Affichage des articles dont le libellé est ales. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ales. Afficher tous les articles

jeudi 29 septembre 2011

sarko au musée du désert
le matin vers 11h mardi 4 octobre ? ? ?
j 'y crois pas !

Sarkozy chez les huguenots du Musée du Désert ?
Pas de doute qu'il dira comprendre l'esprit de résistance qui anime nos Cévennes !
Espérons que son vassal alésien ne le recevra pas en costume de mousquetaire du Roi ?
 L'électoralisme recommence comme en 2007 ! Remarque, il n'a jamais vraiment cessé !


Réformes bidons, agitation permanente, décisions irréfléchies, bradages au secteur privé, reculades, etc.

 



Il va lui dire l'alésien que ces cévenols l'emmerdent en s'opposant à ses ambitions territoriales ?

SARKO A ALES CAUSSES CEVENNES






Note du réboussier:
J'ai regardé avec beaucoup d'attention l' émission sur  France 3 "des racines et des ailes" hier soir
Cette émission était consacrée à nos Cevennes : château de Porte ,  Florac , causses Méjan , à l'apiculture , à la rénovation des "restanques" et j'en oublie peut être
MAIS JE N'AI PAS ENTENDU PARLE D' ALES soit disant capitale CAUSSES , CEVENNES
Ales ville semi-industrielle , commerçante ,ex minière , n'est pas nichée au centre des Cevennes ,et encore moins proche des Causses, mais en périphérie
Dans cette optique pourquoi ne pas mettre Brest ou Marseille ou Strasbourg capitale de la France
Évidemment ces villes n'ont pas Roustan

Porte des Cévennes, une identité galvaudée !

Le 4 octobre 2011, Monsieur le Président de la République viendra à Alès pour fêter l’inscription de nos Cévennes au patrimoine mondial de l’UNESCO. Nous en serions très honorés, sauf que précisions données, c’est la ville d’Alès qui est mentionnée « Porte des Cévennes » !

Serions-nous déjà intégrés au Grand Alès ? Quel camouflet pour notre cher maire d’Anduze qui a porté sa campagne sous ce sigle, et qui rend les armes, sans combattre, auprès du Maire d’Alès !

Notre municipalité actuelle semble oublier beaucoup de ses valeurs, voire son âme, mais ça nous le savions déjà.

Vite , Monsieur le Maire , allez retenir votre place autour du pré-carré de Mr Roustan pour cette visite présidentielle ! On pourra ensuite dire : Anduze, annexe de la Porte des Cévennes.

Pierre Lemaire

mercredi 21 septembre 2011

Chronique : Conseils aux élus.

Je vous propose l’ouverture d’une nouvelle série d’articles destinée aux élus, professionnels ou futurs professionnels de la politique afin de leur faciliter l’élection ou la ré-élection ainsi que la gestion de leurs mandats.

Cette rubrique s’appuie sur l’expertise et l’expérience unanimement reconnues de Monsieur Don ROUSTANI, le célèbre maire de la commune Maximapolis de la province de Septima Magna.

La forme choisie sera celle de l’interview, plus dynamique et correspondant mieux au franc parlé de notre expert.

La rédaction (LR) : Monsieur Don Roustani nous entrons dans une période préélectorale importante, en 2012 élections nationales des députés puis en 2014 élections municipales, régionales et départementales. Le résultat de l’élection présidentielle, conjugué à la crise économique, risque de changer la donne pour de nombreux élus sortant. Quels sont les conseils que vous pouvez donner, dans ce contexte mouvant, à vos collègues élus pour se maintenir au pouvoir ?

Don Roustani : Ben je fais en politique comme je faisais dans mon ancien métier d’apiculteur. Quand je constatais que le nombre de ruches était insuffisant pour assurer une bonne récolte, j’allais à la recherche d’essaims sauvages pour compléter mon rucher.

LR : Pouvez-vous être plus précis.

Don Roustani : Vous savez que je suis profondément attaché à la légalité républicaine. Pour cette raison je me suis entouré de spécialistes dans le domaine de la loi qui trouvent des solutions tout à fait légales. Je prends un exemple, la loi n° 69-3 du 3 janvier 1969 permet aux personnes exerçant une activité ambulante ou sans domicile fixe de se faire rattacher par le préfet à une commune donnée sur avis favorable du maire (1). Au bout de trois ans de rattachement ininterrompu dans la même commune, ces personnes peuvent demander à être inscrites sur la liste électorale (2)

LR : Ce sont vos essaims sauvage ?

Don Roustani : Ce n’est qu’un exemple pour donner des idées à mes collègues. Naturellement au plan personnel je n’ai jamais eu recours à ces pratiques, bien qu’elles puissent être efficaces. En effet, l’importance de cette population rattachée peut aller jusqu’à 3% de la population municipale (3) . Il existe même une mesure de tolérance qui permet au préfet d’accorder des dérogations pour assurer l’unité des familles. Bien gérée, cette population peut faire basculer le corps électoral, en toute légalité j’insiste.

LR : Tout avantage comporte un revers. Le coût social de cette opération ne pèse-t-il pas trop sur les finances locales ?

Don Roustani : Bah, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. C’est vrai que les prestations sociales sont attribuées dans la commune. Mais la plupart relève soit du budget national, soit de celui du conseil général de la province comme l’APA ou le RSA (4). On peut dire que le bilan de l’opération est globalement positif pour l’élu. Mais cela implique une vision à long terme, de la patience et un réalisme que peu d’élus ne possède. C’est pas pour rien qu’on me surnomme le crocodile.

LR : Merci Monsieur Don Roustani pour cette première leçon de réalisme politique

-1-Article 7 de la loi n° 69-3 du 3 janvier 1969

-2-Article 10 de la loi n° 69-3 du 3 janvier 1969
-3-Article 8 de la loi n° 69-3 du 3 janvier 1969
-4-article L264-1 du Code de l’action sociale et de la famille


Némo

mardi 20 septembre 2011

allons donc , MAX elle est pas là ,LA MENACE

LETTRE à MAX
Tres cher , aujourd'hui c'est rien , tout est cool
Mais demain si tu reussis ton hold-up
Tu heriteras d'une bande d'alter gauchiste traine savate ...D'ultra gauche
Qui t'en feront voir de toutes les couleurs
tu t'en doutes
Fini la suprème suprématie superfetatoire
Ta majorité giclera ,

MAIS...DIS QUE DEVIENDRAS-TU
Dans combien de jour, et dans combien de nuit.
Dans combien de temps qu' tu t' s'ras repenti.
Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier virage
Pour nos maires déchirés, c'est le dernier passage
Au printemps, tu verras, la rose de retour
Le printemps, c'est joli à Cruviers Lascours
La ou les maires ruraux vont se ressaisir
Ruront-ils à nouveau à ton grand déplaisir
etc...

Le réboussierpouet

vendredi 19 août 2011

Midi Libre censure certains messages dont celui-ci, ni offensant, ni diffamatoire,
posté deux fois, mais non publié, suite à l'article paru ce jour sur la venue de Xavier Bertrand pour l'inauguration de l'hôpital d'Alès:

.

"Il faudra que Monsieur Max Roustan profite de l'inauguration pour demander à Monsieur le Ministre Xavier Bertrand une rallonge budgétaire.

En effet, les dossiers des patients ne sont pas informatisés comme prévu, faute d'argent.

Il faut donc stocker des tonnes de dossiers "papier", ce qui n'est pas un gage de Haute Qualité Environnementale.
Et de plus, la place pour les stocker n'a pas été prévue.
Il faut donc louer des locaux.

Heureusement, j'avais cru lire que tout avait été prévu pour faire un exemple national de ce nouvel hôpital."

Signé Dr Knock

mercredi 3 août 2011

POLITIQUE -- Alès -- Jacques DELPEY nommé sous-préfet

Diplômé de Sciences Po Bordeaux, d'un DESS d'économie internationale et ancien élève de l'ENA, Jacques DELPEY a été nommé par le ministre de l'Intérieur sous préfet d'ALES. Il remplace Philippe PORTAL, devenu sous préfet de MANTES-LA-JOLIE. ...
 
RAJE: L'esprit Libre

Alors là !
Monsieur MAX nous sommes de tout coeur avec vous
Mais pourquoi tant de haine dans ce monde cruel ! !

Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire

Séance du 28 avril 2010 à 9h30

La séance

Source
Commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

La commission du développement durable et de l'aménagement du territoire a examiné, sur le rapport pour avis de M. Jérôme Bignon, le projet de loi de réforme des collectivités territoriales (n° 2280).

Intervention de Max Roustan

Avez-vous la moindre idée de ce que représente le budget d'une communauté de communes de 3 000 habitants ? Il ne permet même pas de financer une crèche ou une déchetterie !
Dans mon pays, j'ai dix-sept communautés de communes et leurs responsables sont vraiment au bout du rouleau.
 Le seuil rentable, c'est 10 000 habitants ; l'effet ciseau est à 5 000.
En dessous, c'est la disparition à plus ou moins longue échéance.

Je suis un ardent partisan des pays.
Dans le mien, qui compte 117 communes,
je suis le seul élu UMP : les 116 autres sont de gauche,
et cela marche très bien !

http://www.nosdeputes.fr/max-roustan

Monsieur MAX à l'honneur , et encore merci pour tout.

Vous avez raison Monsieur MAX il vaut mieux vous occuper de votre territoire
plutôt que  perdre du temps à Paris

vendredi 29 juillet 2011

Le silence coupable du maire d’Alès Max Roustan sur le projet de schéma de coopération intercommunale

Début mai le projet de schéma de coopération intercommunale du Gard (SDCI) a été adressé pour avis aux conseils municipaux (à Alès aucune copie de ce projet n'a été adressée aux conseillers municipaux de l'opposition…). Les conseils municipaux disposent d'un délai de 3 mois pour se prononcer : à défaut de délibération dans ce délai, l'avis est réputé favorable. Le SDCI du Gard est très important puisque c'est une proposition de redécoupage de la carte des intercommunalités dans le Gard. A Alès le projet prévoit de faire passer l'Agglomération du Grand Alès de 16 communes à 46 en lui adjoignant les communautés de communes d'Anduze, de Vézénobres et du Mont Bouquet.


A Alès, aucune réunion du conseil municipal n'est prévue : le maire et Président du Grand Alès Max Roustan ne semble pas vouloir réunir le conseil municipal pour débattre de la proposition du préfet. Comment imaginer que le conseil municipal de la ville centre du Grand Alès reste silencieux sur la question de l'élargissement de l'agglo ? Pourquoi ce silence sur cette question majeure ?

En réalité si Roustan ne réunit pas le conseil municipal c'est pour tenter de faire oublier son fiasco sur sa gestion de l'élargissement du Grand Alès et notamment son double discours où d'un côté il clame qu'il est vital pour le Grand Alès de s'agrandir et de l'autre qu'il n'est demandeur de rien concernant l'élargissement.

Dans toutes les intercommunalités concernées cette question divise les populations, les élus, les villages.

Au sein de la communauté de communes autour d'Anduze, Saint Sébastien d'Aigrefeuille et Massillargues ont voté contre et à Tornac le projet préfectoral est passé avec 8 voix pour et 7 contre.

Dans la communauté du Mont Bouquet à Brouzet le SDCI a été adopté avec seulement 5 voix pour, 5 abstentions et une voix contre.

Quand a l'intercommunalité de Vézénobres, 12 conseils municipaux ont d'ores et déjà donné un avis défavorable et à Ners le projet est passé avec 6 voix pour, 5 contre et une abstention.

Mont Bouquet : Brouzet CM 5P-5abst-1C / + 1 commune qui a voté pour rejoindre Vézénobres

Une fois de plus Max Roustan est loin d'être à la hauteur sur ce dossier. Le maire d'Alès est aujourd'hui le diviseur alors qu'il devrait être rassembleur des énergies de notre territoire. C'est lui qui a demandé au préfet un élargissement au pas de charge du Grand Alès. Alors que le Grand Alès devrait être attractif il devient repoussoir.

A l'intérieur même du Grand Alès trois communes ont rejeté le SDCI Saint Christol, Saint Jean du Pin et Salindres et de nombreux autres maires et élus s'interrogent fortement même s'ils ne peuvent pas le dire haut et fort compte tenu de la méthode de gouvernance du Président du Grand Alès (cf. infra).

Si l'idée d'élargir le Grand Alès n'est pas mauvaise en soi, la méthode utilisée pour y parvenir est plus que contestable : le duo Préfet-Président du Grand Alès a choisi de contraindre plutôt que de convaincre.

Toutes ces oppositions sont une double sanction :
Une sanction de la méthode du préfet et à travers lui de celle du gouvernement :
absence de concertation préalable avec les élus et les populations
consultation fantoche : quelque soit le vote des conseils municipaux le préfet peut ne pas en tenir compte avec la « clause du passer outre »
opacité financière. Aucun éclairage sur les incidences de la fiscalité des recompositions intercommunales n’a été apporté par la préfecture.

Incohérences et contradictions du projet proposé : le redécoupage est censé être fait selon les « bassins de vie » or dans le bassin d'Alès quid de la Communauté de Communes « Vivre en Cévennes » avec Saint Julien les Rosiers. Quid du Pays Grand-Combien avec Cendras.

Une sanction de la gouvernance Roustan : le Grand Alès fait aujourd'hui figure de repoussoir alors qu'il devrait être attractif. C'est le résultat de la gouvernance de son Président. Il n'arrive pas à convaincre sur sa gestion.

absence de réel projet partagé : on est dans une logique de guichet et de troc sans construction de projet de territoire commun (sur les transports, l'habitat, l'économique,…)
très fort endettement plus de 1000€ par habitant en dette consolidée. (1017,17 € au 1/01/11).
interrogations sur la fiscalité avec la mise en place cette année de la taxe additionnelle et surtout la question de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères qui ne cesse d'augmenter alors même que le Grand Alès a été incapable depuis 15 ans de trouver une solution pérenne au traitement des ordures ménagères.
gouvernance brutale : le conseil d'agglo ne sert à rien, il est une simple chambre d'enregistrement. Roustan impose les décisions en conseil des maires, usant de la carotte et du bâton envers les récalcitrants. En fait l'agglo est sous la tutelle du maire d'Alès et de son staff de la ville d'Alès (même directeur général des services, même directeur de cabinet…).

Bien loin de l'intérêt général, des populations et de notre territoire, le projet préfectoral de Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale est rempli d’incohérences et de contradictions. Il semble plus dicté par le désir de satisfaire des notables locaux que par la volonté de mettre en œuvre une politique ambitieuse d’aménagement du territoire.

Benjamin Mathéaud, conseiller municipal d'Alès

Secrétaire de section du PS d'Alès - Robert Gourdon


mardi 12 juillet 2011

Objectif Gard et ça repart

http://www.objectifgard.com/article-video-manifestation-a-anduze-le-gendarme-mis-en-cause-a-ete-mute-a-marseille-78986723.html

Motion Conseil Général du Gard

Objet : motion Conseil Général du Gard

 Bonsoir,

La majorité du Conseil Général du Gard vient de prendre une position claire et combative sur la réforme territoriale et sur les méthodes employée pour sa mise en oeuvre dans le Gard.
Depuis plusieurs semaines l'Association des Maires Ruraux du Gard dénoncait seule les méthodes employées par le préfet du Gard dans la gestion de ce dossier.(voir communiqué du 07/06/11 en PJ)

Nous ne pouvons que nous féliciter d'être rejoints sur cette question par la majorité départementale.

Cordialement.

Alain BEAUD
Maire de Saint Sébastien d'Aigrefeuille
Président de l'Association des Maires Ruraux du Gard



 Le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale.
 Positionnement de la majorité départementale.

 La réforme des collectivités territoriales engagée aujourd’hui par le gouvernement de Nicolas Sarkozy menace les principes de la décentralisation.
 Les élus de proximité, que nous sommes, avons fait connaitre nos craintes et avons dénoncé avec force les intentions cachées de cette loi qui vise à réduire le nombre d’intercommunalités, le nombre d’élus et à engager des diminutions drastiques des financements publics.
Dans le cadre de cette réforme, les préfets, ont eu pour mission de réfléchir et de proposer dans chaque département, une nouvelle carte de l’intercommunalité.
Dans le Gard, les propositions présentées, suscitent dans certains territoires de nombreux débats voire des controverses. 
Les élus locaux, dans leur grande majorité, ont le sentiment d’être dépossédés de leur pouvoir de décision en matière d’intercommunalité.
Aussi, nous souhaitons soulever précisément la question sensible de « la méthode » utilisée pour l’élaboration et mise en œuvre de la nouvelle carte de l’intercommunalité.

 D’une part, il faut évoquer l’opacité financière.
Aucun éclairage sur les incidences de la fiscalité des recompositions intercommunales n’a été apporté par la préfecture.
 Les élus locaux se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de penser leur intercommunalité sans pouvoir fonder leur analyse sur des éléments financiers.
 D’autre part, la concertation avec les élus locaux est galvaudée.
 Les marges de manœuvre de ces élus pour développer leur vision intercommunale sont confinées dans la règle, restrictive et incongrue, de l’amendement des 2/3 des membres de la CDCI.
Enfin, la clause « du passer outre », permettant au préfet d’aller à l’encontre des décisions des organes délibératifs des EPCI, lui confère de larges pouvoirs.
Ainsi, la majorité départementale réaffirme sa solidarité avec les élus locaux.
La prise en compte de la volonté des élus et des aspirations des populations est incontournable pour la réussite de l’intercommunalité.
Afin que le principe de la démocratie locale soit respecté, nous demandons au Préfet d’organiser une large concertation avec les élus et de renoncer à utiliser la clause du « passer outre ».
 La cohésion des territoires est majeure pour notre département et ne pourra s’engager que dans le consentement.
 Ecrire l’avenir de l’intercommunalité, en occultant la volonté locale, serait, pour les élus de la majorité départementale, une erreur irréversible. L’avenir des territoires ne se fera pas sans l’avis des élus et celui de la population.




Rappel :

ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU GARD
Mairie 30140 Saint Sébastien d’Aigrefeuille

COMMUNIQUE DU 7 JUIN 2012

L’Association des Maires Ruraux du Gard rappelle la primauté de la commune dans l’organisation territoriale de la République. Elle réaffirme qu’elle est favorable à l’Intercommunalité dans la mesure où celle-ci n’est pas considérée comme une strate destinée à terme à remplacer le niveau communal, mais plutôt comme une coopérative de moyens et un espace de coordination ou de réflexion stratégique pour l’avenir de nos territoires.
L’Association des Maires Ruraux du Gard dénonce la marche forcée imposée pour la mise en œuvre d’une réforme territoriale très contestée par les élus locaux et une grande partie de la classe politique de notre pays.
L’Association dénonce un projet préfectoral de Schéma Départemental de la Coopération Intercommunale rempli d’incohérences et de contradictions et qui semble plus dicté par le désir de satisfaire des notables locaux que par la volonté de mettre en œuvre une politique ambitieuse d’aménagement du territoire que nous revendiquons pour notre département.
L’achèvement comme le développement de l’intercommunalité doivent être librement consentis tant par les élus que par les populations concernées sans quoi nous serions inévitablement confrontés à des conflits et a des situations de blocage que personne ne souhaite.
L’Association des Maires Ruraux du Gard affirme que le respect des volontés citoyennes, chaque fois qu’elles se sont exprimées, est une des conditions majeures de la réussite de la recomposition des intercommunalités.
Les regroupements, lorsqu’ils s’avèrent nécessaires, doivent répondre à un impératif d’efficacité au service d’un projet de territoire. Ils doivent être le fruit d’un dialogue entre les intercommunalités basé sur l’écoute et le respect mutuel. De fait, il convient d’écarter du schéma toute initiative vécue comme une tentative d’annexion d’un territoire par un autre ou dictée par une démarche de politique partisane.
L’Association des Maires Ruraux du Gard demande la prolongation du délai de consultation des assemblées délibérantes tant que les services de l’Etat ne seront pas en mesure de fournir des simulations sur les conséquences des nouveaux périmètres de communautés ou de réorganisation des syndicats intercommunaux proposés dans le projet préfectoral. Ces analyses sont indispensables pour que les communes et les EPCI qui doivent se prononcer sur le projet préfectoral puissent décider en connaissance de cause.
L’Association des Maires Ruraux du Gard veillera à ce que les communautés qui ne sont pas objectivement menacées par les critères définis dans la loi et qui souhaitent majoritairement continuer d’œuvrer sur leurs périmètres ne soient ni démantelées ni contraintes à une fusion.
L’Association dénonce l’attitude provocatrice du préfet du Gard et son manque de respect trop souvent affiché pour les élus des communes rurales. Elle s’élève contre les menaces et les procédures engagées à l’encontre d’élus qui expriment une vision différente de la volonté préfectorale ou qui se voient reproché leur souhait de consulter les citoyens avant de se prononcer sur des propositions lourdes de conséquences pour l’avenir de nos communes.

Le Président,
Alain Beaud

dimanche 10 juillet 2011

Le Daufiné Libéré en ajoute une couche

http://www.ledauphine.com/france-monde/2011/07/09/il-avait-gaze-des-manifestants-le-gendarme-a-ete-mute

Trop facile de muter et puis ça y est... Il faut un jugement !

Et puis y'avait aussi le sous préfet dans le train ; il était responsable des forces de l'ordre ; tout comme le préfet qui lui n'était pas là mais n'a pas été inquiété pour défaillance à sa mission : selon les missions qui lui sont confiées, il est responsable de l'ordre public et détient des pouvoirs de police.

Trop c'est trop ! Ras le bol de ces hauts fonctionnaires payés grassement par nos impôts, incapables d'assurer notre protection et qui savent juste nous imposer leurs décisions (sous prétexte qu'ils détiennent la vérité révélée : z'ont fait des études, eux).
Non au projet d'intercommunalité proposé par un Préfet qui n'assure pas ses missions premières.

LeRéboussierQuiNeRegardePasLeDoigtQuandTuLuiMontresLaLune