jeudi 14 juin 2018

#LEVOTHYROX L'Association française des malades de la - Franceinfo

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    #LEVOTHYROX L'Association française des malades de la thyroïde (AFMT) annonce avoir commandé une analyse sur la nouvelle formule du Levothyrox. Ces recherches, menées par un laboratoire à l'étranger, révèlent que le médicament contient moins de lévothyroxine que les spécifications en vigueur, et qu'il comporte de la dextrothyroxine, une substance de synthèse non commercialisée en France.

Sylvia Tisot, la présidente de l’association du foyer rural, constate un essoufflement

Sylvia Tisot, la présidente de l'association du foyer rural, constate un essoufflement

Sylvia Tisot, la présidente de l'association du foyer rural, constate un essoufflement

Sylvia Tisot, la présidente de l'association du foyer rural, constate un essoufflement
la présidente avec à ses côtés la vice-présidente Christelle Petit et le coprésident des foyers ruraux du Gard

L'assemblée générale du foyer rural, samedi 5 mai, avait déjà dû être reportée, le quorum n'a pas été atteint. La suivante n'a guère plus mobilisé les habitants de la commune.

En présence de Rémi Deleuze, coprésident des Foyers ruraux du Gard, et de Jean Leroy, adjoint au maire, Sylvia Tisot, présidente, n'a pas caché son incompréhension à cette relative désaffection.

Avant d'aborder les différents rapports, elle a voulu ajouter une note personnelle, ayant "du mal à accepter que chacun reste chez soi lors de manifestations destinées à faire se rencontrer des gens dispersés dans des hameaux éloignés, dans cette commune sans cœur de village, mais possédant un patrimoine qui pourrait apporter une cohésion qu'elle souhaite ardemment".

Elle a ensuite laissé la parole à la secrétaire et aux différents responsables des sections d'activités qui ont fait le bilan de l'année écoulée. L'atelier sportif pour enfants, l'initiation danse (enfants et adultes), Les P'tites bricoles, la section randonnée, la remise en forme body fit et l'activité gym douce, la bibliothèque, ont été passés au crible, avec un indice de satisfaction très positif.

Mais le manque de bénévoles, les coûts et les nouvelles réglementations doivent faire réfléchir pour maintenir certaines de ces activités.

Ont aussi été évoquées les réussites des manifestations (malgré le peu de Tornagais présents) telles que les deux vide-greniers, le carnaval (en partenariat avec l'association des parents d'élèves), la représentation du Petit théâtre de Boisset, le gala de l'initiation à la danse, la course d'Ornis, le marché artistes et artisans d'art, la fête du village (en partenariat avec la municipalité) et le réveillon de la Saint-Sylvestre, qui a connu un véritable succès. L'information est assurée par la distribution du Petit Oiseau, complété sur le site internet et la page Facebook de plus en plus visitée.

Pour 2018, la plupart des manifestations seront reconduites, avec cependant le projet ambitieux du transfert, au château de Tornac, du spectacle son et lumière, sur deux jours (les samedi 29 et dimanche 30 juin), de la section initiation à la danse.

Après l'approbation du bilan financier, il a été procédé à l'élection du conseil d'administration : avec trois démissions et aucune candidature, il est réélu avec les membres renouvelés.


Vieillissement, exclusion, santé : Emmanuel Macron veut faire mieux avec autant

Vieillissement, exclusion, santé : Emmanuel Macron veut faire mieux avec autant

Vieillissement, exclusion, santé : Emmanuel Macron veut faire mieux avec autant

« La solution n'est pas de toujours dépenser plus d'argent », a martelé Emmanuel Macron, lors du congrès de la Mutualité, à Montpellier, ce 13 juin 2018. Attaqué depuis des mois sur le côté libéral, voire ultralibéral de sa politique, le président de la République est venu défendre ses choix devant les mutualistes.

Il a particulièrement développé les « trois grands défis » auxquels sont confrontés les Français : la santé, l'âge et l'exclusion. Pour les relever, il faut s'attaquer « à la racine » des maux et mettre en place plus de prévention et d'accompagnement des populations fragiles.

Grand âge : une loi pour fin 2019

Lors de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron s'est peu exprimé sur le grand âge et la dépendance mais l'actualité l'a rattrapé.

Après avoir rappelé que « les 42 régimes de retraite ne correspondent plus aux défis contemporains » et que la loi les réformant serait votée au premier semestre 2019, il a abordé la dépendance, regrettant que « notre République ne soit pas à la bonne hauteur » sur cette question.

Alors que la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn a présenté il y a quelques jours un plan « Plan âge et autonomie », l'ancien ministre de l'Economie a précisé qu' »un débat national est indispensable » pour répondre à ce défi. Une loi sera présentée en 2019 pour un vote avant la fin de l'année. S'il n'a pas précisé le contenu, Emmanuel Macron a néanmoins glissé dans son discours la possibilité de l'établissement « d'un nouveau risque ».

Cela signifierait que le Président penche pour la création d'une cinquième branche de la Sécurité sociale. Le débat avait été ouvert en 2007 par Nicolas Sarkozy, mais face au coût estimé, l'idée avait été abandonnée.

Exclusion : l'émancipation par le travail

C'était certainement le sujet sur lequel le Président était le plus attendu, alors que ses propos sur le « pognon de dingue » mis dans les aides sociales tournaient sur les réseaux sociaux depuis une demi-journée. Et, s'il a assuré que « l'ensemble du gouvernement est mobilisé pour repenser la solidarité nationale », Emmanuel Macron a prévenu : « les solutions que nous devons apporter ne peuvent pas n'être que budgétaires. »

Le montant du RSA a augmenté en 10 ans de 80% alors que l'accompagnement des allocataires a diminué de 60%, a-t-il regretté. 50% d'entre eux touchent toujours le minima social au bout de 4 ans. « Le système ne permet pas à celles et ceux qui y tombent de retrouver une place dans la société », a-t-il ajouté.

Une pierre jetée dans le jardin des départements qui ont la charge de l'insertion des bénéficiaires du RSA. Selon les chiffres de l'Odas, depuis plusieurs années, les conseils départementaux ont réduit la voilure sur le plan insertion pour pouvoir continuer à payer les allocations.

Pour Emmanuel Macron, le retour à l'emploi des bénéficiaires qui le peuvent est indispensable et l'accompagnement social doit être valorisé et renforcé. Une action déjà menée par de nombreux départements qui ont bien compris que la meilleure des solutions pour faire baisser le coût du RSA est de faire sortir du dispositif les personnes qui le peuvent.

Les négociations sont par ailleurs en cours entre Matignon et l'Assemblée des départements de France sur l'avenir du financement des allocations individuelles de solidarités. Mi-mai, les départements avaient néanmoins rejeté les propositions du gouvernement les jugeant trop faibles.

Santé : la seule annonce concrète

« Le système est en crise, et cela ne date pas d'hier », a commencé Emmanuel Macron avant de détailler les dérèglements constatés : pas assez de prévention, trop de renonciations aux soins, trop d'actes inutiles.

C'est sur ce dernier point que le Président espère faire des économies pour investir ailleurs. « On a trop longtemps pensé que qualité signifiait quantité d'actes », a-t-il dénoncé. Mais, dès 2021, l'Assurance maladie remboursera intégralement les frais dentaires, d'optique et de prothèses auditives. Un dépistage des troubles visuels et auditifs sera également mis en place « dès le plus jeune âge » pour mettre en place une meilleure prévention, une économie à long terme a assuré le Président.

Mais, a-t-il ajouté, « les lunettes à zéro euro ne servent à rien s'il faut 12 mois pour avoir un rendez-vous » chez l'ophtalmologiste. Il parle ainsi de revoir l'organisation des professionnels de santé : « les acteurs doivent s'organiser en réseau », a-t-il déclaré sans plus de précisions. Il doit néanmoins présenter un plan plus complet « à l'été ».

Le Président doit revenir sur les déserts médicaux et la stratégie de lutte contre la pauvreté dans le courant du mois de juillet. La question est de savoir s'il proposera alors des actions concrètes pour compléter les intentions.

Cet article est en relation avec les dossiers

80 km/h sur les routes : qu’en pensent nos voisins européens ? | Contrepoints

80 km/h sur les routes : qu'en pensent nos voisins européens ? | Contrepoints

80 km/h sur les routes : qu'en pensent nos voisins européens ?

Par Éric Svane.

Plus on crée des lois,

plus on crée des criminels

— Lao Tseu

Lorsque le gouvernement craint le peuple, il y a la liberté ;
lorsque le peuple craint le gouvernement, il y a la tyrannie.
— Thomas Jefferson

Vendredi 5 janvier 2018, Manuel Valls et une poignée d'ex-dirigeants de la Sécurité Routière signaient un appel pour soutenir la réduction de la vitesse à 80km/h sur 400.000 km de routes secondaires, une mesure contre laquelle, selon eux, « il n'y a aucun argument ».

Aucun ?

Que dire du fait qu'aucun (!) des autres 27 pays membres de l'Union Européenne ne semble avoir de projets de suivre la France dans cette croisade contre le progrès ?  Puisqu'on nous vante sans cesse l'Europe et la construction européenne, ne serait-ce pas une idée d'étudier la sécurité routière chez nos voisins, voire au-delà des frontières de l'UE ?

Le matraquage français

Pour prendre les seuls pays de l'Union, aucun des autres 27 autres gouvernements (ou 26, après le Brexit) semble manifester un tel acharnement à truffer leurs pays respectifs de radars toujours plus puissants et plus sournois, voire à matraquer à un tel point les citoyens de leur pays.  Il n'y en a point un seul qui utilise des études tant archaïques que fantaisistes (cf la formule mathématique des années 1970 — jamais reproduite par autrui — qui prétend que diminuer la vitesse d'un km engendre ipso facto 4% de tués en moins) ainsi que des expériences dont les résultats sont tenus secrets.

Très certainement, il ne semble y avoir aucun pays qui a la moindre intention de baisser les limites de vitesse.  Au contraire, du Danemark à l'Italie, les limitations de ont été revues à la hausse, du moins sur certaines portions du réseau routier.

En effet, on a pu lire dans les journaux italiens le choc des journalistes devant la politique française du tout radar et de la sanction permanente, le « tout-répressif » trouvé en France.

« Il n'y a aucun argument » ?! En Autriche, l'expérimentation faite sur les autoroutes en 2006-2007 a été de porter la limitation de 130 km/h à 160 km/h, ce qui n'a pas eu le moindre effet négatif.  (Grâce au lobby écologistes autrichiens, la limite est restée la même qu'en… 1973.)

La majorité des pays européens ont limité la vitesse à 50 km/h dans leur agglomération, explique la Ligue de Défense des Conducteurs, alors qu'en France la nouvelle lubie des maires est de mettre en place une vitesse réglementaire de 30 km/h.

Pas de répression aveugle des automobilistes en Grande-Bretagne

En Grande-Bretagne, depuis 2011, les Anglais ont supprimé plusieurs centaines de radars, le ministère des Transports avouant que leur implantation n'a pas eu de véritable impact sur la sécurité routière.  On ne cherche pas à faire de la répression aveugle contre les automobilistes, précise Adrien Sallé sur ABC Moteur :

Le ministre des Transports britannique, Patrick McLaughlin, est clair : le but n'est pas de faire tirer des revenus des radars. Ils sont installés dans une optique de prévention. En 2016 les boîtes flasheuses installées sur les axes rapides ont été peintes en jaune pour être visibles de loin par les conducteurs.

Rappel : selon les chiffres de la Commission Européenne, les Allemands ont proportionnellement moins de morts sur route que la France et ce alors que non seulement l'autobahn n'a pas le degré de répression et de persécution qu'ont à affronter les automobilistes français, mais qu'en plus il n'y a pas la moindre limite de vitesse sur la vaste majorité du réseau allemand (66% au moins, contrairement aux fabulations de Chantal Perrichon et de sa Ligue Contre la Violence Routière.

Que dit la Commission sur l'efficacité de la répression des conducteurs ?  Eh bien, sur 28 pays, la nation exhibant la pire répression des conducteurs sur le continent (j'ai nommé la France) comptait 53 morts par million d'habitants en 2014, venant en 15ème place et se trouvant au-dessus de la moyenne, tandis que le pays de la vitesse complètement libre sur autoroute (j'ai nommé l'Allemagne) en comptait 42, venant en 8ème place et se trouvant donc en-dessous de la moyenne.

La double peine française

Quant à la double peine (retrait de point + amende) systématique appliquée en France, la LDC explique que

En Allemagne par exemple, le C ode de la route fait la différence entre une petite erreur et celle qui peut entraîner la mise en danger d'autrui. Ainsi, lorsque l'automobiliste dépasse de quelques km/h la vitesse autorisée, il paye une amende mais n'accumule aucun point sur son permis [le système de permis à point fonctionne à l'inverse du nôtre : les conducteurs allemands accumulent des points à chaque infraction]. Pour un excès de vitesse inférieur à 20 km/h, pas de double peine. C'est pour une politique intelligente de ce type que se bat la Ligue de Défense des Conducteurs. En effet, en France 80 % des amendes [et donc des points perdus] liées à la vitesse concernent un dépassement de la vitesse de moins 20 km/h.

Par ailleurs, la France se doit d'être un « modèle social » dans bien d'autres domaines liés à la route — un modèle social qu'aucun autre pays ne semble suivre.  Ainsi, sur les autoroutes — ces routes qui sont les plus sûres quel que soit le pays où elles se trouvent — il n'y a pas le moindre péage dans la vaste majorité des pays de l'Union Européenne.

Et les ronds-points ? Ah, avec le plus de giratoires au monde, les Français sont les maîtres des ronds-points !

Campagne, rase-campagne, banlieue, ville, village, centres commerciaux… Aucun endroit n'échappe à la folie des giratoires : notre pays en compte plus de 40 000. Et cette idée fixe nous coûte très cher.

Autre information dans le domaine de la route début 2018 (vous avez dû en entendre parler un peu partout, à la télé, à la radio ou dans vos journaux) : avec le Masque d'André Malraux, Pontarlier (Doubs) peut se vanter d'être le gagnant du concours du pire rond-point de France.

C'est sous la forme de ce concours que Contribuables Associés a voulu dénoncer les coûts exorbitants des ronds-points et de leurs aménagements qui vont au-delà de la sécurité routière : 20 milliards d'euros au total !

Une solution : augmenter la vitesse

Revenons à la lenteur (pardon, à la vitesse), mais en élargissant nos horizons :

De l'autre côté de l'Atlantique, un trooper de la Michigan State Police, Thad Peterson, explique que « l'une des choses les plus sécuritaires à faire, c'est d'augmenter la limite de vitesse. »

En effet, augmenter la limite de 90 km/h à 100 km/h en Colombie Britannique a amené une baisse d'accidents (similaire au Danemark) de presque 13%, tandis que de l'autre côté de la planète, les Australiens ont vu le nombre d'accidents et de morts baisser lorsque la limite de 130 km/h sur une section de 336 km de la Stuart Highway a été supprimée au profit de la vitesse complètement libre (comme en Allemagne), dans le but avoué de (tenez-vous bien) « rendre la responsabilité aux automobilistes ».

S'il faut en croire la Parker Study par le Federal Highway Administration de 1997, qui a fait des études de baisses ou d'augmentations des limites de vitesse à travers les États-Unis avec un échantillon de la bagatelle de 1,6 millions de véhicules (!), le nombre d'accidents diminuait lorsque la limite de vitesse augmentait et le nombre augmentait lorsque la limite diminuait.

Une étude de la National Motorists Association dévoile ce qu'on appelle le Paradoxe du Montana :

La période la plus sûre sur les routes Interstate du Montana était quand il n'y avait aucune limite de vitesse pendant les heures du jour.

Dans La seule chose que la vitesse tue c'est votre portefeuille (voir Speed Kills Your Pocketbook sur Youtube), le Canadien Chris Thompson compare les limites de son pays (parmi les plus basses du monde occidental) à celles de l'Allemagne, où il y a deux fois moins de morts par habitant.

Pour une poignée de dollars

On serait presque tenté de poser la même question que pose AutoBlog, un magazine d'autos américain :

Se pourrait-il que la sécurité routière ait moins à voir avec la sécurité qu'avec la récolte des dollars ?

Il y a une bonne nouvelle à annoncer :

Une grande majorité parlementaire est furieuse concernant les plans du gouvernement pour la police, ceux de recueillir plus de PV, de sorte que les écarts sur le budget du ministère de la Justice peuvent être bouchés. Les députés veulent mettre un terme au système que cette pratique engendre. Des bruits de protestation de la part de la police ont également été entendus.

Il y a aussi, malheureusement, une mauvaise nouvelle à annoncer :

Ce n'est pas en France que cela se passe, mais aux Pays-Bas. Ces informations néerlandaises nous viennent de Jorn Jonker et Gijsbert Termaat dans De Telegraaf. Les titres disent tout :

Les policiers n'ont pas l'intention

de servir d'agents intérimaires du fisc

Stop aux conflits d'intérêt

L'autorité de la police minée

Les politiciens hollandais disent qu'il y a maintenant un «effet pervers» pour le ministère à distribuer autant de PV. Cela ne concerne plus la sécurité sur la route, mais l'argent. Jan Struijs, président de la Fédération de la Police Néerlandaise (NPB), dit que les agents n'ont pas l'intention de travailler comme agents du fisc. Il prédit que la population va réagir avec colère envers les flics.

Avec ce genre d'annonces, le gouvernement porte atteinte à l'autorité de la police.

En France aussi, les policiers ont essayé de protester, mais sans résultat.  En 2012, Michel Nowacki, responsable de la sécurité routière au syndicat Unité SGP-Police, déplorait ce phénomène :

Nous sommes dans une politique de répression et non de lutte contre les accidents.

Quant au Syndicat Indépendant de la Police Nationale, il se plaignait que les policiers ne sont plus des « anges gardiens » et des « arbitres » mais des percepteurs déguisés.

Dans leur lettre du 5 janvier — utilisée comme prétexte quatre jours plus tard par le Premier ministre, Édouard Philippe, pour baisser la limitation de lenteur (pardon, de vitesse) de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires à double sens — M. Valls et les gros bonnets de la Sécurité Routière trouvent « indécent de parler de 'pompe à fric'. »

Pour tous ces champions auto-proclamés du discours et de la discussion, dès que la conversation va dans une direction qui ne leur plait pas, ils sont prêts à traiter tous ceux qui ne sont pas d'accord avec eux et avec la vogue politiquement correcte du jour de tous les opprobres habituels — des gens indécents, irrespectueux, réactionnaires, racistes, sexistes, homophobes, fascistes, déplorables, etc, etc, etc…

Tous ces « Schleus », tous ces « Ritals », et tous ces « Ricains », en compagnie de tous les autres voisins de l'Hexagone, sont apparemment des brutes incapables qui, contrairement aux braves timoniers de la société française, ces valeureux chevaliers sur leurs destriers blancs, rêvent de morts horrifiques pour leurs concitoyens

mercredi 13 juin 2018

En 2016, Anduze a le taux de mortalité générale le plus élevé d'Occitanie


Est-ce que CGEDD, IGAS, et l'INCS ont eu accès à ce document avant de produire les rapports que j'ai pu lire ? 



En 2016, Anduze a le taux de mortalité générale le plus élevé d'Occitanie


Certains prétendent qu'il n'y a jamais eu d'exploitation minière sur la commune.

D'autres parlent du Puits de la Vierge, d'exploitation à ciel ouvert des terres rouges sur les communes de Saint-Félix-de-Pallières, Tornac et d'Anduze.

On parle aussi d'une pelle mécanique de 80 tonnes prés de la gare !

Les indicateurs décrivant les déterminants sociaux et environnementaux de santé présentent tous des valeurs élevées ou très élevées, mettant en relief l'importance relative des situations de fragilité sociale dans la commune d'Anduze.





Jacques Rutten

Association Causses-Cévennes d'action citoyenne
Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111.
Site internet : http://www.accac.eu Email: adhca@live.fr 

Profil de santé de la ville d’ Anduze

Pour Emmanuel Macron, les aides sociales coûtent un « pognon de dingue » - Le Point
« Bruno Le Maire, a dégainé le premier en jugeant « légitime de réduire la politique sociale sur l'emploi »

Pour Emmanuel Macron, les aides sociales coûtent un « pognon de dingue » - Le Point

Pour Emmanuel Macron, les aides sociales coûtent un « pognon de dingue »

VIDÉO. Le président de la République estime que les aides ne suffisent pas à endiguer la pauvreté. Il veut clarifier sa politique sociale après quelques couacs.

Emmanuel Macron expose ce mercredi 13 juin le cadre de sa politique sociale devant le 42e congrès de la Mutualité française. Un discours dont les maîtres mots devraient être l'« efficacité » des aides et la « responsabilité » des aidés. Le locataire de l'Élysée a d'ailleurs donné le ton dès le mardi 12 juin en fustigeant le « pognon de dingue » que coûtent les aides sociales sans endiguer la pauvreté. Dans un visible souci pédagogique, il expose sa philosophie en un langage familier, comme en témoigne une vidéo postée dans la soirée par sa conseillère en communication Sibeth Ndiaye, qui le filme en train de peaufiner son discours de mercredi.

« On met un pognon de dingue dans les minimas sociaux et les gens ne s'en sortent pas. Les gens pauvres restent pauvres, ceux qui tombent pauvres restent pauvres. On doit avoir un truc qui permet aux gens de s'en sortir. Par l'éducation... », s'enflamme le président français. Et d'expliquer : « Je vais faire un constat qui est de dire : on met trop de pognon, on déresponsabilise et on est dans le curatif (...). Il faut prévenir la pauvreté et responsabiliser les gens pour qu'ils sortent de la pauvreté. Et sur la santé, c'est pareil. » L'Élysée a cité l'exemple du RSA dont « la moitié des allocataires n'ont pas d'accompagnement vers l'emploi ». Ce qui ne rentre pas dans la logique d'efficacité érigée en boussole.

Le Président ? Toujours exigeant. Pas encore satisfait du discours qu'il prononcera demain au congrès de la Mutualité, il nous précise donc le brief ! Au boulot ! pic.twitter.com/2mjy1JmOVv

— Sibeth Ndiaye (@SibNdiaye) 12 juin 2018

Le discours de Montpellier ne sera « pas un tournant social »

Toutes les aides sociales, aux particuliers comme aux entreprises, sont passées en revue sous ce prisme, poussant les ministres concernés à afficher ces dernières semaines des points de vue contradictoires. Celui de l'Économie, Bruno Le Maire, a dégainé le premier en jugeant « légitime de réduire la politique sociale sur l'emploi ». Son collègue des Comptes publics, Gérald Darmanin, a renchéri en estimant qu'il y avait « trop » d'aides sociales, dénonçant au passage certaines « trappes à inactivité ». « Pas question de faire des économies sur le dos des pauvres », a répliqué la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, qui sera aux côtés de M. Macron mercredi. Rien n'est encore tranché : beaucoup d'arbitrages doivent encore être rendus, en vue notamment du plan pauvreté qui doit être présenté en juillet.

L'exécutif sait qu'il dispose de « marges de manœuvre » budgétaires pour les années à venir, grâce au retour à l'équilibre plus rapide que prévu des comptes de la Sécurité sociale. Mais le gouvernement n'entend pas délier trop vite les cordons de la bourse, M. Darmanin affirmant qu'« il n'y a pas de cagnotte ». D'où la prudence de l'Élysée, qui assure que le discours de Montpellier ne sera « pas un tournant social, mais un approfondissement ». M. Macron ne devrait aussi qu'esquisser la transformation du système de santé lancée en février, sans préciser le plan hôpital annoncé pour juillet.

Lire aussi. Montpellier : Macron au chevet de sa politique sociale

Le « reste à charge zéro », l'atout phare du président

Le vieillissement et la dépendance, qui doit également faire l'objet d'une réforme, seront aussi abordés, en particulier par le prisme de la solidarité familiale et du statut des aidants. Le chef de l'État ne vient toutefois pas au congrès de la Mutualité les mains vides. Il pourra en effet y annoncer la concrétisation du « reste à charge zéro », une promesse de campagne. Cette réforme permettra aux 95 % de Français couverts par une complémentaire santé d'accéder à des prothèses dentaires ou auditives et à des lunettes intégralement remboursées à partir de 2020.

Après l'accord trouvé fin mai entre les dentistes et l'Assurance maladie, Mme Buzyn signera à Montpellier les textes concernant les secteurs de l'optique et de l'audioprothèse. Les frais avancés par les assurés seront à terme allégés de plusieurs centaines de millions d'euros, grâce à des baisses de prix qui pèseront sur les professionnels de santé et à des remboursements plus importants de la Sécu et des complémentaires, priées de ne pas faire flamber leurs cotisations.

Lire aussi. Social : trois éminences grises de Macron tirent la sonnette d'alarme

lundi 11 juin 2018

« Emmanuel Macron n'a pas été élu pour appliquer le programme de Juppé ! » - Le Point

« Emmanuel Macron n'a pas été élu pour appliquer le programme de Juppé ! » - Le Point

« Emmanuel Macron n'a pas été élu pour appliquer le programme de Juppé ! »

ENTRETIEN. Pour l'économiste Philippe Aghion, le chef de l'État doit absolument appliquer la dimension sociale et émancipatrice de son programme.

Le président de la République Emmanuel Macron s'est vu mettre en garde sur sa politique économique par trois de ses proches.

Le président de la République Emmanuel Macron s'est vu mettre en garde sur sa politique économique par trois de ses proches.

© Christophe Morin / MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP

Professeur au Collège de France, Philippe Aghion a participé à l'élaboration du programme économique d'Emmanuel Macron et fait partie du Comité action publique 2022, une commission d'experts chargés d'un rapport à venir sur la réforme de l'État. Il s'inquiète d'une politique qui risque de pencher trop à droite. Dans une note adressée au chef de l'État, rédigée avec deux autres économistes qui ont supervisé son programme, et publiée par Le Monde, il déplore « un pouvoir indifférent à la question sociale ». Explications.

Le Point : Vous êtes inquiet de la politique économique menée par Emma...

dimanche 10 juin 2018

ALÈS Annie Chapelier : "M. Macron est un homme hors du commun" - Objectif Gard

ALÈS Annie Chapelier : "M. Macron est un homme hors du commun" - Objectif Gard
Note du reboussier :
Comment « un homme hors du commun » peut comprendre ce que nous désirons 
Nous simple mortel


ALÈS Annie Chapelier : « M. Macron est un homme hors du commun »

Annie Chapelier, député LREM de la quatrième circonscription du Gard. Photo Élodie Boschet/Objectif Gard

Cette semaine, la députée de la quatrième circonscription, Annie Chapelier, a accompagné le couple Macron au Canada. Elle revient sur cette expérience unique.

Objectif Gard : Il y a, en général, très peu de députés qui accompagnent le président de la République. Pourquoi avez-vous eu cet honneur ?

Annie Chapelier : J'ai eu ce privilège en tant que présidente de l'association interparlementaire France - Canada. C'est un moment unique dans une vie de pouvoir participer à un voyage officiel avec le président.

Qu'avez-vous fait sur place ?

On a vécu deux journées intenses, deux journées qui précédaient un G7 inédit en raison de la situation tendue avec M. Trump qui bafoue toutes les règles de droit commercial. Le premier jour (mercredi, NDLR), nous avons visité trois universités ainsi qu'un centre de recherches. Notre voyage était axé sur l'intelligence artificielle. Le deuxième jour, après un échange avec les parlementaires canadiens, il y a eu une table-ronde sur le sujet de l'intelligence artificielle. Nous avons notamment évoqué l'absence d'éthique qui ouvre beaucoup d'inquiétudes.

On imagine que ce n'était pas forcément l'endroit idéal, mais avez-vous réussi à parler d'Alès ?

Et oui ! Lors d'une discussion, M. Macron a indiqué qu'il souhaiterait que les membres du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, NDLR) se réunissent en France. J'ai dit que les Cévennes étaient un lieu tout indiqué. Le président a souri et m'a dit qu'il gardait l'idée de côté.

Que retenez-vous de ce déplacement ?

Incontestablement ce contact prolongé avec M. Macron. C'est un homme hors du commun. Il m'impressionne par sa capacité à analyser, il est phénoménal. Et puis, c'est tout de même très impressionnant de se retrouver au cœur de tout ce qui ce décide au niveau international.

Tony Duret


Les Français aiment la liberté… mais ils préfèrent l’État | Contrepoints

https://www.contrepoints.org/2018/06/10/317855-de-leur-voiture-a-leur-cercueil-nos-elus-vous-saluent-bien

samedi 9 juin 2018

Le groupe Carrefour a bénéficié d'un "coup de pouce" de l'Etat à 149 millions en 2017

Le groupe Carrefour a bénéficié d'un "coup de pouce" de l'Etat à 149 millions en 2017

Le groupe Carrefour a bénéficié d'un "coup de pouce" de l'Etat à 149 millions en 2017

Le groupe Carrefour a bénéficié d'un "coup de pouce" de l'Etat à 149 millions en 2017
Le géant français de la distribution est en pleine restructuration.

PHOTO VINCENT PEREIRA

C'est le genre de données sur lesquelles Bercy ne communique pas, retranché derrière le secret fiscal. Carrefour France a touché 149 M€ au titre du CICE (Crédit impôt pour la compétitivité et l'emploi) en 2017, soit 15 M€ de plus qu'en 2016, révèle un document confidentiel du géant de la distribution consulté par Midi Libre.

L'Etat en quête d'économie sur les aides aux entreprises

Explication : le taux du Cice est passé entre-temps de 6 à 7 %. Carrefour France a, de plus, assumé un niveau d'embauches, de formation et d'investissement conséquent, malgré un résultat opérationnel en baisse de 33 % en 2017 (à 692 M€). Une somme qui va au-delà des estimations de certains syndicats.

Mais cette manne risque de faire débat, au moment où le géant de la distribution s'apprête à supprimer plus de 2 000 postes en France et à fermer 243 magasins de proximité, dans le cadre du plan Bompard.

Contacté, Carrefour ne fait pas de commentaire

Contactée vendredi 8 juin par Midi Libre, la direction de Carrefour n'a pas souhaité faire de commentaire à ce sujet.

Selon le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, actuellement en quête d'économies sur les 140 M€ d'aides annuelles aux entreprises, près de la moitié correspond à des coups de pouce fiscaux liés, précisément au CICE et aux taux réduits de l'impôt sur les sociétés (IS). Sur les 70 Md€ restants, une dizaine correspondent à des taux de TVA réduits.


ALÈS Trois astuces pour se passer d'un sous-préfet tout en gardant le sourire - Objectif Gard

ALÈS Trois astuces pour se passer d'un sous-préfet tout en gardant le sourire - Objectif Gard

ALÈS Trois astuces pour se passer d'un sous-préfet tout en gardant le sourire

Sous-préfecture d'Alès. EL/OG

"On vous regrettera". Ces mots du maire d'Alès, Max Roustan, à propos du dernier sous-préfet en disent long sur l'absence et la sensation de manque provoquées par le départ du représentant de l'État. Toujours soucieux du bien-être de ses lecteurs, Objectif Gard vous propose trois astuces pour essayer de survivre en attendant le prochain...

"Un seul sous-préfet vous manque et tout est dépeuplé". Cette citation bien connue qui emprunte à Lamartine résume parfaitement le sentiment de trouble ressenti par les alésiens depuis plus de deux mois. En l'absence de sous-préfet, on le voit, rien ne va plus à Alès... On ne va pas se mentir, la feria n'avait pas le même goût que les années précédentes, on ne s'attarde même plus aux cérémonies officielles et le climat, lui, devient complètement fou... Seulement, la vie continue. Allez amis Alésiens, relevez la tête, soyez forts et, en attendant des jours meilleurs, appliquez nos trois conseils.

1) Faites comme s'il était toujours là !

C'est certainement la technique la plus efficace. Pour mieux supporter l'absence, il faut faire comme si de rien n'était. Concrètement, visualisez votre sous-préfet préféré (Olivier Delcayrou, François Ambroggiani, Christophe Marx...) et agissez comme au bon vieux temps. Écrivez-lui...comme avant ! Et ne vous inquiétez pas, votre courrier restera sans réponse...comme avant.

2) Faites comme avant : faites sans lui !

Ne changez pas vos habitudes. Après tout, ça fait des années que vous vous débrouillez très bien sans sous-préfet, donc continuez ! Quant à ceux qui viennent d'apprendre à l'instant, en lisant cet article, qu'il existe une sous-préfecture à Alès, passez votre chemin.

3) Fuyez !

Si la vie sans sous-préfet est devenue insupportable, si vous n'en dormez plus la nuit, si vous ne pouvez plus retenir vos larmes aux abords de la sous-préfecture, c'est que votre cas est extrêmement préoccupant. N'attendez plus une seconde, faites vos valises dès ce soir et quittez la ville en attendant le prochain !

Tony Duret