dimanche 31 août 2014

Nouveau commentaire sur Communiqué / Max Roustan veut annexer des terres i....


Objet: [LE REBOUSSIER] Nouveau commentaire sur Communiqué / Max Roustan veut annexer des terres i....

Aujourd'hui, on connaît les dangers occasionnés par cette rivière, des générations d'Alésiens et de riverains en ont fait les frais et se souviennent. Aujourd'hui, pour des intérêts privés, pour la création d'une zone commerciale dont la ville d'Alès ne manque pas, certaines personnes seraient prêtes à engager la sécurité, les vie de milliers de personnes. Ce n'est pas raisonnable, ce n'est pas responsable, ce projet doit être abandonné.

Le caractère inconstructible des terrains inondables sur cette zone a à nouveau été souligné récemment par courrier par le Préfet du Gard. S'il ne s'agit pas d'une obstination du maire d 'Alès à classer ce secteur en zone constructible, pour des raisons qui lui appartiennent, j'ai un peu de mal à comprendre. Force doit rester à la loi et à l'autorité.

Compte tenu des défaillances manifestes constatées au niveau de l'information des populations, nous demandons l'organisation d'une une réunion publique dans l'intérêt général d'une meilleure information des citoyens alésiens et des riverains.

Ce même promoteur avait il y a quelques années présenté un projet identique sur la commune voisine de St Hilaire de Brethmas. Cette demande de classement de terrains en zone constructible avait été rejetée par l'enquête publique pour les mêmes raisons évoquées ci-dessus.

Ces terrains sont classés en zone naturelle et inondable classé " aléa plus " au PLU de la ville d'Alès et curieusement la mairie organise une enquête publique pour réviser le règlement seulement sur les parcelles du promoteur Foncière de France. N'y a t'il pas là des questions à se poser sur ce choix, cette insistance et cet entêtement à détourner la vocation spécifique de cette zone !!

Scandale environnemental à la Porte des Cévennes

> Tout sur la pollution minière qui empoisonne l'air, l'eau et les terres.
> Une enquête de 7 mois de RFI.
>
> http://webdoc.rfi.fr/pour-suites/enquete-pollution-cachee-cevennes/

Communiqué / Max Roustan veut annexer des terres inondables au profit de promoteurs


Max Roustan veut annexer des terres inondables
au profit de promoteurs

Une fois de plus, le maire d'Alès s'acharne à urbaniser des zones classées inondables. Il s'agit d'un terrain situé route de Nîmes, entre la 2x2 voie et le gardon, utile à l'expansion naturelle des crues du gardon et encore préservé du bétonnage.
Cette zone est ainsi classée depuis 1996. Elle est entrée dans le périmètre du Plan de Prévention de Risque d'Inondation élaboré après la catastrophe de 2002 et que M. Roustan a entravé durant 10 ans, le temps de livrer à des promoteurs des terres pourtant protégées.
Une enquête publique pour modification du Plan Local d'Urbanisme (PLU) d'Alès a été ouverte au cœur de l'été, du 21 juillet au 22 août mais une prolongation jusqu'au 5 septembre a été obtenue grâce à la mobilisation citoyenne.
Cette modification du PLU, au dire du maire, serait motivée par l'intérêt public. Mensonge ! Les faits sont là :
·        en 2000, un promoteur, remblaie illégalement le terrain en question sous l'œil bienveillant et complice du maire d'Alès
·        aujourd'hui, ce sont précisément ces terrains qui sont concernés par cette opération
·        le promoteur Dhombre y a déposé une énième fois un permis de construire des bâtiments commerciaux, permis chaque fois accordé par le maire malgré les rejets systématiques de l'Etat et des tribunaux.
Cette modification du PLU pourrait donc permettre au maire et ses amis de passer en force.
C'est clair, M. Roustan qui n'a pas hésité à bétonner dès le lendemain du drame de 2002 des zones fortement inondables, à vocation agricole et d'expansion des crues continue à privilégier aveuglément l'intérêt spéculatif plutôt que l'intérêt général et la sécurité des personnes et des biens. Par ailleurs, s'il faut une politique de dynamisation de la ville, c'est bien le centre et le nord qui doivent l'être.
La section d'Alès du Parti Communiste appelle à refuser fermement ce tour de passe-passe visant à outrepasser les garde-fous législatifs âprement gagnés après des inondations de plus en plus dévastatrices.
Nous appelons les citoyens à faire barrage à ce dangereux bradage spéculatif de terres en donnant leur avis à l'enquête publique, en se rendant à Mairie Prim, rue Michelet.
Les citoyens doivent avoir le dernier mot. Celui de la raison et de l'intérêt général.
Giovanni Di Francesco
Chargé du secteur environnement
Parti Communiste Français
Section d'Alès
contact 06 84 15 93 19

ALIEN EOLIENNE


Le solaire et l'éolien… marchent au charbon !

30 août 2014 |  Par Pierre Yves Morvan

Imaginons un monde merveilleux, avec profusion d'éoliennes, partout, et de panneaux photovoltaïques, sans aucune centrale à combustibles fossiles... Imaginons maintenant une belle nuit étoilée sans vent, de celles qui font le bonheur des amoureux et des poètes… Ce serait une belle nuit sans électricité ; l'obscure clarté qui tombe des étoiles ne produit pas d'électrons.

Cela met en évidence un gros problème de la nouvelle électricité renouvelable, celle que produisent éoliennes et panneaux photovoltaïques : elle est inconstante, instable, changeante, volage, on ne peut pas compter sur elle ; il suffit d'une saute de vent, d'un nuage qui passe... et il n'y a plus d'image à la télévision, et le TGV s'arrête en rase campagne. C'est bête à rappeler : il y a aussi des jours sans vent et des nuits sans soleil.

S'il n'y avait que les éoliennes, le TGV avancerait au rythme des tourbillons et des soupirs du vent, pouvant même rester des jours entiers en rase campagne ; pour les rendez-vous, c'est stressant. Dans ces conditions le char à voile est aussi rapide, et bien plus fun. Pour ceux qui ont le mal de mer en char à voile, il est donc nécessaire que la nouvelle électricité renouvelable soit doublée par d'autres centrales moins volages, sur lesquelles on puisse vraiment compter, tout le temps, par tous les temps.

Cette doublure, comme disent les cinéastes, est d'autant plus nécessaire qu'une éolienne, par exemple, fournit en réalité très peu d'électricité par rapport à ce que souvent on nous annonce. Lorsque les militants et la presse annoncent la construction d'un parc d'éoliennes de tant de MW, capable d'alimenter une ville de vingt mille habitants, il faut comprendre que ces éoliennes alimenteront une ville de vingt mille habitants, seulement les quelques rares heures où le vent aura la force exacte permettant la production nominale des éoliennes. Une éolienne de 2 MW est capable de fournir 2 MW... quand il y a du vent, le bon vent, pas trop faible, pas trop fort. Le reste du temps, elle produit moins de 2 MW, et même rien du tout. En réalité, ce nouveau parc d'éoliennes alimentera la ville pendant un trimestre seulement : compte tenu des fluctuations du vent, qui est brise, zéphyr, ou ouragan, tout se passe comme si une éolienne fonctionnait seulement un quart ou un cinquième du temps 1. Le reste du temps, il faut trouver d'autres énergies ; lorsque l'on construit une éolienne, il faut construire aussi, ou maintenir en service, des centrales-béquilles de puissance équivalente, pour garantir la fourniture d'électricité lorsqu'il n'y a pas, ou pas assez, de vent.

Sumotoris, acrobates et fil-de-fériste

La nouvelle électricité renouvelable a besoin de béquilles, mais pas n'importe quelles béquilles. Pour compenser des variations rapides de vent ou de soleil, il faut des béquilles souples, capables de démarrer d'un coup de rein, de passer de 10 à 100 % de puissance en quelques instants. Les centrales nucléaires, lourdaudes, qui ont besoin de temps pour changer de régime, sont peu adaptées à ce rôle de compensation et d'ajustement ; ce sont des sumotoris, puissants, mais manquant de souplesse.

Les centrales thermiques ou hydrauliques, plus souples, plus acrobates, conviennent. Une centrale thermique se cache en pointillés derrière l'éolienne...

 L'énergie éolienne n'est pas vraiment une énergie renouvelable ;
aux trois quarts, c'est une énergie fossile. 

La nouvelle électricité renouvelable, celle que fournissent l'éolien et le photovoltaïque, n'est pas autonome. Elle ne peut vivre qu'en milieu hospitalier, sous perfusion, sous assistance artificielle de la part essentiellement des énergies fossiles.
Supprimez les énergies fossiles, et il n'y a plus d'énergie éolienne ni photovoltaïque possible.

Les arbres d'acier des éoliennes cachent la forêt fossile.

C'est pourquoi, pendant que l'Espagne développait sa capacité éolienne ces dernières années, elle construisait aussi des centrales à gaz pour une capacité de 15 GW.

C'est pourquoi l'Allemagne, qui prétend sortir du nucléaire, entre autres en construisant des éoliennes, est obligée de construire aussi, ou de maintenir en service, des centrales à combustible fossile pour les jours sans vent – il y en a. La construction ou la modernisation de 29 centrales au gaz et 17 au charbon est planifiée. (Germany plans to build, revamp 84 power plants-BDEW - Reuters, 23 avril 2012 - Les centrales à charbon et au gaz en Allemagne : Chiffres clés et état des lieux - octobre 2012) Compte tenu de la durée de vie de ces centrales, leurs cheminées fumeront encore dans 40 ans. Les Grünen français se pâment d'admiration.

Plus d'éoliennes en France,
c'est plus de centrales à combustibles fossiles en service ;
c'est plus de CO2 émis. 

C'est pourquoi dans un pays comme la France, où il n'y a pas un parc suffisant de centrales à combustibles fossiles que l'on pourrait maintenir en service, la construction massive d'éoliennes nécessiterait la construction de nouvelles centrales thermiques, et entraînerait des émissions accrues de CO2. Le scénario serait le suivant, cas d'école avec des éoliennes :

- On ferme une centrale nucléaire de 1 000 MW qui n'émet pratiquement pas de CO2.
- On construit des éoliennes pour une capacité nominale de 1 000 MW.
- On construit une centrale au gaz, russe ou autre, de 1 000 MW, pour les jours sans vent, plus largement pour toutes les conditions pendant lesquelles les éoliennes n'atteignent pas leur puissance nominale.
- Compte tenu du facteur de charge des éoliennes (environ un quart), le résultat sera équivalent à des éoliennes fournissant 1 000 MW un quart du temps, et une centrale au gaz de 1 000 MW fonctionnant les trois quarts du temps, avec émission de CO2.

Tenter de remplacer une centrale nucléaire par des énergies renouvelables en France, ce n'est pas seulement se tirer une balle dans le pied, c'est carrément se tirer une balle dans le ventre. Très douloureux.

Le caractère aléatoire de l'énergie produite par éoliennes et panneaux photovoltaïques pose également des problèmes aux gestionnaires du réseau électrique. Lorsqu'ils sont entièrement maîtres des générateurs d'électricité, ils contrôlent la production et réussissent à l'adapter à la demande variable des utilisateurs.

Mais lorsque la production d'électricité est à la merci d'une saute de vent, d'un nuage qui passe ? Il faudrait au minimum des talents d'équilibriste-jongleur pour équilibrer une production aléatoire incontrôlable et une demande variable – et rien ne garantit que ce serait suffisant. Même le meilleur fil-de-fériste ne s'aventure pas lorsque le vent souffle en rafales tournoyantes. Les techniciens du réseau n'ayant même pas reçu de formation d'équilibriste-jongleur-fil-de-fériste, on ne sait pas faire fonctionner sans risque de blackout un réseau comportant plus de 20 % de sources fluctuantes aléatoires telles que les éoliennes 2.

C'est pour cette raison que le gouvernement allemand, qui s'était lancé tout schuss dans les énergies renouvelables, a dû se résoudre à quelques slaloms. Face aux difficultés de gestion du réseau électrique allemand (en plus de l'augmentation spectaculaire du prix de l'électricité pour les particuliers), le gouvernement allemand a adopté une réforme (avril 2014) pour plafonner et limiter le développement des énergies renouvelables. (Le développement des énergies renouvelables plafonné en Allemagne)

Mais peu importe le réseau assurent quelques optimistes branchés, branchés sur le réseau. Le réseau on s'en passe, chacun produisant sa propre électricité… Sauf que, il faudrait alors résoudre d'énormes problèmes, esthétiques, techniques, environnementaux ; une éolienne dans chaque jardin, des panneaux solaires sur chaque balcon des immeubles, et des tonnes d'accumulateurs dans les caves ; bienvenue en Acculand…

Après des années d'incitations et de subventions, le vent et le soleil,
l'éolien et le solaire,
produisent moins de 1%
de l'énergie consommée sur l'ensemble de la planète.

 

1 C'est la valeur du facteur de charge pour une éolienne terrestre en France. Le facteur de charge est le rapport entre l'énergie effectivement produite sur une période, et l'énergie qui aurait été produite par un fonctionnement permanent à puissance nominale sur la même période.

2 On cite le cas danois pour démontrer que c'est un faux problème ; mais c'est une fausse démonstration. Il est vrai que les Danois réussissent à injecter 20% d'électricité éolienne, par rapport à la consommation strictement danoise, sur le réseau. Mais ce résultat n'est obtenu que parce que le réseau danois fait en réalité partie d'un plus vaste réseau, incluant la Norvège et son abondante production hydraulique, laquelle est contrôlable. Dans cet ensemble la part de l'éolien danois est largement inférieure à 20% :
« In 2007, about 20% of Danish electricity demand was met by wind energy (IEA Wind, 2007).
With existing domestic flexibility alone this would not be possible as the system is very small, but with the opportunity provided by the Nordic Power Market – Nordpool – surplus wind electricity production can be exported while dispatchable Norwegian hydroelectricity can be imported during periods of low wind resource. » (Rapport de l'International Energy Agency (IEA), "Empowering Variable Renewables – Options for Flexible Electricity Systems" - 2008)

 

vendredi 29 août 2014

Pour ses payer ses cotisations, lançons un Macronthon pour Emmanuel Macron



Envoyé par JML

Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, a adhéré au Parti socialiste en 2006, mais n'est pas à jour de sa cotisation depuis 2009.

« M. Macron est dans les fichiers du PS. Il a adhéré en 2006, à la fédération de Paris. Il a été membre actif jusqu'en 2009 », a déclaré vendredi le responsable des fédérations au PS Alain Fontanel, précisant qu'il n'était pas à jour de cotisation.

Comme pour justifier son appartenance au parti socialise Alain Fontanel précise qu'auparavant, il avait été « en contacts étroits avec des élus et des militants de la fédération du Pas-de-Calais », selon lui. Emmanuel Macron a aussi « collaboré à la Fondation Jean Jaurès, à partir de 2006, et travaille avec François Hollande depuis 2010 », a-t-il conclu.

Lors de sa nomination, le nouveau ministre de l'Économie a été salué par la droite et critiqué par la gauche.

Et .... si on faisait un Macronthon afin que notre cher ministre de l'économie puisse payer ses contisations en retard...

Elus locaux : l’opération-séduction de Manuel Valls - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/256646/elus-locaux-loperation-seduction-de-manuel-valls/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=29-08-2014-quotidien

Bienvenue chez les Belch's.
Belge mode d' emploi

Envoyé par dB

Bienvenue chez les Belch's.

Petit guide pour les voisins français
Les 4 choses à savoir sur le 'Belge'.

1. Les indispensables septante et nonante.
70 = septante
90 = nonante
C'est simple, clair et net.... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante quatorze...
D'ailleurs, pour faire un parallélisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten.
Même le néerlandais, qui se rapproche pourtant plus du Klingon (cfr. StarTrek), fonctionne de la même façon: 90 = negentig.

2. L'accent
L'accent, ou plutôt les accents ... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'êtes pas obligé de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongolien et vous pouvez être sûr qu'il comprendra votre français de Marseille, Strasbourg ou Laval.
Quelques dialectes:
* le liéééééégeois (Liège)
* le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais
* le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard
* le brusselaire : l'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imité. Alllleï, dis, fieu!
Pour parfaitement l'imiter, il faut se mettre dans la peau du personnage, c-à-d avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son 'G' (GSM = portable, portable = laptop) acheté à crédit qui a couté 3 mois de salaire.
En bref, il faut être un gars de la capitale.

D'ailleurs , n'oubliez pas le dicton: Parisien, tête de chien, Bruxellois, même combat.
De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots français et 50% de mots 'flamands' ou flamandisés juste pour faire bien.

Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette!
Traduction: Eh bien, mec, où as-tu laissé le vélo ? Ah, oui, dans la camionnette!

3. Avoir une bonne prononciation
Un bon conseil: bossez un sérieux coup là-dessus.
- Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle)
- Anvers, se prononce Anverssss (et pas En Vert, le 'S' est là, alors il faut l'utiliser)
- Rembrandt se prononce Rembrandt (et pas Rang Bran)
- Le célèbre 'W' : en France, on préfère le prononcer (souvent erronément!) comme un simple V. En Belgique, on préfèrera le prononcer 'ouhé '
Ex: wagon: ouhagon - huit: ouhit - BMW se dit Bé Em ouhé - idem pour un VW et les WC. (Qui me rappelle: 'aller à la toilette' et 'non aux toilettes' : une à la fois, s'il-te-plaît bien!)
- Les noms flamands : à apprendre au cas par cas. Mais en tout cas oubliez la prononciation française!!!!
Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par 'ch', ni 'k', mais dans une espèce de râle comme si vous vouliez cracher.

Quant au double aa cela allonge la prononciation Maaaaaaaaaaaastricht (et non pas Maistrick)

4. Les spécialités régionales

Vous ne trouverez jamais d'endives blanches et pointues en Belgique, mais des chicons.
Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes.
On déjeune le matin, on dine à midi et on soupe le soir.
En Belgique, on 'preste' des heures de travail ou un service.
Et on aime aller à la kermesse (fête du village) manger des caricoles (des espèces d'escargots de mer).
On va s'acheter un cornet de frites à la friture.

Et si vous croisez des friteries ce sont soit des français immigrés, soit des belges complexés qui ont changé leur enseigne parce qu'un crétin leur avait dit que friture n'était pas français !

Eh! On est en Belgique !

Et encore: En Belgique on tire son plan (se débrouiller), même quand on ne sait pas le chemin (a court d'idées). On boit des pils (bien prononcer le s) (bières) en demi (0.25 litres et non 0.5 litres).
On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes).
On attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas; les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clinches.
Et à ce propos, en Belgique, une porte a 3 états: 'ouverte', 'fermée' et 'contre'.

'A tantôt' signifie à tout à l'heure (et ne fait pas référence à un moment passé, ni à l'après-midi !).
On utilise les torchons (serpillères), voire les loques à r'l oqu'ter pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle.
Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite (...et jamais un crayon à papier!). En effet, les 'bics' sont des stylos à billes et un stylo, un porte-plume.
Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs. Mais nous, on préfère 'faire semblant que non' pour que personne ne s'en doute...

Et ce ne sont pas des carabistouilles !!!



Envoyé de mon iPad

Une «amorce de rupture» entre Hollande et les sympathisants PS - Libération

http://www.liberation.fr/politiques/2014/08/28/entre-hollande-et-les-sympathisants-ps-une-amorce-de-rupture_1088994?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot

Les avantages des ministres (et des ex-ministres) | Planet

http://www.planet.fr/politique-les-avantages-des-ministres-et-des-ex-ministres.682898.29334.html?xtor=ES-1-667921%5BPlanet-a-la-Une%5D-20140829

jeudi 28 août 2014

Monsieur Philippe DURON, membre du PARTI SOCIALISTE
CUMULARD



 Monsieur Philippe DURON, membre du PARTI SOCIALISTE
Il doit être épuisé le pauvre , car c’est inhumain d’imposer autant de travail ... à un seul homme !
Il est à la fois :
 - Député du Calvados,
 - Membre de la commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire à l’Assemblée Nationale,
 - Président du groupe d’amitié avec la Macédoine,
 - Membre du groupe d’études Cheval à l’Assemblée Nationale,
 - Membre de la section française de l’Assemblée parlementaire de la francophonie, 
 - Maire de Caen, En charge du développement de la ville de Caen, 
 - Président du conseil de surveillance du centre hospitalier universitaire (CHU) de Caen, 
 - Président de la Conférence des Villes de l’Arc Atlantique, 
 - Président du conseil d’administration de Normandie Aménagement,
 - Président de Caen Presqu’île, 
 - Membre d’honneur du conseil d’administration de l’École d’Ingénierie et travaux de la Construction de Caen, 
 - Représentant de l’association de gestion de la fourrière et du refuge d’animaux de Verson, 
 - Administrateur du Comité pour l’Organisation des Manifestations Touristiques et Économiques de Caen, 
 - Président de la Société d’Économie Mixte : Gestion du Mémorial de la Bataille de Normandie,
 - Vice-Président de l’Union Amicale des Maires du Calvados, 
 - Membre du Bureau de l’Association des Maires des Grandes Villes de France (AMGVF) 
 - Président de l’Agglomération Caen-la-Mer, 
 - Administrateur de l’Assemblée des Communautés de France, 
 - Président de Caen Métropole, 
 - Membre de droit du Conseil national du Parti Socialiste, 
 - Co-Président de l’association Transport Développement Intermodalité 
 - Vice-Président de la Conférence de réseaux Transfrontaliers et Interrégionaux de Villes (CECICN), 
 - Membre de l’association Avenir Transport, 
 - Membre du collège « collectivités territoriales » au Conseil d’Administration de l’Institut des Hautes Études de Développement et d’Aménagement des territoires en Europe, 
 - Administrateur de l’Association Relais des Sciences, 
 - Administrateur de l’Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France, 
 - Membre du bureau de l’Institut de la Gestion Délégué Environnement ...

Monsieur « les Présidents », Monsieur le Maire,

La République, bonne mère, vous a autorisé donc à cumuler 28 titres, dont 4 mandats nationaux et 24 fonctions aussi diverses que considérables.

Les journalistes, mauvais esprits, vous ont consacré, au terme d’une longue et méticuleuse enquête menée par Le Parisien, «premier cumulard de France ».

Il faut dire qu’à ce niveau de performance, vous êtes mieux qu’un cumulard : vous êtes, comme le dit très joliment ma dentiste, avec laquelle je commente régulièrement la chose publique, un «accumulard » ! J

Je ne doute pas que vous vous en défendrez en invoquant la traditionnelle et louable volonté d’être ainsi « au plus proche du terrain et des citoyens » (étrangement, je n’ai vu aucune intervention de votre part, à l’Assemblée nationale ou ailleurs, dans le cadre de vos fonctions hospitalières par exemple, demandant aux chirurgiens d’être à la fois anesthésistes, médecins généralistes et brancardiers, pour rester eux aussi, dans ce même esprit d’intérêt général, au plus près du malade et de ses souffrances).

Les mauvaises langues – notre pays n’en manque pas – ne tarderont pas à vous faire remarquer que vous cumulez ainsi plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels sans compter - et il faut le compter, car c’est souvent le principal la multiplication des avantages en nature : voitures, chauffeurs, assistantes, secrétariats, voyages d’études ou pas, défraiements et aides logistiques diverses qui font, chacun le sait sur les bancs de l’Assemblée et d’ailleurs, la saveur inavouée mais incomparable du cumul.

Cumul, vous avez dit cumul ?

28 cumuls, soit environ 55.000 EUR/mois NON IMPOSABLES !!

Les esprits attentifs – vous me pardonnerez d’en être – remarqueront, qui plus est, que vous appartenez à un parti qui, il n’y a pas si longtemps, a gravé dans le marbre la durée légale du travail à 35 heures ... par semaine !!!

Michel Van loyen

Réforme territoriale : le gouvernement revoit ses plans - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/255767/reforme-territoriale-le-gouvernement-revoit-ses-plans/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=28-08-2014-quotidien