jeudi 8 mars 2018

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Pendant le débat du PS, il n'y avait pas grand monde pour défendre François Hollande

https://www.huffingtonpost.fr/2018/03/07/pendant-le-debat-ps-il-ny-avait-pas-grand-monde-pour-defendre-francois-hollande_a_23379934/

Avez-vous déjà vu.... Anduze sous la neige ? - Actus - Centre International de séjour - Ethic étapes - Val de l'Hort

http://valdelhort.com/avez.vous.deja.vu.anduze.sous.la.neige-33-134.php

C est à vous 19 h sur direct .5

C est à vous 19 h sur direct .5
Aujourd'hui 7 mars 2018

Une réalisateur présente son reportage sur les banlieues, en particulier sur les femmes qui essaient de se libérer de leur chaine, et d' exister, le sujet est noble
Jusque la , à part le coté voyeur, pseudo libérateur et très vendeur,
Ce réalisateur qui est peut être journaliste , mais boutonneux avec une tête illustrée de Dreadlocks crades, rasta d' un autre temps .
A cru bon déclarer que dans les banlieues les jeunes sont systématiquement orientés vers des metiers techniques

Etre un technicien quelle horreur, quelle déchéance .

Il faudrait peut être être conscient qu' il n' y a pas de métier dévalorisant et que la technique n'est pas le sous produit de l' intello ! Et surtout pour ce monsieur avec sa tête d' homme libre , qui se veut le défenseur…Des plus malchanceux

Mais au fait c'est quoi un intello ?

Comme quoi un look libéré ne nettoie pas le cerveau d'idées rétrogrades

AIGUES-MORTES Complément d'enquête et le recrutement familial municipal - Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2018/03/08/aigues-mortes-complement-denquete-et-le-recrutement-familial-municipal/

mercredi 7 mars 2018

[VIDÉO] "Comité de Soviets" : Noël Mamère se déchaîne contre Le Média, son éphémère employeur

https://www.marianne.net/medias/video-comite-de-soviets-noel-mamere-se-dechaine-contre-le-media-son-ephemere-employeur

Stationnement et FPS : comment la mairie de Paris s'est fait entourlouper par Streeteo

https://www.marianne.net/societe/stationnement-et-fps-comment-la-mairie-de-paris-s-est-fait-entourlouper-par-streeteo

De quoi s'interroger sur la capacité de gestion de cette mairie, l' histoire des vélibs qui n' en finissent pas d' accoucher en rajoute …une couche !
.…

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« Fake news » : ramenons le débat européen à la source du problème

Paris, le 2 mars 2018 - La Commission européenne a récemment lancé une consultation sur les « fausses nouvelles et la désinformation en ligne », à laquelle La Quadrature vient de répondre. Le débat actuel autour de ces phénomènes se distingue par la confusion qui y règne et le risque qu'il pose de conduire à des mesures portant atteinte à la liberté d'expression et au droit d'accès à l'information. Pourtant, le système de surveillance publicitaire des grandes plateformes basées sur l'économie de l'attention, ayant un effet destructeur sur le débat public, mérite un traitement sérieux.

Comme aux États-Unis, les leaders politiques en Europe sont hantés par le spectre des « fake news ». Début janvier, Emmanuel Macron a annoncé une future loi contre la propagation des « fausses informations », notamment en période électorale, qui est supposée arriver à l'Assemblée nationale fin mars.

La Commission européenne a ouvert une consultation, qui a pris fin le 23 février, afin de décider avant l'été s'il est nécessaire de légiférer à ce sujet. La Commission a également mis sur pied un groupe d'experts [EN], tenu de soumettre un rapport en mars. Ces deux actions de la Commission européenne visent uniquement la propagation des contenus en ligne qui sont « licites mais faux », sans donner de définition de « faux ».

Pour un débat constructif autour des « fausses nouvelles et la désinformation en ligne », nous voudrions rappeler cinq constats fondamentaux :

  1. Le problème de la désinformation existe [EN] depuis que le pouvoir existe : l'influence des grands médias historiques sur le pouvoir politique, ainsi que leur tendance au sensationnalisme ne sont pas des phénomènes récents ;
  2. aucun critère ne peut définir de façon satisfaisante et générale ce qu'est une information « fausse », la véracité d'une information ne pouvant être raisonnablement interrogée que dans le cadre factuel où elle cause un tort précis et concret à un individu ou à la société ;
  3. Internet, dans sa conception même, a été pensé comme un réseau neutre [EN], se distinguant des autres médias par le fait qu'il offre à tous la possibilité de s'exprimer et laisse aux usagers du réseau le soin de contrôler les informations qu'ils reçoivent ;
  4. Internet pourrait être un outil d'élargissement considérable du débat public, mais la régulation automatisée de ce débat, guidée par des critères purement marchands, lui nuit aujourd'hui grandement : pour vendre plus cher leurs espaces publicitaires, les plateformes dominantes favorisent la diffusion des informations les plus utiles au ciblage de leurs utilisateurs ;
  5. Le système de surveillance publicitaire des grandes plateformes, basé sur « le temps de cerveau disponible », a ainsi transformé les utilisateurs d'Internet, ainsi que les lecteurs des médias historiques, en des produits marchands. En ce sens, ce ne sont pas les utilisateurs mais les services qui sont responsables de la sur-diffusion de certaines informations pouvant nuire à l'équilibre du débat public.

Pour approcher le problème de la désinformation face à la régulation automatisée du débat public, il convient de prendre en compte les éléments suivants :

  1. Dans une démocratie, seule la société elle-même peut construire ses propres vérités (peu importe d'ailleurs que celles-ci forment un ensemble cohérent) ;
  2. La régulation automatisée du débat public par les plateformes dominantes nuit profondément à ce mécanisme de construction démocratique, la valeur d'une information n'y étant plus fixée qu'à partir du nombre de clics qu'elle peut générer ;
  3. Le fait que la société ne puisse plus efficacement construire ses propres vérités, à cause de cette régulation automatisée, ne doit pas être une excuse pour lui enlever ce rôle et confier celui-ci, grâce à la censure, à un gouvernement en perte de légitimité ou à des plateformes prédatrices.

Au lieu de combattre le mal par le mal (en incitant les plateformes à la censure sans même prendre en compte leur fonctionnement économique), il faut contraindre celles-ci à permettre leur interopérabilité avec d'autres plateformes alternatives et à respecter la réglementation sur les données personnelles (qui freinerait leur influence néfaste sur les débats).

En effet, la sur-diffusion d'un certain type d'informations, selon des critères opaques, purement économiques et ne prenant donc aucunement en compte l'intérêt public, est la conséquence inévitable de la surveillance imposée par les plateformes centralisées à leurs utilisateurs. Or, le règlement général sur la protection des données (RGPD) prévoit qu'aucun service ne peut être refusé à une personne du seul fait que celle-ci refuse que son comportement y soit analysé (voir la définition du caractère libre du consentement en droit européen).

L'entrée en application du RGPD le 25 mai prochain est en cela une très bonne nouvelle, qui laisse espérer pouvoir limiter drastiquement la toute puissance du monde publicitaire en matière de surveillance des utilisateurs et rendrait beaucoup moins intéressante la mise en avant de contenus « à clics », dont les « fake news » font partie.

La Quadrature du Net publie ici sa réponse à la consultation.

François Baroin va conseiller la banque d'affaires Barclays... tout en restant maire de Troyes

https://www.nouvelobs.com/politique/20180306.OBS3174/francois-baroin-va-conseiller-la-banque-d-affaires-barclays-tout-en-restant-maire-de-troyes.html

Comment préparer l’avènement de l’intelligence artificielle forte ? | Contrepoints

https://www.contrepoints.org/2018/03/07/311239-preparer-lavenement-de-lintelligence-artificielle-forte

mardi 6 mars 2018

Nouveau commentaire sur Le Média de Mélenchon ou l’info en liberté surveillée



Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Le Média de Mélenchon ou l'info en liberté surveil..." :

L'info en liberté surveillée au Média, vraiment?
À écouter L'ENTRETIEN LIBRE animé par Aude LANCELIN, qui recevait Thomas GUÉNOLÉ ce lundi 5 mars à l'occasion de la sortie de son livre intitulé «Antisocial», j'ai vraiment assisté à un discours magistral sur l'état de sidération qui s'est mis en place dans notre pays.

https://youtu.be/ufNbtVzYwIM

La République oligarchique qui est en place aujourd'hui "joue" une grande partie de Monopoly...
Au travers des interventions sur les médias mainstream, les propagandistes instillent l'idée «qu'il n'y a pas d'alternatives» au système en place.
Une véritable "église médiatique" installe un paradigme dans lequel chacun de nous devrait "logiquement" se soumettre pour les choses aillent mieux demain.
Puisqu'on vous répète inlassablement à longueur d'antenne mais aussi d'éditos que nous vivons dans un temps de grands bouleversements.
Vous ne voudriez pas passer à côté d'une "modernisation" propre à une entrée dans le XXIème siècle, non?
Il faut faire corps avec cette nouvelle ère, accepter l'idée que l'on doit mettre un terme aux "privilèges de certains" quand il y a tant de miséreux dans notre pays?
Et ne faut-il pas laisser les "meilleurs" connaisseurs s'emparer de notre destin collectif?
L'abnégation face à un tel fatalisme n'est-il pas de laisser faire sans trop rechigner?
Laisser s'installer la résignation face aux ordonnances prescrites par des généralistes de renom, qui pour vous soigner vont vous prescrire de nouvelles saignées et vous répéter que "ça ira mieux demain"?
Oui, oui, nous avons des "spécialistes" à la tête de ce pays, qui, inlassablement mettent l'organisation de ce pays à sac.
Un démantèlement méthodique pour nous pousser à accepter l'irréparable.
Jusqu'où iront-ils avant que nous ne réagissons massivement et collectivement à cette entreprise de destruction oligarchique?

Flash info – Faut-il diminuer d’un tiers le nombre de parlementaires ?

http://mailing.groupemoniteur.fr/nl/jsp/m.jsp?c=d1f12f9792b218f692