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Reçu dans ma boîte aux lettres ce samedi, la lettre du Maire,
qui parle.... du Maire !
Est-ce que le Maire d'Anduze ne devrait pas avoir d'autres sujets de préoccupations que...
lui-même.
Cela fait des mois qu'il nous raconte la même chose :
ce n'est pas normal qu'il ne se soit pas faire élire à la vice-présidence de la communauté de communes.
Si on ne vote pas pour lui, ce n'est pas démocratique.
Lire de telles inepties, venant de là part du plus haut magistrat de la ville est plutôt inquiétant.
Il nous dit que deux élues n'ont pas voté la motion de soutien au Maire,mais il n'en nomme qu'une !Il nous rabâche que F. Caussinus ne représente qu'elle-même.
Elle a été élue avec plusieurs centaines de voix, et je doute que ce soit elle toute seule qui a mis tous ces bulletins dans l'urne.
Il nous écrit qu'il a mis en place une commission pour étudier le rattachement aux communautés de Lédignan, ou Cévennes Garrigue, alors qu'il à déclaré bien avant à France Bleu (infos de 18h) qu'il ne voyait pas l'intérêt de rejoindre ces communautés qui n'ont rien à voir avec Anduze,
lorsqu'il a été interrogé sur sa volonté de rejoindre le Grand Alès.
Il nous informe que le rapport de cette fameuse commission sera communiqué lors d'une réunion publique.
Il s'agira donc d'une information et non d'un débat !
Le meilleur pour la fin :
la commission a informé les élus de la majorité du conseil municipal.
C'est nouveau.
Aucun membre d'une liste d'opposition ayant été élu, de quoi se compose la majorité, et pourquoi n'informe-t-on pas les autres ?
Quelle différence y a-t-il pour les élus communautaires d'Anduze qui occupent tous les mêmes postes avant et après le changement de vice-président ?
Je rappelle que les élus l'ont été pour défendre la ville d'Anduze et non pour se mettre au service d'une personne blessée dans son orgueil.
Et pour respecter leurs engagements vis-à-vis des électeurs, notamment celui de ne pas partir de la communauté d'Anduze pour aller au Grand Alès (meeting de mars 2008 salle Pélico, où il était même question d'aller jusqu'au conseil d'état pour défendre cette position, ce qui fut applaudi par une salle comble).
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