mardi 20 avril 2010

Une premiere et dernière époustouflantes

Lundi soir , assemblée générale tant attendu de l' office de tourisme
Ce fut , et bé oui ce fut ......
Pourtant on lui avait dit , ne fait pas d'animation sans une demande expresse à tes chefs de la 2c2a
eh comme d'habitude il n'a écouté personne .
Il a présenté son oeuvre lundi soir : un espèce de vaudeville cevenalo-nordiste, on a bien rit
Un grand regret ,c'était une première et une dernière
Si vous me le demandez je citerai les acteurs principaux ,vous l'avez compris ce sont
tous des bénévoles non professionnels
Un petit nouveau tout de noir vêtu nous a fortement impressionné ,l'acteur principal s'est tu en cours de route ,il avait oublié son texte
Mais la souffleuse principale a enchaîné
Imaginez le grand foutoir

On remarquera malgré tout la modernité de cette pièce ,la foule venue nombreuse , a participé
en improvisant allégrement et on peut le dire avec conviction

La première partie le "rapport sexuel ou moral peut être" fut faible ,beaucoup de plagia
La salle pas très contente : leva la main en tendant le pouce vers le sol ,vous me direz que c'est mieux que le majeur vers le ciel ,mais quand même !
l' acte deux "le rapport financier" nous fumes (je vous rappelle que le tabac tue) et vous fûtes aussi chers spectateurs "eboustouflés" (je sais c'est nouveau) quelques rares approbations furent obtenues à l'arraché
L'acte trois insignifiant je n'en parlerai pas ,et en plus très mal interprété par l'éroïne ou héroïne va savoir ?
L'acte quatre le final , la mise à mort .

Elle fut réussie ,la foule n'a pas applaudi
Les oreilles peut être un peu dures ont été distribuées , pour le reste qui en a profité ?

Vous allez me dire après cette description ,pourquoi avoir tant aimé cette pièce ,je vous répondrai avec toute ma certitude :parce que

Le réboussierquietaitlaetquiafilmémalgrél'interdictiondelacourdesmiraclesquedespersonnagesinterressantsdonctrespeudepersonnes
Mercredi 21, à 9 h 30, le préfet du Gard, Hugues Bousiges, donnera une conférence de presse à la Maison de l'eau à Allègre-les-Fumades, sur le thème "l'intercommunalité, les perspectives d'évolution de l'intercommunalité dans l'arrondissement d'Alès"

Le petit train des cevennes

Extrait Midi Libre


On aimerez connaître le contenu de cette convention ,qui l' a signé , quand ?
Par la même occasion quel loyer paye la CITEV pour l'utilisation de cette ligne de chemin de fer
Est -il à la hauteur du service rendu ,ou alors déclarons la Citev d' intérêt public !
Le reboussiercheminot

vendredi 16 avril 2010

J' en connais d'autres , des urgences impérieuses


Les articles précédents vous ont expliqué qu'il y a dans le code des marchés publics (pour les opérations nécessitant une urgence), 2 types d'urgence.
L'urgence simple : qui impose l'application du code des marchés publics (appel à candidatures, consultations , passage du marché au mieux disant, donc mise en concurrence) ,mais avec des délais administratifs réduits , le maire a malgré tout, obligation pour négocier et signer le marché d'un vote de son conseil municipal.
L'urgence impérieuse : cas récent la dernière tempête
Première remarque basique concernant l'arrête municipal ci-dessus ,comment peut on parler d'urgence impérieuse lorsque les faits se sont passés le 9 aout 2010 et que l'arrêté est signé le 9 décembre 2010 soit 4 mois après et les travaux ont débuté 6 à 7 mois après .
Cet arrêté n'est pas approprié et je doute fortement que les services préfectoraux aient incité le maire à classer urgence impérieuse ce projet
Évidement les choses qu'on laissent traîner deviennent irrémédiablement urgentes, on connaît tous ça ! n'est ce pas bientôt les déclarations d'impôt que vous allez faire en catastrophe le dernier jour.
Vous allez me dire après tout quelle importance.
Un arrêté d'urgence impérieuse laisse totalement les mains libres au maire ,qui peut passer des marchés de gré à gré ,sans mise en concurrence , sans délibération de son conseil municipal, c'est pour cette raison que l'on ne trouve aucune trace de ce projet dans les CR des conseils municipaux.
Je vous rappelle qu'il s'agit d'un marché d'environ 1 000 000 €
La conséquence évidente : l'entreprise sans concurrence pratique SON PRIX au mieux pour elle.
Vous connaissez le résultat 300 000€ de plus que l'estimation du BE (ou alors le BE était très mauvais)
Conclusion ce classement URGENCE IMPÉRIEUSE est abusif dans ce cas, il est sorti d'un chapeau , ou alors à quelle réunion a t'il été décidé .
je le répète , je serais très étonné que la préfecture ou sous préfecture ait demandé au maire de rédiger cet arrêté en ces termes ?
Le sherlockbousier
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A ARDIECE NOUS SOMMES TOUS DES TRACTEURS







JOURNAL DU GRAND ALES AVRIL 2010, ORDURES MENAGERES : ECONOMIES VIRTUELLES, DEPENSES REELLES

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Dans le JOURNAL DU GRAND ALES DU MOIS D’AVRIL, Max Roustan, Président du Grand Alès déclare :
« l’ouverture du centre de tri-compostage de Salindres va réduire le coût de traitement de près de 30 %. Ce qui signifie que nous pourrons bientôt financer entièrement le poste des ordures ménagères sans augmenter la taxe actuelle. »
Curieusement, le Journal du Grand Alès, organe d’information de la population du Grand Alès, n’indique toujours pas que les travaux de l’usine poubelle sont arrêtés depuis le mois de février 2010, ni les raisons de leur arrêt.
En ce qui concerne les économies annoncées, il s’agit d’économies virtuelles, l’usine poubelle n’étant pas encore construite. En revanche, les dépenses sont bien réelles :
- 485 000 € accordés à CEVENNES DECHETS après annulation du premier marché
- Des dizaines de milliers d’euro pour la communication
- Emprunt de 500 000 € voté en octobre 2007 pour financer des études


Publié sur
http://www.salindresvillepoubelles.com/index.php?option=com_content&task=view&id=691&Itemid=53

henri
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jeudi 15 avril 2010

Éric Woerth à l'assaut du régime de retraite très spécial des parlementaires

LE POINT

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2010-04-14/defi-eric-woerth-a-l-assaut-du-regime-de-retraite-tres-special-des/916/0/444229
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LA ROCHE AUX FEES

J'ai cherché sur internet en quelques clics j'ai trouvé des entreprises concurrentes à la SOTRAC
On tape "géotechnique, travaux, entreprise, falaise etc..."
il y en a pas mal , le rocher de Peyremale n' a qu'à bien se tenir
J'ai même téléphoné à l'une d'elles , à suivre.
Par la même occasion on trouve de nombreuses pistes pour assurer ce rocher contre ses débordements.
Evidement il faut maitriser internet, et c'est possible

Le sherlockboussier

ALORS MAX ? SALINDRE CA "MERDE"

Le midi Libre édition du mercredi

Ales. Salindres Tricompostage, les travaux du centre à l'arrêt

RAPPEL : Ils avaient commencé en février après le feu vert du préfet fin 2009

Les escarmouches se poursuivent entre le Smiritom, maître d'oeuvre du centre de tricompostage des ordures de 53 communes du bassin alésien, dont l'installation du site a été choisie à Salindres, et l'Adisl, l'association d'opposants salindrois qui refuse ce choix.
Si, en définitive, le Smiritom a reçu toutes les autorisations requises, la dernière étant le feu vert du préfet du Gard en décembre 2009, un nouveau grain de sable est venu enrayer la machine à trier les ordures. Alors que les travaux d'aménagement du site venaient tout juste de commencer fin janvier, et qu'on allait installer les locaux préfabriqués du chantier.
Sauf qu'une plainte déposée par l'Adisl en 2007 a, plus de deux ans après - les lenteurs de la justice étonneront toujours - finalement été instruite fin 2009.
Curiosité supplémentaire, le Smiritom et Sita Sud, le futur exploitant du centre de tricompostage, ont été surpris de prendre connaissance de l'ordonnance prise par la juge d'instruction chargée du dossier, par l'intermédiaire de l'avocat alésien de l'Adisl.
A Sita Sud, on s'étonne aussi que la plainte, pour laquelle de nouvelles analyses d'eau, de terrain et d'air ont été demandées, ne vise que les parcelles dévolues au centre de tricompostage. Mais visiblement, on préfère en sourire et prendre un peu de recul. Et même beaucoup.
Car le chantier du futur centre a bel et bien été arrêté, peu de temps après avoir commencé. « C'est un arrêt volontaire en accord avec le Smiritom , explique Patrick Léger, de Sita Sud. A aucun moment, la justice n'a demandé l'arrêt des travaux, mais nous ne voulons pas gêner le travail de l'expert. » Certes, mais sachant que plusieurs types de ces analyses ont été déjà pratiqués, qu'elles ont été incluses au dossier du projet du centre de tricompostage et que nul n'y a trouvé à redire, cet arrêt peut paraître curieux. « Il a été décidé par une entreprise responsable » , justifie le responsable de Sita Sud.
L'entreprise sait pertinemment qu'elle marche sur des oeufs, que les ordures ne véhiculent une image des plus sympathiques, et que son image à elle dépend d'un projet salindrois qui entend être irréprochable sur le plan des nuisances.
Une image qui a un prix et, dans le cas présent, un coût. « Tout décalage des travaux a un coût », explique Patrick Léger. Sachant que l'expert mandaté par la justice doit rendre sa copie au plus tard le 15 mai, le chantier aura pris quatre mois de retard.
Un retard dont le montant est chiffré par la société Sita Sud à plus de 100 000 €. Sachant qu'il a fallu décommander les entreprises qui devaient intervenir sur le site, et qu'il sera peut-être compliqué de les avoir disponibles pour la reprise du chantier sera décidée.
Dernière remarque, ce coût ne tient pas compte de celui qui retombe sur la collectivité, si on part du principe que l'actuel traitement des ordures reste plus cher que celui qui sera en vigueur avec la mise en service du centre de tricompostage. Moins 30 % annonce le Smiritom.
Fred GAUTIER

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Vous avez sans doute suivi le reportage sur ce sujet dans le journal télévisé sur la 2 mardi soir
La phrase mémorable du maire de Salindre résume bien la situation:
Il confirme que sa commune est polluée , mais il donne la solution :
Il suffit de ne pas manger la terre .... Qu'il dit le monsieur.
Il répétera cette phrase au moins 2 fois dans ce reportage.
Car la pollution est uniquement dans la terre , on croit rêver.
Évidement le souci d'une partie de cette population est : trouver un job , leur rêve : dans le complexe chimique de Salindre le seul gros employeur industriel du coin.
C'est sur cet argumentaire que s'appuie le maire de Salindre
Des tonnes , que dis je, des mégatonnes , des montagnes de déchets domestiques et surtout industriels composent le sol de cette commune
Ajouter des ordures sur un tas d'ordures voila quelle est bonne la solution, un peu plus un peu moins hein?
Et bien ,c'est cette politique de traitement des déchets que la mairie d'Anduze a choisi
C'est pour cette raison qu 'Anduze a bloqué le choix fait par la 2c2a qui était je vous le rappelle moins cher ,mais vous savez Anduze et l'argent des autres...!
On connaît les limites du tricompostage et ce n'est pas la meilleure solution , surtout quand la station de traitement n'est pas construite (voir article du Midi Libre ci-dessus)
Actuellement les solutions modernes d'incinération semblent plus adaptées avec un plus en terme d'économie d'énergie.

le réboussieràordure
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mardi 13 avril 2010

IL EST IMPERIEUSEMENT URGENT DE COMPRENDRE

Extrait du compte rendu du conseil municipal D'Anduze du 22 decembre 2010

9- Approbation travaux confortement falaise Peyremale
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales. Vu l’arrêté municipal d’urgence impérieuse suite aux éboulements rocheux – Peyremale – en date du 9 décembre 2009. Considérant que l’éboulement de la falaise nécessite la mise en sécurité des automobilistes et des voyageurs du train. Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité décide
- de solliciter les subventions des organismes mentionnés dans le plan de financement
concernant l’opération suivante : Protection contre les éboulements rocheux – Peyremale - Sécurisation du Train à Vapeur des Cévennes et de la route départementale n°129.
Plan de financement
Prévisionnel € HT
2009 %
Commune d’Anduze 130 000 € HT 20%
Etat 120 000 € HT 19%
Conseil Régional LR 300 000 € HT 46%
Conseil Général Gard 100 000 € HT 15%
TOTAL 650 000 € HT 100%
- d’autoriser le Maire à ajuster le plan de financement susvisé en fonction des réponses définitives de financement des différents partenaires.
- d’autoriser le Maire à signer tout document relatif à cette demande de subventions

La présente délibération pourra faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir dans un délai de deux mois à compter de sa notification à M. le Président du Tribunal Administratif de Nîmes, 16
avenue Feuchères, 30000 Nîmes.

ARTICLE DU 6 AVRIL 2010
http://reboussier.blogspot.com/2010/04/ce-rocher-qui-nous-effritte.html

Après vous avoir laissé le temps de relire les infos ci-dessus Quelques remarques

La mairie cite dans cette délibération un arrête municipal lequel? à quelle date ? le flou.
"Vu l’arrêté municipal d’urgence impérieuse"
Cet arrêté classe ce projet en urgence impérieuse, qui a décidé ce classement? en fonction de quels critères ?
En aucun cas ce classement est justifié , il autorise évidement de passer des marchés de gré à gré Avec toutes les conséquences prévisibles , le prix en particulier.
Je vous rappelle que l'entreprise SOTRAC adjudicataire a fait une offre 50% plus chère que l'estimation du bureau d'étude
Et sauf avis contraire il n'y a pas eu de mise en concurrence, la commission des appels d'offres de la ville d'Anduze n'a pas entendu parlé de ce projet...Étrange POUR 1 000 000 € t'as plus rien
L'urgence impérieuse est déclarée ,entre autre, si les travaux sont dus à une cause imprévisible
Hors la jurisprudence en ce domaine dit le contraire ,une falaise de ce type doit être régulièrement "purgée" et "suivie "voir article du 6 avril
D'autre par les travaux en cas d'urgence impérieuse doivent être très brefs 3à 4 semaines
Dans notre cas je le répète :
6 mois pour le financement et passer le marché et 2 mois de travaux Plus 1 mois , le train a repris et les travaux continus
L'éboulement s'est produit le 9 août 2009 il y a maintenant 8 mois et les travaux ne sont pas terminés, même l'urgence simple n'est pas qualifiable.

LES CONSÉQUENCES
Elles sont essentiellement financières 300 000 € de dépassement par rapport au budget initial
Une mise en concurrence selon le code des marché publics aurait calmée les ardeurs de l' entrepreneur

Le point central est le classement en urgence impérieuse , point qui n'a été débattu nulle part ,et qui sort lui aussi d'un chapeau .....Mais qui nous coûte cher amis contribuables

Vous avez lu et surtout pas lu , comme moi , à ce jour le maire n'a eu aucune délibération de son conseil pour l'autoriser à signer un engagement avec la SOTRAC
Dans ce contexte "baveux" la SOTRAC sera t'elle payée ?

Le sherlockboussier