mercredi 31 août 2011

Mais pourquoi tant de hate "Hugh" t'as les indiens aux trousses


20110831 prefet anduze par zimprod

C'est l'histoire d'un bûcheron qui coupe du bois pour l'hiver. Un Indien passe par là et le bûcheron lui demande : - L'hiver sera-t-il froid, grand chef indien? - Oui, HUGH! Hiver très froid. Alors le bûcheron se remet à couper du bois de plus belle. Le lendemain, l'Indien repasse par là et le bûcheron lui demande si l'hiver sera vraiment aussi froid qu'on le dit. L'indien répond: - Oui, HUGH! Hiver très rigoureux... Alors le bûcheron reprend sa scie et coupe une montagne de bois. Le jour suivant, l'Indien repasse en disant : - Hiver très, très rigoureux. Le bûcheron intrigué, lui demande: - Mais enfin, dis-moi comment tu devines que l'hiver sera très froid ? Il lui répond: - Chez nous, on a un dicton : Quand l'homme blanc coupe du bois, c'est que l'hiver va être froid!




No comment !

dimanche 28 août 2011

Attention encore du "hameçonage" PAR MAIL avec PAYPAL

Indigo Trio et Michel Edelin au festival Jazz à Junas



Description


Figure emblématique du free jazz chigaolais, le batteur Hamid Drake (qui a joué avec William Parker ou Pharaoh Sanders) s’est entouré d’autres personnalités fortes au sein de l’Indigo Trio : la flutiste Nicole Mitchell, qui par ailleurs dirige l’Association for Advancement of Creative Music (AACM) et le bassiste Harrison Bankhead, que l’on a pu entendre notamment dans le projet avant-gardiste hommage à Albert Ayler Witches & Devils.
Rejoint pour l’occasion par un autre flutiste, Michel Edelin, l’Indigo Trio livre un free jazz expérimental mais souple, tout en dialogue entre la section rythmique et les flutes vagabondes.
Niché dans l'incroyable ancienne carrière de pierres de Junas, entre le Gard et l'Hérault, la 17e édition du festival met à l'honneur la musique de Chicago.

• Artistes : Indigo Trio : Nicole Mitchell (flute, piccolo), Harrison Bankhead (basse), Hamid Drake (batteries et percussions). Invité : Michel EDelin (flutes) • Réalisateur : Frank Cassenti • Cadreurs : Jérémie Clement, Manuel Deiller, Benoït Dugovic, Edmond Zimmermann, Patrick Errera • Son : Pierrick Saillant • Production : Mezzo / Oléo Films 2011 / ARTE France

samedi 27 août 2011

Eddy Clearwater au festival Jazz à Junas




Description

Surnommé « The Chief », Eddy Clearwater est, à plus de 75 ans, l’un des derniers représentant du Chicago Blues des années 1960. Cette forme rugueuse, grasse et électrifié du genre qui peut-être comprise comme le plus direct ascendant du rock’n’roll.

Eddy Clearwater est gaucher, mais joue, comme le fera Jimi Hendrix, sur des guitares de droitiers montées à l’envers. Difficile d’ailleurs de ne pas entendre son influence dans le jeu du Voodoo Chile…

Niché dans l'incroyable ancienne carrière de pierres de Junas, entre le Gard et l'Hérault, la 17e édition du festival met à l'honneur la musique de Chicago.

• Artistes : Eddy Clearwater (guitare, chant), Tom Crivellone (guitare, chant), Shoji Naito (basse harmonica), Steve Bass (batterie) • Réalisateur : Giuseppe De Vecchi • Cadreurs : Jérémie Clement, Manuel Deiller, Benoït Dugovic, Edmond Zimmermann, Patrick Errera • Son : Pierrick Saillant • Production : Mezzo / Oléo Films 2011 / ARTE France

Anonyme a dit...sur "courrier resté sans réponse"

Cet article est paru sur le site de la librairie d'Anduze "la porte des mots" de juillet 2011 :

"La salle des casernes ? La salle des quoi ??
Car il n'y a plus aucun signe qui puisse faire souvenir du sens de ces grands bâtiments qui entourent le Temple sur le plan de Brie. Qui puisse rémémorer la lourde et terrifiante présence des occupants de ces casernes, les dragons des rois de France, les oppresseurs des habitants de tous les villages de la région.
"On" leur préfère maintenant un nommé Escartefigue.
A y être, comment pourrait-on renommer le plan de Brie et la rue du Luxembourg, dont les noms proviennent des régiments autrefois cantonnés là ?Au début du 17ème siècle, au moment des guerres dites de Rohan dans le Languedoc, les gros canons étaient rares, et très difficiles à manipuler. Il fallait des centaines d'hommes et de chevaux pour les déplacer avec leurs munitions.
Anduze s'était procuré, à grands frais, l'un de ces canons. Il était décoré, comme presque tous ceux de son espèce, par la silhouette d'un animal mythique, en l'occurence un pélican.
C'était le canon Pelican. Il donna son nom à un quartier de la ville, à force d'usage cela devint Pelico. Une place, une rue, une grande salle polyvalente.
Jusqu'à ce qu'une pagnolade locale lui retire sa salle.Dès l'abrogation de l'Edit de Nantes par Louis XIV en 1685 le nombre des dragons occupant les Cévennes ne fit que croître. Chaque ville ou village avait les siens, gens de sac et de corde, se livrant à peu près impunément à toutes sortes d'exactions.
Evidemment la révolte des Camisards ne fit qu'empirer l'étendue de la répression.
Anduze reçut entre autres deux régiments fameux, portant chacun le nom de sa province d'origine, la Brie et le Luxembourg. Noms conservés jusqu'à nos jours par des voies de la ville : plan de Brie, rue du Luxembourg.
Ces régiments avaient besoin de casernes, on leur en construisit, aux frais des habitants bien entendu.."

Merci à Mr de Fréminville de nous rappeler "notre histoire", l'histoire d'Anduze, que beaucoup semblent ignorer.
Déçu et révolté, je voulais que les réboussiers sachent qu'escartefigue, ugolin et les autres n'ont rien à faire dans notre patrimoine culturel.
BMC

Sous les forages de gaz de schiste, la remise en cause de la société

http://www.20minutes.fr/article/776134/sous-forages-gaz-schiste-remise-cause-societe

Merci , mais il fallait pas, c'est trop.

Surprise ! les multimilliardaires  se pressent tous pour  réclamer ouvertement le droit de pouvoir enfin participer financièrement au budget de notre grand pays !

Comprenez les jusque là ils se sentaient frustrés , à quoi servaient ils , être en dehors de toute vie citoyenne , le suicide les guettait
Pire certains ont reçu de l'argent de l'état , c'était pas prévu ! La honte pour eux

Depuis quelque temps tout rentre dans l'ordre, Sarko dans son immense mansuétude leur accorde une petite taxe quelques pourcent mais c'est déjà ça
Certains se sont exprimés sur nos chaînes préférées , et ont déclaré que donner 10 000 à 20 000 € de plus par an serait tout à fait concevable
Je m'étonne d'apprendre que donner de l'argent semble si difficile , et oui chacun son monde

Mais voila je pense que toute cette générosité cache autre chose , en premier lieu la peur  de perdre leurs acquis en pourrait être le moteur
"Secondement" comme dirait l'autre j'opterais volontiers pour un nouvel investissemnet de leur part
Allez si tu m' en mets pour 2 ou 3% de plus , pas trop longtemps qu' est ce que tu me donnes en échange ?
Si j't don' 10 000 je veux un retour d' au moins 100 000  ,en avantages divers, honnête non ?
Et là toute la logique de la chose apparaît à vos yeux écarquillés et néanmoins ébahis

le reboussierjaloux

quelques idées de récup marrantes, les délices de la justice amércaine ("je pense qu'ils vont penser qu'ils ne peuvent pas"),

http://cueillettes.blogspot.com/
http://ledroitdetravers.blogspot.com/
ou http://bitissime.blogspot.com/
et http://www.lepost.fr/perso/lydiana/

("L'homme est quasiment le seul animal qui viole" -encore que j'ai des doutes sur le scorpion, suspect présumés innocent-) etc... La Somalie etc.. -fil où on apprend bcp, du moins moi- ; les victimes du médiator ; et les indignés. A part ça Khadafi (désolée je ne sais jamais où mettre la euh non, le "hache") est out.
Bonne journée à tous. HL

vendredi 26 août 2011

GAZ DE SCHISTE.... toujours d'actualité

QUI A PEUR DE LA VERITE ?
(Gazage des manifestants, Anduze train à vapeur des cévennes)

MANIFESTATION DU 21 JANVIER

LE DÉFENSEUR DES DROITS IMPLICITEMENT EMPÊCHÉ
DE FAIRE USAGE DE SES POUVOIRS D’INVESTIGATION

QUI A PEUR DE LA VERITE ?


La Commission nationale de déontologie de la sécurité a été saisie, le 12 février par Danielle Bousquet, députée des Côtes-d’Armor au sujet de violences commises par un officier de gendarmerie lors de la manifestation qui s’est déroulée le 21 janvier 2011 en gare Anduze.

Cette saisine a entraîné l’audition de gendarmes et de plusieurs témoins.

Le 1er mai 2011, le Défenseur des droits a succédé au Médiateur de la République, au Défenseur des enfants, à la HALDE et à la CNDS.

Interrogé récemment sur l’état d’avancement de la procédure, le responsable de Mission Déontologie de la Sécurité auprès du Défenseur des droits précise que « les pièces de la procédure judiciaire en cours n’ont pas été communiquées au Défenseur des droits, ce qui l’empêche implicitement de faire usage de ses pouvoirs d’investigation. »

Courrier resté sans réponse...

Jean-Paul MAZEN                                                                  Anduze le 8 aôut 2011

Conseiller Municipal
à
Monsieur le Maire d’Anduze


Monsieur le maire,

Ne recevant plus les comptes-rendus de bureau je me suis rapproché de la 4ème adjointe Nadège MARINO.
Celle-ci m’a indiqué que vous aviez souhaité supprimer de la liste de diffusion « les conseillers d’opposition ».
Je tiens en premier lieu à m’élever de la façon la plus formelle contre cette décision.
Sur quel texte vous appuyez vous pour imposer cette discrimination ? Depuis quand supprime-t-on le droit d’un minimum d’information à ceux qui ne partagent pas vos analyses.

En second lieu je tiens à contester le terme de « conseiller d’opposition ». Au cours de cette première partie de mandat, j’ai certainement voté plus d’actes que vous et vos adjoints avez proposé que je n’ai voté contre.

En revanche, je revendique clairement une opposition à l’intégration à l’agglomération du Grand Alès (CAGAC) et tout autant à l’intégration d’Anduze au nouveau schéma proposé par Monsieur le Préfet.
Anduze, noyé dans ce conglomérat n’aura strictement aucun poids.
Je m’étonne d’ailleurs que vous n’ayez pas demandé l’avis du conseil municipal pour cette nouvelle proposition d’évolution de l’intercommunalité.

Vous avez cédé notre village au potentat local en échange d’un plat de lentilles, plat qui, soyez en assuré, sera riche en cailloux de toute sortes pour les Anduziens.

Je m’étonne aussi de votre déclaration aux autres élus de notre communauté « on n’en serait pas là si vous n’aviez pas déconné… !!! ». Ce qui en dit long sur votre analyse et vos motivations !

Enfin : de quoi avez-vous peur en ne diffusant pas vos décisions de bureaux aux conseillers opposés à la fusion?

J’ose vous rappeler que cette décision est très loin de ce que NOUS avions défini dès le début de campagne « transparence » « faire ce qu’on dit et dire ce que l’on fait » etc. je vous rappelle aussi qu’autocratie et opacité étaient les reproches majeurs que vous faisiez personnellement à l’équipe précédente…je vous l’accorde seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Même si par ailleurs, bien souvent, je dois constater en toute lucidité qu’il est impossible de faire bouger vous-même et vos adjoint d’un iota… !!!

Symboliquement, les conseillers (pas seulement ceux de notre petit groupe…) auraient pu par exemple protester contre ce ridicule (et coûteux) changement de nom de la salle Pellico (certes nom d’un canon mais d’un canon de DEFENSE historique de la ville d’Anduze…n’en déplaise à votre 1er adjoint !).
Je n’ignore pas que Marcel Pagnol est un écrivain Méridional très connu même si je note qu’il a fait un très beau début de carrière sous l’occupation Allemande pendant que d’autres connaissaient « nuits et brouillards » ou maquis…Que vient-il faire cet auteur à Anduze ?
Les Anduziens , à l’occasion de votre prochaine lettre seraient ravis de savoir
Pourquoi dans ces conditions ne pas rebaptiser le collège « Florian » du nom de René GOSCINNY ou d’Iznogood son héro nabot et colérique qui veut « être calife à la place du calife » ?
Je force à dessein le trait mais cela permet d’accentuer le ridicule de ces décisions irréfléchies.

Je note, avec plaisir, l’émergence des signes prometteurs d’émancipation de conseiller(e)s : lors du dernier conseil auquel j’ai assisté ( je dois reconnaître que compte tenu du mépris affiché je suis très absentéiste…) j’ai entendu une première prise de parole publique : « qu’est ce qui fait chaud dans cette salle… ».

C’est un début qui, si vous n’y prenez garde, risque d’être un ferment de rébellion pour cette fin de mandat…

Monsieur le maire, je vous demande donc, de façon très formelle, conformément à NOS engagements de campagne, de bien vouloir demander à vos services de communiquer à tous les conseillers, sans exception, les comptes-rendus de bureaux.


Acceptez monsieur le maire mes salutations.
Jean-Paul MAZEN