mercredi 4 février 2015

On passe à l'action contre TAFTA !



On passe à l'action contre TAFTA !


Jeudi 5 février : on passe à l'action contre TAFTA !

« Arbitrage investisseur-Etat, c'est toujours non ! »

Cher-e-s signataires, 

Depuis des mois déjà, nous vous informons des dangers du traité transatlantique, le TAFTA, négocié dans les coulisses de Bruxelles. 

Nous vous invitons aujourd'hui à passer à l'action ! Dans le cadre du Collectif Stop TAFTA nous agirons en coordination avec ATTAC, l'Aitec, les Amis de la Terre... et bien d'autres. Une action individuelle, mais qui à 100 000 pourrait avoir un succès retentissant !

 

Contexte


Cette semaine a lieu le 8ème cycle de négociation du TAFTA à Bruxelles. La Commission européenne publiait en janvier son analyse de la consultation publique, et le résultat est sans appel : 97% des participants rejetait clairement le mécanisme d'arbitrage investisseur-État (ISDS) !

Pourtant la Commission poursuit sa volonté de promouvoir l'ISDS, dans une version « améliorée », dans l'accord UE-Canada (CETA) comme dans le TAFTA. Et le gouvernement français semble s'engager en soutien de cette version, malgré une forte opposition citoyenne et des résolutions adoptées par les parlementaires, rejetant un tel mécanisme.

Objectif : interpeller le Parti Socialiste : Non à l'arbitrage investisseur-Etat !


Le gouvernement français doit s'engager fermement à protéger la démocratie, les droits sociaux et l'environnement en refusant toute forme de règlement des différends investisseur-État.

Ce mécanisme ne peut pas être réformé ni amélioré, son principe même est dangereux. Nous exigeons son rejet total.

Le gouvernement doit prendre une position claire.

L'Action

Action téléphonique : Occupons Solférino par téléphone ! 


Nous voulons faire entendre des milliers de voix opposées à la justice privée des multinationales.

Jeudi 5 février, veille de la clôture du cycle de négociation TAFTA,
a
ppelez le Parti Socialiste à Solferino toute la journée : 01 45 56 77 00 


Autres numéros possibles :
01.47.05.28.58  /  01.45.56.77.00  /  01.43.26.84.66  /  09.66.04.13.68

Trame de conversations / messages :
  • "Nous sommes opposés au mécanisme d'arbitrage investisseur-Etat et souhaitons connaître la position du Parti Socialiste."
  • "Non à la justice privée des multinationales ! Que fera le gouvernement français ?"
  • "L'arbitrage investisseur-État n'est pas réformable, il ne peut être amélioré. Le gouvernement français doit écouter les citoyens et exiger son retrait."
Planning indicatif par grande région :

09:00 - 11h00 : Ile de France
11h00 - 13h00 : Indicatif téléphonique 02
13h00 - 15h00 : Indicatif téléphonique 03
15h00 - 17h00 : Indicatif téléphonique 04
17h00 - 19h00 : Indicatif téléphonique 05

Partagez ensuite votre action sur les réseaux sociaux et les listes locales!


Sur Twitter


Continuez à interpeller des élu-e-s socialistes !

@jccambadelis Quelle est la position du #PS sur l'arbitrage privé dans le #TAFTA ? Pas de réforme possible ! #NoISDS #DuCourage #StopTAFTA
 
@ MEMBRE-DU-PS Quelle est votre position sur l'arbitrage privé dans le #TAFTA ? Pas de réforme possible ! #DuCourage #NoISDS #StopTAFTA

@ MEMBRE PS L'arbitrage #ISDS ne doit pas figurer dans #TAFTA la France @matthiasfekl doivent s'y opposer Dites lui #NoISDS!

XXX  8e cycle de négo #TAFTA à Bxl - #ISDS introduit un régime de droit exceptionnel pour les entreprises. Dites non !

XXX 8e cycle de négos #TAFTA à #Bruxelles. Votre voix compte, dites non à #ISDS, réformé ou pas !

Si vous souhaitez participer à ce genre d'actions ponctuelles environ une fois par mois, 
 

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Fusion des régions : le casse-tête des budgets 2016 - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/319840/fusion-des-regions-le-casse-tete-des-budgets-2016/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=04-02-2015-quotidien

VIDÉOS. Crash d'un avion de la TransAsia à Taïwan: les incroyables images de l'accident qui a fait au moins neuf morts

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/04/crash-taiwan-transavia_n_6610322.html

Voilà le verdict pour Boisset et Gaujac

mardi 3 février 2015

humour belge



Envoyé par ELTON

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humour belge par Pierre Kroll 

Actualité > Taille du pénis : pour les femmes, elle compte quand même
Ah ! vous voyez, je vous l' avais dit !

http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/biologie-taille-penis-femmes-elle-compte-meme-45753/

BOISSET et Gaujac la fronde contre le maire, Gérard Reverget

http://www.midilibre.fr/2015/02/03/la-fronde-contre-reverget,1119849.php

citation

Envoyé par BDSM

Winston Churchill a dit :

"Christophe Colomb fut le premier socialiste. Il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait et il faisait tout cela aux frais du contribuable. »

Encore une mauvaise langue !

Dieu merci, cette citation peut s'appliquer à tous les partis politiques ...

Alain Juppé récuse le "ni-ni" de Nicolas Sarkozy et voterait PS pour contrer le FN dans le Doubs

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/03/alain-juppe-nicolas-sarkozy-ni-ni-ps-fn_n_6601262.html?

ALIEN EOLIENNE


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Renouvelables : c'est la « cata »
Publié le 2 février 2015 dans Énergie
Le soutien forcené aux énergies renouvelables (hors hydraulique) conduit la France et l'UE « à la catastrophe ».
Par Michel Gay
La politique énergétique de la France, si elle en a une, a été fondée sur les trois présupposés suivants qui se sont révélés faux :
1.      le prix des énergies fossiles va croître de façon inexorable parce que la demande va excéder la production,
2.      l'Europe aura un avantage compétitif en développant une économie « bas carbone » fondée sur les renouvelables,
3.      une augmentation du prix du « carbone » émis par les énergies fossiles augmentera le coût des productions des centrales électriques classiques jusqu'à ce que les énergies renouvelables, notamment éoliennes et photovoltaïques, deviennent compétitives.
Or, on constate le contraire ! La production et les réserves augmentent depuis 2008 pour le pétrole, le charbon et le gaz. Les prix fluctuent mais ils ont baissé, notamment aux États-Unis, et le coût gigantesque des développements éoliens et photovoltaïques plombent notre compétitivité en augmentant les taxes et le prix de vente de l'électricité.
Des centaines de milliards d'euros investis dans des installations solaires et éoliennes ne produisent qu'une faible quantité d'électricité aléatoire1. Des usines conventionnelles, nucléaires ou fossiles, sont toujours nécessaires pour la « vraie » production, en particulier des centrales à gaz afin d'assurer les pointes de consommation les soirs d'hiver.
Ces installations solaires et éoliennes intermittentes ne peuvent jouer qu'un rôle anecdotique sans un système de stockage massif. Or, seuls quelques trop rares barrages hydroélectriques peuvent stocker l'énergie par pompage avec un rendement décent. Les autres techniques (dont l'électrolyse pour stocker de l'hydrogène) ont des rendements électriques ridicules et nécessitent des investissements colossaux qui, au minimum, tripleraient le prix actuel de l'énergie produite.
Le plus extravagant est que les privilèges accordés en Europe aux promoteurs des installations renouvelables ont favorisé d'une part le développement d'une florissante industrie de panneaux solaires… en Chine et, d'autre part, l'augmentation des besoins en matière appelée « terres rares » (d'origine essentiellement… chinoise) pour les générateurs des éoliennes.
Contrairement aux affirmations martelées par certains écologistes et reprises par les médias, non seulement un emploi vert subventionné en Europe n'est pas pérenne2, mais de surcroît il détruit deux ou trois autres emplois par ailleurs dans l'industrie.
De plus, pour équilibrer le réseau de transport, perturbé par des éoliennes intermittentes et dont la puissance est extrêmement variable en fonction du vent, il faut disposer de centrales thermiques fiables, notamment au gaz.
En outre, si le besoin en électricité est couvert par les moyens traditionnels (fossiles et nucléaire), alors l'énergie électrique produite par les renouvelables est inutile. Elle est même parfois revendue à prix « négatif ».
Inversement, en hiver, par temps froid, lorsqu'une situation météorologique stable et sans vent (anticyclone) s'installe sur l'Europe et sur notre pays, la production de l'éolien est faible et celle du solaire aussi (jours courts, peu de lumière). Ce fut notamment le cas le 30 décembre 2014, et durant plusieurs autres jours depuis cette date.
La transition énergétique vers les énergies renouvelables pour succéder aux énergies fossiles est un mythe savamment entretenu, alors qu'en réalité cette transition se fera surtout grâce à l'énergie nucléaire. La surgénération avec de l'uranium, puis avec du Thorium, permettra de satisfaire les besoins mondiaux en chaleur et en électricité pendant plusieurs milliers d'années pour les pays qui pourront se l'offrir. Ces deux éléments sont abondants sur terre comparativement aux quantités qui seront consommées pour la production d'électricité.
Noyautée par des ONG environnementalistes radicales, la politique de l'Union européenne (UE) en matière de climat et d'énergie est… déraisonnable. Pour traiter un problème climatique, l'UE a mis en place un système de bourse d'échange carbone, source de tous les abus et de toutes les malversations, sorti des règlements et des normes aussi inutiles que néfastes pour nos économies… et elle conduit les États vers une transition énergétique qui les mène droit dans le mur. L'Allemagne avec son « Energiewende » est un bon exemple… de ce qu'il ne faut pas faire.
La Commission européenne et maintenant nos gouvernements, convaincus d'agir pour « sauver la planète » (slogan prétentieux ?), nous imposent des plans « climat-énergie » onéreux et flous, ainsi qu'une multitude de normes qui restreignent l'espace de liberté des citoyens et des entreprises. L'Europe montre ce qu'il ne faut pas faire, sauf à vouloir se tirer une balle, non pas dans le pied, mais dans le genou. Son « exemple » fou de soutenir à tout prix le développement des éoliennes et du photovoltaïque n'est pas suivi par les autres pays qui savent raison garder… Dépenser des milliards d'euros et plumer les citoyens et les entreprises pour un si piètre résultat est un délire collectif qui, s'il persiste, mènera l'UE à sa ruine…
En France, le Grenelle de l'environnement a repris à son compte la folle politique de l'UE, l'a déclinée au niveau national, et nous l'impose. La mécanique techno-bureaucratique est en marche. Les Régions préparent leurs « plans climat-énergie », dont on sait qu'ils ne serviront à rien, si ce n'est à plumer le « citoyen-contribuable-consommateur », et à torpiller la compétitivité de nos entreprises.
Ce soutien forcené aux énergies renouvelables (hors hydraulique) conduit la France et l'UE « à la catastrophe ». Est-il possible de faire plus absurde ?