mardi 30 septembre 2025

Prausarko

https://www.lecanardenchaine.fr/politique/52028-le-presentateur-de-cnews-s-offre-un-diner-avec-nicolas-sarkozy

9 commentaires:

Anonyme a dit…

Praud en fait toujours des caisses. C'est pour cela que ça ne sent jamais très bon à ses côtés !

Anonyme a dit…

Un bandeau « sans nuance ni guillemets »

"Le député s’est notamment ému d’un bandeau affiché à l’antenne le 25 septembre, quelques heures après l’annonce du jugement, et intitulé : « Nicolas Sarkozy face à un procès politique ». Une affirmation « sans nuance ni guillemets » qui reprend, selon Aurélien Saintoul, « l’élément de langage partisan selon lequel la justice n’aurait pas été impartiale avec Nicolas Sarkozy ».

Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris a condamné Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison avec incarcération prochaine pour avoir « laissé ses plus proches » collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi pour financer sa campagne victorieuse de 2007.

Nicolas Sarkozy, qui a fait appel du jugement, a dénoncé une décision « d’une gravité extrême pour l’État de droit ».

Après la condamnation en mars de Marine Le Pen à quatre ans de prison dont deux ferme dans l’affaire des assistants parlementaires du FN, l’Arcom avait été déjà saisie du traitement de cette décision sur CNews.

Dans une décision rendue publique mi-août, l’instance a estimé que plusieurs émissions de la chaîne « tendaient à mettre en exergue sans mesure, ni modération le caractère supposément indu, voire illégal, de la peine d’inéligibilité » prononcée contre Marine Le Pen, par ailleurs « présentée comme la victime d’un complot judiciaire ».

L’Arcom avait fermement appelé la chaîne à faire preuve, à l’avenir, « d’une vigilance accrue » sur le respect de ses obligations légales."


https://www.huffingtonpost.fr/medias/article/l-arcom-saisie-apres-le-traitement-de-la-condamnation-de-nicolas-sarkozy-sur-cnews_255437.html

Anonyme a dit…

À DÉFAUT D'ORANGES, ESTROSI DÉROULE LE PARVIS !

"Un nom très politique. Le maire de Nice Christian Estrosi a annoncé, lundi 29 septembre, donner le nom de Nicolas Sarkozy au futur parvis de l'hôtel des polices municipales et nationales de la ville. "Il a soutenu ce projet unique", a justifié l'édile sur le réseau social X(Nouvelle fenêtre), qui y voit "l'occasion de saluer l'action déterminante qu'il a menée, d'abord comme ministre de l'Intérieur puis comme président de la République, en faisant de la sécurité une priorité nationale."

Cette décision intervient quelques jours après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison pour avoir laissé ses deux proches collaborateurs, Brice Hortefeux et Claude Guéant, solliciter les autorités de la Libye de Mouammar Kadhafi "afin d'obtenir ou tenter d'obtenir des soutiens financiers en Libye en vue d'obtenir le financement" de sa campagne victorieuse de 2007. Des faits "d'une gravité exceptionnelle", "de nature à altérer la confiance des citoyens"."


https://www.franceinfo.fr/societe/affaire/les-affaires-sarkozy/le-maire-de-nice-christian-estrosi-annonce-donner-le-nom-de-nicolas-sarkozy-au-futur-parvis-de-l-hotel-des-polices-municipales-et-nationales_7521226.html

Anonyme a dit…

PATRICK NE VEUT PAS ÊTRE BALKANISÉ À GINERNY...!

"Il va tout tenter pour reconquérir Levallois. Réélu maire de sa ville en 2020, Patrick Balkany avait dû abandonner le siège qu’il occupait depuis 1983, après avoir été condamné en appel à trois ans de prison pour fraude fiscale et à quatre ans et demi pour blanchiment de fraude fiscale, assorti d’une peine d’inéligibilité de dix ans.

Mais selon les informations du Parisien, le baron des Hauts-de-Seine a tenté une nouvelle fois de faire sauter ce verrou devant la cour d’appel de Paris ce mercredi 1er octobre, pour espérer se présenter lors des élections municipales de mars 2026. Le verdict devrait être rendu le 5 novembre. Le tribunal correctionnel avait rejeté sa demande en première instance en février 2025.

«Je ne peux pas faire un pas à Levallois sans qu’on me demande de revenir», explique Patrick Balkany au quotidien, pour justifier sa démarche. Et en cas de refus du tribunal de relever sa peine, l’homme de 77 ans l’assure : il a un plan B. Qui consiste tout simplement à soutenir une liste en lice. De quoi lui faire dire que, dans tous les cas, «il y aura une liste Balkany» lors des prochaines échéances municipales. Une seule règle : ne jamais lâcher l’affaire."


https://www.liberation.fr/politique/malgre-sa-peine-dineligibilite-patrick-balkany-veut-etre-candidat-aux-municipales-en-2026-20251001_2WYCWKNM4ND35E6TG2GQBXXQHY/

Anonyme a dit…

Des propos portant atteinte « au respect dû à l’institution judiciaire »

"Selon ces avocats, ces propos « nuisent à l’État de droit », « revêtent une particulière gravité » et « ne sauraient être regardés comme une simple critique d’une décision de justice dont Nicolas Sarkozy a déclaré au demeurant faire appel ».

L’ex-chef de l’État, en cette qualité, « connaît la portée de ses paroles et l’effet direct qu’elles exercent sur l’opinion publique. Ses paroles portent atteinte non seulement à la décision de justice visée, aux magistrats l’ayant rendue mais aussi au respect dû à l’institution judiciaire », lancent-ils. Ils s’estiment recevables à porter plainte en tant qu’« auxiliaires de justice », car ils « concourent au fonctionnement du service public de la justice ».

À plusieurs reprises lundi, le président du tribunal judiciaire de Paris, Peimane Ghaleh-Marzban, avait aussi dénoncé le « discrédit » jeté sur l’institution judiciaire par les critiques formées contre la décision de la 32e chambre parisienne, rendue jeudi 25 septembre.

Sollicité lundi sur la question de savoir si une enquête est ouverte à ce sujet, le parquet de Paris n’a pas répondu."


https://www.leparisien.fr/faits-divers/nicolas-sarkozy-condamne-une-vingtaine-davocats-deposent-une-plainte-contre-lancien-president-01-10-2025-OSEUXYFQHFBC3OIU6MJU2OZUQM.php

Anonyme a dit…

L’exécution provisoire ? « Quasi habituel »

"Or, n’en déplaise à l’ancien président de la République cette sanction n’a rien d’extraordinaire et ne pose manifestement pas problème aux différents acteurs du monde judiciaire. Au point qu’aucun des 75 intervenants auditionnés par les sénatrices n’a jugé utile d’en parler. « Très curieusement, aucune de nos auditions n’a posé le problème de l’exécution du jugement. Ça n’a pas été évoqué. Par contre, l’exécution immédiate, c’est quelque chose quasiment habituel pour nombre de peines, en particulier pour les peines de plus de 5 ans : on a une exécution immédiate à 88 % » , explique à Public Sénat la socialiste Laurence Harribey.

« Si l’unanimité ou la majorité des personnes auditionnées avait posé ce problème-là, on s’y serait intéressés. Mais comme par hasard, aucun n’a évoqué cette question-là comme une question fondamentale de ses pratiques professionnelles », insiste l’élue de Gironde.

Même son de cloche chez sa collègue centriste Dominique Vérien, également citée par la chaîne du Palais du Luxembourg. « L’exécution provisoire des peines de prison n’a jamais été un sujet pendant nos auditions. Ce n’est pas un sujet qui préoccupait les avocats, les magistrats, ni personne… », a-t-elle renchéri. À noter que ces observations correspondent avec ce que martèlent les spécialistes de la justice depuis plusieurs jours.

Selon les chiffres 2024 du ministère de la Justice, « le taux de mise à exécution immédiate s’établit à 87 % en comparution immédiate », dont 36 % pour les peines de prison ferme. En parallèle, le rapport du ministère de la Justice montre que « le taux de mise à exécution immédiate augmente avec le quantum de peines ».

Estimé à 47 % pour les peines de 6 mois ou moins, il grimpe à 89 % pour celles de plus de 24 mois parmi lesquels 4,3 % concernent les peines de prison ferme. Difficile d’affirmer, dans ces conditions, que Nicolas Sarkozy a fait l’objet d’une justice d’exception, malgré ce que lui et ses soutiens martèlent depuis plusieurs jours."


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/la-defense-de-nicolas-sarkozy-apres-sa-condamnation-mise-a-mal-par-un-rapport-du-senat-sur-l-execution-des-peines_255481.html

Anonyme a dit…

Quand la racaille pavoise...

ATTAQUER LA JUSTICE ET LA DÉMOCRATIE, UNE PASSION DE DROITE
BLAST, Le souffle de l'info


https://youtu.be/vsovp0gFUgE?si=w65huIO1JpZUgsMa


« La droite et l’extrême droite et leurs journalistes d’accompagnement, immédiatement après l’annonce de la condamnation de Sarkozy, se sont précipités à son secours, pour le présenter, non pas comme un récidiviste plusieurs fois condamné dans des affaires de corruption, mais comme l’innocente victime de juges supposément « de gauche et d’extrême gauche » acharnés à le détruire. […] Mais l’inversion de la réalité à laquelle se livrent les droites françaises lorsqu’elles dénoncent un prétendu coup de force des juges au lieu de se scandaliser des infractions à répétition d’un ancien président nous rappelle très utilement que ces droites brûlent d’envie d’imposer de ce côté-ci de l’Atlantique le même basculement totalitaire que celui dans lequel Donald Trump précipite les États-Unis - en se présentant lui aussi comme une victime de prétendus complots ourdis par des juges « gauchistes » présentés comme de véritables ennemis intérieurs. »

Découvrez le dernier épisode de la nouvelle émission de Sébastien Fontenelle : Jusqu'ici tout va mal.

Journaliste : Sébastien Fontenelle
Montage : Mélanie Ciais
Réalisation : Oriane Marty
Son : Baptiste Veilhan, Théo Duchesne
Graphisme : Morgane Sabouret, Margaux Simon
Production : Hicham Tragha
Directeur du développement des collaborations extérieures : Mathias Enthoven
Co-directrice de la rédaction : Soumaya Benaïssa
Directeur de la publication : Denis Robert

Anonyme a dit…

PRAUD/SARKO, UNE BROMANCE...

« Sarkozy forever ! »

"Pascal Praud est allé jusqu’à comparer Nicolas Sarkozy à Alfred Dreyfus, officier de confession juive injustement condamné au XIXe siècle, dans une France antisémite. « La justice condamne qui elle veut », a-t-il déclaré, dans une violente diatribe anti-juges, qu’il accuse de « tuer la République ». « La dignité́ avec laquelle il a reçu un jugement qui l’envoie durant cinq ans en prison force le respect sinon l’admiration », a aussi écrit, dithyrambique, l’éditorialiste, expliquant le lendemain comment l’ex président de la république avait été applaudi après être entré dans un restaurant suite à l’énoncé du jugement.

Une admiration de longue date, puisque, comme le rappelle Le Canard enchaîné, Pascal Praud a signé il y a deux ans un édito intitulé « Sarkozy forever ! », où il affirmait « aimer beaucoup » l’ancien chef d’Etat : « J’aime beaucoup Nicolas Sarkozy. Je parle ici de l’homme politique. Ce qu’il dit ; ce qu’il fait. Je le trouve intelligent (très), courageux (très), sensible (très)."
(…)



https://www.20minutes.fr/arts-stars/medias/4176432-20251001-diner-pascal-praud-nicolas-sarkozy-palace-veille-condamnation-arroseur-arrose

Anonyme a dit…

CHOUCHOU EST DANS LES CHOUX !

Un geste symbolique à la sortie du tribunal pour la femme de Nicolas Sarkozy

"Ce n’est pas la première fois que Carla Bruni exprime publiquement sa colère face à la condamnation de son mari. Le jour du verdict, Nicolas Sarkozy s’était exprimé devant les caméras à la sortie de l’audience. Après ce moment, elle a eu un geste remarqué envers Mediapart. Il s’agit du média à l’origine des révélations sur le financement libyen.

L’ancienne Première dame a saisi la bonnette du micro qui lui était tendu et l’a jetée au sol. La scène s’est produite sous les yeux médusés des journalistes présents. Entre gestes symboliques et SMS explosifs, Carla Bruni confirme qu’elle n’entend pas rester en retrait des affaires judiciaires de Nicolas Sarkozy."


https://www.closermag.fr/people/nicolas-sarkozy-condamne-un-sms-brutal-de-carla-bruni-fuite-elle-passe-meme-ses-nerfs-sur-son-son-ex-3583938