mercredi 9 avril 2014

Alès : le député Fabrice Verdier va plancher sur le numérique

http://www.midilibre.fr/2014/04/09/verdier-va-plancher-sur-le-numerique,846675.php

Le nouveau visage du conseil municipal de St-Sébastien-d'Aigrefeuille

http://www.midilibre.fr/2014/04/07/le-nouveau-visage-du-conseil-municipal,845685.php

Le public et le privé

Le public et le privé

Très grossièrement le pouvoir public est la pour
Gérer et entretenir les biens nationaux, les infrastructures de notre pays
Faire et appliquer les lois
Assurer la sécurité des citoyens etc..
Repartir "équitablement" les revenus de nos impôts pour répondre aux points précédents

En gros le pouvoir public ne produit pas de richesse
Sa fonction dépenser de l' argent ...

Le privé produit des richesses et ne croit que grâce à sa production dans le cas contraire il meurt ...

Il semblerait , et en regard de l' organisation hyper protocolaire, très lourde et très redondante de notre administration qu'il est beaucoup plus difficile de dépenser que de produire

Eh bien là cher lecteur je suis sidéré je connais beaucoup de femmes qui n'ont aucune peine à dépenser , monsieur Vals demandez leur conseil vous pourrez ainsi réduire le nombre de fonctionnaires

Le reboussiermisogyne

Pour une réforme territoriale globale

http://blogs.mediapart.fr/edition/espaces-et-territoires/article/080414/pour-une-reforme-territoriale-globale

Manuel Valls veut rayer le département de la carte - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/229460/manuel-valls-veut-rayer-le-departement-de-la-carte/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=09-04-2014-quotidien

Note du reboussier
Le reboussier pense encore que la fusion de la 2c2a est une erreur, mais notre " combat " n' a pas été relayé par le département , nos amis et néanmoins socialistes Dumas Alary , ne se sont même pas penchés sur notre couche
Par contre supprimer à terme les départements trois fois OUI
Éviter les doublons et les "X"blons, bien sur, il faut clarifier l' administration
Transformer le milles feuilles en éclair par exemple, dynamiser , supprimer les lourdeurs , on préférera dans ce cas un éclair à la crème allégée
Les communes ne doivent pas être supprimées , elles resteront un lien humain direct entre la population et l' administration.

ALES. Un premier conseil municipal agité | Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2014/04/07/ales-un-premier-conseil-municipal-agite/comment-page-1/

mardi 8 avril 2014

Incendie centre de tri Cévennes Vidourle Quissac Aujourd'hui 8 avril 2014


20140408 incendie centre de tri quissac par zimprod

VEZENOBRES. Le maire sortant démissionne du conseil municipal



Alors qu'il vient de perdre les élections municipales à Vézénobres à 32,19% contre 49,89% pour la liste de Sébastien Ombras, le maire sortant Bernard Mialhe devait siéger au conseil municipal du côté de l'opposition, avec deux de ses colistiers. Il vient cependant d'annoncer sa démission par courrier, ainsi que celle de Jean-Marie Roux, son ancien 1er adjoint. Ils seront remplacés par les suivants sur la liste.

"Cette démission ne démontre pas un grand courage de la part de ces personnes et surtout atteste d'un grand mépris envers ceux qui les ont élus. Mialhe a perdu, mais finalement, ce sortant
capricieux ne méritait pas autre chose, lui qui a été élu par accident en 2008, juste retour de pendule en sanction ultime pour ceux qui trompent leurs électeurs".

lundi 7 avril 2014

Anduze : les 4es du collège Florian ont découvert les métiers du livre

http://www.midilibre.fr/2014/04/07/anduze-les-4emes-du-college-florian-ont-decouvert-les-metiers-du-livre,845256.php

Tornac. De nombreux Tornagais ont assisté à l'élection de Marielle Vigne

http://www.midilibre.fr/2014/04/07/tornac-de-nombreux-tornagais-ont-assiste-a-l-election-de-marielle-vigne,845240.php

Nouveau commentaire sur Bonifacio Iglesias et son équipe en ordre de march....


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Bonifacio Iglesias et son équipe en ordre de march..." :

Ils sont tout beaux, avec leur belle écharpe, MAIS :

Le décret n° 2000-1250 du 18 décembre 2000 (Journal officiel du 23 décembre 2000) laisse aux élus communaux la liberté de porter l'écharpe en ceinture ou en écharpe. D'après les dispositions de l'article D. 2122-4 du code général des collectivités territoriales :

Les maires portent l'écharpe tricolore avec glands à franges d'or dans les cérémonies publiques et toutes les fois que l'exercice de leurs fonctions peut rendre nécessaire ce signe distinctif de leur autorité.
Les adjoints portent l'écharpe tricolore avec glands à franges d'argent dans l'exercice de leurs fonctions d'officier d'état civil et d'officier de police judiciaire, et lorsqu'ils remplacent ou représentent le maire en application des articles L. 2122-17 et L. 2122-18.

Il en va de même pour les conseillers municipaux lorsqu'ils remplacent le maire en application de l'article L. 2122-17 ou lorsqu'ils sont conduits à célébrer les mariages par délégation du maire.
Le port de l'écharpe tricolore est donc limitativement restreint tant pour les adjoints que pour les conseillers municipaux à l'exercice des fonctions d'officiers de police judiciaire et d'officier d'état civil et lorsqu'ils remplacent ou représentent le maire.

Dès lors, le port de l'écharpe en dehors de ces circonstances et notamment dans les cérémonies publiques en présence du maire, ou se déroulant à l'extérieur du territoire de la commune, est totalement exclu.

dimanche 6 avril 2014

ALLIEN EOLIENNE


La bombe fiscale de la transition énergétique sur le point d'exploser !

LE CERCLE. Condamné pour irrégularités dans le financement des énergies renouvelables, le gouvernement a obtenu de la Commission européenne l'autorisation de les financer par des aides d'État. C'est dissimuler la prise en charge par le contribuable du financement d'intérêts privés, ce pour une politique énergétique indubitablement promise à l'échec et ruineuse pour l'économie française.

Pour le gouvernement, la poursuite à tout prix de la transition énergétique, d'ordre idéologique, est un impératif. Mais à quelle logique correspond cette insistance peu conforme à l'intérêt général ? En obtenant le feu vert de la Commission européenne pour la prise en charge du coût de cette politique par l'État, le gouvernement expose les Français à de bien nombreux déboires.

Le gouvernement sacrifie les consommateurs

La transition énergétique est actuellement financée par la CSPE, contribution au service public d'électricité, taxe ayant le mérite de faire porter aux consommateurs une partie de son coût massif tout en le lui dissimulant : les tarifs préférentiels aux producteurs renchérissent ainsi le prix de l'électricité payé par le consommateur par des surprix sans rapport avec les coûts de production.

Condamné par la Cour européenne de justice au motif d'infraction au droit européen sur la concurrence, le gouvernement a dû revoir en urgence sa copie pour retrouver le chemin d'une apparente légalité. Sous la pression de la Fédération de l'Énergie éolienne, syndicat patronal dont la CSPE finance l'essentiel des intérêts, le gouvernement s'est donc activé depuis la condamnation judiciaire à convaincre la Un tour de passe-passe vers un nouveau déficit

C'est chose faite ! C'est donc le même qui paiera, mais autrement. La Commission vient ce jour de signifier au gouvernement qu'elle accordait son accord à ce tour de passe-passe en autorisant la France à prendre directement en charge sous forme "d'aides d'État" le surprix actuellement payé par le consommateur. Prudente, la Commission a toutefois pris quelques sages précautions dans la suspicion qu'elle a des mécanismes financiers de la "finance verte", souvent prompte, comme le montrent des affaires récentes, à des dérapages frauduleux à grande échelle (à preuve le trafic sur les certificats de CO2 !)

C'est une nouvelle charge de quelques milliards d'euros pour l'État français que le gouvernement actuel est sur le point d'imposer aux contribuables, alors même qu'il vient d'annoncer un ambitieux programme de réduction budgétaire à valoir après les élections… et ce, de façon d'autant plus choquante que la pratique pourrait avoir un effet rétroactif très contestable en droit pour éponger les pertes antérieures du système, et générer de nouveaux et pesant contentieux.

Un fiasco économique pour un fiasco environnemental

La crédibilité de l'État est d'autant plus entachée que ces mécanismes ont principalement pour objet de satisfaire des appétits financiers d'entreprises souvent importatrices et peu créatrices d'emplois, d'autre part et surtout parce que la transition énergétique, dont l'objet était de réduire les émissions de gaz à effet de serre, est en voie d'être un total fiasco en raison des effets pervers de certaines énergies renouvelables, comme les éoliennes dont les carences sont suppléées massivement, notamment en Allemagne, par l'accroissement de l'exploitation des énergies fossiles hautement polluantes comme le charbon et le lignite.

C'est donc la persistance d'une politique ruineuse et vouée à l'échec en matière énergétique que soutient le gouvernement, ce qui n'est pas sans devoir inquiéter fortement les responsables économiques. Du fait des ravages causés au climat et à l'économie par la transition énergétique, on le voit, le vrai débat public idéologiquement gênant, donc interdit, sur les énergies renouvelables, ne fait que commencer !

Commission européenne de lui permettre de substituer le contribuable français au consommateur qu'il est par ailleurs

 

Bonifacio Iglesias et son équipe en ordre de marche

http://www.midilibre.fr/2014/04/06/bonifacio-iglesias-maire-sortant-et-tete-de-la-liste-anduze-en-marche-a-ete-reelu-maire,844880.php

samedi 5 avril 2014

Anduze municipales
le changement figé , la marche immobile

Après Boni 1, Boni 2, c’est pas mieux


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Ainsi nous avons assisté à la première sortie publique de Boni 2, lors de la mise en place du nouveau Conseil Municipal d’Anduze. Une impression dominante : pareil à lui-même… Tous ses actes visaient à ce qu’il soit le seul à pouvoir prendre la parole, toutes ses paroles tendaient à ne dire qu’il était le seul à devoir gouverner sur Anduze.

Son discours a bien témoigné de cet état de colère obscure qui l’habite en permanence. Il n’a pas tourné la page de la campagne qui lui fut, dit-il, amère. Il n’oubliera rien, « ni du passé, ni du présent, ni de l’avenir ». Il a parlé de SON équipe qui l’entoure, de SON équipe avec laquelle il poursuivra le travail entrepris. S’il avait à sa gauche quatre conseillers fraichement élus, et à sa droite 2 autres, il ne les a pas vus, il ne les a pas mentionnés comme devant travailler eux aussi pour le bien d’Anduze. Anduze il s’en charge, puisque les Anduziens le lui ont demandé. Les autres, tant pis pour eux, on ne leur avait rien demandé, ils n’avaient qu’à rester chez eux. Ce qui leur reste d’ailleurs à faire, puisqu’on continuera à ne rien leur demander. Ils ne furent même pas salués par le nouveau maire.

Mais attention, nous sommes en République, ce fut fortement souligné par Boni 2 : il sera, croyez-le bien, très vigilant, et très intolérant pour tout débordement. Il ne laissera rien passer en matière d’outrage anti-républicain (on peut lui faire confiance pour s’en réserver le seul usage…).

Triste à pleurer, et sinistre à frémir.

Mais les Anduziens l’ont voulu, on en a repris pour six ans…

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