lundi 29 juillet 2024

Nicolas Maduro réélu président du Venezuela pour un 3e mandat selon le CNE, l’opposition conteste

https://www.huffingtonpost.fr/international/article/nicolas-maduro-reelu-president-du-venezuela-pour-un-3e-mandat-selon-le-cne-l-opposition-conteste_237605.html



1 commentaire:

Anonyme a dit…

MILEI SE FAIT UNE POÊLÉE DE GNOCCHIS...!

"Un « coup de balai », un « nettoyage », selon les termes employés par le porte-parole du gouvernement, Manuel Adorni. Le 28 juin, lors d’une conférence de presse, ce dernier se réjouissait en annonçant qu’une nouvelle vague de licenciements allait toucher les fonctionnaires et agents publics argentins, la troisième depuis l’arrivée au pouvoir du président d’extrême droite, Javier Milei, en décembre 2023.

En tout, l’administration publique nationale a déjà perdu 25 000 employés entre décembre et fin mai, d’après l’Institut national des statistiques, auxquels sont venus s’ajouter entre 2 500 et 5 000 contrats non renouvelés fin juin, selon le syndicat des travailleurs de l’Etat (ATE).

Et le gouvernement est encore loin de son objectif. En mars, face à un parterre d’entrepreneurs et d’économistes latino-américains réunis à Buenos Aires, Javier Milei annonçait la fin de 70 000 contrats de travail dans la fonction publique. Un chiffre qui correspond, d’après les précisions apportées par le porte-parole du gouvernement, à « l’univers des contrats en cours de révision ».

Le but, d’après le gouvernement, est de démasquer les « gnocchis » – nom donné en Argentine aux fonctionnaires fantômes qui ne se présenteraient que le dernier jour du mois, jour des gnocchis, selon la tradition régionale, pour toucher leur salaire – et arrêter de financer des « dépenses superflues avec l’argent du contribuable ».

Plans de départs volontaires

Pour mener à bien son plan dès son arrivée au pouvoir, alors que sa loi « bases et point de départ pour la liberté des Argentins », qui inclut une réforme de l’Etat et une réforme du droit du travail, n’a été approuvée que fin juin, l’exécutif a développé un modus operandi qui s’est répété dans presque tous les ministères et organismes publics.

Après avoir procédé, dès décembre, à une première vague de non-renouvellement ou d’annulation de contrats temporaires au sein de la fonction publique, la première étape a consisté à imposer aux employés restants, qui avaient, depuis l’épidémie de Covid-19, la possibilité de rester en télétravail, le retour en présentiel, même sans travail à effectuer.
Javier Milei, qui avait annoncé son intention de remanier les ministères, de suspendre bon nombre de programmes publics et de réduire au maximum la portée de l’Etat, a ensuite longtemps tardé à nommer de nouvelles autorités dans les ministères visés par les licenciements. La plupart des employés restaient donc dans le flou quant à leur avenir et sans tâches assignées."
(…)


https://www.lemonde.fr/international/article/2024/07/29/en-argentine-le-president-javier-milei-a-deja-licencie-des-milliers-de-fonctionnaires_6260766_3210.html