mercredi 18 avril 2018

VIDEO. "Ne confondons pas écologie et anarchie", lance Nicolas Hulot aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes

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Le ministre de la Transition écologique a encadré une réunion entre les zadistes et la préfète des Pays-de-la-Loire, Nicole Klein, mercredi.

Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot arrive à l\'Elysée, le 16 avril 2018.
Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot arrive à l'Elysée, le 16 avril 2018. (MUSTAFA YALCIN / ANADOLU AGENCY / AFP)

Tolbiac : « La violence, la drogue, le sexe même !"



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Ce format de grève à la SNCF est-il réellement efficace?

Ce format de grève à la SNCF est-il réellement efficace?

Ce format de grève à la SNCF est-il réellement efficace?

Le septième jour du mouvement social débute ce mercredi.

Philippe Wojazer / Reuters
Ce format de grève à la SNCF est-il réellement efficace?

TRANSPORTS - C'est déjà le quatrième round. Ces mercredi 18 et jeudi 19 avril marquent les septième et huitième jour de grève à la SNCF. Une grève d'un genre nouveau, à qui l'on a peiné à trouver un nom.

Si le terme grève perlée a été improprement popularisé, les cheminots préfèrent parler de "grève 2-5" en référence à la périodicité, deux jours tous les cinq jours.

Au lendemain de l'adoption du projet de loi qui permet au gouvernement de réformer par ordonnance, la question de l'efficacité de ce mouvement commence à se poser. Celui-ci, d'un genre nouveau, a-t-il permis aux cheminots en colère d'obtenir plus de résultats qu'une grève traditionnelle?

Ce n'est pas le sentiment de Sud-Rail, sceptique depuis le début sur cette manière de faire et qui continue de réclamer "un mouvement dur pour entamer un vrai rapport de forces avec le gouvernement". A la CGT, en revanche, on estime qu'il est "trop tôt" pour tirer un bilan définitif. "On n'en est qu'à la quatrième vague. On savait très bien qu'on ne ferait pas plier le gouvernement après seulement six jours de grève", estime Béranger Cernon, secrétaire général CGT Cheminots à la gare de Lyon à Paris.

La mobilisation unitaire se maintient à un haut niveau

Les deux syndicats se rejoignent cependant sur un point: cela permet de maintenir un haut niveau de mobilisation. Annoncée par la SNCF ce mardi, les prévisions pour mercredi évoquent un taux en nette baisse, de 48 à 32 % depuis le 3 avril, soit une réduction d'un tiers. "La SNCF fait beaucoup de com', déplore Bruno Poncet, le leader de Sud-Rail. Aujourd'hui c'est les vacances et il y a forcément des gens qui auraient été en grève s'ils n'avaient pas pris des jours de congés."

"Oui ça recule un peu, mais ce sont des taux historiques et on reste largement à plus de 60% chez les conducteurs, aiguilleurs, contrôleurs et même dans la maintenance", reprend le responsable CGT. Selon lui, cette mobilisation ne pourrait pas durer aussi longtemps pour des raisons financières, les grévistes n'étant pas payé. "Mais il ne faudrait pas non plus que s'installe une forme de confort, prévient le secrétaire fédéral de Sud-Rail. Une grève, ce n'est pas fait pour rester chez soi ou aller à la pèche. Il y a de moins en moins de monde dans les AG alors que c'est là que la discussion est primordiale."

Cette grève "saute-mouton" 'est également la condition sine qua non pour garantir que le mouvement reste unitaire. L'Unsa et la CFDT refusait depuis le début le principe d'une grève reconductible. "Rester unitaire est primordial et sans cela, on aurait pas obtenu que la dette soit reprise à partir de 2020 et pas 2022", souligne la CGT. A condition, relève Sud Rail, que "tous les syndicats restent effectivement unis et ne commencent pas à négocier en douce dans le dos des autres".

"Je ne sais même pas si Macron en a parlé dix minutes"

Mais la CGT et Sud Rail sont également d'accord pour pointer un écueil majeur de ce format de mobilisation. "Notre visibilité médiatique est moins importante", convient Béranger Cernon. "Il y a un mois, je devais courir pour répondre à toutes les sollicitations médiatiques. Ce n'est plus le cas", abonde Bruno Poncet. La couverture du premier round le 3 avril était en effet beaucoup plus large que celle de ce mercredi.

C'est qu'avec un mouvement épars, d'autres actualités prennent le pas quand il n'y a pas grève. Depuis le premier jour, le mouvement des universités s'est durci par endroit, le gouvernement a délogé les zadistes de Notre-Dame-des-Landes et Emmanuel Macron a engagé les troupes françaises en Syrie. Résultat, alors qu'ils espéraient que le conflit à la SNCF soit le cœur des interviews du chef de l'Etat, ce ne fut pas le cas. "Je ne sais même pas si on en a parlé dix minutes en tout", se demande le cégétiste qui y voit cependant l'expression d'une gêne présidentielle: "c'est comme s'il voulait esquiver le sujet".

Sud Rail continue enfin de pointer un problème majeur aux yeux du syndicat: si la grève 2-5 permet aux Français de s'organiser en fonction du calendrier établi à l'avance, elle permet aussi à la SNCF de prendre les devants. "Elle est tranquille et elle peut facilement s'organiser dans cette routine", estime Bruno Poncet. Il prend l'exemple des départs en vacances la semaine passée: "la direction a supprimé beaucoup de TER pour faire rouler les TGV et ne pas embêter les passagers", assure le syndicaliste. "Enfin, si la SNCF a dit qu'elle a pu faire rouler 200 TGV, elle oublie de dire que c'est 700 en temps normal et que ça fait donc 500 trains qui sont restés en gare", précise le porte-parole de la CGT.

"J'y vois dans tous les cas un effet pervers, conclut Bruno Poncet de Sud Rail. Avec la suppression de ces trains, la SNCF prépare le terrain à la suppression de la ligne en disant 'vous voyez, ça ne vous gêne pas plus que ça'. C'est pour ça que, au final, je pense que ça arrange encore plus plus la direction que le gouvernement."

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Le système Pinault: une évasion à 2,5 milliards d'euros | Mediapart

Le système Pinault: une évasion à 2,5 milliards d'euros | Mediapart

Le système Pinault: une évasion à 2,5 milliards d'euros

Le géant français du luxe Kering, propriété de la famille Pinault, a évadé 2,5 milliards d'euros d'impôts selon les informations de Mediapart. C'est la plus grosse affaire d'évasion fiscale présumée mise au jour pour une entreprise française.

L'opération commando a frappé Gucci de plein fouet. Le 29 novembre dernier, les policiers de la Guardia di Finanza font irruption dans les bureaux de la prestigieuse maison de luxe italienne à Florence et à Milan, qu'ils fouillent pendant trois journées entières. Les domiciles de trois directeurs de la marque sont perquisitionnés, tandis que le PDG, Marco Bizzarri, est cueilli par les policiers à l'hôtel Park Hyatt de Milan. 

mardi 17 avril 2018

Attaquons les GAFAM et leur monde


Attaquons les GAFAM et leur monde
17 avril 2018 - Nous avons lancé hier notre campagne d'actions de groupe contre les GAFAM. Jusqu'au 25 mai (jour du dépôt des plaintes devant la CNIL) toute personne vivant en France peut nous rejoindre sur gafam.laquadrature.net. C'est sur la base de ces premières actions que nous pourrons, sur le temps long, déconstruire méthodiquement le monde qu'ils tentent de nous imposer.
Nous n'attendrons pas le 25 mai, jour d'entrée en application du règlement général sur la protection des données (RGPD), pour agir. Nous n'avons plus à attendre.
Ce règlement européen (que nous avions ardemment défendu il y a 3 ans) nous donne enfin l'opportunité de renverser la grande farce sur laquelle les GAFAM ont construit leur monde : le « consentement » que nous leur donnerions, pour qu'ils sondent notre esprit et influent nos volontés, ne vaut rien. Il est vulgairement monnayé contre l'utilisation de leurs sites et applications.
Or, le droit européen est maintenant clair : un consentement monnayé, bradé, ne vaut rien et ne suffit plus à rendre légale leur surveillance de masse1. Ce « consentement » de paille ne saurait donc plus longtemps servir d'alibi à Zuckerberg et aux autres pour nous rendre responsables de la perte de notre vie privée et de la destruction de nos liens collectifs.
Nos actions de groupe se baseront sur ce seul argument juridique, la fausseté du consentement, car il attaque à sa racine le monde ultra-centralisé (pour eux) et individualiste (pour nous) qu'ils espèrent pouvoir imposer.
Notre campagne de 40 jours consacrera chaque semaine à chacun des GAFAM, pour comprendre la spécifité de l'emprise de chacun d'eux. Mais ce n'est qu'une première étape : les GAFAM ne sont que le symbôle d'un monde qu'il faudra, une fois cette étape passée, déconstruire méthodiquement : contre leurs alliés (sites de presse ou du gouvernement), qui diffusent leurs mouchards partout sur Internet, contre les administrations avec lesquelles ils vivent le grand amour et contre toutes les entreprises ‑ notamment françaises - qui ont embrassé leurs ambitions de manipulation de masse, Criteo en tête.
Cette première étape doit donc être la plus puissante possible, car c'est d'elle que partira le reste.
Puissante comment ? En mettant la CNIL au pied du mur. En déposant sur son bureau une plainte réunissant tant de personnes qu'elle ne pourra pas refuser de la traiter avec la fermeté requise sans perdre toute légitimité. Et le nouveau règlement lui donne enfin les moyens de cette fermeté : des amendes de 4 % du chiffre d'affaire mondial.
Que ce soit clair : cette première étape est si décisive que nous ne pouvons entièrement la laisser dans les mains de la CNIL. Si, au 3 septembre, elle n'a encore entamé aucune démarche, nous porterons nos actions devant l'autorité judiciaire, civile ou pénale, qui a elle aussi le pouvoir de nous défendre.
Enfin, comprenons bien que ces actions auront nécessairement une répercution européenne, si ce n'est mondiale. Le processus de coopération entre les différents États membres de l'Union européenne prévu par le nouveau règlement impliquera manifestement que nos actions soient, en fin de course, tranchées au niveau européen. Nous invitons donc les populations de chaque État membre à reprendre l'initiative entamée en France dans leur pays : nos actions se retrouveront au sommet !

1. Retrouvez le détail de l'analyse juridique sur gafam.laquadrature.net, dans l'encart « détail du mandat » du formulaire

lundi 16 avril 2018

SONDAGE. Mélenchon premier opposant à Macron selon les Français

SONDAGE. Mélenchon premier opposant à Macron selon les Français

SONDAGE. Mélenchon premier opposant à Macron selon les Français

Jean-Luc Mélenchon incarne bien l'opposition à Emmanuel Macron pour 51% des Français.

Jean-Luc Mélenchon incarne bien l'opposition à Emmanuel Macron pour 51% des Français. (Reuters)

Avant sa deuxième émission en quatre jours, Emmanuel Macron affronte des oppositions résolues mais désunies. Selon un sondage Ifop pour le JDD, 51% des Français considèrent que Jean-Luc Mélenchon incarne le mieux l'opposition à au chef de l'Etat. Laurent Wauquiez est loin derrière avec 30%.

Alors qu'Emmanuel Macron a choisi de s'adresser aux Français deux fois en quatre jours pour expliquer son action - jeudi sur TF1, dimanche sur BFMTV, RMC et le site Mediapart - les leaders de la contestation donnent eux aussi de la voix. Dans deux entretiens accordés au JDD, Laurent Wauquiez et Jean-Luc Mélenchon pilonnent sans merci le chef de l'Etat et sa politique. "Le macronisme est un illusionnisme", cingle le président des Républicains, qui l'accuse de "mensonge" sur le pouvoir d'achat et d'"aveuglement" face au terrorisme. De son côté, le chef de la France Insoumise dénonce une "dérive autoritaire" de l'exécutif et l'accuse de "jeter de l'huile sur le feu" des revendications sociales. Pendant ce temps, les syndicats ne désarment pas contre la réforme de la SNCF. La troisième phase de la grève s'est terminée samedi matin. La quatrième débutera mardi soir, précédée le matin par un nouveau mouvement à Air France.…



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Edwy Plenel dévoile les coulisses de son interview d'Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin

Edwy Plenel dévoile les coulisses de son interview d'Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin

Edwy Plenel dévoile les coulisses de son interview d'Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin

Le président de Mediapart explique le choix du lieu de cette interview.

AFP
Edwy Plenel (ici en 2016 à Bordeaux) dévoile les coulisses de son interview d'Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin.

MÉDIAS - L'offensive médiatique du président se poursuit. Jusqu'à présent avare d'apparitions dans les médias, Emmanuel Macron doit accorder une interview fleuve à Mediapart, BFMTV et RMC ce dimanche 15 avril, après un entretien dans le journal télévisé de Jean-Pierre Pernaut jeudi. L'interview -dont le menu risque d'être bouleversé par l'intervention française en Syrie- devrait durer au moins deux heures.

"Il va sans dire qu'il ne connaît aucune des questions qui lui seront posées (...), questions que nous sommes seuls à connaître, Jean-Jacques Bourdin et moi", a tenu à préciser le président de Mediapart Edwy Plenel, dans un billet publié samedi sur son site. Il précise "qu'aucun contact direct avec Emmanuel Macron n'a été établi" pour préparer l'interview, mais uniquement avec trois proches du président (son conseiller spécial Ismaël Emelien, son conseiller en communication Sylvain Fort et Sibeth Ndiaye, chargée des relations avec la presse).

Un cadre prestigieux et symbolique

L'interview, qui devrait servir au président de premier bilan, près d'un an après son élection, se tiendra dans un cadre prestigieux: le grand foyer du Théâtre national de Chaillot à Paris. Le lieu donne sur les jardins du Trocadéro et la Tour Eiffel, et est en outre situé symboliquement sous le Parvis des droits de l'homme. D'après Edwy Plenel, le choix du lieu a été "la seule question débattue avec nos interlocuteurs" de l'Élysée.

Plusieurs lieux ont été évoqués, comme le Collège de France et le café "Fluctuat nec mergitur" (la devise de Paris devenue slogan de la lutte contre le terrorisme après les attentats du 13-Novembre) sur la place de la République, confie le directeur de Mediapart. Finalement, le cadre plus solennel de Chaillot a été retenu "pour des raisons de symbole et de sécurité".

Et le symbole est grand. D'abord, parce que l'Onu a tenu deux assemblée générales au Palais de Chaillot après la Seconde guerre mondiale, alors qu'elle n'avait pas encore de siège permanent à New York. C'est à Chaillot, en 1948, que l'Assemblée générale des Nations unies adopte la Déclaration universelle des droits de l'homme, rappelle Edwy Plenel. "En choisissant ce lieu, c'est ce rappel que nous avons voulu faire face à des politiques autoritaires, de court terme et de courte vue, qui, prenant leurs urgences politiciennes ou idéologiques pour l'essentiel, en viennent à sacrifier l'urgence de l'essentiel: le bien-être de l'humanité, la solidarité des humains, la dignité des individus d'où qu'il viennent, quels qu'ils soient", écrit-il.

"Un dispositif d'un gros match de foot"

Alors que Jean-Pierre Pernaut avait interviewé Emmanuel Macron en face à face, sans table et au milieu d'une salle de classe dans l'école d'un petit village normand, le président et ses deux intervieweurs seront cette fois assis autour d'une table triangulaire dans le cadre majestueux de la place du Trocadéro.

8 caméras, une grue et un travelling ont notamment dû être installés dans le foyer du théâtre pour accueillir le président, comme le montre BFMTV. "C'est un dispositif d'un gros match de foot", selon le réalisateur Jérôme Revon.

Contrairement à l'interview de Jean-Pierre Pernaut, celle-ci sera "brute", selon les mots du directeur général de BFMTV Hervé Béroud, c'est-à-dire sans reportages.

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Taxe inondations - Gemapi : quatre intercos sur dix vont l'instaurer pour financer la prise de compétence


Flash info – Quatre intercos sur dix vont lever une taxe pour financer la prise de compétence

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Flash info Courrier des maires

Gemapi / prévention des inondations

Quatre intercos sur dix vont lever une taxe pour financer la prise de compétence

Alors que s'est ouverte au 1er janvier 2018 la prise de compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations par les intercommunalités, un quart des EPCI sondés par l'ADCF se disent prêts ou en cours de mise en oeuvre. 

Et 38 % vont instaurer une taxe pour financer cette coûteuse compétence Gemapi, qu'elles devront impérativement assumer d'ici la fin de la période transitoire au 31 décembre 2019.

Reste que ces intercommunalités ont fait le choix d'un niveau de taxe très modéré par rapport à ce que leur permet la loi. 



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