lundi 5 octobre 2009

PAS DEUX, MAIS TROIS DEMISSIONS AU BUREAU DE L’OFFICE DE TOURISME

Absente pour cause de vacances, une ex vice-présidente de l’OT nous a fait parvenir un extrait de sa lettre de démission :
« Je ne peux cautionner certains évènements graves qui se sont passés à l’Office de Tourisme d’Anduze, c’est pourquoi je démissionne de mon poste de vice-présidente (je reste, bien entendu, membre du Conseil d’Administration).
…Vous ne connaissez pas le principe de la communication, et je regrette profondément cette pénurie d’informations.
… Vous ne savez pas manager l’équipe des bénévoles du Bureau de l’OT. (…) Un président doit déléguer et faire confiance à son équipe entière.
… Nous, membres du Bureau, voudrions des réunions utiles qui permettent de trouver des idées, de prendre des décisions, de faire avancer des projets, d’atteindre les objectifs que l’Association s’est fixée. Nous souhaitons apporter notre contribution et donner notre avis. (…)
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Geneviève Serre
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Messieurs les dirigeants du Grand Alès accordez vos violons !

Le Grand Alès a décidément de gros problèmes de communication.

Si on en croit les déclarations contradictoires de deux de ses dirigeants au sujet de la tentative de fusion avec la 2C2A….il y en a au moins un qui ment (plus que l’autre)

Max ROUSTAN, Président de la CAGAC dans le journal du Grand Alès de septembre 2009 :
« Avoir Anduze dans le Grand Alès nous donnerait la possibilité de bâtir un grand projet touristique.
En terme d’image ce serait un plus même si nous n’avons rien à y gagner financièrement. »

Jacques BUENO, Vice Président de la CAGAC dans Midi libre du 2 octobre 2009 au sujet de la fusion :
« Nous avons un intérêt économique.
Nous souhaitons que l’assiette financière soit la plus importante.
Si on demande l’avis de tout le monde on ne s’en sort jamais. »

Alors intérêt financier à annexer la 2C2A ou non ?
Tous ceux qui connaissent la situation financière catastrophique du Grand Alès connaissent la réponse.

Notons au passage le grand sens de la démocratie de Monsieur BUENO.
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Alain Marleix, secrétaire d’état à l’intérieur et aux collectivités locales hué à la Convention de l’Association des Communauté de France !

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Jeudi 1er et vendredi 2 Octobre l’AdCF tenait sa 20 ème convention à Chambéry.

Les quelques 1500 délégués représentant les communautés ont montré leur mécontentement face à l’avant projet de loi Hortefeux et le quasi ministre Alain Marleix venu défendre le projet en clôture de la convention a quitté la salle sous les sifflements et les cris de « démago », « populiste ».

Sous les feux de l’actualité et menacées par la réforme annoncé de l’intercommunalité les représentant des communautés ont participé en masse à la 20 ème convention de l’Association des Communauté de France.

Jeudi, les délégués ont refusé de voter, lors de l’assemblée générale, une motion jugée trop « consensuelle » soutenue par les dirigeants.

La fronde s’est ressenti jusque dans les ateliers ou le cas de la tentative de fusion « imposée » entre le Grand Alès et la 2C2A (et oui) a été présenté comme un exemple de ce qu’il ne faut surtout pas faire par nos représentants fortement applaudis.

Nombre de parlementaires se disent prêt à en découdre lors des débats à venir pour préserver le libre choix des communautés.

La disposition du projet qui vise à remplacer l’accord des Conseils Communautaires avant toute fusion par un simple avis n’est pas une bonne mesure pour une large majorité des présidents de communauté consultés par questionnaire avant la convention.

Cette même enquète montre que les présidents de communautés ont bien compris les enjeux de la réforme qu’ils considèrent majoritairement comme un recul pour la décentralisation.

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Décidément nous n’avons pas les mêmes valeurs.

CAGA /2C2A : LA PREUVE par Saint Hilaire

C’est à croire que les promoteurs de la fusion/annexion ont décidé de confirmer les arguments du Collectif de soutien à la 2C2A ou est-il devenu inutile de chercher à convaincre ou à séduire ?
Il n’est qu’à lire le festival de petites phrases parues dans le Midi Libre :
La fusion répond
–elle à une vision communautaire de l’avenir ?
« Je n’ai rien demandé à Anduze, ceux sont eux qui ont demandé à venir »
déclarait le président de l’agglo faisant mine de ne pas être très intéressé.
«J’ai été élu pour développer l’agglo et son territoire »
corrige le maire de Saint Hilaire de Brethmas.
La fusion répond
–elle à un projet de développement commun aux deux intercommunalités ?
Non, la fusion relève du seul intérêt de la CAGA par la voix du vice-président local:
« Nous avons un intérêt économique, nous souhaitons que l’assiette financière soit plus importante. »
Traduction : la CAGA a besoin des petites communes de la 2C2A pour continuer à emprunter.
Un processus démocratique pour adopter cette fusion ?
Non, « Que cela plaise ou non cette fusion sera inévitable »
… inévitable (inéluctable):
DOGME par définition incontestable et insoluble dans la volonté citoyenne.

Mais …les citoyens concernés,…les 2500 opposants,…les 7 communes qui ont voté contre, …la Démocratie ?
« Si on demande l’avis de tout le monde, on ne s’en sort jamais. »

Décidément nous n’avons pas les mêmes valeurs.

Huguette Scardapane Dominique Sénécal

samedi 3 octobre 2009

Le trimestriel Impatiente Démocratique qui couvre Anduze et ses environs a sortie son numéro 29 depuis jeudi.

Si vous n'avez pas eu l'occasion de passer au marcher d'Anduze nous vous offrons une seconde chance nous serons au marcher au puces dimanche de 11heures à 12 heures 30 ne chercher pas trop ce sera vers la buvette.

Pour ces malheureux qui auront du attendre un cadeau de consolation un extrait de « Que voulez vous que la bonne y fasse »Autres points de vente ou le journal est :
Tabac Presse de l’Église,
le Café du Luxembourg,
la Cave coopérative de Massillargues-Atuech,
la Bio Coop. Soleil Levain à Alès.

Que voulez vous que la bonne y fasseParagraphe 3.La bande du Plan de Brie, privée du mandat de conseiller général, puis devenue minoritaire à la Communauté de Communes, se trouva confrontée à l’ennui.
Elle décida alors de s’amuser un petit peu et déclencha la guerre des bandes.
C’est comme cela qu’un beau matin d’été, les sens de circulation ont été revus.
C’est vrai quoi, si les bouchons font la grandeur des villes, pourquoi n’aurions nous pas droit aux nôtres ?
L’autoroute la plus courte et la plus inutile ayant déjà été construite à Labahou, il fallait bien trouver autre chose.
C’est ainsi qu’au tout début de la période estivale, touristes et autochtones on été mis dans l’impossibilité de rejoindre le pont submersible.
Pour aller faire ses emplettes dans la grande surface locale, obligation de passer par le centre ville, de prendre la rue Pélico puis de la rejoindre par la rue de l'Ecluse et la rue du Luxembourg.
Il ne fallait plus alors que 20 bonnes minutes pour atteindre les provisions.
Pour le retour, obligation de faire la queue au stop de la route de Nîmes, puis retour dans le centre ville par la route de Nîmes, l’avenue du Pasteur Rolin et le plan de Brie.Résultat, un minimum d’une heure et demie pour un paquet de café malencontreusement oublié la veille en faisant les courses du mois !Et dire qu’une partie de La bande du Plan de Brie, partie en vacances, n’a même pas pu profiter du spectacle, quel gâchis.
Il aura fallu que « la bande de ceux qui font des affaires » se fasse prendre la main dans le pot de peinture en train de taguer les panneaux, que l’information fasse le tour d’Anduze à une vitesse inversement proportionnelle à la vitesse de la circulation, pour que l’on assiste à un premier repli de La bande du Plan de Brie.
On pouvait de nouveaux accéder aux vivres à partir de la route de Nîmes !Puis, 750 signatures plus loin, nouveau repli de La bande du Plan de Brie qui, cette fois, se cantonne sur un simple tronçon d’une quarantaine de mètres, histoire de ne pas perdre complètement la face.Belle bataille, avec pour seule arme un fond rouge muni d’une bande blanche, « la Bide Bande ».
Et quelques dégâts collatéraux pour ceux qui ont été à la chasse aux papillons.Les termes en langue des arracheurs de dents sont en italique, vous trouverez vous-même la traduction, ce qui prouve bien que vous pouvez « perroquetter »couramment.
Mais ne souriez pas trop vite, la « Bide Bande » sévit maintenant devant les écoles.
Dominique Sénécal
Pour lire le paragraphe 2 rendez vous dans le journal.

Article Midi Libre sur les explications de vote de St Hilaire pour l'extension de l'Agglo à Anduze

Bonjour,
Tout Bueno ( le pion de Roustan mais véritable dirigeant de la commune) est résumé par son propos "Si on demande l'avis de tout le monde, on ne s'en sort jamais".
En gros je décide et vous me suivez..
C'est d'ailleurs ce que font les autres élus de la majorité saint-hilairoise qui le regarde avant de voter pour savoir ce qu'ils doivent faire.
Et ils font où ....plutôt ce qu'on leur dit de faire. Restons poli.
Cordialement.



Envoyé par Dom

vendredi 2 octobre 2009

DELIB pas DEBIL du tout ... Saint Sébastien d' Aigrefeuille

LA POSTE

http://docs.google.com/Doc?docid=0AeIzQnOA2SYDZGZjZ2pyajVfNDdkaGs3dGhnNQ&hl=en

LA TAXE FONCIERE NON BATIE POUR LE BIO

http://docs.google.com/Doc?docid=0AeIzQnOA2SYDZGZjZ2pyajVfNDhjNjl6bWZjZw&hl=en

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Je suis Mr. CANAGUIER Jean-Louis qui est accusé par le maire de Lézan d’avoir refusé d’assurer la permanence du bureau de vote

Lors du dernier conseil municipal j’ai demandé à Mr. Le maire de me donner des d’explications sur mes déboires judiciaires initiés par lui-même à mon encontre.
Je suis Mr. CANAGUIER Jean-Louis qui est accusé par le maire d’avoir refusé d’assurer la permanence du bureau de vote, de ne pas m’être présenté le jour des Elections Européennes pour y participer alors que dans le courant de la semaine qui précédait celles-ci je lui ai envoyé un email pour lui signaler mon absence le dimanche 7 juin (jour des élections).
Aucune réunion n’avait été organisée par le maire comme cela aurait du être fait pour leur organisation.
Seule un réunion officieuse a été organisée le samedi avec quelques conseillers et à laquelle je n’étais pas convié ainsi que les conseillers comme on les appelle de l’opposition.
Je me suis présenté lors de mon retour en fin de soirée à Lezan (17 h 40) au bureau pour voter.
A aucun moment je n’ai été sollicité pour participer au dépouillement chose que j’aurais fait spontanément.
En outre il ne m’a pas été reproché mon absence.
Quelques jours plus tard je recevais un courrier du maire me signifiant qu’il allait solliciter ma radiation d’office prés du Tribunal Administratif de NIMES. Je lui ai fait remarquer qu’il n’était pas compétant pour me radier de celui-ci.
Il en suivi que le maire a entamé une procédure judiciaire prés de ce Tribunal pour laquelle il a été débouté mais qui m‘a couté 1.200 € pour les frais d’avocat.
Actuellement le maire à fait appel à ce jugement prés du Tribunal d’Appel de MARSEILLE avec tous les frais supplémentaires que cela imposera à la commune donc à vous habitant Lezan. Je pense que le simple fait d’avoir soulevé un problème de facturation de restauration mise à la charge de la commune par le maire a eu pour effet de provoquer sa colère et l’a poussé à engager cette procédure à mon encontre.
Il est regrettable de voir que le maire sur les conseils de son proche entourage n’hésite pas à engager de telles procédures qui grèvent le budget de la commune alors que ces fonds pourraient être utilisés à meilleur escient.

Vous serez informés du suivi de cette procédure.

Jean-Louis CANAGUIER
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PAS UNE MAIS DEUX DEMISSIONS AU BUREAU DE L'OT

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http://docs.google.com/Doc?docid=0AeIzQnOA2SYDZGZjZ2pyajVfNDZoZnY4YnBycA&hl=en
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