samedi 29 juin 2024

Dimanche 30 juin, votez pour le Nouveau Front Populaire !

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4 commentaires:

Anonyme a dit…

ARC RÉPUBLICAIN POUR MAINTENIR LES ARS !

Quel est le rôle des ARS ?

"Ces agences ont été instaurées dès 2009, soit 11 ans avant la pandémie de Covid-19. Elles ont été mises en place par la loi dite «HPST» du 21 juillet 2009. D’abord avec 26 agences, puis 17 après la réforme des régions après une loi de 2015, elles ont pour mission principale d’organiser la politique régionale de santé. Pour ce faire, elles fournissent les budgets, autorisent ou non la création d’établissements dans la région, etc. Ce sont ces autorités qui «coordonnent et attribuent le budget de fonctionnement des hôpitaux, cliniques, centres de soins ainsi que des structures pour personnes âgées, handicapées et dépendantes», explique le site de l’ARS.

Dix ans après leur création, la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale avait dressé un bilan en «demi-teinte». Dans un rapport remis le 16 juin 2021, les rapporteurs avaient écrit que «la loi “HPST” a en effet créé des structures au périmètre d’action considérable et qui sont aujourd’hui souvent perçues comme des “mastodontes technocratiques” par les acteurs du terrain». Le «gigantisme géographique» posait notamment question. Les travaux parlementaires de l’époque ne proposaient pas la suppression des ARS mais une réforme jugée nécessaire avec, par exemple, «le renforcement des contre-pouvoirs régionaux permettant de contrôler leur action»."



https://www.capital.fr/economie-politique/sante-mais-pourquoi-jordan-bardella-veut-il-eliminer-les-ars-1498981

Anonyme a dit…

"Pour mieux comprendre les ressorts profonds de l’abstentionnisme, Destin Commun et la Fondation Jean-Jaurès proposent une étude qualitative, basée sur l’analyse de six focus groups menés auprès de personnes s’étant abstenues au premier tour de l’élection présidentielle. Contrairement aux idées reçues, l’abstention n’est pas le marqueur d’un désintérêt pour la politique mais témoigne surtout d’un sentiment de déconnexion de la classe politique.

Les quatre grandes raisons de l’abstention : loin d’un désintérêt pour la politique

"Les raisons évoquées pour justifier l’abstention se structurent autour de deux axes : d’une part les critiques à l’encontre de la politique en tant que système vs du personnel politique, et d’autre part les critiques sur la finalité et le contenu de l’action politique, vs celles sur la forme et les moyens. Quatre types de causes de l’abstention apparaissent nettement : la perte de foi (impuissance de la politique, inutilité du vote)et le fossé (déconnexion et manque de sincérité des politiques), qui sont les raisons les plus citées, mais aussi les carences démocratiques (freins administratifs, manque d’information) et l’éthos des politiques (agressivité, politique-spectacle).

Autre cause profonde de l’abstention : un rapport dégradé aux médias et à l’information. Entre overdose et dépendance vis-à-vis de la télévision, les abstentionnistes expriment une forme d’angoisse face à une offre médiatique pléthorique et considérée comme « orientée ». In fine, ils se tournent vers leurs proches pour se forger une opinion et préfèrent regarder des émissions d’infotainment, dans un rapport plus léger à la politique.

Dans la tête des abstentionnistes : au pays du malaise et du repli

« Frustré », « sur un fil », « incertain », « perdu »… C’est ainsi que les abstentionnistes se décrivent eux-mêmes. Ce grand malaise est alimenté par une peur de l’avenir et un sentiment de complexification du monde qui nourrit une profonde défiance. Incertitude, complexité, impuissance : telles sont les trois composantes d’une nouvelle équation de la contestation, qui prend ici la forme de l’abstention. C’est aussi un grand repli qui caractérise ces abstentionnistes. Entre retrait, échappée, cocon ou recherche d’alternatives, l’enquête identifie les différentes formes qu’il prend aujourd’hui pour mettre à distance la société.

Une nouvelle typologie des abstentionnistes

De l’abstention-sanction jusqu’au fait de déchirer sa carte d’électeur, et de la culpabilité au retrait assumé, tous n’ont pas le même rapport à l’abstention. Six profils se dessinent :

* Identitaires : la défiance généralisée
Libéraux optimistes : les primo-abstenants exigeants
* Stabilisateurs : les modérés lassés
* Militants désabusés : la douloureuse désillusion
* Attentistes : du détachement au renoncement
* Laissés pour compte : les abandonnés abandonnent

L’environnement, une opportunité de réengagement ?

Sur ce défi majeur de notre époque, un constat positif : les abstentionnistes ne sont ni moins sensibles à la question climatique, ni moins mobilisés que la moyenne des Français. Ils expriment aussi de fortes attentes vis-à-vis de la politique sur ce sujet. La transition écologique peut donc être un vecteur de réengagement, à condition d’adopter une posture d’encouragement plus que de contrainte et de culpabilisation, et d’intégrer l’écologie à leurs préoccupations, notamment celles du pouvoir d’achat et de la santé."
(…)


https://www.jean-jaures.org/publication/dans-la-tete-des-abstentionnistes-a-lecoute-de-ceux-qui-se-taisent/

Anonyme a dit…

"Dans une tribune publiée jeudi dans le Nouvel Obs, un millier de diplômés de grandes écoles refusent les consignes de vote de Patrick Martin, le président du Medef, qui renvoie dos à dos le RN et le Nouveau Front populaire. Dans Le Figaro, il avait déclaré : "Les programmes du RN et du Nouveau Front populaire sont dangereux pour l'économie". Les signataires de cette tribune sont issus de HEC, de l'ESCP, de l'ESSEC, des écoles prestigieuses et ils sont aujourd'hui acteurs et dirigeants économiques, entrepreneurs. C’est une prise de parole inhabituelle.

"L'économie ne va pas s'effondrer"

"Parmi ces entrepreneurs, Paulin Dementhon: 45 ans, diplômé d'HEC et fondateur de Drivy, une entreprise revendue plus de 100 millions d'euros il y a quelques années, devenue Getaround, une application de location de voitures. "Les propos du patron du Medef, je trouve qu'ils sont pyromanes. C'est totalement irresponsable de comparer le programme du Nouveau Front populaire et celui du Rassemblement National." Il rappelle que le projet économique de l’alliance de gauche est soutenu notamment par la Prix Nobel d'économie Esther Duflo et 300 économistes, qui ont signé cette semaine une tribune.

Paulin Dementhon soutient le programme économique et écologique du Nouveau Front populaire : "Non, préserver l'environnement, se battre pour le partage des richesses, ce n’est pas contre la survie de l'économie. C'est tout le contraire. Bien sûr que l'économie ne va pas s'effondrer si l’alliance de gauche arrive au pouvoir. Je dirais qu'à long terme, si on ne fait rien pour l'environnement et si on continue à laisser des failles béantes entre les riches et les pauvres et les inégalités s'accroître, là l'économie va s'effondrer. Donc, c'est tout le contraire."
(…)


https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-info-de-france-inter/l-info-de-france-inter-4245948

Anonyme a dit…

Jean-Luc Mélenchon invité du ZawaTalk
JEAN-LUC MÉLENCHON



https://youtu.be/SvGPqZTCXEg?si=qzJsvLWIcTuC0q_T



Jean-Luc Mélenchon était l'invité du ZawaTalk sur la chaîne Twitch de Dany et Raz le 28 juin 2024.

Ces dimanches 30 juin et 7 juillet, n'oubliez pas de voter pour les candidats du #NouveauFrontPopulaire pour #ToutChanger !


Merci, Monsieur Mélenchon, pour votre constance et votre intégrité. Votre authenticité est une force indomptable qui nous rappelle l'importance de la vérité et de l'engagement sincère. Peu importe les obstacles et les critiques, sachez que votre fidélité à vos convictions trouve un écho puissant chez de nombreux citoyens.