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lundi 22 novembre 2010

Saint sébastien d'Aigrefeuille dimanche 28 nov 15h au foyer communal




Un spectacle à ne pas manquer.

Organisé dans le cadre de "Contes en balades"

par la bibliothèque de Saint Sébastien d'Aigrefeuille en collaboration avec la Direction du Livre et de la Lecture du Conseil Général du Gard.

" Contes de la peur" sorciers, vampires et revenants de et par Sylvie DELOM


jeudi 21 octobre 2010

Merci M.ROUSTAN et bravo le grand Ales et bravo Boni aussi apres tout !

Compte rendu du conseil municipal d'Anduze du 26 juin 2010

https://docs.google.com/fileview?id=0B-IzQnOA2SYDNDRjZmNjZDktNWM3NS00M2Q2LTlmZjMtNDk4NjQ3NjBkNmEx&hl=fr

EXTRAIT:

14. SYNDICAT MIXTE DES TRANSPORTS DU BASSIN ALESIEN – EXTENSION DU PERIMETRE DE TRANSPORT URBAIN DU GRAND ALES


Le Maire rappelle que la commune est intégrée dans le Syndicat Mixte des Transports du
Bassin Alésien créé en juin 2006 et associant la communauté d’Agglomération du Grand Alès
(16 communes) et le Conseil Général (45 communes).
Le Syndicat Mixte a lancé une réflexion afin d’optimiser le produit du versement transport qui
vient compléter les contributions des deux membres du syndicat.


Ce versement transport est appliqué dans les périmètres de Transport Urbain et assujettit les entreprises et les collectivités publiques employant plus de 9 salariés. Il est actuellement perçu dans les 16 communes du Grand Alès et est étendu début 2010 à 29 communes supplémentaires
appartenant à l’espace urbain.
Le principe est de généraliser le prélèvement du versement transport des communes dans le
périmètre de transport urbain d’Alès.
Le Maire précise que cela représente la somme de 3 500 €.
Jean-Paul Mazen demande à quel titre la commune doit payer.


Le Maire répond que c’est au titre de la loi des transports appliquée dans les périmètres de
transport urbain qui assujettit les entreprises et les collectivités publiques employant plus de
9 salariés.


Adopté à l’unanimité.

.

Et là on se pose quelques questions:
Ce CR est léger le coût est mal défini 3500€ par mois , par an , pendant combien de temps ?
La réponse du maire est flou , pourquoi voter si la loi l' impose ?
Quel service a t-on en retour , à quoi s'engage t-on ? Bizarre, bizarre oui je l'ai dit

Et j'ai quelques informations :
Depuis quelques jours toutes les entreprises , les associations etc qui ont plus de 9 salariés et qui ont leur siège sur la commune d' Anduze (qui a été signataire) ont reçu de la part de ce syndicat SMTBA une mise en demeure pour régler une redevance, sans autre forme de procès comme le susurre élégamment Jean ..... de la Fontaine bien sur !

Oh boni , oh désespoir, oh roustesse ennemie, n'ai-je donc tant vécu que pour cette ....

Et après cette info. je me pose d' autres questions
Cette délibération proposée à d'autres communes , adoptée à l'unanimité par Anduze a été rejetée aux moins , à ma connaissance par 3 communes
Tornac (ah vous voyez d'habitude vous êtes mauvaise langue)
Masillargues-Atuech
Saint Sébastien d'Aigrefeuille
J'en ai sûrement oublié, ma question j'en viens
Ces communes , qui ont donc rejeté ce syndicat, au terme de la loi , devraient elles aussi payer cette participation ?
Lorsque Boni a défendu ce projet savait- il qu'il impliquerait aussi les entreprises et assos du privé ?

Cette affaire n'est qu'à son début le flou est roi c'est le flou du roi et la brume fait rage.

Pas de conclusion hâtive , mais si tout cela se confirme ,voyez vous amies et amis on pourra tous dire qu'il fait bon vivre hors du grand Ales
Qui aurait pu nous coûter la peau des couilles (excusez moi ça m'a échappé, mais c'est tellement parlant !)

Le reboussieràl'affut

Merci HS pour tes infos

dimanche 16 août 2009

Pour em....der les cranes vides ,rappel

LE VOTE à Saint Sébastien d'Aigrefeuille

Réponse à la question 1:
Etes vous POUR la fusion de la 2C2A avec la CAGAC (grand Ales)
OUI:........1
BLANC:..1
NON:.......9
Réponse à la question 2:
Dans le cas de la fusion approuvez vous les statuts de cette nouvelle communauté
REFUS DE VOTE:.....1
NON:..........................10

samedi 15 août 2009

POUR CEUX QUI N'ONT PAS COMPRIS

Je suis en train de boire mon café sur la terrasse.
Les Cévennes majestueuses s'offrent à mon regard.
Je profite un peu de cette fraicheur matinale qui ne durera pas.
Les moutons du "Marcellou" animent ce tableau.
Au loin, tout au loin j'aperçois les rochers d'Anduze, la porte des Cévennes et, bon sang, tout cela renforce ma détermination à me battre pour ce territoire, pour que mes petits enfants puissent goûter encore longtemps, quand je reposerai sur la faïsse au dessus, au plaisir de déjeuner sur cette terrasse.

.Alain BEAUD

.
L'encyclopédie de l'Agora extrait
.
"L'espace rural se caractérise par une densité de population relativement faible, par un paysage à couverture végétale prépondérante (champs, prairies, forêts, autres espaces naturels), par une activité agricole relativement importante, du moins par les surfaces qu'elle occupe."
***
"La méthode la plus courante consiste à fixer une taille limite entre ville et campagne, limite qui varie cependant sensiblement d'un Etat à l'autre.
Le seuil des 2 000 habitants par unité administrative de base (la commune pour la France, par exemple), le plus utilisé, a été choisi dans des pays aussi différents que la France, l'Allemagne, le Luxembourg, les Pays-Bas, Israël, l'Ethiopie, le Liberia, le Honduras, la Bolivie, Cuba ; la limite très voisine de 2 500 habitants, elle aussi fréquente, est utilisée aux Etats-Unis, au Mexique, au Venezuela, à Porto-Rico, à Bahrein. Le seuil des 5 000 habitants est retenu dans plusieurs pays d'Afrique (Cameroun, Soudan, Tchad) ainsi qu'en Inde, en Iran, en Autriche, en Tchécoslovaquie. La limite peut cependant monter jusqu'à 10 000 habitants (Sénégal, Jordanie, Portugal) et même à 50 000 au Japon, pour tomber à 1 000 habitants au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Irlande, à 500 en Papouasie-Nouvelle-Guinée, à 400 en Albanie et à 200 dans les pays scandinaves.
Certaines définitions étrangères intègrent d'autres critères, en plus de la taille :
nature des activités (pourcentage d'actifs agricoles relativement élevé par exemple), densité maximum de population (390 habitants/km² en Inde), manque de certains équipements (au Cameroun, en Inde).
Enfin, les critères sont parfois purement administratifs :
les chefs-lieux d'un certain niveau peuvent être considérés comme des villes, quelle que soit leur population, ou bien l'administration dresse elle-même la liste des villes (plusieurs pays africains, ainsi que la Hongrie).
La notion d'espace rural est donc floue et varie d'un pays à l'autre."
***
"Trois types d'usage de l'espace rural
Philippe Perrier-Cornet (*) distingue trois types d'usages de l'espace rural (avec comme définition l'espace à dominante rurale selon sa définition de 1999) :
la « campagne cadre de vie », la « campagne ressource » et la « campagne nature ». La première est une campagne résidentielle, celle que choisissent les citadins qui viennent s'installer dans les espaces périurbains, impliquant un étalement de la population autour des villes et donc une logique volontariste de transfert d'équipements vers ces nouvelles populations.
Cependant, cette organisation des campagnes autour des villes peut nuire au développement des premières, dans un contexte où les secondes ont leur organisation propre.
La "campagne ressource" est une campagne productive à la fois de produits agricoles et de biens industriels (...).
Enfin la « campagne nature » inclut les espaces naturels plus ou moins protégés, comme les parcs nationaux et régionaux, les réserves diverses (...)(...)Trois types de dynamiquesLes espaces ruraux peuvent également être classés selon leur dynamisme (...).
Les espaces périurbains, très dépendants des villes pour les emplois comme pour les commerces et les services, connaissent une croissance démographique encore rapide malgré un ralentissement récent et un rajeunissement de leur population.
Au contraire, les espaces ruraux dits « profonds » (ou « fragiles »), éloignés des villes, gardent un accès difficile aux services publics, une couverture en téléphonie mobile insuffisante, des temps d'accès aux réseaux de transport rapides encore longs, comme dans une partie du Massif central, du Sud-ouest et des Alpes du Sud ; ils voient leur population vieillir et connaissent un certain déclin démographique, malgré un accueil important de retraités.
Enfin des espaces ruraux dits « vivants », plus ou moins éloignés des villes, gardent un certain équilibre démographique grâce au tourisme ou à des industries traditionnelles adaptables ou à des industries agro-alimentaires récentes soutenues par une agriculture dynamique."(*) Directeur de recherches à l'Institut national de la recherche agronomique, Dijon. Sénat français - Délégation à l'aménagement et au développement durable du territoire, L'état du territoire. Rapport d'information no 241. Session ordinaire de 2002-2003. Annexe au procès-verbal de la séance du 3 avril 2003. Rapporteur: Jean-François Poncet (site du Sénat français) - rediffusion autorisée par le site d'origine

Enjeux
Cette description des changements survenus récemment dans l'espace rural français s'applique, mutatis mutandis, à d'autres pays:
"Des comportements des ruraux de plus en plus urbains, et un regard des citadins sur l'espace rural devenu positifL'image d'un monde rural replié sur lui-même, d'un mode de vie rural particulier et autonome n'est évidemment plus de mise. Les ruraux français se sont ouverts sur la planète entière par l'intermédiaire de la télévision (la quasi totalité des ménages en est dotée et les ruraux sont des téléspectateurs particulièrement assidus), de l'internet (même si ce média est encore moins utilisé qu'en ville), des voyages touristiques, etc.
Les agriculteurs ont été soumis aux pressions de l'Organisation Mondiale du Commerce dont les décisions ont fortement contribué à l'inflexion de la Politique agricole commune vers une baisse des prix agricoles et un soutien direct aux agriculteurs, etc.
Les entreprises industrielles rurales, agro-alimentaires ou autres, sont désormais soumises à une concurrence mondiale. Les ruraux se sont ouverts sur l'Europe.
La PAC règle plus que jamais la vie et le revenu de nos agriculteurs. L'orientation vers une agriculture plus durable a amené ces derniers à utiliser des techniques plus respectueuses de l'environnement (la consommation des engrais chimiques est en baisse). (...)Les ruraux se sont ouverts sur le territoire national : 85 % des ménages ruraux sont dotés d'une voiture et souvent de deux, le réseau routier et autoroutier s'est étendu et amélioré, les liaisons ferroviaires sont devenues plus rapides, parfois il est vrai aux dépens des dessertes locales ; les ruraux se sont mis à partir en vacances, même si c'est moins longtemps, moins souvent et moins loin que les citadins. Les ruraux se sont ouverts sur leurs voisins. Ceux de la ville qu'ils côtoient plus souvent qu'autrefois puisqu'ils vont eux-mêmes souvent travailler en ville ou y faire leurs courses, ou parce qu'ils voient s'installer dans leur propre village des citadins en mal de terrain à bâtir bon marché et de tranquillité. Les ruraux se sont ouverts également sur leurs voisins des autres villages : « l'esprit de clocher » recule avec la mobilité des individus.
Les associations pluricommunales fleurissent à la campagne et surtout l'intercommunalité progresse avec une rapidité qui déjoue les prévisions :
les "pays" connaissent un réel succès (même si celui-ci est inégal selon les régions), les communautés de communes se multiplient à un rythme rapide, au risque, il est vrai, d'une superposition des circonscriptions d'administration ou de projet, dans laquelle les élus eux-mêmes se perdent parfois ; au risque également d'une concurrence avec les conseillers généraux ou au contraire d'une mainmise de ces derniers sur ces nouvelles circonscriptions ; au risque enfin d'une concurrence avec les régions qui s'intéressent elles aussi aux espaces ruraux. Cette ouverture sur le monde, cette mobilité des hommes et des idées impliquent une mutation des comportements et des représentations à la fois chez les ruraux et chez les citadins.
Les comportements spécifiquement ruraux n'existent plus vraiment :
bien des ruraux sont plus ou moins « urbains » comme en témoignent la progression des départs en vacances et des voyages lointains, la multiplication de nouvelles associations locales (sportives, culturelles, musicales, d'animation, du troisième âge, etc.), le rapprochement du vote des ruraux (par ailleurs très différencié) de celui des citadins, sauf exceptions locales. L'image, plutôt négative, que les ruraux avaient traditionnellement d'eux-mêmes et de la campagne (retard, isolement, etc.) s'est inversée :
ils sont fiers aujourd'hui d'habiter la campagne, de bénéficier du calme, de la nature, du "bon air" et regardent avec une certaine condescendance les citadins soumis, selon eux, au bruit, à la pollution, à l'insécurité, à l'entassement ... L'image négative que les citadins avaient traditionnellement de la campagne s'est inversée également :
celle-ci est devenue symbole d'identité à défendre, de patrimoine à valoriser, de nature et de paysage à conserver, de calme et de sécurité à préserver.
Moins qu'un espace agricole, l'espace rural est désormais pour les citadins un espace de détente, une réserve de nature et, pour certains, un cadre de vie désiré. Les citadins estiment désormais avoir un droit de regard sur l'espace rural :
ils sont sensibilisés aux pollutions agricoles et à la transformation des paysages par l'urbanisation, par l'implantation d'axes de communication, par les reboisements, les remembrements, les friches, etc."Sénat français - Délégation à l'aménagement et au développement durable du territoire, L'état du territoire. Rapport d'information no 241. Session ordinaire de 2002-2003. Annexe au procès-verbal de la séance du 3 avril 2003. Rapporteur: Jean-François Poncet (site du Sénat français) - rediffusion autorisée par le site d'origine
Documentation
Launch of Business In The Community - Rural Action. Un discours du Prince de Galles, Palais St James's, 24 juillet 2001. Sur les défis des communautés rurales du Royaume-Uni
.

Saint Sébastien d'Aigrefeuille ,mais où étes-vous ?

Si vous cherchez , vous ne trouverez pas
C'est le nom d'une commune phare composée d'une myriade de petits hameaux authentiques nichés au creux des vallées , au sommet ou au flanc des collines cevenoles.
Cette population connaît bien le mot RÉSISTÉ et l'a prouvé maintes fois dans le passé
Une autre qualité hier soir nous est apparu :
la capacité de confronter des idées qui peuvent être opposées, le respect de l'adversaire, l'analyse intelligente des faits hors de toute contrainte dû à l 'émotion,aux sentiments ,aux rancoeurs ,aux non dits etc...Un vrai débat démocratique constructif

Tous cela s'est passé hier soir à la réunion du conseil municipal ,dans la salle de la Mairie hameau de Fabregue commune de Saint Sébastien d'Aigrefeuille

Vous l'avez compris çà ne pouvait être à Anduze (je ne parle pas de Lézan qui est "out")

Mais franchement je vous fais languir

Que s'est il passé d'exceptionnel à Saint Sébastien d'Aigrefeuille ?

Hier soir 14 août 2009 le conseil municipal s'est prononcé pour ou contre la fusion de la 2C2A avec la CAGAC
vous l'avez deviné cette commune appartient à la communauté des communes autour d'Anduze la 2C2A
Son maire Alain Beaud en est aussi le nouveau président

L'analyse de certains points du projet de loi Hortefeux et du projet de statut de la nouvelle communauté a permis à chacun de s'exprimer ,dans un débat d'idées passionnant , nos politiciens d'Anduze ne nous ont pas habitué à ça
Sur les 11 conseillers municipaux 2 conseillers militent pour la fusion
Un point très important à noter un des militants ,qui était un farouche défenseur de la CAGAC
il y a 2 mois ,à la vue du projet Hortefeux, des statuts ,des incohérences et mensonges profèrés par les défenseurs de la fusion , s'interroge et commence à changer d'avis (d'où le vote blanc voir ci-dessous)

Bon je ne vous fais plus attendre:

LE VOTE
Réponse à la question 1:
Etes vous POUR la fusion de la 2C2A avec la CAGAC (grand Ales)
OUI:........1
BLANC:..1
NON:.......9

Réponse à la question 2:
Dans le cas de la fusion approuvez vous les statuts de cette nouvelle communauté
REFUS DE VOTE:.....1
NON:..........................10

Je vous rappelle que le préfet a signé le 16 juillet 2009 (à la demande d'Anduze) un arrêté définissant le périmètre de la fusion
Les conseillers municipaux de toutes les communes concernées (2c2a et CAGAC) doivent voter dans un délai maxi de 3 mois ,un non vote vaut un accord au projet de fusion

Le reboussiercontentduresultatmaisquiattendlasuite
.

mercredi 24 juin 2009

COMMUNIQUE D’ALAIN BEAUD, MAIRE DE SAINT SEBASTIEN D’AIGREFEUILLE

Saint Sébastien d’Aigrefeuille le 23 juin 2009,

Dans l’édition du Midi Libre en date de ce jour, 23 juin 2009, vous dites que le Maire d’Anduze étudie actuellement les atouts et inconvénients d’une intégration de sa commune à la communauté d’agglomération du Grand Alès.
Vous précisez par ailleurs que si la commune d’Anduze décidait seule de rejoindre la CAGA elle isolerait les communes de Générargues et de Saint Sébastien d’Aigrefeuille du reste du territoire de la communauté de communes Autour d’Anduze et que dans cette hypothèse l’enclave ainsi constituée ne serait pas acceptée par le préfet qui intègrerait d’autorité les deux communes au Grand Alès.
Je tenais à vous faire part de ma surprise et de mon indignation à la lecture de cet article.
Surprise tout d’abord car la commune de Saint Sébastien d’Aigrefeuille n’a jamais sollicité son rattachement à la communauté d’agglomération du Grand Alès et n’a jamais été consultée sur ce sujet.
Surprise ensuite car ce serait l’acceptation par le préfet du rattachement d’Anduze qui créerait une enclave et viendrait mettre en péril l’existence même de la communauté de communes Autour d’Anduze.
Indignation tout d’abord car cela voudrait dire qu’une majorité de conseillers municipaux d’Anduze en sollicitant le rattachement d’Anduze à la CAGA déciderait en fait de l’avenir d’au moins trois communes dont deux qui n’ont jamais fait part de leur souhait de rejoindre le Grand Alès.
Indignation ensuite car une décision préfectorale qui intègrerait d’autorité Générargues et Saint Sébastien d’Aigrefeuille alors même qu’elles n’ont jamais été ni demandeuses ni consultées serait une marque de mépris pour les élus et les habitants de ces deux communes.
+

dimanche 26 avril 2009

Bon maintenant faut'y'aller

Oui il va falloir vous "taper" les discours ,ne vous inquiétez pas trop je les ai coupés un max
Aujourd'hui il pleut et de toute façon c'est dimanche vous n'avez rien d'autre de mieux à faire à votre âge

Pour vous mettre dans l'ambiance quelques chiffres:

-Générateur photovoltaïque
Puissance:34.6 Kw
Surface :270 m²
Énergie produite par an: 41 520 Kwh
Coût total HT : 206 000 €
Subvention: REGION/ADEME: 86 625 € DEPARTEMENT: 35 000 €
En conclusion ce générateur d'électricité est aussi générateur de bénéfice pour la commune de St Sébastien D'Aigrefeuille animée par Alain Beaud son maire

-Station de traitement des eaux usées vous savez le STEUFPR pas le STROUMFP
Capacité: 350 équivalents-habitants (dans ma commune y a pas d'habitant de cette espèce)
Coût total HT: 174 130 €
Financement: DEPARTEMENT/AGENCE DE L'EAU Rhone Méditerranée Corse 75%


samedi 25 avril 2009

Mercredi 22 avril 2009 19 h doublette

Mercredi 19 h doublette pour l'inauguration de deux réalisations à Saint Sébastien d'Aigrefeuille
Pour les éstrangès ,c'est une petite commune qui appartiendra toujours à la communauté des communes autour d'Anduze dans le Gard en France ,communauté des pays d'Europe (c'est nouveau ça vient de sortir)
Cette commune rurale Cévenole animée par Alain Beaud est à la pointe des technologies actuelles qui oeuvrent pour le respect de l'environnement et qui participe activement avec l'aide de la région et du département au développement durable.
Une première vidéo est consacrée à la station de traitement des eaux usées par filtres plantes de roseaux ouf....on l'appellera STEUFPR
La deuxième vidéo qui sera diffusée ultérieurement comprendra les discours ,c'est peut être un peu chia... mais des engagements sont pris ,vous assisterez aussi à la taille traditionnelle de ruban , qui inaugure le générateur photovoltaïque
En résumé beaucoup d'innovation dans nos Cévennes à quand l'aire de lancement de vaisseaux spatiaux en direction de mars ? ou peut être plus proche en direction du poste de conseiller général ?
Une fusée avec boosters intègres sera-t-elle nécessaire?
Le choix des technologies est à l'étude
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Le reboussiermultimedia
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Vous reconnaîtrez sur cette vidéo
Le président du conseil Général D.Alary ,le député W.Dumas, le président de notre communauté des communes B.Vierne ,le conseiller général et maire d'Anduze B.Iglesias.
Le maire organisateur de cette petite sauterie
Alain Beaud commune de Saint Sébastien D'Aigrefeuille
J'ai oublié ce que je ne connais pas veuillez m'en excuser.
.

lundi 20 avril 2009

Heureux qui comme le Maire de St Sébastien d'Aigrefeuille...











Et heureuse, doublement heureuse la population de ce beau village d'avoir en son sein une aussi excellente compagnie théatrale et un Maire (le vrai) assez sûr de lui pour entendre la foule rire de (faux) discours inauguraux, dont on croirait bien parfois reconnaitre... (les vrais) !
Et venus là en prendre de la bonne graine avec humour nos beaux hidalgos anduziens, j'ai nommé M. le Maire et M. le Président de la Communauté de Commune.
Ah c'est chouette de les voir rigoler !L'inauguration (la vraie) aura lieu le 23 (ce n'est pas faux ?), mais je ne sais pas ce qui est inauguré ni si la sous-ministre sera là.
J'espère que le Réboussier en chef pourra vous montrer (en vrai) les photos de cette cérémonie très caustique.
Salut à tous.
Nicole, la libraire d'Anduze qui fayotte un max avec les Maires et les Autorités Locales (je voulais dire "M. le Maire", mais au pluriel, j'aime moins et Mmes les Autorités locales, ça manque de représentantes
- quoique j'ai aperçu Mme la Vice-Présidente de la CC -).
Surtout qu'on ouvre la librairie le 23 avril à 10h,
il ne s'agit pas de rigoler, hein ?
Venez nous voir, on est 4 rue Neuve à Anduze.
Bon allez, je m'arrête.
.

mercredi 25 mars 2009

OGM Décidement le dernier conseil municipal de saint sébastien fut très interessant

L’actualité démontre que l’autorité publique ne doit pas attendre de disposer de la preuve certaine et absolue qu’un dommage risque d’être causé à la santé publique ou a l’environnement par une activité humaine pour en interdire ou restreindre l’exercice.

Les dernières connaissances scientifiques font l’état des risques que les organismes génétiquement modifiés font courir à la santé et à l’environnement.

Il est indéniable, que les circonstances locales exigent la nécessité de préserver l’agriculture traditionnelle et biologique sur le territoire de la commune.

Vu la Constitution et le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 selon lequel la nation garantit à tous la protection de la santé.

Vu le Traité instituant la Communauté européenne modifié et notamment son article 174 consacrant le principe de précaution.

Vu le code général des collectivités territoriales,

Aussi, il est proposé au Conseil Municipal :

a) D’INVITER l’Etat à prendre en compte l’intérêt de la santé publique et de la
protection de l’environnement quand il autorise les cultures de plein champ de plantes génétiquement modifiées,

b) DE DECLARER être opposé à toute culture de plantes génétiquement modifiées sur le territoire de la Commune.

c) D’EMETTRE le souhait que le Maire mette en œuvre ses prérogatives pour interdire de telles cultures sur le territoire de la Commune,

d) D’AUTORISER Monsieur le Maire ou son représentant à signer tout document découlant de ce dossier.

APRES en avoir délibéré,
LE CONSEIL MUNICIPAL
à l’unanimité

DECIDE :

a) D’INVITER l’Etat à prendre en compte l’intérêt de la santé publique et de la
protection de l’environnement quand il autorise les cultures de plein champ de plantes génétiquement modifiées,

b) DE DECLARER être opposé à toute culture de plantes génétiquement modifiées sur le territoire de la Commune.

c) D’EMETTRE le souhait que le Maire mette en œuvre ses prérogatives pour interdire de telles cultures sur le territoire de la Commune,

d) D’AUTORISER Monsieur le Maire ou son représentant à signer tout document découlant de ce dossier.

le 16 mars 2009
.
Envoyé par A.Beaud Maire de Saint Sébastien d'Aigrefeuille
.

lundi 23 mars 2009

PROJET DE TERRITOIRE

EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS
DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA COMMUNE
DE ST SEBASTIEN D’AIGREFEUILLE

Séance du 16 mars 2009

Considérant la nécessité de préciser la vocation de la commune, son projet de territoire et ce qu’elle peut apporter aux autres communes dans le cadre de l’intercommunalité,
Le Conseil Municipal de Saint Sébastien d’Aigrefeuille
A l’unanimité moins une abstention
déclare que

La commune de Saint Sébastien d’Aigrefeuille est une commune rurale et cévenole qui ne peut s’inscrire que dans une intercommunalité qui reconnaît ces deux spécificités.

La commune de Saint Sébastien d’Aigrefeuille est la seule commune de la communauté de commune autour d’Anduze incluse dans la zone de montagne telle que définie par la loi du 9 janvier 1985, relative au développement et à la protection de la montagne. Ce classement a des conséquences sur l’agriculture (aide financières et préservation des terres agricoles) et sur l’urbanisme (regroupement des habitations en hameaux).

La commune vient d’être, sur sa demande, intégrée à l’aire optimale du Parc National des Cévennes. Son territoire est inclus dans le périmètre d’une des dix réserves de biosphère retenue en France par l’UNESCO dans le cadre du programme mondial « Man and biosphère ».

Saint Sébastien d’Aigrefeuille souhaite, avant tout, sauvegarder son espace naturel et a conscience qu’il est de sa responsabilité de protéger et de partager cet espace qui constitue une richesse et un atout pour l’ensemble de l’intercommunalité.

Bien qu’à proximité d’Anduze et d’Alès, Saint Sébastien d’Aigrefeuille a su résister à une forte pression foncière car elle a toujours voulu préserver le caractère cévenol des hameaux qui la composent en limitant les zones constructibles. Elle entend maîtriser son développement.

La commune a reçu en 2008 le label « commune de tourisme vert » pour le nombre et la qualité des hébergements et structures d’accueil existantes.

Le tourisme est un des moteurs du développement économique de la commune. Il n’est pas le seul. La culture apparaît également comme un domaine d’activité important et créateur d’emploi à Saint Sébastien d’Aigrefeuille (Hangar des mines, studio d’enregistrement, comédiens et artistes …) tout comme l’artisanat et l’agriculture de montagne.

La mise en valeur de la forêt, qui couvre 92 % du territoire communal, par une gestion durable et un développement de la filière bois peut également à terme devenir un atout pour la collectivité tant sur le plan écologique qu’économique. La forêt de Saint Sébastien d’Aigrefeuille absorbe par sa croissance le gaz carbonique dégagé en une année par plus de 1 300 véhicules. Elle est en capacité d’alimenter en pins maritime la future plate forme de déchiquetage que devrait installer à Massillargues Attuech le Pays Cévennes et permet le maintien sur le territoire communautaire et au-delà d’un certain nombre d’emploi liés à l’exploitation forestière.

L’engagement de notre commune dans le domaine de la production d’énergie électrique renouvelable (installation d’une centrale solaire communale de 35000 Kw, projet d’une centrale photovoltaïque de 1 620 000 Kw dans les anciennes carrières) s’inscrit dans notre volonté de contribuer à la création de richesse pour notre communauté (TPU) tout en restant dans une perspective de développement durable.

Les investissements communaux réalisés en 2008 ont permis d’accueillir sur notre territoire une entreprise spécialisée dans le photovoltaïque ainsi qu’une antenne du SMAGE des Gardons. Cette seule réalisation a engendré la localisation de six emplois dans le domaine du développement durable.

Notre espace naturel, notre forêt, la qualité architecturale de nos hameaux sont des atouts, notamment dans le domaine du tourisme vert, que nous souhaitons préserver et dont nous souhaitons faire bénéficier l’intercommunalité.

Le Conseil Municipal de Saint Sébastien d’Aigrefeuille souhaite que soit reconnue sa contribution à la qualité de vie à laquelle aspirent les populations de l’intercommunalité. La richesse d’une collectivité ne se mesure pas uniquement à son apport financier.

En résumé notre commune à vocation au sein de l’intercommunalité à :
Apporter et préserver un espace naturel indispensable à notre qualité de vie
Accueillir et développer les activités et les entreprises intervenant dans le domaine du développement durable, de la sylviculture, de la culture et du tourisme vert.
Participer à l’éducation et à la sensibilisation des publics dans le domaine de l’environnement (sentiers de randonnées, parcours découverte,…)

Fait et délibéré les jour, mois et an que dessus.
Au registre sont les signatures.
Pour copie conforme, St Sébastien d’Aigrefeuille le 17/03/2009.
Le Maire,
A. BEAUD.