jeudi 9 avril 2009

Les ateliers d’échanges de compétences.

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Dans le cadre de l’action collective Dominique Senecal vous propose:

Un atelier « Réalisation d’un purin d’ortie ».
Vendredi 10 avril à 17 heures.
Au jardin collectif et non moins municipal d’Anduze
Cet engrais et activateur biologique sera ensuite partagé entre les participants.
Prévoir des gants, (les orties piquent) un grand sac et une bonne heure pour la chasse aux orties.
Cet atelier sera suivit d’un verre de l’amitié tiré du sac, les verres seront fournit pour faire aussi la chasse au plastique

mercredi 8 avril 2009

2C2A ce n'est pas une formule chimique


C'était nul......
Mais non pas la réunion ,mais l'acoustique du foyer rural de Tornac
à partir d'un certain âge on distingue mal les sons surtout lorsque la réverbération du local est excessive
Je ne vous ferais pas un compte rendu de cette réunion de la communauté des communes autour d'Anduze qui s'est déroulée hier soir
Je suis fatigué cette réunion a débuté à 20h30 pour se terminer aux alentours de minuit et ce sans entracte
On peut considérer que des élus travaillent et malgré de nombreuses critiques concernant les éventuelles indemnités que certains perçoivent , je pense que ramené en taux horaire c'est pas beaucoup
Ceci dit j'aimerai bien clarifier ce point ,qui reçoit des indemnités ? et combien ?
Cette soirée a été enrichissante pour un bleu reboussier , malgré le fait que certaines questions mal préparées ont généré des débats inutiles. et oui ça a retardé le p'tit coup d'vin
Évidemment dans ce genre de débat on retrouve toujours les habituel(le)s empêcheu(ses)rs de tourner en rond .Du style pour une fois que je suis là , je m'exprime même si j'arrive toujours en retard
On sait très bien que l'essentiel est fait par les commissions qui viennent faire valider leur travail par cette assemblée
Toutes ces bonnes impressions, nous incitent à défendre notre communauté des communes
Plus on aura de projets moins on aura plus de malchances à appartenir à d'autres
C'est clair non? bien sur que c'est pas clair
Un détail qui n'en est pas un , le vote a validé les indemnités de fonctionnement accordés à l'office de tourisme
Cette somme suffisante est malgré tout dérisoire par rapport aux dépenses de fonctionnement de cette communauté et aux indemnités accordées à d'autres organismes ,entre autres certaines associations sportives
Je vous rappelle que le tourisme est la principale activité commerciale dans cette communauté
J'aime ce mot communauté qui me rappelle l' univers de John Ronald Reuel Tolkien vous avez tous lu le seigneur des anneaux là au moins on identifie bien les méchants.
Quoi d'autre à par ces emmerdeurs qui ne peuvent pas s'empêcher de murmurer pendant que les autres s'expriment ,et ces téléphones portables toujours impoliment présents qui s'imposent sans crier gare
Le réboussier aime donc cette communauté des communes et espère qu'un jour elle absorbera le grand Ales
Les historiens ne nous on t -il pas dit qu'il y a quelques décennies Ales n'était qu'une petite bourgade à coté d'Anduze
Alors quoi ,qu'est ce ,du nerf ,on va pas se laisser em.. par ces minus
Le reboussierremonté
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Remonte pente

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Pour remonter le moral de nos élus qui pourraient croire que la victoire électorale finie par être amère dans la durée, voici une citation de Jules Claretie:

Tout homme qui dirige ou qui fait quelque chose a contre lui:
- ceux qui voudraient faire la même chose,
- ceux qui feraient précisément le contraire
- et surtout la grande armée des gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien du tout

C'est sûr que çà remonte le moral mais n'empêche que çà ne dispense pas de se surveiller!

Marc
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"Charité bien ordonnée commence par soi-même."

Il est toujours plaisant d'arriver en fin d'article du Réboussier pour constater que l'impétrant n'a pas daigné signer sa missive ; d'autant plus plaisant lorsque cette missive réclame transparence et compte-rendu expiatoire des décisions prises par les élus.
Bref : courage... fuyons !
Le Réboussierquinevapasvoussortirunproverbeàchaquefois,
Patrice Vigne

PS : mon Petit Réboussier, tu comprendras que je ne souhaite pas publier ce post sous couvert d'anonymat !
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mardi 7 avril 2009

Un p'tit coup d'vin est prévu

Ce soir au foyer rural de Tornac à 8h30
Réunion de la communauté des communes autour d'Anduze public autorisé
Un p'tit coup d'vin est prévu en clôture , sympa non?
Venez nombreux

Le réboussierecoloalcolo

INFO OU INTOX m'informer

Lorsqu'on sait que le petit Louis (dernier de Sarkozy) est scolarisé depuis septembre à Dubaï l'article s'éclaire d'un jour nouveau !C'est intéressant.Pendant que le gouvernement ratiboise les effectifs des profs, Sarkozy veut imposer une réforme géniale.
Il a décidé d'offrir aux expatriés la gratuité des écoles et lycées français de l'étranger.
Un cadeau sympa, non ? Sauf qu'il va surtout profiter aux plus aisés, et que l'addition, pour l'Etat, s'annonce carabinée. Ces écoles, très cotées étaient jusqu'à présent payantes. Certains lycées sont des établissements publics, d'autres, privés sous contrat.En tout 160 000 élèves y sont scolarisés, dont 80 000 français. Sous la tutelle du Quai d'Orsay, chaque établissement fixe assez librement ses tarifs et ça atteint des sommets: 5 500 € l'année à Tokyo, 6 500 à Londres,15 000 à New York et 17 000 € le record- à San Francisco.Au diable l'avarice! Pour les expatriés modestes, un système de bourses plutôt généreux est déjà en place.
A New York, par exemple, il faut gagner moins de 65 000 € par an pas vraiment le smic- pour décrocher 4 500 € d'aide. Environ un quart des élèves français bénéficient d'une bourse. Mais pour Sarko, ce n'était pas assez.
Depuis l'an dernier et à la demande express de l'Elysée, l'Etat prend en charge l'intégralité des frais de scolarité des élèves français de terminale... quels que soient les revenus des parents. Plus besoin de bourse ! A la rentrée de septembre, ce sera le tour des premières, puis des secondes l'an prochain, et ainsi de suite.J'aurais pu commencer la gratuité par la maternelle, a expliqué Sarko, le 20 juin dernier, devant la communauté française d'Athènes. Mais j'ai voulu commencer par l'année la plus chère pour que vous puissiez constater la générosité des pouvoirs publics français.Encore merci !Mais générosité pour qui ? A Londres, l'une des familles concernées par ce généreux cadeau déclare plus de 2 millions d'euros de revenus annuels. Et deux autres gagnent plus d'un million. Jusqu'alors, une partie du financement était assurée par des grandes entreprises françaises désireuses d'attirer leurs cadres vers l'étranger. Ces boites, comme Darty ou Auchan, rentrent déjà leur chéquier : pourquoi payer les frais de leurs expat' si l'Etat régale ? Un coût qui fait boum Au Quai d'Orsay, l'Agence française de l'enseignement à l'étranger a simulé le coût de cette plaisanterie mais s'est bien gardé d'en publier le résultat. Lequel est tout de même tombé dans les palmes du "Canard". D'ici dix ans, appliquée du lycée jusqu'au CP (sans parler de la maternelle), la gratuité coûterait à l'Etat la bagatelle de 713 millions d'euros par an !Intenable ! La vraie priorité, c'est l'ouverture de nouveaux établissements, pas la gratuité. Mais pourquoi Nicolas Sarkozy s'est lancé la dedans ? Peut-être parce qu'il se sent personnellement concerné par la question : après avoir été annoncé à New York puis à Londres, petit Louis est finalement inscrit au lycée français de Doha... Et il va falloir payer ! Auditionné par le Sénat à la fin juin, Bernard Kouchner n'a pas nié ces menus "inconvénients".Son cabinet songe d'ailleurs à couper la poire en deux : une gratuité partielle... mais toujours sans conditions de revenus. Sauf que, pour le moment, Sarko n'en veut pas. "Je tiens beaucoup à la gratuité", s'entête-t-il à chaque déclaration à l'étranger. Sans prendre le temps de préciser comment sera financée cette très généreuse gratuité !
A DIFFUSER LARGEMENT.
Ce ne sont pas les médias qui nous le diront. Et puisqu'il faut faire des économies à l'Education Nationale, je vous laisse juges. Tout va bien. Surtout pour certains. Il n'y a plus d'argent ???

Jean MArie
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Touche pas à mes moteurs

LE CALME DES VALLEES

Ah les premiers beaux jours, et comme c'est bon de se mettre au soleil !

On respire le bon air, on ferme les yeux, on écoute le silence de la campagne avec tous ses rumeurs subtiles...
et patatras, immanquablement une tronçonneuse se met en branle, ou une tondeuse, ou quelqu'autre gueuse de machine.
C'est ainsi, c'est nécessaire, on n'y peut rien, on ne va quand même pas revenir aux travaux manuels, hein ?
Mais non, ce n'est pas l'idée de ce billet, l'idée ce serait plutôt d'inscrire dans le paysage sonore de nos campagnes une journée ou une demi-journée par semaine sans machines à moteur, beaucoup de localités le font déjà, par simple accord des habitants ou par voie règlementaire de la municipalité.
Evidemment cela ne va pas vraiment dans le sens de la liberté individuelle si chère aux reboussiers de tous poils...
"Touche pas à mes moteurs" fait partie de la défense du territoire personnel.
Pas évident...

Un siesteux-boussier
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Les courants critiqueurs

La municipalité de Tornac est agitée par des "courants critiqueurs"

Je ne pense qu'à la polémique sur le nombre d'adjoints et c'est tout. ouf

Effectivement il est très difficile de comparer une municipalité avec une autre sans rentrer dans des détails non maîtrisables par le commun des mortels.

Donc pour éviter toutes polémiques , je suggère aux rédacteurs de l'organe de communication de cette mairie de préciser la distribution des rôles entre ses quatre adjoints , et à chaque édition de lister les taches accomplies par ces derniers.
Pour les conseillers pas de problème ils sont gratuits

Vous l'avez sans doute remarqué , c'est aussi une polémique avec les chercheurs ,les fonctionnaires ,etc. Il faut un objectif et une mesure du résultat ,une notation en quelques sorte.
et si on notait nos élus ?? des élèves notent bien leur prof.
Les sakobosonistes invétérés seront d'accord (vous savez le coup du chercheur qui ne trouve pas)

Je résume de nombreux citoyens ne connaissent pas les charges qui incombent à ces adjoints ,informez les

Pendant qu'on y est j'aimerai trouver , sur ce même organe les projets portés par notre municipalité, ceux qui sont mis en oeuvre ,ceux qui sont abandonnés, ceux qui sont en attente et pour quelle raison?
Une page projet pourrait y être consacrée

Je n'irais pas non plus demander , un libre accès au planning de nos élus (uniquement dans le cadre de leur mandat évidemment) comme le font certain "grand patron"
Ni leur participation ou non aux réunions pour lesquelles ils sont convoqués
Mais quand même.
Le système actuel pour les petites communes est très contraignant pour ces élus qui doivent accomplir des tâches normalement dévolues à des employés territoriaux , il y a amalgame
et en conséquence une course à des postes complémentaires d'élus indemnisés "il faut bien vivre" (commissions diverses, vices présidences etc..)
Le regroupement des communes parait inévitable ,on devrait inventer une communauté de communes, mais peut être que ça existe zut , je retarde encore.

Le reboussierquinapasgrandchosedautreafaire
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POUR VOUS REVEILLER AVEC LA PECHE ET LA BANANE

CARAVAN PALACE "la caravane qui t'emmene"

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lundi 6 avril 2009

lls sont venus me chercher Et il ne restait personne pour protester

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C'est vrai que tout ça arrive à petites doses et dans tous les domaines !

C'est peut-être le moment de se rappeler des paroles de Martin Niemöller, pasteur protestant, arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen puis transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau :
Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit, Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai pas protesté, Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai pas protesté, Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher Et il ne restait personne pour protester.

Envoyé par TGV
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Rétrospectivement, j'ai eu peur, très peur...

Dans quelle France vivons nous ? Où sont passées nos libertés?
Retrouvez ci-après le témoignage d'un enseignant de paris 8.
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Vendredi dernier, à titre de solidarité avec mes collègues enseignants de l'Université de Paris engagés, en tant que titulaires et chercheurs de l'Éducation Nationale, dans une opposition difficile à Valérie Pécresse,
j'ai décidé de tenir mon cours sur la biodiversité et l'origine de la protection des espèces et des espaces, que je donne habituellement dans les locaux du département de Géographie (où j'enseigne depuis 20 ans), dans l'espace du Jardin des Plantes (Muséum National d'Histoire Naturelle), là où fut inventée la protection de la nature.
Une façon, avec ce « cours hors les murs », de faire découvrir ces lieux aux étudiants et d'être solidaire avec la grogne actuelle mais sans les pénaliser avant leurs partiel Mardi, arrivé à 14 h30, avant les étudiants, j’ai eu la surprise de me voir interpeller dés l'entrée franchie par le chef du service de sécurité tout en constatant que les deux portes du 36 rue Geoffroy Saint Hilaire était gardées par des vigiles...
- « Monsieur Vadrot ? ».
- euh...oui
- Je suis chargé de vous signifier que l'accès du Jardin des Plantes vous est interdit
- Pourquoi ?
- Je n'ai pas à vous donner d'explication....
- Pouvez vous me remettre un papier me signifiant cette interdiction ?
- Non, les manifestations sont interdites dans le Muséum
- Il ne s'agit pas d'une manifestation, mais d'un cours en plein air,sans la moindre pancarte...
- C'est non....
Les étudiants, qui se baladent déjà dans le jardin, reviennent vers l'entrée, le lieu du rendez vous.
Le cours se fait donc, pendant une heure et demie, dans la rue, devant l'entrée du Muséum.
Un cours qui porte sur l’histoire du Muséum, l'histoire de la protection de la nature, sur Buffon.
A la fin du cours, je demande à nouveau à entrer pour effectuer une visite commentée du jardin. Nouveau refus, seuls les étudiants peuvent entrer, pas leur enseignant.
Ils entrent et, je décide de tenter ma chance par une autre grille, rue de Buffon. Où je retrouve des membres du service de sécurité qui, possédant manifestement mon signalement, comme les premiers, m'interdisent à nouveau l'entrée.
Evidemment, je finis pas le fâcher et exige, sous peine de bousculer les vigiles, la présence du Directeur de la surveillance du Jardin des Plantes.
Comme le scandale menace il finit par arriver.
D'abord parfaitement méprisant, il finit pas me réciter mon CV et le contenu de mon blog. Cela commencer à ressembler à un procès politique, avec descriptions de mes opinions, faits et gestes. D'autres enseignants du département de Géographie, dont le Directeur Olivier Archambeau, président du Club des Explorateurs, Alain Bué et Christian Weiss, insistent et menacent d'un scandale.
Le directeur de la Surveillance, qui me dit agir au nom du Directeur du Muséum (où je pensais être honorablement connu), commençant sans doute à discerner le ridicule de sa situation, finit par nous faire une proposition incroyable, du genre de celle que j'ai pu entendre autrefois, comme journaliste, en Union soviétique :
- Ecoutez, si vous me promettez de ne pas parler de politique à vos étudiants et aux autres professeurs, je vous laisse entrer et rejoindre les étudiants...
Je promets et évidemment ne tiendrais pas cette promesse, tant le propos est absurde.
J'entre donc avec l'horrible certitude que, d'ordre du directeur et probablement du ministère de l'Education Nationale, je viens de faire l'objet d’une « interdiction politique ».
Pour la première fois de mon existence, en France.
Je n'ai réalisé que plus tard, après la fin de la visite se terminant au labyrinthe du Jardin des Plantes, à quel point cet incident était extra-ordinaire et révélateur d'un glissement angoissant de notre société.
Rétrospectivement, j'ai eu peur, très peur...

CM Vadrot
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Envoyé par' D.B.

Monsieur le Calife d'Anduze était là soi-même personnellement

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LIVRAISONS + PIETONS = REUNION

La municipalité d'Anduze avait invité vendredi 3 les commerçants du centre à venir débattre de l'organisation des horaires de livraisons.
Visiteurs et habitants ont en effet pu constater l'ampleur du problème pendant les mois d'été :
camions garés n'importe où et n'importe quand, difficultés de passage pour les autres véhicules, etc...
Monsieur le Calife d'Anduze était là soi-même personnellement, accompagné de son grand vizir.
Comme on est chez des commerçants reboussiers certains d'entre eux ont essayé de traiter d'une autre question que celle qui était posée, et de remettre en cause la perspective de faire du centre une zone piétonnière à partir de juin prochain.
Mais comme c'est un engagement électoral nos édiles ont répondu fermement que ce n'était pas négociable, et que la lutte contre les voitures ventouses serait menée avec férocité s'il le fallait ! Passons sur le débat qui fut animé mais courtois, et surtout POSITIF...
Mais oui, ça arrive, et ça fait plaisir de le voir et de le dire, on peut donc confirmer qu'après avis des commerçants concernés et présents (les autres ont tort, forcément tort) des heures limites de livraison seront fixées à Anduze pendant la saison touristique, après on verra.
La zone piétonnière sera parfaitement piétonnière, et les touristes pourront photographier la fontaine pagode sans voiture devant.
En fait une zone piétonnière ne peut pas être complètement fermée aux véhicules, puisqu'il faut prévoir l'accès des habitants des rues concernées, le passage des secours éventuellement nécessaire, et les livraisons, ces livraisons qui seront maintenant mieux organisées.
C'est le genre de transformation qu'on peut classer dans la catégorie "possible mais assez compliqué".
Ce fut une bonne réunion.

Un posiboussier
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Livres et Jazz


La Librairie Sauramps, en partenariat avec la Médiathèque d'Alès,
présente le livre de Thierry Gilhodez: "Le Fusing" une technique moderne de verre fusionné,
suivi d'une conférence:
Fusing et vitraux récents d'artistes dans le Languedoc-Roussillon, avec diaporama- débat et dédicace du livre par l'auteur.

Samedi 18 avril 2009 à 16h à la Médiathèque A.Daudet. 24 rue Edgar Quinet.

Entrée Libre.

Vous pourrez profiter également le même jour à 15h à la Médiathèque, d'un concert de Jazz avec Daniel Huck, Richard mesquida et Cie

Je suis étonnée qu’aucun article ne figure concernant la belle cité de Lézan


Je viens de temps en temps faire un petit tour sur votre blog …
j’ai ainsi des nouvelles de la vie de la 2C2A et de quelques communes adhérant à cette entité... cependant je suis étonnée qu’aucun article ne figure concernant la belle cité de Lézan …
où pourtant il se déroule pas mal d’évènements…
Je viens donc réparer cet oubli qui selon moi ne peux plus durer !!!!
Depuis Mars 2008, Lézan a un nouveau maire élu à l’unanimité par son conseil municipal … Puisque élus liste entière, le mandat devait se dérouler dans une plénitude et une entente totale … Or, un an après l’on peut dire que c’est loin d’être le cas :
Achat du château de Lézan au prix de 380 000 € HT le 9 février 2009 (6 vois contre – 9 voix pour),
délibération concernant l’emprunt devant permettre cet achat impossible à valider le 29 mars, car aucune majorité absolue obbtenue
Budget de la commune voté 8 voix Pour 7 voix contre
Qu’est devenue l’entente parfaite des lendemains électoraux ?
Que va-t-il advenir de tant de rivalités internes ?
La population s’interroge ??

le Bonnefoi

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dimanche 5 avril 2009

Loin des vieux livres de grammaire

AVOIR ET ÊTRE

Loin des vieux livres de grammaire,

Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être
et du verbe avoir.

Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.

Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.

Ce qu'Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.

Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu'Être, toujours en manque
Souffrait beaucoup dans son ego.

Pendant qu'Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.

Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu'Être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.

Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.

Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu'Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.

Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur
Et sa noblesse est à ce prix.

Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.

Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.

Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.

Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été

Envoyé par JCV
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