jeudi 20 décembre 2018

COP24 : faudra-t-il attendre la 99e pour admettre l’échec ? | Contrepoints

https://www.contrepoints.org/2018/12/20/332851-cop24-faudra-t-il-attendre-la-99e-pour-admettre-lechec

Faut-il craindre le RIC? La réponse d'un politologue suisse | Le Huffington Post

https://www.huffingtonpost.fr/2018/12/19/faut-il-craindre-le-ric-la-reponse-dun-politologue-suisse_a_23622559/

« Le citoyen est le grand oublié de la décentralisation »

https://www.lagazettedescommunes.com/596973/le-citoyen-est-le-grand-oublie-de-la-decentralisation-hugues-clepkens/

En Suisse, le référendum d’initiative populaire comme outil du consensus politique

https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/12/19/en-suisse-le-referendum-d-initiative-populaire-comme-outil-du-consensus-politique_5399901_3224.html

: GILETS JAUNES / RENCONTRE DÉBAT CE JEUDI 20/12 18H AU PROLE ALES



Parti Communiste Français
Section d'Alès
04 66 52 09 25

mercredi 19 décembre 2018

"Gilets jaunes" : des bus entiers attendus samedi pour prendre le contrôle des frontières

https://www.midilibre.fr/2018/12/19/gilets-jaunes-des-bus-entiers-attendus-samedi-pour-prendre-le-controle-des-frontieres,5702132.php

Construction illégale à Ales
Centre commercial , bravo pour les commerces du centre ville encore plus en danger

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Gard : deux policiers blessés à Alès devant la sous-préfecture bloquée par des "gilets jaunes"

https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/gard-deux-policiers-blesses-a-ales-devant-la-sous-prefecture-bloquee-par-des-gilets-jaunes_3107851.html

"Gilets jaunes" : une série de couacs brouillent les annonces du gouvernement

https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/gilets-jaunes-une-serie-de-couacs-brouillent-les-annonces-du-gouvernement_3106235.html

mardi 18 décembre 2018

Nouveau commentaire sur L'intelligence des élites et l'incompétence du peu....

Gilets Jaunes : le retour fracassant de la lutte des classes.
«.../...Par son mépris, sa politique fiscale favorable aux plus aisés et la succession de mesures nocives pour les plus modestes (réforme du code du travail, désindexation des pensions de retraites et des allocations familiales, réforme de l'assurance-chômage…), le président du « nouveau monde » a paradoxalement réactivé la bonne vieille lutte des classes. Sa personnalité même a rendu visible la mainmise des classes supérieures sur les moindres décisions politiques, leur relative indifférence à l'égard des moins bien nées qu'elles et leur séparatisme croissant vis-à-vis du reste de la population. Autrement dit, les « petites phrases » de Macron en disent plus long sur sa sociologie que sur sa psychologie.
La hausse des taxes sur le carburant a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase de la conscience de classe croissante de la population : ce sentiment diffus d'être méprisé, malmené, sans cesse sermonné pour un mode de vie qu'on n'a pas choisi et par un gouvernement qui ni ne parle pour nous ni ne nous ressemble. Dès le début du mouvement des gilets jaunes, le mépris des élites a été le combustible d'une colère qui s'est étendue à l'ensemble du territoire : la bonne conscience écologique érigée en nouvelle morale de la classe bourgeoise a été la dernière expression de sa morgue, face à un mouvement devenu explosif et face auquel elle doit désormais faire le dos rond. Les images de belles voitures retournées et brûlées ont fait le tour du monde, tandis que faisaient irruption pendant nos journaux télévisés des personnes jusqu'ici absentes de nos écrans : les employés, les ouvriers, les chômeurs. Souvent des femmes, exprimant sans filtre la galère de leur quotidien, le stress des fins de mois, la rage que leur inspire le ton doucereux de nos gouvernants. Quel contraste avec le rythme normal de notre télévision, dont les intervenants sont à 60% des cadres, selon le baromètre de la diversité du CSA !
Et plus la parole s'est libérée, plus ces visages sont apparus sur nos écrans, plus le mouvement s'est intensifié. La classe populaire a trouvé dans le gilet jaune son nouvel étendard. Est-ce le drapeau rouge de l'âge d'or du mouvement ouvrier ? Une chose est sûre : comme les classes laborieuses d'antan, les gilets jaunes font fuir le bourgeois. La première enquête sur la composition sociologique du mouvement fait état d'une surreprésentation des employés et une sous-représentation des cadres. Dans l'opinion, la tendance est la même : si 62% des ouvriers soutiennent le mouvement, ce n'est le cas que de 25% des cadres et professions intellectuelles supérieures. Le gilet jaune ne se met porte pas sur un costume ou avec des baskets blanches.
Pour l'ensemble du peuple français, cette résurgence d'un conflit de classe est une très bonne nouvelle : quoi de pire qu'une guerre invisible, menée par une oligarchie toujours plus puissante contre un peuple divisé et sans cesse diverti par les obsessions identitaires et les clivages factices – CDI contre précaires, salariés contre indépendants, nationalistes contre « progressistes » ? La lutte des classes que les gilets jaunes ont rouvert rend la démocratie plus forte : en nous permettant d'identifier clairement nos adversaires, elle rend la confrontation possible. Pour l'oligarchie, quelle que soit l'issue du mouvement, les années fastes sont terminées.»

Nicolas Framont dans Marianne.net

18/12/2018

Gilets jaunes vs police

Derniere nouvelle

La police va manifester sur les Champs Elysées ( grace au mouvement des gilets jaunes )
En contre partie un escadron de gilets jaunes sera déployé pour protéger les honnêtes commerçants
De ce lieu mitique
Nous les gilets jaunes recherchons pour pret des Panzers en états et des grenades offensives
Pas d’ avion de combat ni de sous marin



Charles Gave - Qu’est-ce que le libéralisme ? Petit rappel

https://youtu.be/XvrJaFTWpl0

L'intelligence des élites et l'incompétence du peuple : un tenace mythe antidémocratique - FRUSTRATION

https://www.frustrationlarevue.fr/lintelligence-des-elites-et-lincompetence-du-peuple-un-tenace-mythe-antidemocratique/

Extrait:
Sauf que le niveau de diplôme de quelqu'un dit autre chose sur lui en France : cela montre qu'il est situé en haut de l'échelle sociale et qu'il a des revenus importants (plus des ¾ des étudiants de nos « grandes écoles » sont des enfants de cadres et professions intellectuelles). Ainsi, lorsqu'on considère le point de vue « éclairé » des diplômés, il faut aussi considérer leurs intérêts. Bien trop souvent ils se servent de leur prétendue compétence pour justifier leurs réels intérêts et savent bien les cacher aux yeux des autres. Où est donc la compétence politique à penser ce qui est bon pour tous ?