Compte rendu du conseil municipal d' ANDUZE du 11 juilet 2012
Première surprise encore un autre conseil...
En pleine vacances , entre un taureau piscine , et un concert d'orgue
Le maire toujours prêt à donner le meilleur de lui même , en matamore ,
n' aurait laissé le soin à aucun autre d' être le premier à faire voter sa commune conformément au désir du préfet Bousigues
Un conseil à un seul ordre du jour:
L ' approbation de l' arrêté de périmètre signé fin juin par ce préfet ci
Pas de questions diverses
Une foule nombreuse a assité aux " ébats"
Environ 50 personnes à l' intérieur et quelques autres restées sur le plan de Brie
Le résultat du vote 6 voix contre 16 pour
Périmètre approuvé aveuglément par des conseillers autistes, pas de surprise !
Le déroulé de la séance
Après un historique remontant à l' homme de cro-magnon
Avec un ton faussement calme et très chiant,
En oubliant de citer les faits dérangeants ,
Le maire d' ANDUZE nous a conté ce que nous savions déjà sur la genèse de notre communauté de communes
Il faut l' excuser ça lui faisait tellement plaisir
Contrairement à l' habitude
Oui en général ce maire explique qu'il a décidé , comme un grand d' aller au grand Ales , car les maires de la 2c2a ne l' avait pas initialement élu vice président de cette communauté, mais vous connaissez l' histoire
Non la vraie raison aujourd'hui est que la 2c2a ne répond pas à l' attente d' ANDUZE
Quelques faits :
La voirie , les sommes alloués à ANDUZE sont ridicules ...qu' il dit
Il oublie les aides reçues lors des dernières inondations
La municipalité est obligée de ramasser les ordures le dimanche , à la place des services de la 2c2a
On est content d' apprendre implicitement qu'Ales rendra ce service..sic..
En général et c' est l' estocade la 2c2a ne répond en rien aux demandes d'Anduze
Vous comprenez donc amis pourquoi j'ai voulu quitter cette inhospitalière communauté
Vous voyez c'est un nouveau registre
Et bien non , il n' a pas pu s' empêcher d' évoquer sa récrimination première
A l' époque Il n' a pas été élu vice président de la 2c2a , il visait d' ailleurs après son échec aux cantonales le poste de président
Quand on est maire de la ville centre on est président de la communauté de communes lui a sans doute susurré son ami Roustan
Deux interventions de l' opposition
Bernard Vierne qui lui a rappelé le passé et le contenu de leur campagne électorale faite bras dessous bras dessus , marrante cette expression
Eh oui à l' époque ils juraient tous deux fidélité à leur lien fraternel , mais aussi à la 2c2a qu'ils défendraient contre toutes agressions , surtout du grand Ales
Il n' y a que les imbéciles qui ne changent pas d' avis...mais quand même !
Autre intervention celle de J.P. MAZEN
Qui s' est exprimé au nom des 4 opposants déclarés
Vous avez le texte dans l' article ci- dessous
Sur les questions financières exposées par JPM , aucun argument si ce n'est de dire "croyez moi puisque je vous le dis il n' y aura pas de problèmes"
Tout est prévu !
Ce sont là les réponses fracassantes du maire habitué à signer des chèques en blanc
Ce débat s'est terminé " en eau de boudin "
Les conseillers majoritaires n' étaient que physiquement présents et se sont ouvertement désintéressés de l' exposé de JPM , allant même jusqu' à ricaner bêtement , mais quand on est blonde !
M'enfin pense t-il ce maire , de toute façon ce sera à une nouvelle équipe municipale , en 2014 , qu' incombera la lourde tâche de concrétiser toutes les dispositions non définies à ce jour, c'est surréaliste.
Un transfert de " patates chaudes "
Ensuite le vote , je vous ai déjà donné les résultats
Clôture de la séance sur un brouhaha dú surtout au fait qu ' Iglesias le maire a refusé la parole au public en fin de séance
et en particulier à Guita BARGY ancien maire de St. Sébastien
Quel manque d' élégance !
La vidéo est en cours de montage et sera en ligne dans quelques jours
Le reboussierquietaitla
C'est un dur revers pour les commissaires européens au Commerce (Karel de Gucht) et au marché intérieur (Michel Barnier), fervents défenseurs de l'accord. Les commissaires chargées de la Société de l'information et de la Justice, Neelie Kroes et Viviane Reding, sont vraisemblablement soulagées, en revanche, par l'échec de leurs collègues. Négocié depuis plusieurs années dans des conditions peu transparentes, le traité international a semé la zizanie à Bruxelles et à Strasbourg, tout en générant des manifestations monstres dans le monde entier.
Un texte trop flou
Dans une interview au Point.fr fin mai, le commissaire Michel Barnier avait regretté que le texte en soit réduit à son volet numérique, et avait déploré "la confusion qui s'est développée autour d'Acta et de son impact sur Internet". "Acta n'est pas le bon outil, il est inefficace et dangereux pour la protection des données personnelles", nous avait pour sa part expliqué Françoise Castex, eurodéputée socialiste, qui rappelait : "La contrefaçon des biens est un délit, et elle est parfois dangereuse. Il faut se donner un cadre pour la combattre."
Les détracteurs d'Acta, tout en reconnaissant l'importance de la lutte contre la contrefaçon, soulignaient notamment les risques pour les libertés sur Internet, l'un des volets que le traité abordait pour enrayer le téléchargement illégal. Ainsi, la responsabilisation à demi-mot des acteurs privés, dont les fournisseurs d'accès à Internet, aurait pu déboucher dans certains pays sur une forme d'autocensure de l'Internet sans intervention du juge. Des formulations trop floues, résultats de difficiles négociations, permettaient aux États parties d'interpréter certaines des mesures de façon très pénalisante pour les citoyens. D'autres volets d'Acta menaçaient par ailleurs le secteur des médicaments génériques et l'accès aux soins des pays les plus pauvres. Une pétition avait recueilli 2,8 millions de signatures, et certains États membres de l'UE avaient fait machine arrière ces derniers mois. Dans une ultime manoeuvre, la Commission européenne avait saisi la Cour européenne de justice, espérant - en vain - que le Parlement retarderait son vote pour attendre l'avis des Sages.
"Le début d'une nouvelle ère" ?
"Au-delà d'Acta (...) les citoyens doivent exiger une réforme positive du droit d'auteur qui permettra d'encourager les pratiques culturelles en ligne, telles que le partage et le remix, plutôt que de les réprimer", tempère Jérémie Zimmermann, porte-parole de La Quadrature du Net, organisation citoyenne qui s'est battue dès l'origine contre le texte. "La victoire contre Acta doit marquer le début d'une nouvelle ère dans laquelle les décideurs publics font passer les libertés et l'Internet libre - notre bien commun - avant les intérêts privés", conclut-il.
L'Acta avait été signé en janvier 2012 par 22 des 27 gouvernements de l'UE, ainsi que par les États-Unis, le Japon, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, Singapour, la Corée du Sud, la Suisse, leMexique et le Maroc.