dimanche 25 décembre 2022
samedi 24 décembre 2022
L'association Abraham Mazel est partie prenante de ce collectif.
Les Michel sont-ils comme les Dupont ?
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> "La mairie veut que ce soit signé rapidement"
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> "Le comité a préféré favoriser l'installation des Parisiens plutôt que le projet de Terre de liens, pour lequel aucune étude de faisabilité n'avait encore été faite, confie le président de la Safer gardoise, Michel Allemand. La mairie avait mis un ultimatum et veut que ce soit signé rapidement."(*) Le président précise donc que "ce sont deux couples qui veulent reprendre le bâtiment pour en faire une résidence" et que "les discussions se poursuivent sur le devenir des terrains, on n'est pas au bout, et pas à l'abri d'un recours". Michel Allemand confie cependant qu'il tient à ce que les terres restent agricoles alors que les deux couples potentiellement acquéreurs souhaitent mener, d'après leurs adversaires, un "projet agro-touristique et le développement d'un festival de musique".
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> Recours, il y aura bien, confirme une petite équipe qui travaillait sur le dossier en coopération avec Terre de Liens. Parmi ceux-ci, Michel Launay, Saint-Jeannais de Terre de liens ; Christian Sunt, de l'Université rurale des Cévennes ; Frédéric Proust, ancien maraîcher à Lansargues ; et Patrick Pasanau, qui réside encore sur place en couple, locataires de la mairie qui tente de les expulser. Avec sa compagne, Delphine Maillard, ils habitent le plus petit des trois espaces bâtis "depuis 2005. Et nous menons un projet agricole depuis 2007". Apiculture, jardin potager, poules pondeuses ou encore arboristerie constituent leur activité. "Cela fait quatre ans que nous sommes au tribunal avec la mairie, poursuit Patrick Pasanau, et quatre ans qu'ils sont déboutés." Ce qui n'a pas empêché la municipalité de lancer, d'après Patrick Pasanau, un saisie conservatoire sur les comptes professionnel et personnel du couple.
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> "Terre de Liens m'a proposé de me ré-installer avec un autre agriculteur", confie, de son côté, Frédéric Roux, maraîcher bio dès 1995 à Lansargues et dont l'exploitation a été reprise par un jeune. Car la propriété communale La Borie, ce sont 21 hectares, principalement de forêt (environ 17 hectares), quatre hectares de terres cultivables, et 1 200 m2 de bâti. Dans ces 1 200 m2, la maison qu'habitent Patrick Pasanau et Delphine Maillard, "pour laquelle nous sommes potentiellement acheteurs". Ce volet est inclus dans le projet de société civile immobilière (SCI), composante du projet en partenariat avec Terre de Liens.
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> Un projet "agricole, de lieu d'accueil et de partage", présente le dossier d'appel à souscription sous forme de SCI. En clair, l'association Terre de Liens se porterait acquéreur des terres et d'une des maisons pour loger les deux agriculteurs, la maison du milieu serait rachetée par les Maillard/Pasanau. Et la première maison, à l'entrée du hameau, soit 600 m2 utilisables après travaux, serait rachetée par la SCI la Borie afin d'y installer un tiers-lieu. Une association serait gestionnaire du lieu et locataire de la SCI. L'activité, dans les bâtiments, porterait notamment sur la transformation des produits agricoles. L'association Abraham Mazel est partie prenante de ce collectif."
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> https://www.objectifgard.com/gard/ales-cevennes/fait-du-soir-a-saint-jean-du-gard-la-borie-attribuee-a-un-projet-residentiel-103492.php
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> "La mairie veut que ce soit signé rapidement"
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> "Le comité a préféré favoriser l'installation des Parisiens plutôt que le projet de Terre de liens, pour lequel aucune étude de faisabilité n'avait encore été faite, confie le président de la Safer gardoise, Michel Allemand. La mairie avait mis un ultimatum et veut que ce soit signé rapidement."(*) Le président précise donc que "ce sont deux couples qui veulent reprendre le bâtiment pour en faire une résidence" et que "les discussions se poursuivent sur le devenir des terrains, on n'est pas au bout, et pas à l'abri d'un recours". Michel Allemand confie cependant qu'il tient à ce que les terres restent agricoles alors que les deux couples potentiellement acquéreurs souhaitent mener, d'après leurs adversaires, un "projet agro-touristique et le développement d'un festival de musique".
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> Recours, il y aura bien, confirme une petite équipe qui travaillait sur le dossier en coopération avec Terre de Liens. Parmi ceux-ci, Michel Launay, Saint-Jeannais de Terre de liens ; Christian Sunt, de l'Université rurale des Cévennes ; Frédéric Proust, ancien maraîcher à Lansargues ; et Patrick Pasanau, qui réside encore sur place en couple, locataires de la mairie qui tente de les expulser. Avec sa compagne, Delphine Maillard, ils habitent le plus petit des trois espaces bâtis "depuis 2005. Et nous menons un projet agricole depuis 2007". Apiculture, jardin potager, poules pondeuses ou encore arboristerie constituent leur activité. "Cela fait quatre ans que nous sommes au tribunal avec la mairie, poursuit Patrick Pasanau, et quatre ans qu'ils sont déboutés." Ce qui n'a pas empêché la municipalité de lancer, d'après Patrick Pasanau, un saisie conservatoire sur les comptes professionnel et personnel du couple.
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> "Terre de Liens m'a proposé de me ré-installer avec un autre agriculteur", confie, de son côté, Frédéric Roux, maraîcher bio dès 1995 à Lansargues et dont l'exploitation a été reprise par un jeune. Car la propriété communale La Borie, ce sont 21 hectares, principalement de forêt (environ 17 hectares), quatre hectares de terres cultivables, et 1 200 m2 de bâti. Dans ces 1 200 m2, la maison qu'habitent Patrick Pasanau et Delphine Maillard, "pour laquelle nous sommes potentiellement acheteurs". Ce volet est inclus dans le projet de société civile immobilière (SCI), composante du projet en partenariat avec Terre de Liens.
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> Un projet "agricole, de lieu d'accueil et de partage", présente le dossier d'appel à souscription sous forme de SCI. En clair, l'association Terre de Liens se porterait acquéreur des terres et d'une des maisons pour loger les deux agriculteurs, la maison du milieu serait rachetée par les Maillard/Pasanau. Et la première maison, à l'entrée du hameau, soit 600 m2 utilisables après travaux, serait rachetée par la SCI la Borie afin d'y installer un tiers-lieu. Une association serait gestionnaire du lieu et locataire de la SCI. L'activité, dans les bâtiments, porterait notamment sur la transformation des produits agricoles. L'association Abraham Mazel est partie prenante de ce collectif."
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> https://www.objectifgard.com/gard/ales-cevennes/fait-du-soir-a-saint-jean-du-gard-la-borie-attribuee-a-un-projet-residentiel-103492.php
Les Ceausescu, exécutés à Noël - Le Point
La fin des dictateurs ?
https://www.lepoint.fr/histoire/les-ceausescu-executes-a-noel-24-12-2022-2502738_1615.php
Nota:
C’est sans doute ce que craint Poutiné 
Sa seule solution « s’accrocher à son délire »
Ses soutiens n’ont qu’ à bien se tenir
vendredi 23 décembre 2022
On a le meilleur système de retraites, et vous, à l'approche des fêtes de Noël, vous venez tout foutre en l'air !
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "À l'Assemblée nationale, un an de QAGophonie : le meilleur (et le pire) de l'hémicycle" :
MAIS ARRÊTEZ-VOUS ! LE COUP DE GUEULE D'YVAN LE BOLLOC'H CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES
Cerveaux Non Disponibles
https://youtu.be/-B2SFwEjt-A
« MAIS ARRÊTEZ-VOUS !!
On a le meilleur système de retraites, et vous, à l'approche des fêtes de Noël, vous venez tout foutre en l'air !
Et avec la réforme du chômage, vous mettez 800 000 personnes dans la précarité !
Et ça vous étonne d'avoir un peu de bruit dehors ??? »
🙏Yvan Le Bolloc'h🫶
jeudi 22 décembre 2022
On n'est jamais surpris par vos éditos ou ceux de votre patron
Envoyé par JL
Bonjour M. Servant,Ce qu'il y a de certain c'est qu'avec vous , on n'est jamais surpris . Dès lors qu'il y a des grèves, vous êtes réglé comme du papier à caricature chez Causer, le Figaro, Cnews ou Valeurs actuelles. Vous n'aurez pas de peine à vous recaser si le Midi Libre dont vous taisez , à vos lecteurs, les graves difficultés, venait à vous "charreter". Ce dont je doute vu vos éditos hersaniens.
Comme d'habitude la presse de droite possédée par des milliardaires qui n'ont pas des fins de mois difficiles, sort les poncifs habituels en osant parler de "prise d'otages" à propos de grève . Faudrait en profiter pour vous rappeler ainsi qu'à tous ces "journalistes" maison qu'il y a, aujourd'hui, un de leur collègue , Olivier Dubois qui lui est bien, depuis plus de 20 mois, otage au Mali. Quand les mots ne veulent plus rien dire , on peut tout se permettre y compris le point godwin en matière sociale. Si on assimile les grévistes à des terroristes preneurs d'otages tout est permis à leur encontre!
La réalité sur ce conflit c'est qu'au minimum les torts sont partagés par la direction qui a fermé la porte aux négociations suite à la levée de la grève (pas du préavis) par les syndicats, un signal mal perçu par les contrôleurs et aujourd'hui la mobilisation par le Net est très efficace. C'est une leçon pour le gouvernement comme pour les patrons du privé qui se gavent bien malgré la crise et qui ont du mal à partager leurs bénéfices avec les salariés mais pas avec les actionnaires. Les statistiques que vous ne commentez jamais en font foi.
Autre info vérifiable : l'inflation pour les salariés les plus modestes n'est pas de 6 à 7% comme l'indique l'INSEE mais probablement de 10 à 15% puisque les hausses des prix sur les dépenses contraintes ( alimentation, énergie, assurances etc...) qui bouffent leurs revenus sont de cet ordre. Indice unique = indice inique comme le savent tous les économistes un peu sérieux. Mais visiblement vous ne faites pas partie de ce milieu.
J V
ps : j'allais oublier pour faire un peu cultivé et en rajouter vous qualifiez les grévistes de "quarteron" , un vocable qui renvoie aux généraux putschistes d'Alger. Terroristes preneurs d'otages + putschistes : ce sera quoi la prochaine fois?
mercredi 21 décembre 2022
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