lundi 7 juillet 2014



 Geneviève BLANC
​     Conseillère Générale
                                     
                           Canton d’ANDUZE

Commission Permanente du conseil général
du 3 juillet 2014

Subventions pour le canton d’Anduze






Commune d’Anduze :

• Aide aux associations
- La Recyclerie (FDS) atelier sculpture : 500 €
- Théâtre Atelier d’Anduze : 200 €
- Club Basket Anduze : 200 €
- Paroles et Mémoire en Cévennes : 1 200 €

• Action sociale :
- Ass. ANCA : Lape à petit pas : 11 098 €
- RAM d’Anduze : aide au fonctionnement : 8 394 €
- UDARG :
 Soutien à l’isolement des personnes âgées : 3 000 €
- Travaux de réhabilitation EHPAD Château de Labahou : 176 000 €





Commune de Bagard :

• Aide aux associations
- Ass. Des donneurs de sang bénévoles : 150 €

• Aide aux communes
- Répartition des amendes de police 2013 aux communes de moins de 10 000 hab. : aménagement de sécurité carrefour Carriol : 13 474 €.

• Action sociale
- Fonctionnement du RAM : 16 788 €
- Télé alarme : 78 €

• Environnement
- Syndicat des propriétaires privés : actions de développement dans les forêts: 25 000 €





Commune de Boisset et Gaujac :

• Aide aux associations
- Sport Evasion : 200 €

• Aide aux communes
- Répartition des amendes de police 2013 aux communes de moins de 10 000 hab. : création de cheminements piétons: 14 940 €.


Commune de Générargues :

• Aide aux associations
- Ass. Des Parents d’élèves : 200 €

• Aide aux communes
- Répartition des amendes de police 2013 aux communes de moins de 10 000 hab. : sécurisation des abords de l’école : 2 772 €.


Commune de Ribaute les Tavernes :


• Aide aux communes
- Répartition des amendes de police 2013 aux communes de moins de 10 000 hab. : aménagement entrée cimetière et parking : 12 998 €.

• Aide aux associations
- Ass. Courir à Ribaute 200 € 300 € Sport adapté : 500 €
- Ass Cirque en Kit (FDS)
 Les Lubies 2014 : 2 000 €
 Metiss Art : 2 000 €
 Réseau culture : 800 €


Commune de St Sébastien d’Aigrefeuille :

• Aide aux communes
- Répartition des amendes de police 2013 aux communes de moins de 10 000 hab. : aménagement de sécurité : 13 638 €.




Total canton Anduze : 306 130 €


dimanche 6 juillet 2014

Foyer rural de Tornac
Vide grenier nocturne
4L TROPHY


20140705 foyer rural Tornac 4L trophy par zimprod

PS fédération du Gard ...Quel émoi !

Bonjour,

Voici un lien vers "Lettre aux signataires de la pétition.pdf" dans ma Dropbox:

https://www.dropbox.com/s/chqpgrd8j8eexqv/Lettre%20aux%20signataires%20de%20la%20p%C3%A9tition.pdf




Anduze la ville où les couillons s' amusent
MONSIEUR PASTIS 0%

MONSIEURPASTIS A 0%
En date du 20 juin 2014 le conseil municipal d’Anduze, sur proposition de monsieur le maire, a voté les indemnités des élus d’Anduze.
Indemnités fixées par la loi sous la forme d’un plafond en référence à un indice national (indice 1015). La commune droit à un montant global, ce qu’on donne à l’un n’ira pas aux autres, calculs délicats…
Il a été décidé à Anduze que le maire aurait droit à une indemnité (normal), les adjoints aussi (encore normal), et tous les conseillers itou.
Ah oui, mais pas vraiment tous les conseillers : seuls celles et ceux qui sont à la botte du maître palperont (un peu) : les autres, les six autres (deux de la liste Lemaire, quatre de la liste Blanc), ils n’auront rien, rien du tout, 0% !
Voilà du bon pastis à la Pagnol, comme ils l’aiment. Et devinez comment ont voté les 17 membres de la liste Iglésias : comme un seul homme pour mettre leurs petits camarades au régime sec. C’est bon de croiser dans la rue ces gens-là avec le respect qu’on leur doit…
Ce serait intéressant de savoir si cela se passe ainsi dans d’autres communes, comme, au hasard, Tornac ou Massillargues ?

Unawnduzienencoreétonnépardetellesmesquineries

: Sarkozy-Armstrong



Envoyé par JML

Dans le milieu du cyclisme professionnel, avec la complicité de l'UCI, l'américain Lance Armstrong a contrôlé le peloton pendant 10 ans. Il a en chassé les rares coureurs qui mettaient en doute son éthique sportive et parlait d'acharnement chaque fois qu'un journaliste le questionnait sur le dopage. Finalement, les langues se sont déliées, la vérité s'est imposée et le champion a été déchu de tous ses titres.

Avec Nicolas Sarkozy, on a un peu le même schéma de défense dans le domaine politique.
L'ex président, omnipotent et omniscient, celui qui se mêlait de tout, serait subitement au courant de rien à propos de toutes les affaires troubles autour de sa personne. Totalement « irresponsable » de certaines dérives graves en matière de corruption, de financement occulte, de pressions..etc. Tout cela ne serait l'affaire que d'affreux « complotistes » qui veulent nuire à sa candidature en 2017. Il devrait méditer sur le sort de son ami Armstrong et dire la vérité plutôt que d'essayer de discréditer la justice de son pays en souhaitant l'adapter à sa personne.      

                                                                                                               J. V;

Rien n'est plus dangereux lorsqu'il l'ignorance et l'intolérance sont armées de pouvoir (voltaire)

Toujours il faut savoir écouter les frondeurs...
Tribune de Liêm Hoang Ngoc
Les choix économiques sont des choix politiques. Les politiques de l'offre reposent sur le postulat selon lequel l'impôt et l'emprunt qu'il faut lever pour financer la bureaucratie découragent l'initiative privée et assèchent une épargne qui aurait pu être drainée à bas taux vers des projets privés. Il faut donc réduire la dépense publique, jugée improductive, afin de réduire les impôts et « charges » qui pèsent sur la production. Au contraire, pour les keynésiens, l'épargne des classes riches, alimentée par les profits, ne finance pas mécaniquement l'investissement privé, composante de la demande globale. La baisse de l'investissement des entreprises tarit les flux de revenus redistribués aux ménages, qui consomment moins. Il en résulte une panne de demande généralisée, à l'origine du chômage de masse. Il faut donc relancer la demande globale par des politiques monétaire et budgétaire appropriées.
Le débat qui agite nos députés à l'Assemblée nationale n'est, au fond, qu'une réplique de cette controverse fondatrice de la macroéconomie : le chômage est-il « classique » ou « keynésien » ? La science économique est, à l'évidence, une science parfaitement inexacte, souvent empreinte d'idéologie. Ses praticiens admettent toutefois que son juge de paix reste la confrontation des prédictions aux faits empiriques. A cette aune, nombre d'entre eux observent que la politique de l'offre, appliquée méthodiquement dans chaque Etat membre sous la surveillance de la Commission européenne, mène la zone euro à la déflation. La compression des dépenses publiques et des salaires a abouti à un jeu à somme négative, plombant la demande intra-européenne. Dans ces conditions, l'action de la BCE pour réduire les taux et injecter des liquidités, aussi bienvenue soit-elle, est insuffisante. Elle est même susceptible d'engendrer la formation de nouvelles bulles financières, dès lors que les liquidités injectées ne financent pas l'économie réelle où les banques n'ont aucune raison de prêter à des entreprises dont l'activité est atone. Le taux d'utilisation des équipements des entreprises étant inférieur à la normale, elles n'ont aucune raison d'investir. Les 2 points de PIB (41 milliards) octroyés par le pacte de responsabilité pour redresser les profits sont, dès lors, de l'eau versée dans le sable, l'investissement étant tributaire d'une demande trop faible. Ce gaspillage est dommageable à l'heure où la politique budgétaire doit justement être mobilisée en complément de la politique monétaire pour consolider la reprise. La France s'était libérée des marges de manœuvre en renégociant avec la Commission européenne son calendrier de réduction du déficit. Celles-ci auraient pu être affectées à l'investissement public, la politique de l'emploi et la redistribution.
Tel est le débat que nos députés ont voulu, en toute sérénité, mener dans le cadre de leur travail parlementaire. Dans la plateforme de l'appel des 100, ils soulignent que 80 % des entreprises souffrent d'une insuffisance de demande et 20% sont contraintes par les coûts. Ils proposent donc, de façon tout à fait raisonnable et pragmatique, d'affecter un peu pus de la moitié de ce paquet de 41 milliards au pouvoir d'achat (16,5 milliards), aux investissements publics locaux (5 milliards), aux emplois aidés (2 milliards). Ils recommandent par ailleurs de poser les jalons d'une véritable réforme de l'impôt sur le revenu et de la CSG, afin de financer la sécurité sociale universelle de la façon la plus juste. On peut craindre qu'en l'absence d'une telle réforme fiscale, les baisses de cotisations patronales et salariales, non compensées par des recettes alternatives, aient pour contrepartie des baisses massives de dépenses sociales, dont le rôle d'amortisseur de crise fut pourtant avéré lors de la dépression de 2008-2009.
Certes, la réduction des dépenses publiques est plus faible que dans les pays sous assistance financière de la Troïka. Pour autant, la baisse programmée de 50 milliards en trois ans (dont 22 milliards pour 2015), annoncée pour financer le pacte de responsabilité, est susceptible de provoquer un effet récessif non négligeable. Cet effet est mesurable à l'aide du « multiplicateur budgétaire », coefficient permettant de mesure l'impact d'une variation de la dépense publique sur la croissance. Les récentes évaluations du multiplicateur, effectués par le FMI pour la zone euro, donnent plutôt raison aux keynésiens. La contraction des dépenses publiques envisagée d'ici 2017 nous coûterait un point de croissance par an, rendant impossible l'inversion de la courbe du chômage. Pire, ce ralentissement par rapport aux prévisions rendrait inatteignables les objectifs de réduction du déficit annoncés dans le programme de stabilité remis à la Commission. La politique de l'offre continuerait à creuser la dette publique qu'elle était censée juguler.
Au total, 41 milliards de dépenses fiscales sans garantie d'efficacité, une vingtaine de milliards par an de compression de dépenses aux effets d'autant plus incertains que la réforme territoriale n'a pas fait l'objet d'études d'impact sérieuses, 5 petits milliards en faveur de la redistribution, compensant à peine la ré-indexation tardive du barème de l'impôt sur le revenu, le gel des salaires et les hausses de la TVA. Cette politique relève-t-elle véritablement du « sérieux budgétaire » ? Ce débat, ouvert par nos parlementaires, est en tout point salutaire pour la démocratie, excessivement asséchée par une cinquième République à bout de souffle. Dans un régime parlementaire, tel que celui qui fonctionne en Allemagne, l'exécutif est à l'écoute de ses députés. Dans la cinquième République, le Parlement se taisait lorsque le Monarque républicain ou son Cardinal parlaient, même lorsqu'ils se trompaient. Cette époque est révolue.

vendredi 4 juillet 2014

Interview de Stéphane Tortajada

http://dv9.r.mailjet.com/nl/x9ur/00373.html?%5B%5BUNSUB_PARAMS%5D%5D

ALIEN EOLIENNE et la corruption


Le service de prévention de la corruption s'intéresse à la filière éolienne

Le Service central de prévention de la corruption (SCPC) met en garde contre les "prises illégales d'intérêts" d'élus impliqués dans la filière éolienne.

Selon un rapport cité par Le Figaro ce vendredi 7 juillet, le Service central de prévention de la corruption (SCPC) met en garde les pouvoirs publics contre la multiplication des "prises illégales d'intérêts" d'élus locaux impliqués dans le développement de la filière éolienne.

Le SCPC, qui dépend du ministère de la Justice, évoque un "phénomène d'ampleur" dans son rapport d'activité 2013. "Le développement de l'activité éolienne semble s'accompagner de nombreux cas de prise illégale d'intérêts impliquant des élus locaux", est-il écrit dans ce document cité par Le Figaro.

Des dérives graves et une pression des opérateurs

Selon le rapport, les élus visés sont attirés par "les revenus substantiels tirés de l'implantation d'éoliennes sur des terrains leur appartenant et par un régime fiscal favorable".


Le SCPC met aussi en avant la pression exercée par les opérateurs éoliens sur les élus à travers des "chartes morales d'étroites collaboration". Il se dit "destinataire d'un nombre croissant de procédures engagées" portant sur des "dérives graves entraînant des recours devant les juridictions administratives" et des "plaintes déposées auprès de plusieurs parquets".

Une confusion entre intérêt public et personnel

Le SCPC juge "impératif d'empêcher et de sanctionner toute confusion entre l'intérêt public, que doivent servir les élus dans le cadre de leur mandat, et l'intérêt personnel qu'ils peuvent retirer d'une opération".


Il réclame un audit afin d'évaluer le risque d'"atteintes à la probité beaucoup plus graves, comme celui de la corruption".

 

BASSIN D’ALÈS 4 centres sociaux menacés par la nouvelle carte de la politique de la ville | Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2014/07/03/bassin-dales-4-centres-sociaux-menaces-par-la-nouvelle-carte-de-la-politique-de-la-ville/

jeudi 3 juillet 2014

Mise à jour sur la pétition · Des nouvelles de notre pétition "Non à la disparition du CIJ" · Change.org

https://www.change.org/p/minist%c3%a8re-de-la-culture-direction-g%c3%a9n%c3%a9rale-de-la-cr%c3%a9ation-artistique-non-%c3%a0-la-disparition-du-centre-d-information-du-jazz/u/53b50eb0e49282728b00aafb?tk=LsuzJkTUgtb5m56rvHHI_3-ROX0TTer6Nb_fzjQl3ug&utm_source=petition_update&utm_medium=email&utm_campaign=petition_update_email

A lire absolument
Les remèdes du SCPC pour lutter contre la corruption dans le secteur public local - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/241620/les-remedes-du-scpc-pour-lutter-contre-la-corruption-dans-le-secteur-public-local/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=03-07-2014-quotidien

EXTRAIT
"Son but est de suggérer « un corpus de mesures concrètes propres à rétablir les conditions de la confiance des citoyens en leurs représentants ».

Pour limiter le risque de corruption, de favoritisme, de prise illégale d'intérêt, de trafic d'influence, de concussion dans le secteur public local,
limiter le cumul de tous les mandats locaux.

Un maire ne devrait pas, selon le Service central, pouvoir présider un EPCI par exemple
Une limitation dans le temps à deux mandats successifs empêcherait « la mise en place de réseaux d'intérêts croisés, "

Et bien on en est loin avec ALES AGGLO !