vendredi 6 février 2015

Boisset et Gaujac
Courrier d'un élu



Boisset et Gaujac

                                                            Boisset et Gaujac le 5 février 2015

A mes collègues du Conseil Municipal.

Si le vote émis le 3 février par ceux qui ont suivi le maire est un vote de conviction, je ne leur en veux pas, ils apprendront à connaître l'homme à qui ils font encore confiance et nous nous retrouverons. 
A ceux qui ont suivi, parce que menacés ou soudoyés, à ceux qui piaffaient d'impatience en attendant la place, ceux là n'ont droit qu'à mon mépris et seront tôt ou tard confrontés à la vindicte populaire comme leur maitre.
Car en effet, comment peut-on soutenir un tel homme quand on sait comment  il se comporte ? 
Comment le soutenir quand on connaît son incompétence, son narcissisme, sa dévotion envers ceux qu'il pense puissants, son hypocrisie selon l'interlocuteur auquel il s'adresse ? Tout le monde peut le constater.
Alors pourquoi ? 
Comment les Boissetains qui sont présents dans la salle, qui ont moins de contacts avec lui, qui ont moins de possibilités de voir et de souffrir de sa manière d'agir, commencent à le connaître, alors que les élus, pour certains d'entre eux, continuent imperturbablement à le soutenir ? 
Au conseil municipal du 3, tout le monde a pu se rendre compte de qui avait les faveurs du public. 
Chacun peut s'en apercevoir, le maire ne répond jamais à aucune des questions qui lui sont posées. Il fait mine de montrer qu'il va ridiculiser ses détracteurs puis se lance dans une diatribe interminable sans rien dire sur le sujet qui l'interpelle. 
Comment ne pas s'en apercevoir ?
Comment des élus qui ont soutenu un programme municipal avec la ferveur qu'ils ont mise à contacter les habitants de la commune, à leur affirmer que leurs attentes seraient prises en compte, peuvent-ils aujourd'hui se contenter de phrases creuses du genre, « le banquier m'a dit », « le percepteur m'a dit » et pourquoi pas Madame Soleil m'a dit ? 
Je voudrais rappeler ici une phrase du programme municipal :
« Nous souhaitons une commune en mouvement, qui ose, qui invente et qui se projette »
J'ai posé au Conseil Municipal du 3 février quelques questions restées sans réponses comme à l'accoutumée.
Alors c'est à vous, qui ne vous êtes jamais exprimés sur le fond, que je les pose en souhaitant connaître votre avis. 
Nous avions dit pendant la campagne :
« Notre village a besoin de dialogue et de concertation » pensez vous que nous appliquons cela ? Si oui, quand ? 
Le bureau municipal ne se réunit plus depuis début juillet (nous devons être la seule commune de France dans ce cas) trouvez vous ce fonctionnement normal ? 
Le maire nous dit qu'il faut faire des économies. Mais une fois le budget voté, après réflexion sur ce qu'il y a lieu de faire, compte tenu des contraintes financières, pensez-vous que c'est le rôle d'une commune d'économiser encore, plutôt que réaliser ce qui avait été décidé, plutôt que  de répondre aux besoins de ses habitants ? 
Aucune étude sur les projets annoncés n'a eu lieu : vous approuvez ? 
Le maire a encore annoncé à ce conseil qu'il fallait faire des économies et ne pas emprunter, c'est à dire ne rien entreprendre, êtes vous d'accord ? 
835 personnes ont signé la pétition pour un meilleur débit internet, le maire non, allez-vous les soutenir dans leur demande ? 
Allez-vous vous engager dans l'aide à l'implantation d'entreprises dans les zones artisanales comme nous nous y étions engagés ? 
Comme nous l'avions fait pendant la campagne électorale, je rendrai public ce courrier et les réponses que je recevrai à ce questionnaire. 
Par ailleurs j'ai été interpellé sur le fait que j'aurais contacté le midi libre et le préfet pour me plaindre de l'attitude du Maire qui s'en serait ouvert aux conseillers présents au Pré conseil du 2 février.
Pour ce qui concerne le préfet, je ne l'ai jamais appelé et n'ai jamais eu de contact avec lui.
Pour le midi libre, ce n'est pas moi qui ai contacté le journaliste mais lui qui m'a appelé. Il a pu le confirmer à certains d'entre vous et au maire, lui disant devant moi, je cite : « Monsieur le maire, je vous ai dit au téléphone que c'était moi qui avait appelé ».

Mais tout cela ne m'étonne pas car, hormis les qualités que j'énonce au début de ce courrier, ce maire est aussi un menteur.

                                                          

Bernard Lombardo

FAIT DU JOUR Départementales 2015 à Alès 1: Iglésias, une épine dans la candidature de Suau? - Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2015/02/06/departementales-2015-ales-1-iglesias-epine-candidature-suau/

VIDÉO. François Hollande embêté par une mouche en pleine conférence de presse

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/05/francois-hollande-mouche-photo-video-conference-presse-elysee_n_6620384.html

Carte de France des réseaux d'éducation prioritaire - Ministère de l'Education - Politique

http://www.youscribe.com/catalogue/tous/actualite-et-debat-de-societe/politique/carte-de-france-des-reseaux-d-education-prioritaire-2529315

mercredi 4 février 2015

On passe à l'action contre TAFTA !



On passe à l'action contre TAFTA !


Jeudi 5 février : on passe à l'action contre TAFTA !

« Arbitrage investisseur-Etat, c'est toujours non ! »

Cher-e-s signataires, 

Depuis des mois déjà, nous vous informons des dangers du traité transatlantique, le TAFTA, négocié dans les coulisses de Bruxelles. 

Nous vous invitons aujourd'hui à passer à l'action ! Dans le cadre du Collectif Stop TAFTA nous agirons en coordination avec ATTAC, l'Aitec, les Amis de la Terre... et bien d'autres. Une action individuelle, mais qui à 100 000 pourrait avoir un succès retentissant !

 

Contexte


Cette semaine a lieu le 8ème cycle de négociation du TAFTA à Bruxelles. La Commission européenne publiait en janvier son analyse de la consultation publique, et le résultat est sans appel : 97% des participants rejetait clairement le mécanisme d'arbitrage investisseur-État (ISDS) !

Pourtant la Commission poursuit sa volonté de promouvoir l'ISDS, dans une version « améliorée », dans l'accord UE-Canada (CETA) comme dans le TAFTA. Et le gouvernement français semble s'engager en soutien de cette version, malgré une forte opposition citoyenne et des résolutions adoptées par les parlementaires, rejetant un tel mécanisme.

Objectif : interpeller le Parti Socialiste : Non à l'arbitrage investisseur-Etat !


Le gouvernement français doit s'engager fermement à protéger la démocratie, les droits sociaux et l'environnement en refusant toute forme de règlement des différends investisseur-État.

Ce mécanisme ne peut pas être réformé ni amélioré, son principe même est dangereux. Nous exigeons son rejet total.

Le gouvernement doit prendre une position claire.

L'Action

Action téléphonique : Occupons Solférino par téléphone ! 


Nous voulons faire entendre des milliers de voix opposées à la justice privée des multinationales.

Jeudi 5 février, veille de la clôture du cycle de négociation TAFTA,
a
ppelez le Parti Socialiste à Solferino toute la journée : 01 45 56 77 00 


Autres numéros possibles :
01.47.05.28.58  /  01.45.56.77.00  /  01.43.26.84.66  /  09.66.04.13.68

Trame de conversations / messages :
  • "Nous sommes opposés au mécanisme d'arbitrage investisseur-Etat et souhaitons connaître la position du Parti Socialiste."
  • "Non à la justice privée des multinationales ! Que fera le gouvernement français ?"
  • "L'arbitrage investisseur-État n'est pas réformable, il ne peut être amélioré. Le gouvernement français doit écouter les citoyens et exiger son retrait."
Planning indicatif par grande région :

09:00 - 11h00 : Ile de France
11h00 - 13h00 : Indicatif téléphonique 02
13h00 - 15h00 : Indicatif téléphonique 03
15h00 - 17h00 : Indicatif téléphonique 04
17h00 - 19h00 : Indicatif téléphonique 05

Partagez ensuite votre action sur les réseaux sociaux et les listes locales!


Sur Twitter


Continuez à interpeller des élu-e-s socialistes !

@jccambadelis Quelle est la position du #PS sur l'arbitrage privé dans le #TAFTA ? Pas de réforme possible ! #NoISDS #DuCourage #StopTAFTA
 
@ MEMBRE-DU-PS Quelle est votre position sur l'arbitrage privé dans le #TAFTA ? Pas de réforme possible ! #DuCourage #NoISDS #StopTAFTA

@ MEMBRE PS L'arbitrage #ISDS ne doit pas figurer dans #TAFTA la France @matthiasfekl doivent s'y opposer Dites lui #NoISDS!

XXX  8e cycle de négo #TAFTA à Bxl - #ISDS introduit un régime de droit exceptionnel pour les entreprises. Dites non !

XXX 8e cycle de négos #TAFTA à #Bruxelles. Votre voix compte, dites non à #ISDS, réformé ou pas !

Si vous souhaitez participer à ce genre d'actions ponctuelles environ une fois par mois, 
 

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Fusion des régions : le casse-tête des budgets 2016 - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/319840/fusion-des-regions-le-casse-tete-des-budgets-2016/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=04-02-2015-quotidien

VIDÉOS. Crash d'un avion de la TransAsia à Taïwan: les incroyables images de l'accident qui a fait au moins neuf morts

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/04/crash-taiwan-transavia_n_6610322.html

Voilà le verdict pour Boisset et Gaujac

mardi 3 février 2015

humour belge



Envoyé par ELTON

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humour belge par Pierre Kroll 

Actualité > Taille du pénis : pour les femmes, elle compte quand même
Ah ! vous voyez, je vous l' avais dit !

http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/biologie-taille-penis-femmes-elle-compte-meme-45753/

BOISSET et Gaujac la fronde contre le maire, Gérard Reverget

http://www.midilibre.fr/2015/02/03/la-fronde-contre-reverget,1119849.php

citation

Envoyé par BDSM

Winston Churchill a dit :

"Christophe Colomb fut le premier socialiste. Il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait et il faisait tout cela aux frais du contribuable. »

Encore une mauvaise langue !

Dieu merci, cette citation peut s'appliquer à tous les partis politiques ...

Alain Juppé récuse le "ni-ni" de Nicolas Sarkozy et voterait PS pour contrer le FN dans le Doubs

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/03/alain-juppe-nicolas-sarkozy-ni-ni-ps-fn_n_6601262.html?

ALIEN EOLIENNE


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Renouvelables : c'est la « cata »
Publié le 2 février 2015 dans Énergie
Le soutien forcené aux énergies renouvelables (hors hydraulique) conduit la France et l'UE « à la catastrophe ».
Par Michel Gay
La politique énergétique de la France, si elle en a une, a été fondée sur les trois présupposés suivants qui se sont révélés faux :
1.      le prix des énergies fossiles va croître de façon inexorable parce que la demande va excéder la production,
2.      l'Europe aura un avantage compétitif en développant une économie « bas carbone » fondée sur les renouvelables,
3.      une augmentation du prix du « carbone » émis par les énergies fossiles augmentera le coût des productions des centrales électriques classiques jusqu'à ce que les énergies renouvelables, notamment éoliennes et photovoltaïques, deviennent compétitives.
Or, on constate le contraire ! La production et les réserves augmentent depuis 2008 pour le pétrole, le charbon et le gaz. Les prix fluctuent mais ils ont baissé, notamment aux États-Unis, et le coût gigantesque des développements éoliens et photovoltaïques plombent notre compétitivité en augmentant les taxes et le prix de vente de l'électricité.
Des centaines de milliards d'euros investis dans des installations solaires et éoliennes ne produisent qu'une faible quantité d'électricité aléatoire1. Des usines conventionnelles, nucléaires ou fossiles, sont toujours nécessaires pour la « vraie » production, en particulier des centrales à gaz afin d'assurer les pointes de consommation les soirs d'hiver.
Ces installations solaires et éoliennes intermittentes ne peuvent jouer qu'un rôle anecdotique sans un système de stockage massif. Or, seuls quelques trop rares barrages hydroélectriques peuvent stocker l'énergie par pompage avec un rendement décent. Les autres techniques (dont l'électrolyse pour stocker de l'hydrogène) ont des rendements électriques ridicules et nécessitent des investissements colossaux qui, au minimum, tripleraient le prix actuel de l'énergie produite.
Le plus extravagant est que les privilèges accordés en Europe aux promoteurs des installations renouvelables ont favorisé d'une part le développement d'une florissante industrie de panneaux solaires… en Chine et, d'autre part, l'augmentation des besoins en matière appelée « terres rares » (d'origine essentiellement… chinoise) pour les générateurs des éoliennes.
Contrairement aux affirmations martelées par certains écologistes et reprises par les médias, non seulement un emploi vert subventionné en Europe n'est pas pérenne2, mais de surcroît il détruit deux ou trois autres emplois par ailleurs dans l'industrie.
De plus, pour équilibrer le réseau de transport, perturbé par des éoliennes intermittentes et dont la puissance est extrêmement variable en fonction du vent, il faut disposer de centrales thermiques fiables, notamment au gaz.
En outre, si le besoin en électricité est couvert par les moyens traditionnels (fossiles et nucléaire), alors l'énergie électrique produite par les renouvelables est inutile. Elle est même parfois revendue à prix « négatif ».
Inversement, en hiver, par temps froid, lorsqu'une situation météorologique stable et sans vent (anticyclone) s'installe sur l'Europe et sur notre pays, la production de l'éolien est faible et celle du solaire aussi (jours courts, peu de lumière). Ce fut notamment le cas le 30 décembre 2014, et durant plusieurs autres jours depuis cette date.
La transition énergétique vers les énergies renouvelables pour succéder aux énergies fossiles est un mythe savamment entretenu, alors qu'en réalité cette transition se fera surtout grâce à l'énergie nucléaire. La surgénération avec de l'uranium, puis avec du Thorium, permettra de satisfaire les besoins mondiaux en chaleur et en électricité pendant plusieurs milliers d'années pour les pays qui pourront se l'offrir. Ces deux éléments sont abondants sur terre comparativement aux quantités qui seront consommées pour la production d'électricité.
Noyautée par des ONG environnementalistes radicales, la politique de l'Union européenne (UE) en matière de climat et d'énergie est… déraisonnable. Pour traiter un problème climatique, l'UE a mis en place un système de bourse d'échange carbone, source de tous les abus et de toutes les malversations, sorti des règlements et des normes aussi inutiles que néfastes pour nos économies… et elle conduit les États vers une transition énergétique qui les mène droit dans le mur. L'Allemagne avec son « Energiewende » est un bon exemple… de ce qu'il ne faut pas faire.
La Commission européenne et maintenant nos gouvernements, convaincus d'agir pour « sauver la planète » (slogan prétentieux ?), nous imposent des plans « climat-énergie » onéreux et flous, ainsi qu'une multitude de normes qui restreignent l'espace de liberté des citoyens et des entreprises. L'Europe montre ce qu'il ne faut pas faire, sauf à vouloir se tirer une balle, non pas dans le pied, mais dans le genou. Son « exemple » fou de soutenir à tout prix le développement des éoliennes et du photovoltaïque n'est pas suivi par les autres pays qui savent raison garder… Dépenser des milliards d'euros et plumer les citoyens et les entreprises pour un si piètre résultat est un délire collectif qui, s'il persiste, mènera l'UE à sa ruine…
En France, le Grenelle de l'environnement a repris à son compte la folle politique de l'UE, l'a déclinée au niveau national, et nous l'impose. La mécanique techno-bureaucratique est en marche. Les Régions préparent leurs « plans climat-énergie », dont on sait qu'ils ne serviront à rien, si ce n'est à plumer le « citoyen-contribuable-consommateur », et à torpiller la compétitivité de nos entreprises.
Ce soutien forcené aux énergies renouvelables (hors hydraulique) conduit la France et l'UE « à la catastrophe ». Est-il possible de faire plus absurde ?