mercredi 7 août 2024

Les médailles, les feux d’artifices, la grandeur de la France, la foule en liesse, les monuments de la capitale… Merci qui ? Merci Macron, voyons.


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Jeux olympiques : deux journalistes passent dix heures en garde à vue pour avoir fait leur travail | Mediapart" :

MACRON MÉDAILLE D'OR DES HYPOCRITES ?
Le Média

https://youtu.be/M7_bxjuS2vo?si=9St9S_eV2zxStamT

Les médailles, les feux d'artifices, la grandeur de la France, la foule en liesse, les monuments de la capitale… Merci qui ? Merci Macron, voyons.
Bon, encore une belle vitrine pour faire oublier un amendement rejeté en 2021 pour subventionner le sport amateur en France, plutôt que de verser des millions aux grandes entreprises dans le business du sport et des sponsors.
Derrière les paillettes, la réalité de ces jeux, ce sont ces "gilets violets", ces agents de quai du métro embauchés à l'occasion des JO pour guider les touristes. Libération révèlent que ces agents sont les champions olympiques des contrats précaires.
Un énième revers de la médaille de Paris 2024. Alors on se pose la question, Macron fait-il semblant devant les invités ? À la veille de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, le président Emmanuel Macron a accueilli une quarantaine de grands patrons internationaux à l'Élysée. Celui souvent surnommé comme "président des riches" voulait rassurer ces dirigeants sur la stabilité politique et économique de la France après la dissolution de l'Assemblée nationale.

Nos territoires se réchauffent, et ce n'est pas anecdotique. Même si ce sujet a du mal à attirer les Unes ou les podium, le changement climatique est bien là, et concret.
Selon la tendance actuelle, Rennes aura en 2050 le climat que les habitants d'Istanbul connaissaient avant les années 2000. Brest celui de Concepcion, au Chili.

Au Moyen-Orient, la course contre la montre continue pour éviter un embrasement dans la région. Antony Blinken a convoqué tout à l'heure une réunion d'urgence à la Maison-Blanche. L'occasion pour le secrétaire d'Etat américain d'appeler à la désescalade. De même pour Emmanuel Macron qui a pu discuter avec son homologue émirati sur la question et appeler une nouvelle fois à la retenue des différents camps.

Sur un tout autre ton, le ministre des finances israélien, Bezalel Smoritch, a expliqué dans une conférence qu'il était, « justifié et moral » de bloquer l'aide humanitaire distribuée à Gaza. Mais que selon lui, la communauté internationale ne laisserait pas faire.

Vous aurez sûrement entendu parler de la situation au Bangladesh. Le pays est marqué par de nombreuses manifestations. En cause, l'opposition à un système de quotas dans les emplois gouvernementaux et la demande de réformes plus larges contre la corruption et la mauvaise gestion économique. Des manifestations marquées par de violents affrontements depuis juin et qui ont fait plus de 300 morts.

C'est le flash été du Média.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ce qui me gène avec Le Média et Pleynel plus particulièrement, c'est sa mauvaise foi évidente contre la démocratie. Il est contre l'interdiction du voile (sous peine d'amende) dans une France laïque mais ne dit rien contre son obligation (sous peine de mort) en Iran ? Et les femmes qu'en pensent elles ?

Anonyme a dit…

ENTRE URBICIDE ET HOMICIDE ...

"Toutes les maisons ont été transformées en ruines. On est perdu, on ne sait pas exactement où se trouvent nos maisons au milieu de ces destructions massives". Ces mots sont ceux de Mohammad al-Najjar. Ce Gazaoui de 33 ans a été interrogé par l'AFP le 1er juin alors qu'il errait dans les rues du camp de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza. Après huit mois de guerre, les intenses bombardements de l'armée israélienne ont transformé la majeure partie de l'enclave en tas de poussière et de gravats. De nombreuses photos et images satellites en témoignent depuis le 7 octobre.

"Un total de 137 297 structures, soit environ 55 % des structures à Gaza, sont touchées", a expliqué le centre satellitaire de l'ONU (Unosat) dans un rapport publié le 31 mai.
(…)

Trois cents bombes par jour larguées sur Gaza

Dans le cas de la bande de Gaza, les moyens utilisés par I'armée israélienne depuis le début de la guerre contre le Hamas sont "disproportionnés et inadaptés", estime Guillaume Ancel, ancien officier d'artillerie de l'armée française et écrivain. "Benjamin Netanyahu avait affiché deux objectifs : détruire militairement le Hamas et libérer les otages. Quand on utilise des bombes d'une tonne, on ne cible rien, on détruit, analyse l'auteur du blog Ne pas subir. Une organisation terroriste est une armée de l'ombre, on ne la pourchasse pas avec des bombes. On ne libère pas des otages avec des bombardements massifs. C'est complètement contradictoire. Le but affiché est faux depuis le début".

De son côté, l'armée israélienne affirme "examiner les cibles avant les frappes et choisir les munitions appropriées en fonction des considérations opérationnelles et humanitaires, en tenant compte d'une évaluation des caractéristiques structurelles et géographiques pertinentes de la cible, de l'environnement de la cible, des effets possibles sur les civils à proximité, des infrastructures critiques à proximité, etc. La grande majorité des munitions utilisées dans les frappes sont des munitions à guidage de précision".

En octobre 2023, à l'issue de la première semaine de guerre contre le Hamas, Israël avait largué 6 000 bombes sur la bande de Gaza. "
(…)

https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20240621-urbicide-m%C3%AAme-si-isra%C3%ABl-arr%C3%AAte-de-bombarder-gaza-demain-il-sera-impossible-d-y-vivre-guerre-hamas