mercredi 19 août 2015

ALIEN EOLIENNE



L'éolien : un donquichottisme écologique

lundi 17 août 2015 


Par Gérard Charollois

L'humain consomme de l'énergie pour se chauffer, s'éclairer, faire fonctionner divers appareils, pour tous ses besoins vitaux et ses loisirs, ses transports et son confort. Comment produire cette indispensable énergie ? Désireux d'échapper aux énergies traditionnelles, nombre d'écologistes sincères se sont trop rapidement précipités sur les miroirs aux alouettes complaisamment tendus par les divers lobbies affairistes agricoles et industriels.

Il y eut, un temps contre le pétrole, ses marées noires, ses compagnies multinationales, l'illusion des « agrocarburants », qualifiés pour faire bien de « biocarburants ». Très vite, les défricheurs d'idées neuves, mesurèrent l'imposture, car, pour nourrir les moteurs de carburant végétal, il faut mettre en cultures des terres soustraites à la nature, employer engrais et produits phytosanitaires et une lourde mécanisation agricole. Bref, pour faire de l'agrocarburant, il faut du pétrole et polluer énormément, sans parvenir à se substituer totalement aux carburants fossiles. Voici, encore dans le vent, pour la production d'électricité, les marchands de champs d'éoliennes. Bien sûr, le vent ne pollue pas et ne coûte rien. Mais, pour mettre en place ces installations, des milliers de tonnes de béton sont indispensables. Socialement, le miroir aux alouettes pèse, en bout de course, sur le citoyen. En effet, en France, le distributeur d'électricité EDF est légalement tenu d'acheter l'électricité éolienne le double du prix moyen de cette énergie.

Or, l'éolien ne se substituera à aucun autre mode de production. Les politiques, les experts, disserteront pour opter sur un pourcentage : 3 % ou 15 % de l'électricité sera d'origine éolienne. Pour produire cette électricité, il faut dégrader des sites innombrables, couler des tonnes de béton, installer des mâts et des pales où viendront se faire hacher oiseaux et chauves-souris. En l'absence de vent, lors des hautes pressions atmosphériques hivernales, lorsqu'il fait très froid et que surviennent des « pics de consommation », l'éolien ne peut pas répondre à la demande. Résultats : Socialement, cette électricité est plus chère que toute autre et ce coût est assumé par l'usager. Écologiquement, des paysages sont enlaidis, l'avifaune subit une agression supplémentaire. Techniquement, aucun autre mode de production d'électricité n'est abandonné, puisque l'éolien ne sera jamais qu'un appoint. On ajoute des nuisances sans en supprimer aucune. L'éolien crée, au profit d'entreprises privées, une agression contre la nature, sans retirer d'autres sources de nuisances et d'agressions.

Nous retrouvons, comme en toute chose, la loi nauséabonde du Marché. Des firmes se sont spécialisées dans l'exploitation de ce filon lucratif, en invoquant l'écologie. Des entreprises prospectent, un peu partout, y compris dans des secteurs pauvres en vent, pour vendre leurs installations. Ne soyons pas dupes. N'ajoutons pas la peste au choléra. Avant d'adopter une technologie quelconque, en ce domaine comme en tout autre, interrogeons-nous sur ses incidences pour la biodiversité. Préconisations : Invitons les ingénieurs à mettre au point des dispositifs non létaux pour la faune. Ainsi, après les éoliennes, certains techniciens proposent des hydroliennes, exploitant les courants marins. Pourquoi pas ? Mais, à une condition essentielle : que ces dispositifs comportent des protections les rendant inoffensifs pour les espèces marines. À un choix éthique, répondons par une option éthique. Par exemple, lorsque la vie, la liberté, les droits fondamentaux sont en cause.

À un choix technologique, répondons par des options purement technologiques. Il en est ainsi de l'énergie. Aussi, je suggère d'interpeler les ingénieurs pour que ceux-ci mettent au point des énergies non agressives pour la nature, ce qui est parfaitement envisageable. Ont-ils équipé leurs éoliennes de filets empêchant les collisions avec l'avifaune ? Par ailleurs, il y aurait lieu de combattre la débauche de gaspillage actuellement encouragée par les productivistes. La meilleure énergie est celle que l'on ne consomme pas. Je dis cela, en dehors de tout masochisme ascétique, en dehors de toute pulsion de sobriété doloriste et punitive. Le défi n'est pas du toujours moins ou du toujours plus, mais du toujours mieux. Exemple : L'éclairage public excessif perturbe la faune nocturne et rend l'homme addictif à un monde artificialisé. L'humain contemporain est infantilisé, conditionné, formaté par des peurs illusoires : peur de la nuit, de la nature, s'apparentant à des phobies. Notre contemporain redoute de faux périls et cultive ses angoisses en assumant des risques inutiles (tabac, alcool, drogues diverses, jeux débiles et dangereux).

De quoi méditer sur les fausses peurs entretenues et les vrais dangers érigés en activités ludiques ! Peur de la nuit, peur des loups et la presse abrutissante relaie complaisamment les délires mystiques ou les escroqueries fantasmatiques de « crétins des Alpes » attaqués par des meutes ! Réduire l'éclairage urbain et autoroutier, économiserait quelques centrales électriques, désensibiliserait d'une phobie, sans créer de risques avérés. S'agissant des énergies fossiles, limitons les pseudo « sports » mécaniques, agressions contre la nature et incitations à confondre un véhicule de transport et un jouet. Or, instrument de liberté individuelle, la voiture pollue, tue et son usage doit être utilitaire et non ludique. Les courses automobiles et autres rallyes inciteront toujours les esprits faibles à reproduire sur route les exploits de leurs champions. Économisons du pétrole, des vies humaines et des vies de hérissons, en éduquant à la responsabilité et en cessant, là aussi, d'infantiliser les adultes.

Bref, qui est Don Quichotte ? Qui nie le réel ? Celui qui ne voit en ce monde contemporain que des « moulins à vent », ou celui qui sait que des géants monstrueux menacent la vie sur terre ?

Gérard Charollois

 

vendredi 14 août 2015

REFORME TERRITORIALE


REFORME TERRITORIALE – Dans le cadre de la vaste réorganisation administrative intervenant à l'occasion de la fusion des communes, L'État vient d'annoncer le transfert de la ville de Tornac à compter du 1er janvier 2016. Un coup dur pour les communes rurales d'Alès Agglomération qui se demandent qu'elle sera la prochaine sur la liste.
850 tornagais se réveillent avec la gueule de bois en ce dimanche après l'annonce du transfert de Tornac à Alès au 1erjanvier 2016 au titre de l'équité territoriale. Manuel Valls l'a annoncé ce matin à l'issue d'un Conseil des Ministres exceptionnel consacré à l'avenir d'Alès Agglomération.
L'avenir de la commune a été scellé ce matin, à l'Elysée. « La décision de transférer Tornac à Alès est justifiée par une question d'aménagement du territoire et de cohérence dans la répartition des entités administratives au sein du bassin d'Alès » a-t-il indiqué en fin de matinée.
Marielle Vigne, Maire de Tornac, ne cache pas sa colère. « On se fiche de nous. On va demander à près de 900 personnes de déménager à 20 km de chez eux pour une question d'équité territoriale, c'est inimaginable » tempête-t-elle. « C'est une véritable catastrophe humaine et économique, d'autant plus que le premier Ministre a décidé de rattacher le hameau de Bouzène à la commune de Trélans, en Lozère, pour éloigner le Réboussier en chef de l'agglomération. »
Manuel Valls a également ajouté que la cave coopérative serait nationalisée. Le Président de la cave, révolté, a décidé de saisir le Conseil Constitutionnel « Le vin de Tornac appartient aux Tornagais et la production n'est déjà pas suffisante pour les consommateurs de la commune. »Le château sera, quant à lui transformé en prison pour les anciens terroristes de la 2C2A.
La Rédaction (sur une idée de Tomimag)


Nos bobos gauchos parisiens s'imaginent capables de régler ou d'atténuer le conflit Palestien Israélien

Nos bobos gauchos parisiens s'imaginent capables de régler ou d'atténuer le conflit Palestien Israélien en organisant dans le cadre de Paris plage une zone mettant en avant Tel-Aviv
Cité de toutes les tolérances paraît-il
Quelle prétention !
La réalité plus de 500 policiers
Des Check-points
Quelques célébrités juives
Une contre manifestation Gaza plage a fait face à Tel-Aviv sur Seine
Le tout sans affrontement ... les forces de l'ordre veillaient !
Nous doutons fortement que l'objectif profond eu été atteint
Quelle connerie !
Quel est le coût de cette brillante idée ?

Le reboussierparisienquietaitlà


20150813 tel aviv plage tout ça pour ça par zimprod