mercredi 5 juillet 2023

Le policier qui a tué Nahel, un ancien de la Brav-M et de la CSI 93 – Libération

https://www.liberation.fr/societe/police-justice/le-policier-qui-a-tue-nahel-un-ancien-de-la-brav-m-et-de-la-csi-93-20230705_MFBVRCNUCVCRZOLOL6QHBHRW7A/

Violences urbaines : quand Aurore Bergé instrumentalise la mort d’un sapeur-pompier de 24 ans – Libération

https://www.liberation.fr/checknews/violences-urbaines-quand-aurore-berge-instrumentalise-la-mort-dun-sapeur-pompier-de-24-ans-20230704_UONNFGL6LNHWDEN5XEFBISIWQE/





Émeutes Gard : la CAPEB Gard et l'U2P Gard aident les entreprises sinistrées

https://www.lereveildumidi.fr/économie/entreprise/émeutes-dans-le-gard-capeb-gard-et-u2p-gard-se-mobilisent-pour-les-entreprises-sinistrées

Couper les réseaux sociaux en cas de crise ? Cette proposition choc d'Emmanuel Macron


https://www.letribunaldunet.fr/politique/emeutes-france-emmanuel-macron-songe-couper-reseaux-sociaux.html

Il préfèrerait aussi nous confiner …!
On ne s'attaque jamais à la source du problème alors MCkinsey qu'en penses-tu ?



Tweeté par Marcel sur Twitter



Emeutes après la mort de Nahel : Le patron du Medef dérape sur la Seine-Saint-Denis

https://www.20minutes.fr/politique/4044158-20230704-emeutes-apres-mort-nahel-patron-medef-derape-seine-saint-denis

mardi 4 juillet 2023

VIDÉO. Après avoir sauvé une école de Villeurbanne en pleine émeute, elle témoigne

https://positivr.fr/dame-sauve-ecole-emeute-villeurbanne/

Macron: après le séisme

La lettre politique de L'Express, 3 juillet 2023
le Parti pris
Macron: après le séisme
par Eric Mandonnet
Rédacteur en chef du service politique
Au moment où Emmanuel Macron voulut refermer la parenthèse des gilets jaunes avec une allocution télévisée, le 15 avril 2019, Notre Dame brûla et le plan prévu par l'exécutif partit en fumée. Au moment où les « cent jours d'apaisement, d'unité, d'ambitions et d'actions » censés clore la séquence des retraites touchent à leur fin, le pays tout entier s'embrase et les schémas bâtis pour rebondir sont mis, sinon dans la poubelle, en tout cas dans le placard. Comme un symbole, le conseil de la planification écologique, qui devait synthétiser les avancées des semaines écoulées, est renvoyée à des jours meilleurs.
Dans la France d'aujourd'hui, le président n'est plus le maître des horloges, Emmanuel Macron doit gérer un sablier qui écoule le temps utile pour lui et un minuteur qui décompte le temps avant la prochaine explosion. Dans cette course contre la montre, ce n'est pas une colère qui chasse l'autre. La « colère, face à un travail qui, pour trop de Français, ne permet plus de bien vivre, face à des prix qui montent, du plein, des courses, de la cantine, (…) cette colère parce que certains ont le sentiment de faire leur part, mais sans être récompensés de leurs efforts, ni en aides ni en services publics efficaces », pour reprendre les mots présidentiels du 17 avril, ne disparaît pas. S'y ajoute une colère décuplée par les événements des jours derniers, de la bavure mortelle d'un policier aux pillages, et jusqu'à l'attaque à la voiture bélier du domicile de Vincent Jeanbrun, le maire de L'Haÿ-les-Roses. 
Emmanuel Macron ne veut pas légiférer dans l'émotion. Il entend d'abord connaître le profil des 3000 individus placés en garde à vue, des quelques milliers d'émeutiers – 5000 à 7000 le jour le plus menaçant, un nombre tellement petit pour une violence tellement grande -, savoir si la réponse pénale se montre à la hauteur. Il sait que ses électeurs, et le pays dans son ensemble, ont basculé vers une envie de « plus d'ordre, plus de fermeté, plus de responsabilité ». Il a bien conscience, et les députés de la majorité avec lui, qu'on n'expliquera pas aisément, notamment aux commerçants victimes d'attaques tous azimuts, que le pays a désormais besoin en priorité d'un plan banlieue. « Les bâtiments qui ont brulé en premier sont ceux-là même qui recevaient des investissements publics », relève Stéphane Séjourné, le secrétaire général de Renaissance. 2023 n'est pas 2005.
En recevant les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale ce lundi, les maires attaqués mardi – son emploi du temps s'est libéré du fait de l'annulation à laquelle il a dû se résoudre de sa visite d'Etat en Allemagne -, Emmanuel Macron joue les institutions, pendant qu'Elisabeth Borne reçoit les groupes parlementaires. Si le président recevait les chefs de partis, le temps des décisions serait venu, or ce n'est pas le cas.
Mais déjà se perçoivent les répercussions sismiques de ce choc. Un proche d'Emmanuel Macron a regardé non pas une fois, mais deux la déclaration de Marine Le Pen vendredi : ce ne fut pas suffisant pour y déceler la moindre faute. La campagne silencieuse du RN se déroule bien, merci pour elle. Cette dynamique n'incitera pas, selon les stratèges macronistes, LR à taquiner à l'automne l'idée d'une motion de censure, car une dissolution mettrait la droite en grande difficulté sur le terrain. Les fractures au sein de la Nupes risquent aussi de s'accentuer. Pour le président, le danger est connu, celui du décalage toujours plus grand entre les mots et le réel – lui qui promettait par exemple, dans sa dernière intervention solennelle : « Dès la rentrée, notre école va changer à vue d'œil. » La demande d'ordre qui s'exprime un peu partout ne sera pas satisfaite par de belles paroles.
L'incontournable

Emeutes : ce décalage qui accélère le vote RN, par Anne Rosencher

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L'indiscret
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La politique dans le rétro

3 juillet 2017 : devant le Congrès, Emmanuel Macron annonce la réforme du Parlement… qu'il ne fera pas.

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La belle idée de permaculture après les illusions et déceptions

https://www.laselectiondujour.com/belle-idee-permaculture-apres-illusions-deceptions-n1942



lundi 3 juillet 2023

Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a ainsi estimé que cette cagnotte était une "ignominie" lancée par un "pitre d'extrême droite


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Nahel tué par la police, Poutine affaibli par Wagner, le «JDD» mis en danger par Bolloré…" :

* Des appels lancés pour clôturer une cagnotte "indécente et scandaleuse"

"Depuis sa création, la cagnotte de Jean Messiha a été relayée par des comptes d'extrême droite, parmi lesquels les sites identitaires Fdesouche et Boulevard Voltaire. Dans ce contexte explosif, la polémique n'a cessé d'enfler sur Twitter, où plusieurs dizaines de milliers de personnes ont réclamé sa fermeture auprès de la plateforme américaine en utilisant le mot-dièse "#GofundmeComplice".

De nombreuses personnalités, notamment à gauche, ont, elles aussi, dénoncé cette initiative.

Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a ainsi estimé que cette cagnotte était une "ignominie" lancée par un "pitre d'extrême droite". Le député La France insoumise de Seine-Saint-Denis, Thomas Portes, a taxé la plateforme d'être "complice de rémunération d'un tueur". Olivier Faure a, lui aussi, réclamé la fermeture de la cagnotte, en s'adressant directement à la plateforme. "Vous entretenez une fracture déjà béante en participant au soutien d'un policier mis en examen pour homicide volontaire. Clôturez !", s'est ainsi indigné le premier secrétaire du PS.

Eric Bothorel, député Renaissance des Côtes-d'Armor, a accusé Jean Messiha de souffler "sur les braises" avec cette initiative "indécente et scandaleuse", qu'il voit comme un "générateur d'émeutes". De son côté, Eric Ciotti a dit sur LCI comprendre la démarche de l'ancien porte-parole d'Eric Zemmour. "Que l'on soutienne la famille d'un policier qui est aussi dans une épreuve aujourd'hui, ça ne me paraît pas choquant", a déclaré lundi matin le président des Républicains, qui assure qu'il pourrait y participer."

Sauver la jeunesse… et la police, par Serge July – Libération

https://www.liberation.fr/idees-et-debats/opinions/sauver-la-jeunesse-et-la-police-par-serge-july-20230702_7GIPPEWXXZE7FBLBWFH3OIUJVY/



Emeutes après la mort de Nahel : Mélenchon explique et assume ses positions sur les violences urbaines

https://www.20minutes.fr/societe/4043917-20230703-emeutes-apres-mort-nahel-melenchon-explique-assume-positions-violences-urbaines