dimanche 13 avril 2025

REGION Bruno Retailleau sur le chantier de l’A69


Envoyé de mon iPadAnonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article ""L'investigation n'attire plus du tout" : la police judiciaire face à une pénurie d'enquêteurs" :

L'idéologue en visite

REGION
Bruno Retailleau sur le chantier de
l'A69

"Tarn
Une rencontre avec des chefs d'entreprise et des élus, une visite du
chantier à l'arrêt de l'A69 entre Castres et Toulouse : c'est un
déplacement express que Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, a effectué, samedi. En candidat à la présidence des LR, il a expliqué sa venue en raison d'une « idéologie en France qui utilise la violence pour bloquer les projets. Si demain on bloque les projets, notamment d'infrastructure, notre économie sera bloquée. Le quart Sud-Ouest de la France est un des plus enclavés du pays. »
Interrogé sur les procédures judiciaires en cours, le ministre s'est dit « pour l'état de droit. Mais la légitimité de l'état de droit, c'est aussi la démocratie.
L'affaire sera jugée en appel. Mais il y a aussi la loi de validation qui est
intéressante : elle permet aux représentants du peuple de dire qu'il y a bien une raison d'intérêt public majeur. C'est important de faire prévaloir cette voix, car nous sommes dans une démocratie. » Cette proposition de loi, portée par les parlementaires tarnais, devrait être examinée par les chambres à court terme."

https://kiosque.midilibre.fr/reader/51a83fe8-69e6-4793-b964-32026c57

Contre Donald Trump, depuis Coachella Bernie Sanders appelle les jeunes à « se battre pour la justice »

https://www.huffingtonpost.fr/international/video/sur-la-scene-de-coachella-bernie-sanders-appelle-les-jeunes-a-se-battre-pour-la-justice-face-a-donald-trump_248746.html



Vencorex : le projet de coopérative écarté, 400 postes supprimés

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Jeudi 1er mai, manifestons pour la paix et contre la guerre sociale !" :

Vencorex : le projet de coopérative écarté, 400 postes supprimés

"En Isère, la reprise du groupe chimiste par une entité portée par des salariés, des industriels et des collectivités locales n'a pas convaincu
GRENOBLE - correspondance

"L'annonce faite, à l'avant-veille de la décision, d'une mise de 45 millions d'euros par une entreprise de
chimie indienne n'aura pas suffi à convaincre les juges du tribunal de commerce. Vencorex, acteur
majeur de la chimie dans le bassin grenoblois produisant du chlore, de la soude, de l'hydrogène et des
isocyanates, ne sera pas repris sous la forme d'une société coopérative d'intérêt collectif (SCIC). C'est le
concurrent de Vencorex, le chinois Wanhua, qui reprendra très partiellement l'activité sur le site de Pont-de-Claix (Isère) par le biais de sa filiale hongroise BorsodChem, a décidé le tribunal, jeudi 10 avril.
Une poignée de salariés avaient monté dans l'urgence ce projet, alors que le concurrent chinois décidait
d'améliorer son offre, six mois après le début du redressement judiciaire en septembre 2024 , explique Fatima Bellaredj, déléguée générale de la Confédération générale des SCOP et des SCIC (CGSCOP).
« C'est une forme relativement récente de société coopérative, qui compte encore assez peu d'exemples dans l'industrie
C'est un statut qui permet d'engager différentes parties prenantes autour d'un projet économique pour le territoire. »
Pour les salariés de Vencorex, la SCIC avait l'avantage de pouvoir faire entrer dans son capital des collectivités territoriales et des industriels, partenaires commerciaux ou non de l'entreprise, qui avaient déjà fait part de leur intérêt. Un modèle qui avait du sens alors que, sur la plateforme chimique où se trouve Vencorex, et plus
largement dans le bassin grenoblois, de nombreuses entreprises dépendent directement ou indirectement de l'activité de Vencorex, faisant d'ailleurs craindre un véritable efet domino en cas de fermeture de l'usine.
En quelques semaines, les porteurs du projet ont réussi à réunir plusieurs dizaines de lettres d'engagement
d'industriels, désireux de participer au capital social de la future entité créée sous forme de société par actions simplifiées (SAS), et même, pour certains, de s'installer sur la plateforme et de profiter des infrastructures existantes. Début avril, Olivier Six, entrepreneur grenoblois coporteur du projet, indiquait à la sortie du tribunal
vouloir « créer une plateforme d'innovation chimique » sur le site de Pont-de-Claix."

Le Monde
https://journal.lemonde.fr/data/4492/reader/reader.html?t=1744408...