quelques sous pour payer le personnel....Bien (il semble que ces revenus de taxe de séjour passent de 59 000 euros à 120 000 euros)

Félicitation notre section tourisme va être managée par une dame de fer
Plus de bénévole non professionnel que des élus professionnels le dream

Maintenant que vous avez toutes les manettes ,nous les pauvres bénévoles aimerions connaître ,vos projets concernant la promotion du tourisme ,la saison est là.

A ce jour je n'ai rien lu de concret à part des voeux pieux, mais ne nous dites pas que vous attendez "des ameneurs de projets" car dans ce cas à quoi servez vous ?
Mis à part la redistribution de l'argent des contribuables et des touristes.

Je suis confiant et je pense que note OT nouveau part sur une bonne voie et de toutes façons si il fait beau les touristes viendront

lereboussieramer

mardi 30 mars 2010

Lettre ouverte à Phil GAUSSEIN

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Cher Phil,

Tu fais référence à ma presbyaccousie et tu prétends m’avoir reconnu dans des propos sur les adjoints d’Anduze.
Je suis comme toi un adepte de l’humour de Pierre Dac…et ta citation ne me choque pas.
Libre à toi de me considérer « mou de la branche ».

Si j’assume pleinement la diffusion de l’OJ des CM. (je considère que c’est dans un rôle citoyen que d’essayer d’informer les Anduziens sur ce que je considère comme inacceptable). L’obligation de réserve, que l’on ne cesse de rabâcher, est ici totalement ridicule…ce sont des documents publiques.

En revanche, je souhaite dire que je ne suis pas l’auteur de l’article même si, je dois l’admettre, j’ai apprécié la métaphore sur la boite de sardines (métaphore que j’ignorais…).

Je reconnais aussi que je partage certaines analyses.

Je souhaite que tu t’interroges aussi sur le fait que je ne suis pas le seul à avoir un esprit critique dans cette mairie (élu ou non.).

Pour avoir « vécu de l’intérieur » l’activité de tous et chacun je peux ici affirmer que la lecture (et la réponse) aux « blogs » était une activité matinale fort rependue… en mairie.

Je constate aussi que peu d’élus : (J Peytavin , P Kraus ainsi que nous deux)
ont signé des articles. ...alors les donneurs de leçons « boiteux » ou non …je les laisse à leur médiocrité.

Ces derniers, en cas de volonté suicidaire il leur suffira de se jeter du haut de leur égo …ils sont assurés de ne pas souffrir…

Parler entre-nous d’amitiés est révolue par contre je t’assure de mon profond respect pour ton sens artistique (tu m’as fait l’honneur de me faire découvrir tes productions j’ai été impressionné).

Jean-Paul MAZEN
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LANGUEDOC-ROUSSILLON - composition de l'exécutif régional

Composition de l’exécutif régional
Le Président de la Région Georges Frêche vient d'attribuer, par arrêté, les délégations suivantes (par ordre alphabétique) :

Damien ALARY
Aménagement du territoire

Josianne COLLERAIS
Culture

Alain BERTRAND
Ruralité, élevage, montagne

Françoise DUMAS
Développement économique

Christian BOURQUIN
Transports, intermodalité

Corinne GIACOMETTI
Logement

Didier CODORNIOU
Finances

Agnès JULLIAN
Développement touristique

Jean-Claude GAYSSOT
Relations internationales

Anne-Yvonne LE DAIN
Recherche et Universités

Robert NAVARRO
Développement portuaire, développement aéroportuaire

Hermeline MALHERBE
Eau, prévention des risques,Aqua domitia

Yves PIETRASANTA
Développement durable et environnement

Maryline MARTINEZ
Intergénération, plan senior, santé

Béatrice NEGRIER
Formation professionnelle et apprentissage

J'ai beaucoup pensé à vous ....Mes meilleurs ennemies !

Aime tes ennemies, c'est la meilleure façon de leur porter sur les nerfs !

lundi 29 mars 2010

Comment l'Allemagne tue la croissance française

ETUDE


Parce qu'elle est restée puissance industrielle, l'Allemagne profite d'un modèle qui résiste mieux à la crise: tout en ayant un cout du travail inférieur, les salaires sont meilleurs ; le niveau de vie global est d'ailleurs supérieur à celui de la France, et, cerise sur le gâteau, le coût de la vie est plus faible tout en ayant fait le choix du "petit commerce" qui fait vivre les villes comme les villages, y assurant un niveau correct d'emploi, pendant que la France est défigurée par les zones commerciales, symbole paradoxal du déclin français et de la montée de la précarité... bref, à tous points de vue, parce que l'Allemagne a fait des choix économiques plus pertinents, elle distance la France sur le terrain tant économique que social.


Comment l'Allemagne tue la croissance française


MARIANNE / Le blogueur Eugène se penche sur le fameux "modèle allemand". Une économie puissante qui s'est construite sur une marché du travail plus souple et un coût de la main d'oeuvre plus faible afin de mieux concurrencer les économies étrangères.


lors que les polémiques sur l’Allemagne, sa compétitivité, ses bas salaires vont bon train, j’ai voulu en savoir plus sur le système Allemand avec l’exemple concret d’un ami travaillant dans l’industrie automobile-outre-Rhin.

Travaillant dans l’industrie automobile, c’est le puissant syndicat de la métallurgie « IG Metal » qui régit une bonne partie des contrats de cette industrie. Première surprise lorsque l’on est embauché dans ce secteur, suivant son niveau de responsabilité, on peut se voir proposer deux types de contrats.


GRILLES SALARIALES NÉGOCIÉES
Une de deux possibilités de contrat est dite « au tarif ». Dans ce cas, le travail est payé à l’heure et la grille salariale est négociée et gérée par le syndicat. Il y a douze niveaux de 1 à 12 ayant chacun deux sous niveaux A et B. Au bout d’un an et demi de sous niveau A, l’employé passe automatiquement en B. Les sous niveaux sont donc des niveaux d’ancienneté.

Pour chaque niveau et sous niveau un salaire correspond. Les augmentations de la grille sont négociées par le syndicat chaque année normalement. Si pour 2010 ils n’ont pas négocié d’augmentation étant donné la crise économique, pour 2011 l’augmentation de la grille sera de 2,7%.

Les employés au tarif peuvent être embauchés à 35h ou 40h. Dans le cas d’un contrat à 40h le salaire est plus élevé de 12,5% pour tenir compte du nombre d’heures travaillées en plus. C’est l’employeur qui décide. En revanche, en Allemagne, lorsque l’on parle de 35h ou 40h ce sont de vraies heures car les syndicats passent dans les bureaux et usines pour « vider » les éventuels récalcitrants. Une badgeuse est obligatoirement mise en place afin de traquer les heures qui dépassent. Nous pouvons compter sur la rigueur Allemande pour faire respecter à la lettre les horaires.

Pour chaque niveau, une fiche de définition de poste est obligatoirement définie, elle permet de définir précisément les tâches et périmètres de chaque poste.

En plus de ces subtilités de contrat une autre subtilité vient se glisser : Le contrat de travail peut être annuel ou mensuel. Une des principales différences est le nombre de mois de salaires prévus (12, 13, 14 mois par an). Le montant de la grille en tient compte.

En plus des salaires prévus dans la grille, deux primes annuelles sont possibles. Une prime personnelle correspondant à une récompense pour une performance exceptionnelle. Cette prime est assez rare. Le deuxième type de prime est une prime graduelle qui diminue si la grille augmente pour finalement s’équilibrer.


DES CONTRATS PAYÉS À L'OBJECTIF
Dans ce cas l’employé n’est plus payé à l’heure mais à l’objectif. Le salaire est donc le résultat d’une négociation personnelle et le nombre d’heures n’est plus décomptabilisé et ne donne donc pas droit à des récupérations. Il y a tout de même une limite légale de 10h par jour maximum mais peu vérifiée, le syndicat se désintéressant un peu de cette catégorie supérieure.

Contrairement à la France, pour tomber dans cette catégorie avantageuse pour les entreprises, et afin d’éviter les abus, un salaire minimum est définit : il s’agit du salaire de la tranche 12B +35% pour les contrats annuels et 12B +30,5% pour les contrats mensuels. Ainsi par exemple un contrat annuel 12B de 35h est à 73 629€ (84147€ pour 40h).

Pour pouvoir être au forfait comme le sont les cadres en France, il faut donc au moins avoir un salaire annuel de 73 629 + 35% = 99399 K€ ! De plus, toute augmentation de la grille « pousse » automatiquement les salaires plancher des hors forfait, les augmentations sont donc également au minimum garanties d’être au même niveau que celles des employés au tarif.


FRANCE-ALLEMAGNE, LE MATCH ÉCONOMIQUE
En France, il n’y a pas de grille négociée dans la métallurgie. Une tentation forte de mettre tout le monde « cadre » afin de passer le personnel en hors forfait a pour conséquence de dévaloriser le titre de « cadre » et de rendre corvéable à merci des catégories entières d’employés mal payés. Il y a bien une jurisprudence en cas d’abus d’horaires associés à un salaire normal (ou faible) mais cela ne s’applique éventuellement lors d’un passage aux prud’hommes, donc lorsque le conflit est plus ou moins irréversible.

En Allemagne, il y a un salaire minimum élevé afin de pouvoir basculer dans la catégorie des corvéables à merci. C’est d’ailleurs assez frappant, les bureaux Allemands sont désert vers 16H30 tandis que certaines rares personnes restent tard ce sont les « hors tarif ». Une des dérives du système est de proposer à des personnes au salaire proche du 12B un contrat hors tarif, mieux payé en apparence, mais lorsqu’on le reporte à l’heure réellement travaillée, il est souvent moins avantageux. Le phénomène existe en France entre privé et public.

Si les salaires semblent plus rationnellement gérés en Allemagne et plus hauts également (plus ou moins 25% à fonction égale), les impôts sont aussi plus importants pour un employé. C’est difficile à comparer mais on peut considérer que les impôts sont entre 30 et 100% plus élevés qu’en France. Le prélèvement de l’impôt sur le revenu est effectué sur le salaire brut. Les écarts de salaires suffisant pour que, même à impôts plus élevés les Allemands gagnent souvent un peu plus que les Français.


COÛT DU TRAVAIL 12% MOINS CHER OUTRE-RHIN
Pour l’employeur allemand, c’est l’inverse, il paye tout compris 12% de moins qu’en France !

Le cadre de vie est bien meilleur qu’en France, le respect des 35h (ou 40h), la propreté des villes, la richesse apparente du pays, le dynamisme des petites villes où petits commerces côtoient activités sportives nombreuses sont un plus. Si l’Allemagne est le pays de Lidl, Aldi et autres Schlecker, cela reste des points de ventes à taille humaine et les hypermarchés n’ont manifestement pas tout envahis comme en France maintenant en vie les centre ville de toutes les villes du pays, y compris les toutes petites. Ce dynamisme des petits commerces est sûrement un bouclier contre le chômage également.

Nous entendons souvent que l’Allemagne est un pays cher, ce n’est pas vrai en général, cela dépend en fait des régions. Globalement le coût de la vie est similaire voir parfois plus bas qu’en France. Les restaurants sont moins chers par exemple. En revanche la taxe automobile (vignette régionale) existe toujours et n’est pas donnée (exemple 330€ par an suivant les régions).

La mutuelle peut être privée ou publique avec des tarifs et modes de fonctionnement très différents. On ne peut pas cumuler les deux ni passer de l’un à l’autre après un choix initial. La mutuelle publique permet l’accès a des prix bas (exemple un détartrage de dents à 55€ au lieu de 300€ avec la mutuelle privée) mais génère des dérapages. Ainsi une personne qui tente de prendre un rendez-vous médical se voit systématiquement poser la question de la mutuelle privée ou publique.

Si la mutuelle est publique, il faut parfois attendre des mois, si la mutuelle est privée c’est beaucoup plus cher mais le rendez-vous est obtenu sous quelques jours. C’est un peu la même dérive qu’en France lorsque dans un hôpital nous voulons prendre rendez-vous avec un professeur dans le cadre de l’hôpital ou en consultation privée mais généralisé à tous types d’actes sans choix possible (autre que le choix initial privé/public).

Si la mutuelle publique protège toute la famille, la mutuelle privée ne protège que le souscripteur et il faut donc payer en plus pour femme et enfants. La mutuelle est globalement plus chère qu’en France bien que ce soit difficile de comparer. Un prélèvement de 200 à 300€ par mois pour une mutuelle privée est l’ordre de grandeur.


ENCORE DES ATOUTS FRANÇAIS
Si ces données ne concernent que le secteur de la métallurgie, dire que les salaires sont plus bas qu’en France est sûrement faux. Le niveau de vie est clairement plus élevé et pour s’en convaincre il suffit un peu de voyager dans le pays. L’industrie n’y est pas décimée comme en France, et les nombreuses usines et sites industriels qui jalonnent la campagne allemande témoignent de la grandeur actuelle de son industrie.

Les raisons de cette situation florissante sont nombreuses : nombreuses PME solides, grosses industries tenues principalement par de riches familles qui manifestement respectent plus l’industrie locale que les actionnaires. Les droits de succession sont aussi beaucoup plus raisonnable ce qui évite de morceler le patrimoine et d’éviter que de nombreuses entreprises familiales tombent aux mains d’actionnaires juste pour payer ces droits.

Le type d’industrie à faible concurrence et forte valeur ajoutée est également un atout. Ainsi, nul besoin de fustiger l’Allemagne pour améliorer notre performance mais d’en copier les principaux atouts : Droits de succession faibles, aide au développement de toute les PME indépendamment de leur taille au détriment des grosses entreprises, favorisation de la recherche, aide à l’export…

Nous avons de nombreux atouts que l’Allemagne n’a pas : sécurité sociale pour tous à un prix raisonnable, plus forte démographie (l’Allemagne manquera bientôt d’ingénieurs et de main d’œuvre)…

Envoyé par Bruno de Vauvert
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? ? ? ? ? ........... ? ? ? ? ?

Salut réboussier,

je suis ton blog régulièrement, et j'ai de quoi l'alimenter, dans ta section haut débit, sur google est apparu un nouveau site, a priori officiel ou tout est expliqué en long, en large et en travers, ca changera un peu des posts plutot "contre" en grande majorité. Perso le débat m'intéresse, sans prise de position, puisque pas concerné, jai facile 12mb dans mes cévennes plus au nord.

A+

Ah oui, le site...
http://internet.payscevennes.fr/


Scrat le Réboussier du Nord ;)
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dimanche 28 mars 2010

IL SE PASSE DES CHOSES GRAVES .......TRES GRAVES

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L' office de tourisme , la mairie d'Anduze.....Le climat serait-il malsain sur cette contrée ?
La CIA est-elle entrain de faire une expérience ?

On s'interroge , mais là j' en suis sur ce n'est pas la faute du boulanger.

Le reboussierevenu

Erare humanum est...perseverare diabolicum







REPORT DE L’AG DE L’OFFICE DU TOURISME D’ANDUZE

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Décidément le président Monin nous étonnera toujours par sa manière de diriger l’OT.
Alors qu’une double Assemblée Générale était convoquée pour le lundi 29 mars, un courrier a été posté jeudi 25 mars aux membres de l’Association pour les informer que ces AG sont reportées. Et pourquoi ? Parce que c’est la faute à la poste (un « disfonctionnement » dit la lettre), certains membres n’ayant soi-disant pas reçu leur convocation…
Voyons la chronologie de cette affaire :
- Le 26 février le Conseil d’Administration fixe la date de ces deux AG au lundi 29 mars,
- Les convocations sont postées le samedi 13 mars, soit juste dans les temps pour être en conformité avec l’article 10 des statuts disant : « Les convocations aux AG doivent être faites au moins quinze jours à l’avance par pli individuel ». Ouf, on est juste dans les temps, 29 – 15 = 14. Sauf que le courrier est posté à 0,51 €, soit en tarif non-prioritaire (engagement de la poste = J + 4), donc sa remise aux destinataires s’égrènera tout au long de la semaine suivante, là on n’est plus franchement dans les temps de réception, mais ce qui compte c’est la date d’envoi.
- Et le vendredi 26 mars nouveau courrier, cette fois-ci pour annuler les AG. On notera d’ailleurs que cette annulation n’a pas été annoncée par mail aux membres du CA qui en avaient fixé la date. Et qu’elle a encore été faite en courrier lent.
On peut se demander pourquoi il a fallu à monsieur Monin tant de temps pour rédiger et envoyer les convocations à l’AG, risquant ainsi des problèmes postaux ? D’autant que ces convocations étaient ultra-simples, puisque dépourvues de tout document malgré l’importance du sujet prévu, la dissolution de l’Association, rien que ça…
Et puis surtout on peut lire la suite de l’article 10 des statuts, disant : « la non-réception de l’avis individuel ne pourrait être cause de nullité de l’Assemblée Générale ». A plus forte raison cette non-réception ne pourrait être cause de l’annulation de cette AG.
Rappelons quand même la hiérarchie des décisions au sein d’une Association loi 1901 :
- L’AG est souveraine, et ses décisions s’imposent au CA,
- Le CA représente l’AG, et ses décisions s’imposent au Bureau,
- Le Bureau n’a pas le droit d’agir à l’inverse de ce qu’à décidé et voté le CA.
Bref une fois de plus le président de l’OT a tout faux, en n’envoyant les convocations qu’à l’extrême dernier moment, puis en annulant illégalement ces convocations malgré le CA et les statuts. On peut se demander pour quelles raisons il s’est livré à cette misérable manœuvre dilatoire, en utilisant de plus un prétexte particulièrement fallacieux ?

unréboussiertrèsétonnéetscandalisé@onnestjamaisdeçuparlesguignols.ouf

PS : A ce jour, samedi 27 mars, plusieurs membres de l’OT n’ont pas reçu la lettre d’annulation, ce qui n’a rien d’étonnant puisqu’elle a été postée en courrier lent. Cela ne devrait-il pas amener monsieur Monin à écrire pour annuler son annulation, selon sa logique à lui, rien qu’à lui ?

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vendredi 26 mars 2010

Mais que se passe t-il à l'office de tourisme d'Anduze .On déménage ?

Photo envoyée par TGV




Le plus bizarre, oui je l'ai dit!
Savez-vous que les Assemblées générales ordinaires et extraordinaires prévues lundi sont reportées info toute fraîche de ce jour .
Le prétexte est que certains n'ont pas reçu de convocation....ça c'est une première !!
Mais recevront-ils à temps l 'annulation. J 'en doute ...Peut être tiendrons nous malgré tout , ces réunions

Le reboussierquin'estmêmepasla
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jeudi 25 mars 2010

OUI JE CROIS il fallait bien que je crusse mais croissons nous les uns et les autres

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VOUS AVEZ VU : j'ai grandi ,en fait surtout en largeur ,et je ne suis pas le seul !
Je grandis en même temps que vos écrans ; étonnant non ?
SI VOUS AVEZ DES DIFFICULTÉS DE LECTURE EXPRIMEZ VOUS

Le rebouchef
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mercredi 24 mars 2010

Apocalypse maintenant


falaise Pierremale D.Alary
envoyé par zimprod. - L'info internationale vidéo.

Voici les quinze ministres du gouvernement Frêche II MIDI LIBRE

Deux jours après son élection, Georges Frêche a bouclé le casting du futur exécutif régional formé de quinze vice-présidents. S’y ajouteront un certain nombre de présidents de commissions, chapeautant notamment le sport, le tourisme ou l’agriculture. Respect de la parité homme-femme, équilibre politique, représentativité des territoires et remerciements aux candidats les plus impliqués ont guidé les choix présidentiels. A l’heure où nous écrivions ces lignes les attributions des vice-présidents n’étaient pas toutes connues.

Les héritiers sur des charbons ardents
Machiavel quand tu me tiens ! Tout en affirmant que sa succession n’est pas ouverte, Georges Frêche a claironné partout dans la région qu’il soutiendrait, au cas où, la candidature de Christian Bourquin. Avec cette justification : « Il y a eu un Audois, un Gardois, un Lozérien et un Héraultais à la présidence. Le temps des Catalans est venu ! » Ce discours a souvent irrité Gardois et Audois qui, derrière leurs leaders Damien Alary et Didier Codorniou, attendaient une occasion de contester la montée en puissance du Roussillonnais. Le scrutin la leur a fourni : dans les P-O les listes Frêche ont réalisé leur plus mauvais score, en dessous de 50 %. Bourquin pourrait perdre la délégation aux finances au profit de l’Audois Codorniou, au rôle déterminant dans cette élection. Le Catalan se replierait aux transports, tandis qu’Alary restera un "incontournable" auprès de Frêche, chargé de la politique de la Ville et de l’aménagement du territoire.

Les fidèles gardent (presque) toutes leurs positions…
Les fidèles de la Frêchie vont retrouver pour la plupart leur position au sein de l’exécutif. Robert Navarro, le plus menacé des secrétaires fédéraux exclus du PS, conserve toute la confiance du "patron", comme le maire de Mende, Alain Bertrand, qui sort triomphant du scrutin en offrant une victoire historique à Frêche et à la gauche. Toujours chez les socialistes, la Montpelliéraine Anne-Yvonne Le Dain et la Nîmoise Corinne Giacometti sont confirmées. Le cas des quatre communistes restés fidèles à Frêche fut plus délicat à régler. Jean-Claude Gayssot et Josianne Collerais sauvent leur poste. Cette dernière devrait conserver la culture. En revanche l’Audois Henry Garino (qui souhaite se reconcentrer sur Carcassonne) et le Gardois Jean-Paul Boré ne seront plus au premier rang de l’assemblée. En outre Jean-Claude Gayssot, qui jusqu’ici incarnait la politique des transports et a lancé dans la campagne la proposition du ticket de TER à 1 €, pourrait se recycler aux relations internationales. Chez les écologistes, même problématique. Yves Pietrasanta conservera sa vice-présidence à l’environnement, mais le Sétois Jean-Baptiste Giordano sort de l’exécutif.

Les "petites nouvelles" qui montent
Georges Frêche a présenté Agnès Jullian comme le symbole de l’ouverture de sa liste à la société civile. Pour lui, cette chef d’entreprise biterroise était une prise de guerre dans le camp de son adversaire UMP, Raymond Couderc. Très impliquée dans la campagne, la voilà tout de suite promue à une vice-présidence qui devrait traiter d’économie et d’aménagement du territoire. Agnès Jullian, que Frêche voudrait envoyer à la conquête de la ville de Béziers en 2014, bénéficie aussi de l’impératif de parité, tout comme la Nîmoise Françoise Dumas. Cette socialiste, cadre de l’office de l’habitat et proche de Damien Alary, fait partie des "petites nouvelles" qui montent.

Les promues au nom de la parité
La future assemblée fera plus que respecter la parité homme-femme puisqu’il y aura huit dames et sept hommes parmi les vice-présidents. Cette disposition, combinée à la volonté de représenter tous les territoires et de remercier tous les partenaires, fera apparaître de nouvelles têtes : l’Audoise Maryline Martinez, médecin hospitalier et proche de Jean-Claude Perez ; la Perpignanaise Hermeline Malherbe, conseillère générale et sensible aux questions écologistes ; l’Héraultaise Béatrice Négrier, spécialiste en formation et unique représentante du Mouvement des citoyens.

Les absents
Ils seront six à ne pas retrouver leur fauteuil de vice-président. Le socialiste Max Lévita ne se représentait pas, l’écologiste (les Verts) Maryse Arditi était partie sur la liste Europe Écologie et n’a pas été élue. Eric Andrieu, bien que rallié à la liste Frêche après son duel perdu contre Didier Codorniou pour le "premier socialiste", paie le prix politique de son positionnement. Enfin, pour cause de parité homme-femme et de nouveaux rapports de forces politiques, les communistes Garino et Boré et l’écologiste Giordano ne sont pas reconduits.

Envoyé par Bruno de Vauvert

mardi 23 mars 2010

LETTRE OUVERTE AUX MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’OFFICE DU TOURISME D’ANDUZE Ainsi qu’à tous les membres de cette Association

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Madame, Monsieur,

Les membres de l’Association Office de Tourisme Intercommunal d’Anduze ont reçu une double convocation pour le 29 mars, en vue d’une Assemblée Générale Ordinaire suivie d’une Assemblée Générale Extraordinaire. Cette dernière est appelée à se prononcer « pour la dissolution de l’Association »…
Le dernier Conseil d’Administration, qui s’est tenu le 26 février, a bien voté le principe de ces deux AG mais n’a pas du tout voté la décision d’une dissolution (ce qu’il n’aurait de toute façon pas le droit de faire)… La démarche unanime des élus de la Communauté de Communes de reprendre directement la gestion de l’OT crée bien entendu la nécessité de repenser le rôle de cette Association, et de débattre de la poursuite éventuelle de son activité. Mais pourquoi tant de hâte, pourquoi si peu d’explications sur la situation actuelle et sur les perspectives d’avenir ? Lors de ce CA le président de l’OT s’est contenté de demander aux représentants de la 2C2A d’exposer leur point de vue. Et il a fallu attendre un article de Midi-Libre du 17 mars pour découvrir qu’il jugeait cette démarche comme « un mauvais choix, pris sans concertation ni préparation ».
On a connu de meilleurs modèles de concertation et de préparation que l’actuel Bureau de l’OT, ne serait-ce que pour la préparation des Conseils d’Administration (leur nombre statutaire n’a pas été respecté, aucun document de travail n’y a été soumis à discussion, etc.). Il en est de même pour cette importante Assemblée Générale : la convocation porte le mot « Elections » mais ne précise pas lesquelles. En fait il s’agit de renouveler par tiers les membres du CA, soit 5 postes. Or la convocation ne s’accompagnait pas, contrairement à tous les usages, de liste des membres sortants ni de formulaire de candidature aux postes à pourvoir ou renouveler.
Quel que soit le choix des membres de l’Association, l’OT d’Anduze mérite mieux que cette confusion et la précipitation que l’on essaie de nous imposer. Il faudra bien trouver une place, dans la future configuration de l’Office, pour les professionnels et les bénévoles à côté des élus. Il faudra bien que la future structure bénéficie à plein des atouts naturels et humains dont notre territoire dispose.
Un relais doit se faire : il doit pouvoir se faire calmement, ouvertement, dans le respect de ce qui a déjà été fait depuis longtemps par des salariés compétents et des bénévoles le plus souvent dévoués et efficaces, et dans la perspective d’un bon développement du tourisme sur le secteur.
C’est de cela que devra débattre l’assemblée des membres de notre Association.
Venez nombreux !

Bernard de Fréminville
Membre du CA de l’OT
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